La note d’intention du metteur en scène, Olivier Desbordes







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opéra éclaté / festival de Saint-Céré

direction artistique : Olivier Desbordes



LES CONTES D’HOFFMANN

Opéra fantastique en trois actes de Jacques Offenbach

Livret de Jules Barbier d'après sa pièce écrite en 1851 avec Michel Carré

Créé à l'opéra-comique de Paris le 10 février 1881

Direction musicale

Dominique Trottein
Mise en scène

Olivier Desbordes
Décors et lumières

Patrice Gouron
Costumes

Jean-Michel Angays, Stéphane Lavergne (studio fbg-21)
Chef de chant : David Zobel

Assistant à la mise en scène : Damien Lefèvre
Hoffmann : Andréa Giovannini

Olympia, Giuletta, Antonia, Stella : Isabelle Philippe

Lindorf, Coppelius, Dr Miracle, Capitaine Dapertutto : Jean-Claude Sarragosse

Nicklausse, Voix de la Mère : Sabine Garrone

Frantz, Cochenille, Andrès, Pittichinaccio : Eric Vignau

Luther, Crespel : Christophe Lacassagne

Schlemil, Hermann : Alain Herriau

Spalanzani, Nathanaël : Lionel Muzin

Orchestre Opéra Éclaté

Chœur Opéra Éclaté
Orchestration : Philippe Capdenat
Co-production avec l’Opéra de Dijon
Durée : 2h30 (entracte compris)
Vous trouverez dans ce dossier :

  • L’argument des Contes d’Hoffmann

  • La note d’intention du metteur en scène, Olivier Desbordes

  • Textes sur les Contes d’Hoffmann

  • Extraits de presse

  • Les biographies des artistes

Argument
Prologue

Dans la taverne de Maître Luther. La Muse veut s'accaparer le poète Hoffmann, afin de veiller sur lui, elle prend l'apparence de l'étudiant Nicklausse. Le poète est le rival heureux du conseiller Lindorf auprès de la cantatrice Stella. Celle-ci a envoyé une lettre et la clé de sa loge pour inviter Hoffmann à la fin de la représentation qu’elle donne à l’opéra voisin. Cette lettre tombent entre les mains de Lindorf. À l'entracte de la représentation, Hoffmann arrive dans la taverne où des étudiants l'attendent et les amuse avec l'histoire du nain Kleinzach. Lindorf le presse de raconter ses trois histoires d'amour.
Acte 1 - Olympia

Le cabinet du physicien Spalanzani. Hoffmann qui s’est pris de passion pour la physique, est tombé sous le charme d’Olympia, la « fille » de Spalanzani. En réalité, il s’agit d’une extraordinaire poupée automate. Dans l’espoir de se relever de la ruine de son banquier Elias, Spalanzani s'affaire à organiser une fête brillante pour la présenter à la société. L'obséquieux Coppélius, qui a donné des yeux à la poupée, vend à Hoffmann des lunettes qui lui font voir Olympia comme une vraie femme. Niklausse tente d'avertir son ami de la supercherie. Afin d’attirer les faveurs des invités, Olympia se lance dans un étourdissant exercice vocal. Hoffmann, sous le charme, se croit aimé d'elle. Elle lui offre l'occasion d'une valse éperdue. Dans le tourbillon, il tombe et brise les lunettes. Coppélius, dupé par un chèque sur la banque d’Elias, revient se venger de Spalanzani. Il brise Olympia devant les invités qui accablent Hoffmann, effaré.
Acte 2 - Antonia

