Cours d'approche différentielle







télécharger 150.34 Kb.
titreCours d'approche différentielle
page4/5
date de publication22.10.2016
taille150.34 Kb.
typeCours
a.21-bal.com > comptabilité > Cours
1   2   3   4   5

Conclusion : C'est l'un des modèles le plus solide au niveau théorique, car il part d'hypothèses fortes. Il a réussit à identifier des dimensions larges de description de la personnalité mais la critique c'est que finalement avec un objectif si fort il a un peu délaissé toutes les complexités entre ces différentes dimensions, ces dimensions ne peuvent pas rendre compte de toutes les différences inter-individuelle.

Le modèle de Guildford : L'école américaine

Lui aussi à été inspiré par Jung, mais il va plutôt privilégier l'aspect psychique de l'extraversion, et va délaisser "l'agir", l'action. Il va parler d'extraversion, introversion psychique, et elles vont être avant tout sociales, c'est à dire qu'on ne peut pas concevoir d'extravasion que par rapport à un entourage. Cela opposerait la sociabilité à la timidité.

Il va tout de suite travailler avec des questionnaires qu'il construit ou qu'il s'inspire, et va essayer de synthétiser les informations par des analyses factorielles. Il a utilisé une méthode qui permet de ne pas trop synthétiser l'information, ce qui l'intéresser c'est de garder le maximum de dimension tout en faisant des regroupements. Il est arrivé à une structure avec 10 facteurs : Activité générale (vif/lent), Ascendance (leader/soumis), Contrainte (sérieux/insouciant), Sociabilité, Stabilité émotionnelle, Objectivité (sensibilité, altruisme/égocentrisme), Bienveillance (conciliant/hostilité), Tendance à la réflexion (raisonnement/action), Relation personnelles (tolérance/critique), Masculinité/féminité.

D'autres chercheurs ont travaillé à partir de ce questionnaire et on fait une synthèse pour voir si ces différents facteurs pouvaient être regroupés : comme l'activité générale, l'ascendance, la sociabilité, mais aussi l'objectivité, la bienveillance, les relations personnelles, la masculinité et la stabilité émotionnelle = Névrosisme/ Stabilité.

Conclusion : Il a voulut décrire la personnalité de façon empirique. Il a investigué un spectre assez large pour décrire la personnalité, ce qui fait que pendant longtemps sont questionnaire était bcp utilisé pqu'il pouvait constituer des profils assez précis, mais il ne s'est basé que sur des questionnaires, d'autant plus qu'il a utilisé des questionnaires déjà existant et a donc retrouvé des résultats déjà calculés.

Le modèle de Cattel : L'école américaine

On est dans une approche empirique, Cattel veut, sans partir d'apriori, d'essayer de trouver la population de traits de personnalités, c'est à dire décrire l'ensemble de ces traits qui représenteraient les conduites observables. => Il appel ça la sphère de personnalité.

Méthode : il part des termes du vocabulaire qui exprime des conduites, il en repère 4500, et donc par une méthode lexicale, il fait des regroupements et appel ces regroupements des traits de surface. A partir de ça il diversifie ses méthodes, il va travailler sur des méthodes biographiques. Pendant plus de 10 ans il observe plus de 200 sujets, et là aussi il met en évidence des traits de surface, et va utiliser la méthode d'analyse factorielle. Selon la méthode utilisé il n'obtiendra pas le même nombre de facteur mais il aboutit finalement à un questionnaire : le 16PF (16 facteurs, comme par exemple réservé ou encore décontracté et leur contraire Ouvert, Tendu). Ce sont des facteurs précis par rapport aux deux autres auteurs.

Conclusion : Sa grande particularité et sa méthode de travail, ce qui fait que c'est plus un modèle descriptif qu'explicatif. Ses méthodes sont diversifiées, et son approche à conduit à une taxonomie exhaustive et très utilisée.

Le modèle des "big five" : L'école américaine

Il a fait l'objet de sympathie car on a vu dans ce modèle l'accomplissement du travail de description de la personnalité, mais aussi parce qu'on peut constater que dans la description quotidienne, que l'on fait tous les jours, on utilise cette classification.

