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AUTRES RIVAGES 21ème Festival nomade des Musiques du Monde en Pays d’Uzès 12 au 23 juillet 2016 EDITO Autres Rivages 2016, festival chamarré aux couleurs du monde inscrira à nouveau son nomadisme sur six communes du pays d’Uzès et ponctuera nos belles soirées estivales de quelques instants précieux. Japon immémorial, chants de femmes d’Iran, variations flamencas, hommage à Oum Kalsoum, Yoruba Soul du Nigeria et une dédicace chypriote égrèneront d’étoiles les ciels de l’été uzétien. Fidèle à son attachement aux lieux, cette série de concerts de musiques du monde se produira tout au long de la deuxième quinzaine de juillet en plein air dans six sites choisis tels le jardin de la Péran à St Siffret, le jardin de l’ Evêché à Uzès, le parc Chabrier à St Quentin La Poterie, le pré Charles de Gaulle à Arpaillargues et en d’autre lieu nouveau pour cette édition.. Pour le grand plaisir de tous les publics à l’écoute de la planète, touristes et habitants du Pays d’Uzès. Une 21ème édition qui encore cette année partagera ainsi avec le plus grand nombre son ouverture à la diversité et la richesse des cultures des peuples de la terre. L’Autobus. Association Loi 1901 – BP 93128 - 30703 Uzès Cedex N° Siret : 380448670 00022 - APE 923 A - Licence n°3-1030182- Agrément Jeunesse et Education Populaire N° 30/JEP/191/95 Mail : autres.rivages@wanadoo.fr Site internet : autres-rivages.com AUTRES RIVAGES 21ème Festival nomade des Musiques du Monde en Pays d’Uzès 12 au 23 JUILLET 2016 Pré-Programme du Festival ![]() * mardi 12 juillet -21h30- Jardin de la Péran à St Siffret DONIA MASSOUD//Hommage à Om Kalthoum (Egypte) * vendredi 15 juillet -21 h30- Jardin de l’Evêché à Uzès BUREI UCHI //Théâtre No et musique ethno-contemporaine (Japon) * dimanche 17 juillet -21 h30 Parc Chabrier à St Quentin La Poterie KUKU// Yoruba Soul du Nigéria * mardi 19 juillet - 21h30- Cour de la Mairie d’Aigaliers LAGRIMAS AZULES// Flamenco progressivo * jeudi 21 juillet –21h30- Pré CDG d’Arpaillargues VAKIA STAVROU// Ballades du Levant (Chypre) * samedi 23 juillet –21h30- Jardin du temple Montaren & St Médiers POUYA/ PROJET NO LAND’S SONG // Chants Soufis de femmes Iraniennes Rgts. / 0466226888 Office du tourisme d’Uzès/ Location FNAC.COM Renseignements Festival Office du Tourisme Uzès 04 66 22 68 88 Site internet : autres-rivages.com ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Autres Rivages est soutenu par la Direction Régionale des Affaires Culturelles du Languedoc Roussillon, Le Conseil Régional Languedoc Roussillon, le Conseil Général du Gard, la Communauté de Communes Pays d’Uzès, les Communes d’Accueil du festival et bénéficie du Label de l’Année Européenne 2008 du Dialogue Interculturel * mardi 12 juillet -21h30- Jardin de la Péran à St Siffret DONIA MASSOUD//Hommage à Om Kalthoum (Egypte) ![]() Donia Massoud est née et a grandi à Alexandrie (Égypte), qu’elle quitte pour le Caire à l’âge de 19 ans. Seule et indépendante, au grand dam de sa famille, elle part découvrir la scène et le théâtre. Après un itinéraire fait d’expériences théâtrales et scéniques, chantant et jouant la comédie, Donia Massoud décide d’entamer un voyage qui va durer trois ans. Dans la lignée des Alan Lomax, Jacques Lacarrière et autre Paul Bowles , elle sillonne ainsi l’Égypte à la découverte, à la recherche et pour la consignation du folklore poétique et musical égyptien. Elle voyage dans tout le pays, visite toutes les régions, de Suez à la Haute-Égypte, pour apprendre et étudier les répertoires musicaux des gens ordinaires (des petites gens). À son retour, elle crée sa propre troupe indépendante de musiciens, avec qui elle tourne maintenant en Europe, en Asie et en Afrique, présentant et