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b - Résultats S’agissant des morphotypes masculins (voir tableau des résultats sur l’échelle, colonne de droite) : Il y a eu une comparaison des distributions qui a été faite.
Les résultats sont relativement consensuels entre ceux obtenus par SHELDON et ceux obtenus par BRUCHON-SCHWEITZER. Résultats de cette étude décente, dans le détail : - L’endomorphisme recueille 9 items de la liste, dont 7 sont conformes à ceux de SHELDON , 33% d’attributions favorables. On va retrouver les caractéristiques : mou, indolent, lent, pacifique, social. On observe par rapport aux travaux de SHELDON une atténuation des traits positifs. Ce morphotype serait plus connoté négativement. - Le mésomorphe recueille 13 items sur les 30, dont 9 identiques à ceux de SHELDON. 67% d’attributions favorables. On va retrouver les caractéristiques : l’énergie, le courage, l’agressivité et la maturité. Les 4 items supplémentaires par rapport à l’ étude de SHELDON sont tous désirables. On y retrouve l’équilibre émotionnel, la détente et la rapidité dans le mouvement. - L’ectomorphe recueil 8 attributions. Les 8 sont conformes à celles de SHELDON qui lui en avait trouvé 10. 12% d’attributions favorables. C’est donc le morphotype le plus rejeté. On y retrouve l’inhibition sociale, l’anxiété et la tension corporelle, la vivacité juvénile. Les deux attitudes en moins par rapport aux résultats de SHELDON sont le goût de l’intimité, et la rapidité des réactions. Ce morphotype ne bénéficie même pas d’attentes favorables. Ces résultats issus de cette recherche sur les somatotypes masculins, sont tout à fait clairs : - On observe une forte stéréotypie des attitudes envers un physique donné. Mais ici il s’agit de types extrêmes. - Les inférences qui sont faites par rapport à ces types physiologiques sont à 80% en accord avec celles trouvées par SHELDON. Les petites différences sont probablement dues à une évolution des modèles normatifs depuis 40 ans. S’agissant des morphotypes féminins : [on ne peut pas comparer avec les résultats de SHELDON car il n’a pas fait d’étude chez les femmes] On va retrouver sensiblement les mêmes résultats. Il y a une stéréotypie très significative pour 28 des 30 items de la liste. Une conformité très significative avec les résultats obtenus par SHELDON pour 28 des 30 items. Et finalement, - L’endomorphe féminin recueil 30% d’attributs favorables. - Le mésomorphe recueille 73% d’attributs favorables. - L’ectomorphe ne reçoit que 12% d’attributs favorables. c - Résultats différentiels Dans cette recherche, on a comparé le choix de chaque sujet évaluateur, en fonction des trois variables indépendantes que sont l’âge (les 4 tranches d’âge), le sexe (homme ou femme), et la morphologie (poids, taille, et rapport taille/racine cubique du poids qui est un indicateur de la répartition harmonieuse de la masse corporelle) de l’évaluateur. Ceci a été fait sur 400 des 431 sujets. Dans l’ensemble, on observe une similarité très frappante chez les sujets. Il y a bien un stéréotype commun quelque soit les caractéristiques des sujets. Mais avec quelques variations. - Selon l’âge de l’évaluateur On a constaté qu’avec l’âge on devenait plus conformiste. Les évaluations sont d’autant plus conformes avec les stéréotypes que l’on est âgé. Cela pourrait traduire un processus de renforcement social des croyances liées à ces stéréotypes. On constate que l’endomorphe est assez bien considéré par les sujets les plus jeunes. Ceci avait d’ailleurs déjà été montré sur des études (MOURET, 1976) montrant les préférences des écoliers pour leurs instituteurs. On avait remarqué qu’ils préféraient avoir un instituteur plutôt endomorphe. > Ce type endomorphe est probablement aussi associé à quelqu’un qui est rassurant, contenant. - Selon le sexe de l’évaluateur Les hommes ont des perceptions moins stéréotypées que les femmes. Par ailleurs, on sait que