Recherche du temps libre Tome 1







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CHAPITRE II :
LES LOISIRS EN QUESTIONS

1. Le temps du loisir

Ma contribution à la sociologie des loisirs se réfère à une sociologie du temps, en particulier à une sociologie du temps libre, comme temps dont on dispose pour les loisirs. C’est avec mon étude sur les retraités que j’ai commencé mes réflexions sur le temps libre. La retraite s’impose en effet comme le temps de la libération des contraintes professionnelles. C’est une rupture sociale qui implique un réaménagement du temps et, par conséquent, une réorganisation de la vie sociale. Mes investigations ont, malgré tout, vite montré que ce temps libre de la retraite se concevait étroitement en fonction de l’existence passée et des habitudes prises. Certes, comme temps séparé du temps productif, la retraite offre de nouvelles virtualités de libération du temps mais elle pérennise aussi des conceptions antérieures. Finalement, elle combine un temps contraint, celui de l’entretien du corps et des tâches domestiques par exemple, et un temps libre, celui des loisirs, à la fois reconduit et inédit.

Le temps de l’inactivité est un temps plus souple, un temps affranchi de certaines nécessités mais il n’en reste pas moins soumis à des règles et des contraintes, celles dictées par le groupe social, par l’éducation, par la famille, par les revenus… Le rapport au temps est profondément ancré dans les mentalités, avec des valeurs partagées entre la liberté et l’inutilité. Ce n’est pas un temps complètement choisi ni complètement subi mais un temps largement défini par le groupe, auquel l’individu se conforme. Par exemple, l’ouvrier en retraite adopte largement ses comportements en lien avec le collectif du quartier et le collectif familial. Je n’ai pas constaté un rejet complet des valeurs du travail dans un temps libre qui n’en serait qu’une compensation, bien au contraire puisque les retraités en question pérennisent un certain culte du métier et du beau geste, dans la réalisation de travaux de jardinage et de bricolage, devenus il est vrai travaux pour soi. Ceci dit, malgré les limites sociales et culturelles, la retraite instaure de nouveaux usages du temps, individuels et collectifs. La structuration du temps de retraite se calque en partie sur celle du temps libre dont on a disposé auparavant, c’est une sorte de copie assouplie puisque l’assujettissement au temps, indéniablement, est désormais moins prononcé. Les possibilités d’aménagement des rythmes temporels sont accrues – en matière de repos par exemple, « on n’est plus marié avec la pendule » - mais la programmation des activités de retraite n’en est pas moins présente : les repas à des heures précisément fixées, la sortie du dimanche, la lecture matinale du journal en livrent de bons exemples. Une certaine régularité des rythmes temporels s’instaure machinalement, comme s’il fallait continuer à se calquer sur une répartition du temps communément admise : ainsi, pour la plupart des ouvriers en retraite, la matinée se partage-t-elle entre écoute de la radio, lecture du journal, tâches ménagères, commissions dans les commerces du quartier ou au marché ; l’après-midi entre bricolage et jardinage, promenade, visites entre voisins, amis et membres de la famille ; le soir étant quasi-exclusivement accaparé par la télévision. J’en suis arrivé à la conclusion que le temps de retraite était un temps libre réglementé.

Ces considérations sur le temps de retraite m’ont amené à penser l’ambivalence du temps de loisirs : temps potentiellement libre, il est, pour l’essentiel, scrupuleusement organisé. La révolution industrielle a introduit une séparation nette entre temps de travail et temps libre, une distinction effective entre activité et repos dont les durées respectives au cours de la journée, de la semaine, de l’année, de la vie entière sont institutionnalisées. Le temps de travail devient régulier, continu, autonome et parcellisé tandis que le temps libre est résiduel, mesurable à l’aune des autres temps. À ce titre, le temps des loisirs est un temps social, déterminé en particulier par la durée du travail et l’âge de la retraite. Comme le souligne Simonetta Tabboni, le temps traduit des « besoins d’organisation et d’intégration »73, ce qui explique le respect de rythmes sociaux et le principe d’un calendrier organisateur de nombreuses activités, y compris chez les retraités. C’est ainsi que le temps disponible de la retraite peut être dit libre en tant que libéré de la nécessité de la production, ce qui ne signifie pas pour autant qu’il soit libéré de toute détermination. J’ai montré, suite à mes investigations de terrain, que les pratiques de retraite étaient largement soumises à des mécanismes collectifs et s’orientaient essentiellement, pour les ouvriers étudiés, vers les rencontres familiales, les sorties de proximité, le bricolage et le jardinage, la télévision. Ces enquêtés répugnaient à concevoir ce temps désormais permissif de la retraite comme un temps de l’inutilité ou de l’ostentation, cher à Thorstein Veblen, mais produisaient en revanche leur propre modèle culturel autour de la sociabilité de quartier, de la sociabilité familiale, de l’activité concrète. C’est ainsi, par exemple, chez les ouvriers enquêtés, que le temps de travail domestique se substituait largement au temps de travail professionnel, non seulement pour s’occuper mais aussi pour entretenir la solidarité amicale et familiale.