En partant de différents constat Golberg à pris la mesure du caractère assez abstrait des différents modèles de description de la personnalité. Il a commencé par analyser les différents modèles qui avaient été réalisés et le premier constat qu'il a fait et que finalement quand on prend le modèle d'Eysenk de Cattel ou de Guildford, on a un accord important sur ce que les uns et les autres ont appelés, des facteurs de deuxième ordre. Ces traits primaires sont définis dans un contexte particulier, il dit donc que finalement, la description de la personnalité devait se faire de manière hiérarchique, c'est à dire d'une description la plus large possible à la plus fine. Dans cet objectif, il est nécessaire d'évaluer, à la fois, ce qui est général, et à la fois ce qui est plus spécifique. A partir de ce principe de base, la construction du modèle du "big five" c'est fait en repartant des facteurs généraux sur lesquels il y avait un certain accord. Ensuite ils ont sélectionnés les facettes qui pouvaient représenter tous les aspects variés et indispensables de ces facteurs, et ont crée des items qui décrivent les différentes facettes.

Ils ont donc crée un questionnaire, dont les réponses ont étés soumises à des analyses factorielles. Les cinq facteurs sont : Extraversion, Névrosisme, Conscience, Agréabilité et Ouverture. Il y a des domaines (5 traits globaux), des facettes (6 traits spécifiques par domaine) et des items (8 descriptions de pensée, sentiments, comportements = 240 items).

Conclusion : C'est un modèle récent qui répond à la question : combien de dimensions faut-il retenir pour décrire la personnalité ? Mais avec ce modèle, ne passe t-on pas à côté de dimensions importantes ?

Conclusion sur tous les modèles : Ces résultats sont hétérogènes que superficiellement. Les différents chercheurs se placent à des niveaux différents. C'est une organisation hiérarchique de la personnalité.

III) L'évaluation de la personnalité

1. Les techniques d'évaluation de la personnalité

L'auto-évaluation : il s'agit, pour un individu donné, de confier l'image qu'il a de lui-même. C'est don une certaine représentation. Qui dit image que l'on a de soi, fait appel à d'énormes distorsions, qui part du principe de base qu'on est censé se connaitre. Les questionnaires d'auto-évaluation sont un ensemble de questions ou affirmations auxquelles le sujet doit se positionner en indiquant si l'énoncé le caractérise ou pas, ou en choisissant parmi plusieurs propositions celle qui le décrit le mieux.

L'observation : On appel ça le regard en deuxième personne. Elle n'est pas plus objective que la première mais elle a un intérêt car elle peut être utilisée dans des situations naturelles, spontanées de la vie. L'observation consiste à observer un individu en situation réelle et de noter l'occurrence de certains comportements. Ex : "Assessment Center" dans le travail on fait une simulation de situations complexes de travail qui permet de mettre en évidence les compétences des sujets et leurs manières d'être.

L'entretien : Méthode de regard en troisième personne, qui peut soit, être un procédé d'enregistrement des conduites soit une interrogation. Il s'agit de demander à l'individu de décrire ses comportements, ses opinions, sa pensée, son vécu, ses stratégies, son moral, ... Les informations obtenues sont qualitatives. Les informations demandées peuvent être systématiques ou pas.

2. Les problèmes de mesure associés à chacune de ces techniques

Le questionnaire : - Les points positifs : La situation est standardisée. Les différences obtenues relèvent de la personne et pas de la méthode. On obtient un score pour chaque individu. On peut facilement comparer les patients entre eux, on peut aussi comparer les résultats du patient par rapport à un groupe de référence.

- Les points négatifs : On ne sait pas si les questions sont comprises de la même manière par tous. Les informations obtenues ne sont pas exhaustives (on peut passer à côté d'informations importantes). La relation avec le patient est impersonnelle. L'expression du psy n'est pas sollicitée. On obtient un score pour chaque individu (réducteur ?). Le patient n'a pas l'impression qu'on s'intéresse à sa propre problématique.