interprétant les chansons du folklore égyptien. Mais ce qui fait l’originalité de son approche, c’est sa capacité à ressusciter le jeu scénique désuet des chanteuses égyptiennes du début du siècle dernier. Une gestuelle théâtrale oubliée de nos jours que Donia restitue au plus près d’un répertoire musical encore « inexploité ». Elle réalise là une synthèse rare de son héritage ancestral en l’interprétant dans le style le plus original. La réputation qu’elle a acquise dans les fameuses troupes de Fathi Salama et celle d’Al Warsha est aujourd’hui reconnue auprès du public égyptien. Un public exigeant en attente de l’instant où Donia monte, seule, sur scène et joue son propre caractère. Ce caractère très spécial, selon ses mots, fait de souvenirs de la coquetterie légendaire de Shadia et de Soad Hosni, deux stars du cinéma égyptien des années 40 et 50. Un saut dans le temps où une Egypte insouciante chantait dans les rues de ses villes mythiques. (Extraits d’un article par Mustafa El-Menshawy, Al Ahram weekly) Imed Alibi est né en 1978 en Tunisie. Il commence par jouer des percussions avec des groupes de musique orientale classique. En 2001, il arrive en France pour poursuivre des études de traduction … Il accompagne des groupes de musique orientale, de flamenco et de musique tzigane et il participe à des spectacles de théâtre, et de danse … Un an plus tard, en 2002, Imed commence à jouer avec “Les Boukakes”, un groupe de fusion entre la musique rock, la musique raï et le gnawa … Avec eux il fait une tournée dans une trentaine de pays en Europe, Canada, le Maroc, Qatar, la réunion dans des festivals comme le Sziget, Paléo, Sakifo, Le Prientemps de Bourges … jouant en première partie de plusieurs artistes comme Mami, Dibango, Aubert, Lavilliers … Nabil GHANNOUCHI, "Oud" " Nay". Il commença la pratique de la musique à l’âge de 10 ans au conservatoire avec les plus grands maîtres de la musique arabe en Tunisie. Il s’inscrit à l’ISM (Institut Supérieur de Musique) de Sfax afin de poursuivre ses études universitaires et approfondir ses connaissances en musique et musicologie. En juin 2004, Il eut son diplôme de maîtrise avec la mention « très bien ». Le diplôme comprend une validation scientifique à l'aptitude de la recherche et une validation artistique certifiant le passage au grade de professeur de musique et de musicien concertiste. Très actif sur la scène française, il a joué dans les plus prestigieuses salles de concert et au sein de plusieurs festivals (français et internationaux) avec plusieurs chanteurs et groupes venants de divers univers musicaux. Il a enseigné la musique dans plusieurs conservatoires dont actuellement « le conservatoire des musiques méditerranéennes » de Paris. * vendredi 15 juillet -21 h30- Jardin de l’Evêché à Uzès BUREI UCHI //Théâtre No et musique ethno-contemporaine (Japon) ![]() Burei Uchi – présentation La nouvelle formation Burei Uchi offre une aventure stylistique et temporelle dans l'ensemble du Japon, traditionnel et contemporain, populaire et classique, où la danse s'allie aussi délicatement qu'efficacement à la musique. Burei Uchi se concentre exclusivement sur des composantes musicales d'origine japonaise :le minyo, le théâtre nô, le gagaku, la musique rituelle narrative heikyoku, et la musique expérimentale contemporaine - savante et populaire, se conjuguent pour une création inédite, encore jamais tentée, même au Japon. Les instruments et leurs pratiques authentiques (tsugaru shamisen, flûtes shinobue, nôkan, ryuuteki et shakuhachi, taiko et percussions japonaises, biwa, danse et chant nô, guitare préparée et effets) issus de ces différents genres se côtoient désormais, et forment un nouvel ensemble, permettant au charme du chant d'Emiko Ota de s'y développer