les petites filles adhèrent plus tôt et ce de façon significative, aux normes en matière d’apparence physique, que les jeunes garçons (FELKER, 1972). Dans la continuité, les hommes seraient moins soumis à ce stéréotype que les femmes. > Les petites filles sont beaucoup plus sollicitées par les médias, et si on regarde les poupées par exemple, les filles préfèreront une ectomorphe modérée. On y retrouve le stéréotype des canons de beauté féminine. - Selon la forme du corps de l’évaluateur Si on considère le poids : on constate que les hommes à poids moyen et lourds, et les femmes légères, sont également les plus conformistes. Si on considère la taille : on constate que les hommes comme les femmes, moyens et grands en taille, sont aussi les sujets les plus conformistes. Si on considère la forme globale du corps de l’évaluateur : les femmes qui ont un corps proche des normes idéales en matière d’apparence physique (donc légères et grandes selon l’ectomorphisme modéré) ont des jugements particulièrement stéréotypés. Les hommes qui ont un corps proche des normes idéales (mésomorphe modéré) ont aussi les jugements les plus stéréotypés. Ces résultats ne sont pas surprenants, encore qu’ils pourraient nous interroger sur ces attributions très spontanées et stéréotypées, et semble-t-il infondées que l’on fait, et qui pour une partie du moins relève de ce que l’on est soi même. - Conclusion concernant ces résultats Les individus les plus conformistes en matière d’apparence physique sont aussi en réalité les plus conformes aux normes en matière de corpulence. Cela va traduire un effet renforçateur, et donc entretenir le stéréotype. Les sujets déviants par rapport aux normes (donc non conformes) dans leur jugement, sont aussi « déviants » par rapport à l’apparence physique qu’ils ont. Déviance toute relative parce que ce qui l’emporte quelque soit l’age, le sexe ou la forme du corps, c’est la concordance. d - Conclusion et critiques
- Il y a des attitudes majoritaires stéréotypées qui augmentent avec l’âge, qui augmentent si on est une femme, et qui augmentent si on a une morphologie conforme aux stéréotypes en matière d’apparence physique. - Étonnante consistance de ces attributions, alors que l’information fournie est très fragmentaire (il y a une forme du corps sans visage, et pourtant les inférences sont très concordantes, ce qui montre la puissance du stéréotype).
La critique majeure concerne le questionnaire qui est composé de questions fermées (où on nous propose un morphotype et il faut dire parmi les 30 items ceux qui correspondent le plus au morphotype). Questions fermées dont on sait qu’elles peuvent être relativement inductrices. En d’autres termes, elles ont pu artificiellement majorer la concordance des réponses. En réalité, il y avait trop peu de choix (30) et de plus, des choix forcés (on ne pouvait pas donner d’autres choix que ceux mentionnés dans la liste). C’est pourquoi une autre procédure, cette fois-ci avec des questions ouvertes, a été utilisée. 1.6 - Processus d’attribution avec questions ouvertes a - Procédure De la même manière, les somatotypes masculins et féminins extrêmes (les mêmes que ceux de SHELDON) ont été soumis à 20 hommes et à 20 femmes adultes, dans le cadre d’un entretien. Il leur était demandé de décrire librement les 10 traits de caractère et de comportement les plus probables pour chacun des 6 personnages représentés. Il a ensuite été fait une analyse de contenu thématique catégoriel des réponses des sujets. Cette méthode a l’avantage de permettre d’extraire les thèmes dominants, et ensuite d’en extraire des sous thèmes, ce qui permet d’avoir une arborescence thématique. À l’issu de ce travail, cela permet de dégager quels sont les dominantes (les thèmes les plus fréquents du discours), mais permet aussi sur un groupe de sujet de comparer. b - Hypothèses Ce sont les mêmes : H1 : Il y a un processus d’attribution qui est