L'entretien : - Les points positifs : L'investigation est large est exhaustive. Ilo y a une interaction entre le psy et le patient. Les qualités cliniques du psy sont sollicitées. Permet de recueillir des éléments auxquels on n'avait pas pensé. On prend en compte la personne dans sa globalité. La personne a le sentiment qu'on s'intéresse à elle. Permet de repérer des schémas de pensée qui ne peuvent être appréhendé par questionnaire, mais intéressants sur un plan clinique.

- Les points négatifs : Difficile de comparer les individus entre eux : l'individu A est-il plus anxieux que l'individu B, ou alors différemment ? Les informations obtenues vont être différentes en fonction du psy. Les informations obtenues sont différentes selon les capacités de verbalisation du patient. Il est parfois difficile de gérer la relation qui s'instaure avec le patient (les deux parties ont des attentes différentes). Le patient à tendance à vouloir "satisfaire" le psy et répond de manière désirable.

L'observation : - Les points positifs : Le psy peut relever des informations dont le patient n'est pas forcément conscient. Intéressant pour savoir comment une personne se conduit dans un groupe. On évalue plus les comportements que le déclaratif (on observe des comportements plus spontanés).

- Les points négatifs : L'observation est limitée dans le temps et pas représentative de toutes les conduites de l'individu. L'observation se limite aux comportements et le psy n'a pas d'informations sur les cognitions du sujet.

3. La validité des méthodes d'évaluation

Validité avant la construction d'un outil :

1- la validité de contenu => "Les items sont-ils bien représentatifs de toutes les conduites évaluer ?". Ils ont crées des méthodes pour évaluer cette validité :

- Life data : Données ou renseignements au sujet de l'individu recueillis grâce à l'observation comportementale, son histoire personnelle ou ses antécédents.

- Entretien exploratoire : entretiens qui visent à mieux connaître les différents aspects d'un domaine visé : ex du burn-out chez le personnel soignant en oncologie.

- Méthode des experts : Méthode consistant à réunir des experts d'un domaine donné afin de rendre compte de tous ses aspects. Spécialistes de la sémantique, médecins, philosophes, anthropologues, sociologues.

2- La validité théorique => "Les items sont-ils cohérents avec une hypothèse théorique ? ". Suivant l'approche typologique (théorie de Jung), lexicale et empirique.

- Théorie lexicale (Odbert et Allport) : Les mots correspondent à la réalité. Les mots sont crées pour décrire la réalité. L'existence d'un mot implique l'existence réelle de ce mot désigne.

- MMPI : Méthode des groupes contrastés. Exemple des items de la dimension "Paranoïa".

Validité pendant la construction d'un outil : Validité interne (ou structurale). "Les items sont-ils homogènes ? Mesurent-ils bien tous le même trait de personnalité ?" Pour cela on va utiliser l'analyse factorielle de l'EPI et d'une grille d'observation.

Validité après la construction d'un outil :

1- Validité externe convergente : "Mon outil mesure t-il bien la même chose que d'autres outils évaluant le même trait ?". Par exemple le STAXI.

2- Validité prédictive : "Mon outil permet-il bien de prédire des comportements ultérieurs ?". Lien entre recherche de sensations et consommation de tabac par exemple.

IV) Le développement de la personnalité

1. La personnalité se construit dans l'enfance et se modifie avec l'âge

La tendance de ces différents courants de psychologie c'est d'envisager quelque chose de stable dans le temps. Et donc ces chercheurs ont essayés de mettre en évidence cette stabilité. Certains travaux ont pris en compte des suivis longitudinaux des enfants. Il a été observé des corrélations entre les mesures de l'anxiété (durant les 6 premières années de la vie) et une anxiété adulte, mais ceci uniquement chez les garçons.

Mais l'âge a une influence sur l'évolution de scores obtenus sur les big five. Une plus grande stabilité après 40ans.

Finn a suivit deux types de populations : des lycéens (à partir de 15 ans) et des hommes d'affaires et de profession libérale (43 à 53 ans). Cette étude à montrer que pour la population jeune, la convergence des résultats pour l'extraversion était autour de 0.50 (ce qui est significatif), en revanche pour l'autre groupe il était plus élevé 0.60. Quand on s'intéresse plus particulièrement au névrosisme, on a des résultats presque similaires, en revanche, s'il s'agit du psychotisme on a une différence selon l'approche de l'âge : jeune=0.26, autre=0.50. Ceci confirme d'autres travaux qui mettent en évidence une stabilité de la personnalité à partir de 40 ans.