avec élégance, tout en soulignant avec un profond respect le raffinement du Japon traditionnel, incarné par la danse de Masato Matsuura. Emiko Ota : chant, taiko, percussions japonaises Mayu Sato : flûtes japonaises (shinobue, nôkan, ryuuteki et shakuhachi) Harugin Sawada (Sylvain Diony) : tsugaru shamisen KiriSute Gomen (Julien Omeyer) : biwa, guitare préparée, effets Masato Matsuura : danse et chant nô, yokai, samurai. ![]() EMIKO OTA / BIO Née à Osaka au Japon, Emiko OTA a commencé des études de piano et de chant classique à l'âge de cinq ans, et les poursuit pendant treize ans. À dix-huit ans, elle devient batteuse et monte l'un des premiers girls band rock newwave au Japon : OXZ1. En parrallèle, elle est pianiste chanteuse pour accompagner un chanteur de Chicago à Gion Kyoto pendant six ans. Après avoir évolué dans diverses formations de rock expérimental dans les années 1980, elle s'installe à Paris en 1990. En 1996, avec Mami Chan, elle forme un groupe de pop rock enfantine, dans lequel elle est également batteuse. Mami Chan Band est un groupe culte à Paris, actif jusqu'en 2010. À la même époque, Emiko a suivi des études de percussions classiques et de piano jazz au Conservatoire de Pantin, où elle était également membre de l'orchestre d'harmonie pendant six ans. En 1997, elle a rencontré Fantazio en banlieue parisienne, et ils ont immédiatement commencé à jouer ensemble. Ce duo explosif a silloné jusqu'au Japon. Cette aventure se poursuit de temps à autres. En 1998, elle crée avec Andrew Sharpley (Stock, Hausen & Walkman, Dummy Run) le duo A&E4, et invite Noël Akchoté pour explorer le territoire situé entre la musique électronique et la pop rock, jusqu'en 2011. En 1999, elle rejoint l'orchestre contemporain Urban Sax au vibraphone, et joue à travers le monde. La même année, elle rencontre Nobuko Matsumiya, joueuse de koto, et commence à étudier la musique traditionnelle japonaise. En 2004, elles fondent l'Ensemble Sakura. Emiko y est chanteuse et joueuse de taiko (tambour traditionnel japonais). Ce groupe a évolué et est devenu un groupe de minyo (musique et danse traditionnelle japonaise). En 2006, est elle invitée à enregistrer des percussions japonaises pour le quatrième album de Hiroko ITO & Melting Pot, puis intègre le groupe, et joue au Festival de Bourges en 2008, au festival de l'accordéon d'Arras en 2009, à la fête de l'Ambassadeur Japonais à Paris en 2012. Puis elle crée avec Sylvain Diony, joueur de shamisen dans Melting Pot, le duo Yozakura, qui se produit dans des hopitaux d'Ile de France. Toujours en 2006, elle intègre TornaDo groupe de rock celtique breton, comme batteuse, avec lequel elle tourne notamment au festival celtique de Chicago, au Mabon festival de Denver, au festival Inter-celtique de Lorient de 2006 à 2009, et pendant un mois au Country Hall à Londres en 2007. Elle est la seule à intérer le taiko dans la musique traditionnelle bretonne. En 2008, elle rejoint le tout premier groupe de tambours japonais en France, Taiko Kanou, mêlant la rythmique traditionnelle japonaise et des influences africaines et cubaines. La même année, elle rencontre Pascal Fauliot (écrivain, conteur français et directeur du Festival Légendaire à Chartres) et elle accompagne ses contes japonais avec des percussions japonaises et du chant. Ils se produisent au festival de contes au musée Jacques Chirac et au musée Guimet. En 2009, elle est contactée par Francis et ses peintres, et monte un programme de ciné-concert10, sur un film de Mizoguchi OYUKI, histoire de deux geisha, exprimée par les deux chanteuses Emiko Ota et Maya Barouh. Le programme est joué au Festival du cinéma de Nantes en 2010, à l'institut Franco-Japonais à Tokyo en 2011, au Théâtre National de Nantes en 