C’est pourquoi la définition des loisirs proposée par Joffre Dumazedier, malgré ses vertus évidentes, ne m’a pas semblé éliminer toute ambiguïté entre temps choisi et temps contraint, entre temps permissif et temps aliéné. Pour moi, elle était trop axée sur le temps de réalisation personnelle et ne correspondait pas totalement aux réalités constatées. La définition du loisir comme « ensemble d’occupations auxquelles l’individu peut s’adonner de plein gré, soit pour se reposer, soit pour se divertir, soit pour développer son information ou sa formation désintéressée, sa participation sociale volontaire ou sa libre capacité créatrice après s’être dégagé de ses obligations professionnelles, familiales et sociales »74 ne me parait pas prendre suffisamment en compte, d’un part les contraintes sociales qui s’exercent de manière spécifique sur les différents groupes sociaux, d’autre part les mécanismes qui conduisent les fractions sociales les plus démunies à être rejetées du champ des loisirs. Elle accordait, me semble-t-il, trop d’autonomie à la sphère des loisirs par rapport aux autres sphères de l’existence. À mon sens, en pariant exclusivement sur les bienfaits d’une supposée civilisation des loisirs et en confiant au temps libre la résolution de problèmes issus du temps de travail, Joffre Dumazedier en venait à négliger les améliorations qu’il était nécessaire d’apporter aux conditions de travail. Il ne prenait pas suffisamment en compte les critiques émises à l’égard des loisirs et, sur ce plan, j’ai l’impression de l’avoir parfois suivi. De fait, il faut bien reconnaître que les loisirs, au moins en partie, enferment les individus dans des logiques marchandes et industrielles. Sur ce plan, les analyses de l’école de Francfort affirmant que les loisirs de masse contribuent à l’exploitation économique et à l’asservissement idéologique doivent être naturellement examinées. Les individus ne sont sans doute pas complètement dupes de tels mécanismes mais il n’est pas sûr, contrairement à ce que pensait Dumazedier, que leur émancipation puisse survenir grâce aux seuls loisirs. La question mérite en tout cas débat. Je me suis également demandé si les bienfaits apportés par les loisirs et constatés par Dumazedier concernaient au même titre toutes les catégories sociales. Certes, l’action culturelle de l’État corrige une partie des inégalités mais la démocratisation tant espérée, toutes les enquêtes le montrent, ne s’est pas vraiment réalisée.

Cette définition de Joffre Dumazedier, à ambition visiblement exhaustive – toutes les activités de loisir peuvent a priori correspondre à une des catégories mentionnées – n’abolit pas, selon moi, toute ambiguïté : les différentes formes de repos ne renvoient pas systématiquement au loisir ; il est problématique de concevoir qu’une formation puisse être désintéressée, ne serait-ce que sur le plan moral ; une création non libre est difficile à imaginer. Le loisir ainsi défini est idéalisé, en tout cas par rapport à mes constats : les ouvriers interrogés le considéraient certes comme une réelle compensation à la fatigue physique et nerveuse suscitée par le travail sans pour autant le parer de toutes les vertus. La plupart des ouvriers en retraite regrettaient les satisfactions procurées par l’activité professionnelle – le goût du travail bien fait, le sentiment d’être utile, la solidarité – et, tout en appréciant les nouvelles possibilités offertes par la retraite, ne prônaient pas une idéologie du temps libre, celle qui met en avant la participation culturelle et la dénonciation des aliénations produites par la société marchande. Ce n’est pas à une opposition radicale entre une civilisation du travail et une civilisation du loisir qu’ils concluaient. D’une certaine manière, mes interlocuteurs véhiculaient simplement une conception originelle du loisir, celle du latin licere qui désigne la possibilité de faire quelque chose, en prenant son temps.