À Munich, chez le conseiller Crespel. Celui-ci cherche à soustraire sa fille Antonia aux assiduités d'Hoffmann, qui l'aime et en est aimé. Antonia est atteinte d'une maladie mystérieuse qui lui confère une voix exceptionnelle mais dont l'usage la condamne à la mort. Ce mal et ce don lui viennent de sa mère, célèbre cantatrice défunte. Quand les jeunes gens se rejoignent, Antonia accepte de sacrifier sa carrière à son amour. Crespel doit quitter son domicile. Malgré les recommandations à son serviteur Frantz, le terrifiant docteur Miracle réussit à entrer dans la maison pour retrouver Antonia. Par des moyens fantastiques, il anime le portrait de sa mère. Celui-ci enjoint la jeune fille à chanter éperdument. Abusée, Antonia outrepasse ses limites. Crespel arrive juste à temps pour être témoin du dernier soupir de sa fille. Hoffmann entre dans la pièce. Menacé de mort par Crespel, il est sauvé par Nicklausse.
Acte 3 – Giulietta

À Venise, dans le palais de la courtisane Giulietta. Hoffmann est violemment épris d'elle. Le capitaine Dapertutto offre un diamant à la maîtresse des lieux, à charge pour elle de lui procurer le reflet d'Hoffmann. Ne lui a-t-elle pas déjà donné l'ombre de Schlemil, un autre de ses galants ? Ce dernier, amoureux éconduit, provoque Hoffmann en duel et meurt d'une épée prêtée au poète par l'inquiétant Dapertutto. Sous le coup de l'émotion, Hoffmann se précipite dans les bras de Giulietta, qui réussit à obtenir son reflet comme gage amoureux, puis s'esquive. Niklausse, voulant quitter Venise avec Hoffmann part chercher des chevaux. Pendant ce temps, Hoffmann rencontre Giulietta. Ne pouvant résister à son charme, il lui donne son reflet. Afin de neutraliser Nicklausse qui veut sauver Hoffmann en s'enfuyant avec lui, Dapertutto sert une coupe empoisonnée où Giulietta trempe les lèvres par mégarde. Elle expire aussitôt dans les bras d'Hoffmann.
Épilogue

La taverne du prologue. Hoffmann épuisé par le souvenir de ses amours tragiques s'enivre. Soûl, il jure que jamais plus il n'aimera qui que ce soit et explique qu'Olympia, Antonia, et Giulietta ne sont en fait que trois facettes de la même personne : la Stella, à la fois jeune fille, artiste et courtisane. C'est alors que Nicklausse dévoile son identité de Muse. Stella entre dans la taverne et voit Hoffmann. Il la presse de le quitter. Lindorf s'avance. Niklausse explique à Stella qu'Hoffmann ne l'aime plus et que le conseiller Lindorf l'attend. Des étudiants entrent dans la taverne, Stella et Lindorf s'en vont ensemble.

Note d’intention
Cet opéra pose toujours des questions : quelle version : opéra, opéra comique ?

Quel ordre : Poupée, Antonia, Giulietta ! Quelle partition ? avec ou sans dialogues….

Les Contes d’Hoffmann est un opéra inachevé qui, dès sa création a été trituré, reformaté, coupé, complété !

Cette oeuvre est en fait parcellaire, une sorte de puzzle mystérieux comme les contes dont elle est issue.

Chaque mise en scène des Contes d’Hoffmann, chaque version est une vraie version. C’est à chaque fois le choix des artistes qui le préparent, cela ne peut être qu’une suite de partis pris.

Les Contes d’Hoffmann, cela peut être, comme dans la version de Patrice Chéreau, une réflexion dramaturgique qui choisit de se rapprocher de l’oeuvre littéraire en l’éloignant de la musique d’Offenbach. On pourra trouver également la version habituelle qui « marche bien» ! On trouvera aussi des versions qui accumulent tous les bouts de partitions trouvées à prix d’or. Mais il faut toujours se méfier de l’accumulation de toutes les partitions qui existent sur Les Contes d’Hoffmann, au risque d’obtenir un cake bourratif sans invention gustative!
Nous avons choisi la version qui maintient l’ordre Poupée, Giulietta, Antonia car cette version nous semble raconter l’histoire d’Offenbach, son rapport à l’Opéra, sa quête de ce grand art. Il réussit ultimement dans l’acte d’Antonia à faire un opéra qui mène à une mort symbolique comme l’ultime effort qui est le sien ! De plus le choix d’Offenbach du chant et de l’expression artistique jusqu’à l’épuisement est son dernier combat contre « la vie bourgeoise », mots qu’il met dans la bouche du Docteur Miracle !
Nous avons choisi de garder le septuor, et « scintille diamant », nous avons choisi de supprimer les récitatifs rajoutés par Guiraud et de revenir aux textes littéraires pour les remplacer.