2013. En 2010, ses amies voulaient remonter le groupe culte Les Elles, et Emiko les rejoint comme batteuse pour la Merco Break tour, de nombreuses résidences et festivals jusqu'en 2012. En 2011, elle monte son propre groupe avec des musiciens japonais, Emiko & KiriSute Gomen, où elle souhaite mélanger la pop, le rock, et les minyo traditionnels japonais. C'est le tout premier groupe où elle se concentre sur le chant. Le groupe a joué au Palais des Congrès de Toulon et de Nancy, à St Etienne, au Festival La Plage à Paris, au festival BeLovely Day (Gibus, Cabaret Sauvage, Petit Bain), aux 150 ans des relations Alsace-Japon à Haguenau, à La Caixa Forum à Madrid, au Champs de Mars, à Osaka, et à des concerts de soutien pour Fukushima. Le premier album est sorti en 2013. La même année, elle crée un groupe de garage pop rock, Traditional Monsters, avec le chanteur américain Dick Turner. Un 45 tours est sorti sur le label Clapping Music. Toujours en 2011, elle forme Tasuki Rangers avec Junko Murakami, un groupe comique avec de la musique traditionnelle pour enfants et de la danse minyo. Tasuki Rangers a joué au musée Jacques Chirac, au Champs de Mars, et continue de porter leur sourire avec un maximum d'énergie.En 2012, sur recommendation d'un membre de Moriarty, elle rejoint Don Cavalli, un rockabilly country blues man. En 2014, elle forme Mobil Social Service avec vieux ami, Fantazio. OXZ : tout premier groupe grunge à Osaka, a sorti un 45 tours, le mini LP Fall in the Night, le LP Blue Sing, et a participé à deux compilations sur le label Alchemy Records. Mami Chan Band : groupe de musiques actuelles, a sorti Mami Chan : Otonamopée (Saravah), single Love & Beauty (Saravah), La Nuit de pollen (APC), Mami Chan Band Live (Fresh Air), No Mort (French Fries). Fantazio : chanteur contrebassiste dans le domaine des musiques actuelles. Emiko OTA a participé à des tournées solo, duo, trio, Fantazio Gang, et Indus Bandits (avec des musiciens Indiens), ainsi qu'à deux albums. A&E : duo electro pop rock, du free noise à la musique traditionnelle japonaise. Trois albums, dont deux sur le label Sonig (Köln). Ont joué avec Noël Akchoté (guitare) pour le premier album, James Schneider (image sonore live), et Thierry Negro (basse) pour le deuxième album. Invité : Otomo Yoshihide. Urban Sax : orchestre de saxophones, tourne dans le monde entier depuis les années 1970. Emiko a participé aux événements suivants : Festival Charles Quint à Gand, Belgique ; Mise en Lumière des ponts de Paris ; Festival de St Raphaël ; Bobigny 2000 ; St Chamont 2000 ; Noisy le sec ; Ouverture de Festival Musique classique de Santiago de Compostela ; Iena Festival, Allemagne ; Sarrebruck Fête de la ville Allemagne ; Sant-Ouen ; Rome Inauguration de l'Ambassade de France ,Italy ; Roselare Festival Italy ; Dubai Festival International Emirats Arabes Unis ; Mantes la ville Festival Adolphe Sax ; St Quentin Tricentenaire Quentin de la Tour ; Hasselt ouveture Festival Belgique ; Alghero Fêtes de nouvel an, Sardaigne ; Moscou Festival International de Theâtre, Russie ; Pori Festival International de Jazz, Finlande, Louviers Festival, Pekin Inauguration Parc de Shijingshan, Chine ; Boulogne sur mer Festival de la côte d'Opale Ensemble Sakura : groupe de musique et danse traditionnelle japonaise (minyo). Parution de deux albums, nombreux concerts et festivals en France et en Espagne, deux tournées de trente dates en Norvège, 30e Festival de la musique sacrée à Sylvanes, deux soirées au musée Guimet en 2007, trois concerts à l'Opéra de Lyon, Palais des Congrès à Paris, La Nuit des Musées au Musée Guimet en 2008, Festival de Bourges en 2008 et 2009, Zenith de Toulon, Festival La Voix d'Été, Limousin, Malais des Congrès à Strasbourg, invités par l'Ambassadeur du Luxembourg en 2009, Jardins Albert Kahn en 2011, une semaine au Jardin d'Acclimatation en 2012, chateau-musée de Nemours en 2012, 1001 Cultures Japon-Varennes, Vauzelles, Théâtre de Haguenau en 2013, La Parisienne, Champ de Mars en 2013. Hiroko ITO & Melting Pot, groupe de tango et de musique du monde fondé par Hiroko ITO (elle a travaillé et s'est produit avec Joë Rossi, qui a accompagné Yves Montand, Barbara, Juliette Greco, Georges Moustaki). Ensemble, ils se produisent en Europe et au Japon. 