On arrive a une grande stabilité et à un plafonnement après l'âge de 40 ans, comme si les effets du contexte s'atténués, ce qui fait que cette stabilité est relative, contrairement aux hypothèses des chercheurs, et dépend des dimensions de personnalité. On constate une régression des score tant au niveau du névrosisme que de l'extraversion que de l'ouverture. En revanche plus on avance en âge plus on voit une augmentation des scores au niveau de conscience et d'amabilité. On peut supposer que les facteurs contextuels interviennent.

Pour cette stabilité longitudinale ? Deux hypothèses :

- Aspect génétique des traits

- L'individu choisit son environnement afin de renforcer ses traits

2. Le caractère héréditaire de la personnalité

Les travaux partant de ces hypothèses ont cherché à mettre en correspondance la structure de la personnalité avec les scores entre les parents et les enfants. Ces études montrent qu'à partir de score d'extraversion ou en comparant les scores entre frères et sœurs ou sœurs-sœurs, ce qui apparait est une corrélation forte entre les sœurs mais aussi entre parents-enfants. Les résultats sont les mêmes pour le névrosisme avec une corrélation importante entre parents et enfants, en mettant en évidence ce caractère de transmission du caractère de personnalité.

Un deuxième type d'étude à été de mettre en correspondance des scores de jumeaux, en différenciant les vrais des faux, ceux qui vivent ensemble et ceux qui sont séparés. Là aussi les résultats mettent en évidence une forte corrélation sur les scores d'extraversion pour les vrais jumeaux. Avec une homogénéité des résultats.

Cattel à défini un poids de l'héritage sur des facteurs, mais plus faible pour certains caractères comme détendu/tendu. Si on prend le Big five on peut essayer de mettre en évidence un poids respectif sur l'hérédité, le poids que peut représenter l'environnement lorsqu'il est partagé ou non. Ils ont essayés de montrer que ce poids est variable selon les dimensions, et dépend aussi du mode d'évaluation. Si on prend l'extraversion on remarque que l'hérédité est plus forte lors d'une auto-évaluation contrairement au névrosisme.

Qu'est ce qui fonde cette par de l'héritage ? L'un des premiers psychologues à avoir émis des hypothèses est Eysenk qui a souhaité créer un modèle, pour mieux comprendre l'extraversion et le névrosisme. Il a présenté un modèle basé sur le concept : niveau optimum de stimulation. Tout d'abord son hypothèse est que dans des conditions de stimulations externes et faibles, les personnes extraverties vont se caractériser par une activation corticale elle même faible, alors que les introvertis présenteraient un niveau d'activation élevé. Cela se caractérise par le fait que les personnes extraverties vont présenter un niveau de contrôle, face à des stimuli, moins important que les personnes introverties et cela se manifeste par une recherche de stimulation et d'activité pour les extraverties, plus excitante alors que les introvertis auraient plus tendance à éviter les stimuli. Plus spécifiquement dans certaines situations de carence sensorielle, il apparait que les extraverties vont chercher à élever leur niveau d'activation. Par exemple en tournant en rond.

Selon Matthews et Gilliland, cette caractéristique serait le faible niveau d'activation du circuit réticulo-cortical qui provoquerait, chez l'extravertie, ce désir de stimulation sensoriel et cette recherche d'activité excitante. C'est pour cela que l'on interprète que les personnes extraverties sont plus sensibles aux stimulations positives de l'environnement, notamment avec des comportements sociaux, comme le plaisir de se retrouver en groupe ou l'appétence pour le dynamisme.

Dans ces informations, Eysenk a observé qu'au delà d'un certain seuil de stimulation, il y aurait un système d'inhibition qui se mettrait en place, de manière à réduire cette activation. Ce serait un système qui se régule par lui même.