stéréotypé pour un même somatotype. H2 : Les contenus inférés à partir des silhouettes sont semblables à ceux découverts par SHELDON. c - Résultats On ne va voir que les somatotypes masculins. Les résultats qu’on a pu faire émerger à partir de l’analyse de contenu : Ont été recensés les thèmes qui ont été spontanément énoncés. Entre parenthèse, c’est le nombre de fois que le thème a été énoncé. - Concernant l’endomorphe : 270 termes différents ont été énoncés. Ils ont été regroupés sous 13 catégories, dont 10 sont conformes avec celles de SHELDON. Ce type recueille 39% de traits désirables (33% dans la première étude). On va retrouver parmi les traits désirables : jovial, gai, social et bon vivant. On va retrouver parmi les traits indésirables ou neutres : lent, mou, lourd, inactif, peu intelligent, influençable. - Concernant le mésomorphe : 315 termes différents ont été énoncés. Ils ont été regroupés sous 10 catégories thématiques différentes, dont 8 sont conformes à celles de SHELDON. Ce type recueille 63% de traits désirables (67% dans la première étude). On va retrouver parmi les traits désirables : actif, dynamique, sportif, sain, décidé, spontané, équilibré, social, tolérant. On va retrouver parmi les traits indésirables ou neutres : agressif, narcissique, matérialiste, dragueur, peu intelligent. - Concernant l’ectomorphe : 334 termes différents ont été énoncés. Ils ont été regroupés sous 8 catégories thématiques, dont 6 sont conformes à celles de SHELDON. Ce type recueille 23% de traits désirables (12% dans la première étude). On va retrouver parmi les traits désirables : intelligent, doux, inventif, travailleur. On va retrouver parmi les traits indésirables ou neutres : anxieux, froid, ascétique (fait d’avoir une vie monacale), renfermé, nerveux. En conclusion, on peut dire que quelque soit la procédure utilisée (question fermés ou ouvertes), on met en évidence des attitudes consistantes vis-à-vis de la morphologie d’autrui. Ceci nous permet de dire qu’il existe de véritables théories implicites de la personnalité, fonctionnant dans une manière attributive, induisant des processus attributifs, à partir d’informations limités, contingentes, sur autrui. Ces théories implicites de la personnalité et ses formes d’attribution stéréotypées relèveraient d’un processus d’implication sociale de stéréotypes et de normes, en matière d’apparence physique et de forme du corps, processus qui semble précoce et qui à l’évidence est très puissant. À ce stade, il reste à vérifier que ces attitudes convergentes vont affecter en retour les sujets cibles (ceux qui font l’objet d’une évaluation), et qu’elles sont intériorisées par ces derniers. Si tel était le cas, on pourrait dire que les relations observées entre forme du corps et personnalité, sont d’origine non pas constitutionnelle, mais sociale. II - L’attrait physique, attitude et comportements induits Lorsqu’on demande spontanément à des gens ce qui est important chez autrui, par ordre d’importance les diverses qualités qu’ils apprécient chez autrui, qu’ils attendent d’autrui, on constate que la beauté physique, lorsqu’elle est citée, vient loin après la sincérité, l’intelligence, le dynamisme, ou la tendresse. On peut s’interroger sur la sincérité de ces réponses. Dans diverses situations où des observateurs doivent évaluer un sujet, en présence de celui-ci ou à partir de photo, on s’aperçoit que ce n’est pas la qualité intrinsèque des informations disponibles qui a un effet majeur sur les jugements, mais bien l’apparence physique, l’attrait physique du sujet à évaluer. Ceci a été montré dans le cadre d’entretien d’embauche, où a compétence égale, c’est l’apparence physique qui fait la différence, et même au-delà, l’apparence physique d’un candidat moins compétent peut jouer en sa faveur. Quand on interroge les évaluateurs sur ce qui les a motivé dans leur évaluation, 90% prétendent que leur décision est fondée