8TornaoD, groupe de rock celtique qui mêle musique traditionnelle bretonne et hard rock. Emiko joue sur le troisième et dernier album du groupe, dont la production s'achève en août 2012 avec le décès de son chanteur et leader Tomaz BK. Taiko Kanou, créé par Fabien Kanou. Il joue le plus grand tambour japonais en Europe. Le troisième membre de Taiko Kanou est Léo Komazawa, qui a joué avec Ondekoza. Oyuki la vierge, ciné-live par le groupe Francis et ses peintres, chaque musicien est connu dans les milieu jazz et pop, et ont joué avec Philippe Katerine. La chanteuse Maia Barouh est la fille de Pierre Barouh (fondateur du label Sarabah) Les Elles, groupe de chanson française de musique actuelle, fondé en 1992 par Pascaline Hervé et a travaillé avec Florent Richard. Emiko & KiriSute Gomen, surf rock psychédélique minyo, fondé par Emiko. * dimanche 17 juillet -21 h30 Parc Chabrier à St Quentin La Poterie KUKU// Yoruba Soul du Nigéria ![]() KUKU& The Yoruba World Bridgers Issu d’une dynastie nigériane KUKU fait aujourd’hui partie de la lignée des bâtisseurs de ponts entre les cultures. Tout au long de son parcours depuis le Nigéria de ses origines jusqu’à nos latitudes en transitant par les Etats Unis, il n’a cessé d’imaginer dans une synthèse passionnante une fusion imprégnée d’une rare sensibilité entre influences yoruba et occidentales. La force poétique des conteurs africains y affleure les accents folk ou country, reliant ainsi ces deux courants dans un mouvement commun teinté de soul. Dès les premiers sons, on se remémore Fela et Cat Stevens et on ressent bien que l’alchimie n’est pas dans la cérébralité mais bien dans le sang et le souffle. Après trois albums sortis aux USA, KUKU est apparu sur les scènes françaises en 2012 avec un album d’une grande délicatesse « Soldier of Peace ». Mais il a surtout été salué par les médias spécialisés après avoir posé sa voix rauque, profonde sur deux titres du dernier album de Tony Allen paru fin 2014. « Une mention spéciale au chant chamanique de Kuku, le featuring le plus excitant du disque…/… Sur scène KUKU alterne différents registres vocaux dont il use et s’amuse. Facétieux, l’artiste est aussi charmeur et prompt à plaisanter. Son show fraternel réchauffe les cœurs et invite à la fête » écrivait Anne Berthot en décembre dernier.fffTélérama Assurément une voix qui pénètre nos âmes.. SOUNDCLOUD : https://soundcloud.com/user8947000 SITE OFFICIEL : http://www.kukulive.com/ FB : https://www.facebook.com/KUKUMUSIC CLIP « La Dernière Fois » : https://www.youtube.com/watch?v=veNqd3L-Sgg KUKU Live atAfricajarc 2015 : https://www.youtube.com/watch?v=zZo-JTJ7lwY * mardi 19 juillet - 21h30- Cour de la Mairie d’Aigaliers LAGRIMAS AZULES// Flamenco progressivo ![]() LAGRIMAS AZULES Créé en 2013, à l'occasion d'une « Carte blanche » offerte à Geoffroy Tamisier lors du festival « Aux heures d'été » à Nantes, le trio Lagrimas Azules, composé de Geoffroy Tamisier (Trompette), Didier Ithursarry (Accordéon) et Laurent Jaulin (Guitare flamenca), dévoile d’autres horizons andalous révélés par le jeu chorégraphique créatif de la danseuse flamenca «La Nubita». C’est au détour des hasards des existences et à la suite à deux concerts improvisés en juillet 2014 que