Pour tenter de retrouver l’esprit magique et poétique à la fois d’Hoffmann l’écrivain et d’Offenbach le poète musicien !

Retrouver la cohérence de cette œuvre sans avoir la prétention de l’achever !

La respecter incomplète donc énigmatique !

Il s’agit pour moi qui l’ai mis en scène de nombreuses fois d’achever là un compagnonnage avec toutes ces marionnettes, de faire confiance à la brume, au brouillard, à l’étrange… .

Les textes d’Hoffmann, l’univers des fleurs du mal, des poèmes en prose de Baudelaire sont une contribution pour accompagner cette rencontre, toute cette opposition entre les personnages « scientifiques » de l’ouvrage et l’imaginaire poétique, mystique, céleste, étrange comme les vapeurs d’alcool des poètes de la fin XIXe.

J’ai donc choisi d’oublier la logique finalement très formelle du récit pour confronter des ambiances, des humeurs comme un spleen lyrique.

À partir d’une assemblée croquée par un Daumier sarcastique, j’ai choisi de tenter un voyage dans un symbolisme naissant, dans une logique instinctive, dans des pays étranges où musique, personnages, anecdotes s’entrechoquent pour passer le miroir et quitter la réalité triviale et quotidienne.

Les oeuvres ultimes et paradoxales comme le Falstaff de Verdi, La Flûte Enchantée de Mozart et ces Contes d’Hoffmann ont toutes en commun un sens très élaborer pour tirer une révérence, faire un pied de nez, s’envoler, quitter la scène du monde !
Olivier Desbordes

Metteur en scène
Textes sur les Contes d’Hoffmann
Les récitatifs ont été remplacés par des extraits de poème de Baudelaire ou Hoffmann lui-même tels que :
« - Qui aimes-tu le mieux, homme énigmatique, dis ?

Ton père, ta mère, ta sœur ou ton frère ? (…)

- J’aime les nuages… les nuages qui passent… là-bas… là-bas… les merveilleux nuages ! »
«  (…) si quelquefois, sur les marches d’un palais, sur l’herbe verte d’un fossé, dans la solitude morne de votre chambre , vous vous réveillez , l’ivresse déjà diminuée ou disparue, demandez au vent, à la vague, à l’étoile, à l’oiseau, à l’horloge, à tout ce qui fuit, à tout ce qui gémit, à tout ce qui roule, à tout ce qui chante, à tout ce qui parle, demandez quelle heure il est; et le vent, la vague, l’oiseau, l’horloge, vous répondrons: il est l’heure de s’enivrer ! Pour n’être pas les esclaves martyrisés du temps ; enivrez-vous ; enivrez-vous sans cesse ! De vin de poésie ou de vertu, à votre guise. »
Charles Baudelaire, petits poèmes en proses

Que voulaient donc dire Jules Barbier et Jacques Offenbach ?
Certainement dénoncer la dictature des sciences exactes en lesquelles le XIXe siècle voyait l’annonce du bonheur humain le plus absolu ! Offenbach sait, grâce à Jules Vernes (secrétaire du théâtre lyrique), le risque immense à humilier l’homme devant la science et que les techniques les plus audacieuses ne sont pas la condition sine qua non du bonheur !
Donc entre sciences et charlatanisme, magie blanche et fantasmagorie, automates et fantômes, Offenbach et Jules Barbier, loin d’affadir l’oeuvre d’Hoffmann ouvrent les portes à l’analyse des phénomènes subconscients face aux explications scientistes du monde.