Le modèle d'Eysenk a aussi travaillé sur le névrosisme. Selon lui, il serait plutôt associé à l'excitabilité du système réticulo-limbique (centre des émotions qui gèrent les réactions primaires de l'organisme). Dans ce cadre là, les personnes présentant un niveau élevé de névrosisme se caractériserait par une sensibilité accrue aux stimulations négatives extérieures. Ce qui aurait pour conséquence de mettre en application leurs fonctions physiologique avec par exemple, accélération du rythme cardiaque, artériel.

D'une manière plus globale, selon ce modèle, d'une part l'activation du circuit réticulo-cortical permettrait aux individus extraverties de s'orienter vers des activités et vers des stimulations positives, alors que l'activation du système réticulo-limbique générerait des affects négatifs. Ce qui fait que ce modèle est intégratif, qui met en relation l'extraversion et le névrosisme. C'est pourquoi Il part de l'hypothèse que le névrosisme serait un facteur qui accentue ou au contraire qui amoindri les réponses émotionnelle, en fonction de la position de chaque individu sur la dimension d'extraversion. En d'autres termes, l'extraversion va déterminer la proportion à ressentir des émotions soit positives soit négatives, alors que le névrosisme va plutôt déterminer l'intensité de la préférence émotionnelle.

C'est un modèle qui a une incidence très importante dans la définition de la régulation émotionnelle et surtout la régulation de l'affectivité soit positive soit négative.

Ce modèle d'Eysenk à été un modèle de référence et a connu quelques extension comme celui de Gray (1982) qui a supposé qu'un mécanisme physiologique, appelé système d'activation du comportement, contrôlait le niveau d'anxiété du sujet. Il a cherché à localiser ces mécanismes, et a mis en évidence qu'une excitation de ce système induisait une inhibition des réponses comportementales. Par exemple la tendance à ressentir de la peur va être associé à ce système. Il a observé qu'il se situer dans le cortex-frontal. A l'opposé il a émis pour hypothèse qu'à la base de l'extraversion (impulsivité) on avait un système de facilitation qui comprenait les ganglions de la base. Cela se traduirait, au niveau comportemental, par une proportion à se diriger vers des objets attrayants et engageants, c'est à dire à pousser les individus vers ce qu'ils désirs. Ce serait la partie gauche du cerveau qui serait en relation ac ce fonctionnement.

Gray propose un modèle basé sur un système d'activation de comportement qu'il va intituler : le mécanisme de récompense et à l'opposer un système d'inhibition du comportement qu'il va appeler : le mécanisme de sanction. A partir de ce modèle il va essayer d'expliquer pq certains individus seraient plus sensibles aux récompenses et donc plus conditionnables.

Expérience : situation de jeux, de gains : on perd ou on gagne. Résultats : Les extraverties ont répondus plus fortement aux situations de gains, alors que les introvertis ont réagit aux situations de pertes.

=> Ce modèle est donc complémentaire à celui d'Eysenk. Il convient aussi de mettre en évidence ces instabilités selon les contextes. Comment peut-on déterminer si un individu agit de manière cohérente (stable) au fil des situations ?

3. La stabilité inter-situationnelle
1   2   3   4   5

similaire:

Cours d\Cours d'Approche critique de l’art contemporain

Cours d\Recherche 2010-2012 axe 1 : psychopathologie psychnalytique et des ages de la vie
«L’approche psychopathologique psychanalytique interculturelle» in Comprendre et traiter en psychologie interculturelle: approche...

Cours d\Approche historique, architecturale et culturelle des gares

Cours d\Premiere partie : approche sociologique et historique de la démarche qualité

Cours d\Imaginaires érotiques de l’hygiène féminine intime. Approche anthropologique

Cours d\Cours de croquis en cours du soir aux Beaux-Arts de Tournai

Cours d\C oline billen
«Antigones et Sociétés, Approche Anthropologique des Arts de Résistance, Rencontre avec le Living Théâtre.», sous la direction de...

Cours d\Méthodologie des sciences sociales et approche qualitative des organisations

Cours d\Thèse : Le corps en présence, une approche plurielle du corps dansant, 565 pages

Cours d\Cours Florent à Paris. Professeurs
«Corps en mouvement» (danse contemporaine + mise en relation avec le théâtre) aux Cours Florent







Tous droits réservés. Copyright © 2016
contacts
a.21-bal.com