l'osmose est trouvée. Les compositions et les arrangements du trio prennent corps : les mélodies narratives entrent en résonance avec la sensualité du baïle flamenco, tandis que les zapateados (frappes de pieds) ajoutent une tension supplémentaire, intense à la rythmique. Entre reprises de thèmes chers aux deux parties, compositions originales, et improvisations, le concert de Lagrimas Azules emmène le public dans un univers où les repères sont subtilement dépassés pour laisser place à une belle fusion entre la musique, le rythme et la danse; où l’air et le souffle de l’accordéon viennent caresser le feu de la guitare réchauffant ainsi l’âme d’une trompette narrative....S’inscrivant dans le mouvement récent et résolument novateur porté qui habite aujourd’hui l’univers flamenco, les quatre artistes entretiennent ce degré de complicité que favorisent parfois les origines multiples. Voir Extraits musicaux dans la rondedesjurons.fr * jeudi 21 juillet –21h30- Pré CDG d’Arpaillargues VAKIA STAVROU// Ballades du Levant (Chypre) ![]() Venue de l'île méditerranéenne de Chypre, Vakia Stavrou, chanteuse et compositrice, porte dans sa musique un héritage de sonorités et couleurs chaudes. Mentionnée comme “une voix envoutante et déchirante “ par la presse, Vakia possède un timbre qui ne peut pas être décrit en quelques mots. Anne Berthod la définit ainsi dans Télérama "Une voix claire et mélodieuse venue de Chypre, qui navigue, n’embarquant que sa guitare, du rébétiko grec au fado portugais, chantre d’une chanson méditerranéenne luso-hispanique, parfumée d’effluves brésiliens et argentins." Voyageuse du monde, elle a la capacité typiquement levantine de s'adapter parfaitement à différentes langues et de se transformer sans effort. Elle s'est produite dans de nombreux concerts à Londres, Lisbonne, Athènes, Berlin, Cologne, Nicosie, Bruxelles et Moscou. Avec les paroles du célèbre romancier portugais José Luis Peixoto sur deux extraits de son nouvel album “ANEMόΕSSA” , elle présente avec ses musiciens, ses chansons originales en grec et portugais, avec des instruments comme la viole de gambe, le bouzouki irlandais, la guitare, le charango, le violoncelle et les percussions, en ajoutant aussi quelques reprises du répertoire italien, brésilien, grec, portugais, argentin et français. Un pur instant onirique en suspension entre les mondes. samedi 23 juillet –21h30- Jardin du temple Montaren & St Médiers POUYA/ PROJET NO LAND’S SONG // Chants Soufis de femmes Iraniennes ![]() La musique Soufie ouverte et plurielle établit ses propres traditions comme l'utilisation de l'instrument mystique daf et de livrets de poésie mystique persane. Elle possède ainsi une grande liberté de composition tout en étant rythmiquement sophistiquée. Elle s'inspire de pratiques ethniques ancestrales et liées à des croyances. La révolution islamique de 1979 a contribué à une renaissance de la musique classique perse de laquelle ont émergé des célébrités nationales et internationales. Bien que la révolution ait entraîné la popularité de la musique classique, la musique et l'islam n'ont pas toujours fait bon ménage et beaucoup d'Iraniens très conservateurs ne voyaient pas d'un bon œil même les mélodies et les paroles les plus simples. Le rôle des femmes dans la musique a ainsi été réduit à l'occasion de la révolution, il leur a été désormais interdit de chanter en public tout en étant toutefois autorisées à jouer d'un instrument. « No land’s Song » (« Une terre sans chansons » de Ayat Najafi prix du meilleur documentaire au Festival des films du monde de Montréal et en présentation au festival de Cannes 2016) récemment projeté à Paris en Mars dernier et dont sa sœur Sara interprète le rôle principal relate de nos jours encore