Avec beaucoup d’ironie et de savoir-faire en se servant de la structure du livret d’opéra traditionnel, ils participent à un mouvement souterrain porté par Villiers de Lisle-Adam (axel), Josephin Péladan (le vice suprême), Jean Lorain (Monsieur de Phocas), Maurice Maeterlink (la Mort), Barbey d’Aurevilly (l’Ensorcelée) : l’exploration dans tous les sens possibles du mystère, de l’inconnu et de la mélancolie…
Des vapeurs d’alcool chères à Verlaine et Baudelaire qui hument dans l’air du temps les besoins de réponses mystiques ou poétiques aux questions fondamentales !
Les personnages des contes ne vivent pas comme des bourgeois qu’Offenbach cherche à divertir, ils sont condamnés ! Mais comme le définit le « Littré » de l’époque : « l’art de faire voir des fantômes, c’est-à-dire de faire apparaître des figures lumineuses au sein d’un obscurité profonde » c’est de la fantasmagorie !
« Dès qu’on entend son nom (Offenbach), il faut fermer deux doigts de la main droite pour se préserver du mauvais œil » Gustave Flaubert.
Texte inspiré de l’article de Philippe Olivier : Sciences occultes et fantasmagorie- Avant-scène Opéra N° 25 /1980

Extraits de presse
« Olivier Desbordes a réinscrit les Contes d’Hoffmann (…) dans le demi caractère trop souvent oublié aujourd’hui de l’opéra comique français. (…)

Une immense table-plateau évoquant les séances de spiritisme chères à Hugo et à Baudelaire unifie l’action, tout comme les costumes inchangés d’un acte à l’autre.

Avec un Nicklausse en chapeau d’Auguste meneur de jeu, plus complice du Diable qu’ange gardien du poète alcoolique, le spectacle semble sorti de l’imaginaire de Toulouse-Lautrec affichiste. L’ensemble crée une distance poétique des plus savoureuses.

Le rétablissement des dialogues parlés – opéra comique oblige – libère le jeu théâtral au bénéfice d’une parfaite compréhension de l’action : le public rit et participe – et sans surtitre !

Une vraie troupe fait fonctionner ce spectacle, solistes et chœurs parfaitement intégrés.

Le joli soprano d’Isabelle Philippe domine la soirée. Le Diable de Jean-Claude Sarragosse restera dans les annales de Saint-Céré. Sabine Garrone sait tout faire, mezzo, gymnaste et Auguste de service : oiseau rare et vrai farfadet qui brûle les planches. Christophe Lacassagne campe au mieux Luther et Crespel. Entre cirque et opéra comique , Éric Vignau et Lionel Muzin sont des Cochenille et Spalanzani hauts en couleur et Dominique Trottein assure la cohérence de l’ensemble. »

Opéra Magazine, septembre 2008
« S'il est un festival où l'opéra se célèbre dans la jubilation, c'est celui de Saint-Céré. Animé par Olivier Desbordes et son Opéra Eclaté, le festival de Saint Céré est plus vivant que jamais.
La nouvelle production des Contes d’Hoffmann d’Offenbach mise en scène par Olivier Desbordes est délirante à souhait et atteste d’une joie de vivre qui en accentue les traits morbides. »

La Croix, 12/08/08
« A tous ceux qui cherchent midi à quatorze heures dans leurs mises en scène, on pourrait conseiller d’utiliser l’été pour aller constater sur place ce que le bon sens (…) a de bon dans la relecture des classiques. Il en est ainsi du nouveau spectacle présenté cet été par le Festival de Saint-Céré, à savoir les Contes d’Hoffmann d’Offenbach ramenés à l’esthétique du lieu pour lequel ils ont été écrits : l’Opéra Comique. »

concertclassique.com, 01/08/08
« D’une poignée de décors, costumes, accessoires et maquillages, Olivier Desbordes excelle dans la restitution des ambiances où la glauque réalité se mêle à l’étrange.