sur les informations objectives dont ils disposaient. D’un coté, on sait que les évaluations ne se font pas à partir des données objectives, et de l’autre, les sujets évaluateurs sont convaincus de faire une évaluation objective. On se heurte à une étrange ignorance, vis-à-vis de la toute puissance et de la fascination qu’exerce sur nous les sujets au physique agréable, et a contrario l’ignorance relative à la répulsion que peuvent susciter les individus disgracieux ou difformes. On peut se demander s’il y a des critères, des convergences, en matière de préférence esthétique ? On pourrait penser que la beauté, c’est une affaire de goût personnel. Or ce n’est pas vraiment le cas. La beauté est plutôt d’ordre intersubjectif. Est considéré comme beau ou laid celui qui est jugé comme tel par ses pairs, et ce de manière concordante. Y a-t-il une concordance dans les préférences esthétiques vis-à-vis du corps ou du visage d’autrui ? Oui. De nombreuses études furent menées depuis plus de 30 ans, effectuées dans différents pays, sur différents sujets cibles, avec des sujets évaluateurs différents. Dans ces nombreuses études, on retrouve une uniformité frappante des jugements en matière de beauté physique. A - Si l’on considère les goûts masculins et féminins Recherche de 1981. 12 silhouettes féminines extraites de tableau et sculptures de 6 périodes d’art : Égypte, Grèce antique, moyen-âge, renaissance, début et fin 20ème siècle. 240 sujets ont été amenés à classer ces silhouettes de la plus belle à la moins belle. Les sujets : 60 étudiants, 60 étudiantes, 60 ouvriers et 60 ouvrières. Résultats : la concordance l’emporte très nettement, elle est très fortement significative entre les sexes et les catégories sociales. Cette recherche a été refaite avec des populations différentes et on a retrouvé les mêmes résultats. Les silhouettes préférées correspondent à la Grèce et au 19ème siècle, conjugué à des modèles contemporains plus linéaires (femmes du 20ème siècle). Les silhouettes qui sont uniformément rejetées sont les silhouettes lourdes, avec des proéminences (Grèce, début 20ème, moyenne âge, Égypte). Avec des ventres bulbes. Si l’on regarde dans des recherches développementale quelles sont les préférences selon l’âge, on s’aperçoit que la discrimination entre les visages beaux et les visages laids se fait très précocement : dès l’âge de 3 ans. B) Préférence selon l'âge On s’aperçoit que les résultats deviennent tout à fait conformes à ceux des adultes vers l’âge de 6 ans pour les petites filles, et 8 ans pour les garçons. Plus précisément, il y a un rejet progressif du corps endomorphe, notamment masculin, au profit du corps mésomorphe modéré (athlétique et linéaire). Le type féminin préféré étant au final l’ectomorphe (mince mais pas maigre). Cette concordance quasi-totale des préférences enfantines vis-à-vis des corps jugés les plus beaux se fait d’abord au niveau des corps et se fera au niveau des visages un peu plus tard. La préférence (différent de la beauté) apparaitra plus tard, vers 10 ans. Il y a donc bien là un processus puissant d’implication sociale de modèles culturels stéréotypés. On pourrait se demander si ces préférences physiques peuvent varier selon les cultures. b- Selon la culture Multitude de recherches sur les préférences esthétiques selon les cultures, et voir si un consensus se dégageait selon les cultures. Il en ressort une conformité des canons de beautés locaux, aux critères occidentaux, avec des atténuations locales : une peau légèrement allée mais non blanche en Jamaïque, des femmes aux volumes généreux au Mexique. Mais on c’est aperçu que la prédominance des modèles occidentaux en matière de beauté physique, s’atténue dans les pays où les sociétés occidentales n’ont plus un rôle politique et économique prédominant. On peut conclure, au regard des recherches, à une forme impérialisme des modèles esthétiques corporels d’origine