De fait, les représentations à l’égard du temps libre de la retraite étaient largement favorables car c’est un temps dont on dispose, à soi, pour faire ce que l’on veut mais dans les limites définies par l’environnement social. C’est en outre un temps conquis par les luttes sociales, à l’instar des congés payés et c’est à ce titre qu’il est apprécié pour lui-même et non plus en simple opposition au travail. Il favorise l’adoption de valeurs spécifiques – celles du temps pour soi, du temps des plaisirs et des échanges sociaux – propres aux différents milieux sociaux. J’en concluais le caractère ambivalent de la retraite ouvrière partagée entre un attachement réel aux vertus du travail et une appréciation positive des perspectives de loisirs offertes par ce temps désormais disponible, si on entend par loisirs des activités qui favorisent l’intégration et la reconnaissance sociales. Il faudrait voir ce qu’il en est aujourd’hui, près de 30 ans après mes investigations, avec l’allongement des durées de cotisation, la flexibilité croissante des temps de travail, les transformations des métiers ouvriers, le développement d’une industrie des loisirs.

Beaucoup plus que pour les générations concernées par mes enquêtes, les valeurs du travail s’opposent désormais aux valeurs du loisir, probablement au profit de celles-ci compte tenu des nouveaux usages du temps : le nombre d’heures travaillées a été diminué par trois au cours du XXe siècle tandis que celui des heures libres a été multiplié par quatre75. Les différents temps du travail – ceux de la journée, de la semaine, de l’année, de la vie entière – se réduisent inexorablement, les vies individuelles se construisent largement hors travail, d’autant que les actifs occupés sont devenus minoritaires. Ces évolutions trouvent leur meilleure expression dans la loi des 35 heures, la tendance générale vers la réduction du temps de travail au profit du temps libre, devenu temps de référence, se confirmant. L’organisation des différents temps sociaux facilite désormais l’adoption d’un temps à soi, celui du choix et de la liberté ressentie que n’avaient pas véritablement connu les ouvriers en retraite nés au début du XXe siècle, dans une société encore définie par un temps de travail structurant et réglé.

Il faudrait aussi noter la transformation des mentalités car, beaucoup plus qu’hier, le loisir se confond avec la culture, y compris pour les milieux populaires, certainement moins enclins aujourd’hui à privilégier le repos et l’activité para-productive pour bénéficier aussi, à leur niveau, d’un accès possible à certaines pratiques : visite touristique, sortie festive, home cinéma, manifestation sportive, écoute musicale, spectacle de rue. La culture est devenue une manière parmi d’autres d’occuper le temps libre. Il suffit d’évoquer la croissance des équipements culturels en milieu domestique (magnétoscope, ordinateur…) et les nouveaux usages audio-visuels qui en découlent pour envisager une recomposition des loisirs, y compris populaires. En ce sens, les pratiques de loisirs révèlent le statut matériel et symbolique des individus, elles sont constitutives des styles de vie. C’est pourquoi les clivages entre groupes sociaux ne disparaissent pas mais se redéfinissent sans cesse. On pourrait aussi s’interroger sur l’engouement associatif et son impact inévitable sur les loisirs populaires : 12 millions de bénévoles en 2002 ; une association sur deux dans le domaine artistique ou sportif ; un tiers des 15-35 ans engagés dans des pratiques amateurs76. Certes, à des degrés divers, l’attrait pour des pratiques liées à l’expression de soi s’introduit dans tous les milieux sociaux et doit inciter à considérer les effets, non seulement du statut socioprofessionnel mais aussi de la génération, de la résidence, de la famille. Ceci dit, compte tenu des incertitudes économiques et de la remise en cause du progrès, naguère supposé linéaire, les menaces sur le bonheur de la retraite pèsent probablement sur les jugements. Pour autant, il ne faudrait pas en conclure que tout a changé car, comme le recommande Jean-Claude Passeron, « attention aux excès de vitesse »77. Bien qu’en diminution régulière depuis 30 ans, surtout chez les qualifiés, les ouvriers n’ont pas disparu et représentent encore près d’un quart de la population active78. Ces ouvriers-là ont des loisirs qu’il faut réexaminer attentivement pour en constater les recompositions plutôt que de décréter précipitamment leur dissolution dans des formes standardisées et uniformisées.