(…) A ce jeu de dupes, la voix d’Isabelle Philippe réussit le grand Chelem de même que celle d’Andréa Giovannini, à l’accent d’opérette décalé. Jean-Claude Sarragosse hante le plateau, démoniaque juste comme il faut. Eric Vignau fait son joli numéro sans perdre la note. Christophe Lacassagne prouve que second rôle ne veut pas dire prestation effacée.

La Dépêche du Midi, 01/08/08

Biographies des artistes

Olivier DESBORDES - Metteur en scène

Licencié de littérature française, Olivier Desbordes suit une formation d'art dramatique au cours

Simon. Il réalise un long métrage Requiem à l'Aube, sorti à Paris en 1976. Ensuite, au Palace

jusqu'en 1984, il met en scène et participe à des spectacles avec Tina Turner, Grace Jones ainsi que des performances pour Lagerfeld, Dior, Paco Rabanne et réalise des créations audiovisuelles pour, Maurice Béjart. En 1981, il crée le Festival de Saint-Céré et en assure depuis la direction artistique. Cette même année, il signe sa première mise en scène d'opéra avec Orphée et Eurydice de Gluck. Suivront : Les Contes d'Hoffmann, Don Juan,L'Opéra de Quat'Sous, La Flûte enchantée, Carmen...En 1985, il crée Opéra Eclaté, structure de décentralisation lyrique qui, en 20 ans, a donné plus de mille représentations en France, en Espagne et au Maroc. Son objectif : faire découvrir le vaste répertoire de l'opérette (La Périchole,

La Veuve Joyeuse, Dédé, La Grande Duchesse de Gerolstein, La Belle Hélène...), toucher tous les publics hors des "circuits établis", par un travail théâtral avec de jeunes chanteurs et des mises en scène traduisant l'esprit de notre époque. La notoriété de ces créations a incité d'autres structures lyriques, comme l'Opéra de Québec, les Opéras de Nantes, Massy et Besançon à lui proposer des mises en scène : Tosca, Le Roi malgré lui ou La Traviata. En 1996, invité par la Ville de Castres, il y implante Opéra Éclaté et développe une politique offensive de diffusion du répertoire lyrique sur le territoire national en direction des nouveaux publics et plus particulièrement du jeune public. En hiver 1998-99, Opéra Éclaté reçoit du Ministère de la Culture le label de Compagnie Nationale de Théâtre Lyrique et Musical. En décembre 1999, Olivier Desbordes crée en France, à l’Opéra de Massy, Le Lac d'Argent, conte musical de Kurt Weill sur un livret de Georg Kaiser, précédant une tournée nationale. Il a créé en avril 2001 à l’Institut Français de Marrakech le spectacle Une Carmen arabo-andalouse qui sera joué plus de deux cent fois au Maroc et en Tunisie. En 2003, il met en scène L’Opéra de Quat’Sous qui a été présenté au Théâtre Silvia Monfort à Paris et au Grand Théâtre de Dijon. Il met en scène L'Enlèvement au Sérail pour le Festival de Saint-Céré. De 2002 à la saison 2007/2008, Olivier Desbordes a dirigé la programmation du duoDijon. Parmi ses dernières mises en scène pour le duodijon : Les Contes d'Hoffmann, La Veuve Joyeuse, La Grande Duchesse de Gerolstein, Don Juan, Dédé, La Bohème, Le Barbier de Séville, La Traviata, Falstaff, Carmen. La Périchole et Le Brave Soldat Schweik. En novembre 2007, il crée Le Roi Carotte d’Offenbach, et en juin 2008, il met en scène La Belle de Cadix au Festival Folie d’O de Montpellier.
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