occidentale. Face à cet impérialisme en matière de beauté physique, toute différence par rapport à ce modèle dominant (surcharge pondérale, ride, tissu peu tonique, petitesse, peau noire..) pourrait être ressentie comme une tare, comme un stigmate, par les sujets « déviant » vis-à-vis de ce corps idéal. Ce corps idéal, il est fortement valorisé, recherché, mais par la majorité des humains ne l’ont pas. C’est pourquoi on peut souligner le malaise contemporain profond. Mettre en relation ces exigences précises et ce malaise contemporain profond qui peut être expliqué en partie par cette écart entre notre corps réel et ce corps imaginaire véhiculé par ce stéréotype de la beauté, d’où certaines pratiques d’embellissement, qui sont parfois dangereuses et douloureuse, comme les techniques de blanchiment de la peau qui sont cancérigènes. 2.3 - Se qui est beau est bon Stéréotype « ce qui est beau est bon » décrit par BYRN, DION, BERSCHEID et WALSTER. Ce stéréotype montre que les sujets attrayant physiquement sont également pourvus d’attributs favorables multiples, et plus spécifiquement perçus comme significativement plus aimables, plus sensibles, plus flexibles, sur d’eux même, plus populaires, plus maitres de leur destin, plus sociales, plus équilibrés, que les sujets les moins beaux. Leur vie est supposée plus réussie, leur mariage plus heureux, leur métier plus prestigieux, et leur réussite scolaire et professionnelle plus évidente. Stéréotype qui associe à l’effet de halo des caractéristiques positives, à la beauté physique. Et par ce même effet de halo on retrouve associé aux stéréotypes négatifs des caractéristiques négatives. Concernant les aptitudes et les performances perçues par les sujets évaluateur : on considère que les étudiants et les élèves les plus beaux sont ceux qui reçoivent pour des prestations orales et écrites identiques, des évaluations significativement plus élevées (à la condition que celui qui note connaisse le visage). Certains auteurs ont montré que les QI des enfants beaux sont généralement surestimé (CLIFFORD, 1975). Lors de jury simulés, la beauté physique de l’accusé est le facteur qui influence le plus significativement les décisions du jury, sauf si cette beauté a joué un rôle facilitateur dans le délit. Si l’on revient au domaine scolaire, travaux de DION. Il a constaté avec des enfants âgés de 7/8 ans qui avaient commis diverses transgressions, pour une transgression grave, les enfants laids sont jugés plus asociaux et plus susceptibles de récidives que les enfants beaux. Si l’on considère le domaine des relations interpersonnelles. Travaux de GOFFMAN, 1952, qui a montré que les sujets au physique agréable (attrayant) ont un réseau social plus important que les sujets au physique désagréable. Il a émis l’hypothèse de l’appariement qui suppose que le choix réel d’un partenaire est surtout fonction de l’évaluation préalable que l’on peut faire de ses propres atouts, des atouts que possède le partenaire par ordre d’importance : beauté, intelligence, qualité personnelle, revenus. > Les auteurs reconnaissent que plus on connait les sujets, moins on est soumis à ces types d’appariement. Ce stéréotype est à l'œuvre aussi bien chez les enfants, chez les adolescents et chez les adultes. Concernant les enfants, DION a démontré que l’enfant le plus beau est également le plus populaire dans sa classe. Il a aussi constaté que les enfants disgracieux sont plus systématiquement rejetés, ignorés, par leurs pairs. On pourrait penser qu’en fait la beauté physique ne constitue un atout que lorsqu’elle est la seule information disponible pour l’évaluateur (lors de rencontre fortuite par exemple). Certains auteurs se sont demandés si ces stéréotypes persistent lors de rencontres répétées, ou lorsque d’autres informations relatives aux sujets cibles (à évaluer) sont fournies à l’évaluateur. |
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