Mes observations devraient être réactualisées. J’ai en effet étudié les loisirs dans un contexte, celui d’un phénomène enraciné dans une société – celle de la conquête progressive du temps libre et de la diffusion des vacances – et d’une réalité de classe, celle de la classe ouvrière en l’occurrence, à un moment donné. Il est essentiel de connaître les transformations qui ont affecté les loisirs, en les rapportant aux réalités historiques, qu’elles soient sociales (industrialisation, urbanisation, progrès technologique, évolution du niveau de vie) ou culturelles (sociabilités, mentalités). Ces transformations posent des interrogations quant à l’uniformisation éventuelle des pratiques tout en témoignant de la persistance des différences, les loisirs du peuple s’opposant aux loisirs des élites, les loisirs individuels aux loisirs collectifs, les loisirs ruraux aux loisirs citadins, les loisirs des jeunes aux loisirs des adultes…

Pour ma part, en étudiant les loisirs chez les retraités, j’ai introduit une base comparative – j’ai opposé ouvriers du bâtiment et ouvriers de la métallurgie – mais aussi sélective puisque j’ai privilégié les composantes masculines et urbaines, ce qui, à n’en point douter, ne livre qu’une vision partielle des situations ! Je crois cependant avoir montré que, pour les milieux populaires, en dehors de la seule consommation marchande, les loisirs avaient du sens, celui procuré par des activités moins contraignantes que les activités professionnelles. Les loisirs pratiqués par les enquêtés ne se limitaient pas au repos et aux activités familiales mais comprenaient de réelles occupations créatrices et distrayantes (jeux, voyages, lectures…), sans aller sans doute jusqu’à des pratiques de formation et d’éducation, en tout cas telles que le conçoivent les autres catégories sociales, dans le cadre de l’Université permanente par exemple. Les loisirs populaires contribuent à définir un style de vie populaire. Tout en considérant les influences réciproques, il faut se garder d’une sorte de fascination à l’égard de la légitimité culturelle qui conduirait à exagérer l’impact des loisirs dominants. C’est pourquoi l’analyse exclusive en terme de domination culturelle qui attribue l’ignorance ou l’acceptation de celle-ci par ceux qui la subissent me paraît excessive. La culture populaire impose aussi ses catégories, il suffit de songer aux exemples de la musique, de la mode ou du sport.

Je me suis néanmoins heurté à l’ambiguïté de la notion de loisir et à la difficulté d’en définir les contours : ainsi, doit-on considérer le jardinage et le bricolage comme de simples substituts au travail, et en tant que tels comme des activités para-productives, ou les assimiler à de véritables pratiques d’agrément ? Il est fréquent de faire correspondre cette dichotomie à l’opposition entre populaire et bourgeois. Globalement, c’est sans doute vrai mais, suite à mes investigations, j’avoue qu’elle demanderait à être largement nuancée car les milieux populaires ont aussi une appréciation esthétique de leurs jardins ou des objets qu’ils fabriquent. Comme l’indique Michel Bozon, les loisirs renvoient à des appartenances, à des collectifs, à des classements sociaux mais, autour de chaque activité, se fixe un public dont la composition correspond à l’histoire propre de cette activité79. Quoi qu’il en soit, je crois avoir contribué à la mise en évidence de styles de loisirs. Pour des raisons qui tiennent à la fois aux moyens financiers et aux goûts culturels, mais il faudrait nuancer selon des catégories plus fines en considérant notamment le niveau de diplôme et la taille des communes de résidence, les groupes les plus favorisés privilégient la lecture, la visite des musées et des monuments, les sorties au restaurant, la fréquentation des théâtres et des cinémas, les vacances lointaines tandis que les milieux populaires accordent leur préférence au bricolage et au jardinage, au spectacle sportif, au camping, aux jeux de cartes et de hasard, à la fréquentation du café, à la télévision. Les ouvriers en retraite adoptent non seulement un style de vie en conformité avec leur condition mais aussi, plus spécialement, un style de loisirs, à l’instar des boulistes étudiés par la suite dont les préférences en la matière se portent en priorité sur le tiercé, le billard, les jeux de cartes et de hasard, la lecture de la presse locale, la pêche, les banquets, sans oublier les inévitables jardinage et bricolage, pour constituer un véritable système de pratiques.

Une difficulté majeure est de saisir les transformations rapides que subissent les loisirs – il suffit de songer à l’influence énorme exercée aujourd’hui par Internet ou par l’essor des voyages touristiques – tout en considérant des variations selon les espaces (pays, région, localité) et selon les groupes, sociaux ou générationnels. Les loisirs se renouvellent au gré des recompositions de la structure sociale et de la structure scolaire mais, à l’évidence, ils contribuent à l’inverse au changement social et la sociologie doit en rendre compte. J’y ai un peu participé en étudiant la fête et le jeu.
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