l’extraordinaire difficulté que les femmes Iraniennes rencontrent pour exprimer librement leur art en public. L’ensemble Pouya créé au sein du centre culturel Iranien de Paris et son fidèle émissaire Abbas Bakhtiari , magnifique joueur de daf, acteur, compositeur de musiques de film (Vengo et Exil de Tony Gatlif), cinéaste (long métrage/ ZolmAbad) se produisant dans le rôle principal en ces jours dans la « Tempête de shakespeare » ont décidé d’inviter la chanteuse Iranienne Sara Hamidi pour soutenir le combat légitime des femmes Iraniennes . Un hommage au grandes voix de femmes d’Iran, instant très attendu d’ Autres Rivages pour la clôture de cette 21ème édition. ENSEMBLE POUYA/// Sara HAMIDI Chant / Abbas BAKHTIARI Daf, Chant / Navid SAEIDI Tar / Mehdi BAHRI Santour, Chant / Saber HEMATI Kamanche/ ![]() Abbas Bakhtiari est né en 1957 à Bandar Shahpour, dans une famille Lor établie sur les rives du Golfe persique. Il a été initié dès son enfance à la musique traditionnelle par son père (Javad Bakhtiari), maître de la flûte ney et de la zorna (bombarde). Maître Hamdawi lui a également enseigné le Tonbak. Installé à Paris depuis 1983, il a continué à affiner sa connaissance de la musique savante persane en suivant les cours de chant de Hosseïn Omoumi, maitre de chant et de ney. Il a poursuivi sa formation de chant classique avec le chanteur soufi d’origine kurde Shahrâm Nâzeri et a joué avec lui et d'autres musiciens iraniens dans les festivals internationaux de musique. Il a aussi accompagné d'autres musiciens internationalement connus comme : Sheykh Ahmad Al-e Tony, chanteur Soufi d'Egypte, Tomatito, guitariste espagnole et des ensembles de musique : français, brésilien, australien et kurde. Biographie : Navid SAEEDI Né le 04 février 1983, à Téhéran en Iran, Navid SAEEDI est attiré par la musique dès son enfance. Passionné par cet art, il commence à l'âge de 12 ans l’étude du Târ (Luth persan) avec Hamid Pourafzal. Ses progrès sont tellement rapides qu’après 2 ans, ce dernier le présente au grand maître du Târ Keyvan Saket. Il continue l’étude du Târ avec Keyvan Saket et commence aussi l’apprentissage du Setâr en parallèle. Pendant 8 ans, il apprend différentes techniques et styles de jeu, et maîtrise divers répertoires de la musique persane. Il a l’opportunité d’enrichir ses connaissances et ses expériences avec d’autres maîtres de la musique persane tels que Houshang Zarif, Hossein Alizadeh, etc... Mehdi BAHRI Passionné par la musique dès l’âge de 7 ans, il commence l’étude du Santour (tympanon à cordes frappées) et approfondie l’apprentissage des différents styles d’interprétation de cet instrument auprès du maitre Ali Bahrmi Fard. Il s’est installé en France en 2006 pour compléter ses études d’ingénieur génie civil. En parallèle, il a continué ses activités artistiques et a donné de nombreux concerts en Europe en collaborant avec plusieurs orchestres de musique classique et traditionnelle, notamment orchestre azuréen de Nice, ensemble Pouya, ensemble Bahar, ensemble Chakameh etc. Il mène également des recherches sur l’origine et l’histoire de la musique iranienne et les différentes écoles qui la composent. Saber HEMMATI Musicien, peintre et illustrateur iranien, Saber Hemmati est diplômé des Beaux-arts de Téhéran. Il étudie le Tombak (percussion iranienne) dès l’âge de onze ans et continue ses études de musique chez son oncle Behrouz Hemmati, maître de târ et Setâr (lut). En 2003 il se consacre à l’art du Kamântcheh (violon perse) chez Mohammad Moghaddassi et poursuit chez Saeed Faradjpouri (2005-2007). Il se produit dans plusieurs villes d’Europe avec l’Ensemble Sarmast à Paris, Berlin et Hambourg et intègre l’Ensemble Shirâz en 2013. |
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