Les musiques, les musiques, les musiques : Président de séance : Yves Balmer (cnsm, ens)







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  • SCÉNARISTES CRÉATEURS RÉALISATEURS INTERPRĖTES PERFORMERS TRADUCTEURS S.C.R.I.P.T.

25-26 Mars 2010 COLLOQUE SCRIPT : Kubrick, les films, les musiques



Kubrick, Les Films, Les Musiques
Vendredi 25 mars 2011
9h30 Accueil des participants
10h00 Brigitte Gauthier (Prof. Univ. Evry) « Kubrick : cinéaste compositeur »

Kubrick, les films

Les films, les films, les films : Présidence de séance Brigitte Gauthier
10h30 Alain Cohen (Prof. Univ. San Diego) « Le rythme dans The Killing »

11h00 Pause café

Les adaptations, les adaptations, les adaptations : Président de séance Javier Sanchez

11h30 Christine Bonneville (MC Univ. Evry) « Eyes Wide Shut, De la Vienne

des notables de Schnitzler au New-York wasp de Kubrick ».

12h00 Jocelyn Dupont (MC Univ. Perpignan) « Écritures de Barry Lyndon»

12h30 Déjeuner
Hommes-Machines : Présidence de Séance : Stephanie Genty

14h00 Olivier Caira (MC Univ. Evry) « Les rôles masculins dans Lolita : du roman à l'écran 

14h30 Christian Romain (auteur, consultant marketing) « Rapport homme-machine chez Stanley Kubrick »

15h00 Réjane Vallée (MC Univ Evry « 2001, l'avènement des effets spéciaux. De la technique à l'esthétique kubrickienne »

16h07 RER D 16h36 Gare de Lyon

17h15 18h45

Visite Expo Stanley Kubrick Cinémathèque Paris

18h45 cocktail

20h Dialogue avec Jan Harlan + projection "Stanley Kubrick : Une Vie en Images" Dialogue avec Jan Harlan, animé par Matthieu Orléan Dialogue avec Jan Harlan suivi de la projection de son documentaire sur Stanley Kubrick, A Life in Pictures (2001, 142' ). Vendredi 25 Mars 2011 - 20h00 - SALLE HENRI LANGLOIS

(réservation http://www.cinematheque.fr/)

Samedi 26 mars 2011
Kubrick, les musiques

Les films, les voix, les musiques : Présidence de séance Brigitte Gauthier

9h30 Gilles Menegaldo (Prof. Univ. Poitiers)

« Musique et conventions génériques dans Lolita et The Shining »

Les sous-titres, les voix off Président de séance : Serge Dambrine

10h00 Sabrina Baldo (MC Univ Evry) « Genres et Adaptations :

étude comparative des sous-titres dans la filmographie de Kubrick »

10h30 Javier Sanchez (MC Univ Evry) « Kubrick et la voix off : L’Ultime Razzia, Lolita, Barry Lyndon »

11h00 Stephanie Genty (MC Univ Evry) « Kubrick et Nabokov : Traductions de la censure »

11h30 Pause café

Les musiques, les musiques, les musiques : Président de séance : Yves Balmer (CNSM, ENS)

12h00 Chloé Huvet (ENS) « Les rapports entre regard, point de vue et musique dans Eyes Wide  Shut ».

12h30 Giovanni Robbiano (Prof. Genova) « Film as score music and narration in Kubrick's classic movies »

13h Déjeuner

Les musiques, les musiques, les musiques : Président de séance : Yves Balmer (CNSM, ENS)

15h Violaine Anger (MC Evry) « L'utilisation de Bartok et Ligeti dans The Shining »

15h30 Damien Ehrhardt (Evry) – Clockwork Orange « La réception de Beethoven au cinéma après 1968. Ludwig van… chez Kagel et Kubrick »

16h Pause Café

16h30 Vivien Villani (ESEC)  « Interactions dynamiques entre musique et image de 2001 à Eyes Wide Shut ».

Lolita


Etats-Unis - 1962 - 152' – VOSTF D’après Lolita de Vladimir Nabokov. Avec James Mason, Shelley Winters, Sue Lyon. Humbert, professeur de littérature française, est irrésistiblement attiré par une jeune fille de quatorze ans, Lolita. Il épouse la mère pour se rapprocher... Samedi 26 Mars 2011 - 20h00 - SALLE HENRI LANGLOIS (réservation http://www.cinematheque.fr/)




Intervenants « Kubrick, Les Films, les Musiques »
Brigitte Gauthier (Prof. Univ. Evry) « Kubrick : cinéaste compositeur »
Brigitte Gauthier 

Brigitte Gauthier est Professeur à l’Université d’Evry. Historienne du théâtre et du cinéma, ancienne élève de l’École Normale Supérieure de Fontenay-aux-Roses, elle a obtenu un Master of Fine Arts (Scénario) de l’Université de Columbia à New York. Auteur de Histoire du cinéma américain, Hachette ; Télévision et société aux États-Unis, Ellipses ; Harold Pinter, le maître de la fragmentation ; Harold Pinter et les dramaturges de la fragmentation ; Dramaturges et cinéastes de l’antipsychiatrie : Entretiens sur l’ère de la fragmentation chez L’Harmattan ; Viva Pinter, Harold Pinter’s Spirit of Resistance, Peter Lang ; Mettre en scène Harold Pinter, L’Entretemps, (à paraître 2011). Traductrice de nombreux ouvrages pour Dixit sur l’écriture de scénario. Elle s’est intéressée depuis toujours à la danse et en particulier à l’univers unique de Pina Bausch. Elle a rendu à cette grande chorégraphe allemande un hommage dans son ouvrage intitulé Le Langage chorégraphique de Pina Bausch publié chez L’Arche. Spécialiste des auteurs et des artistes observateurs des jeux de pouvoir et de la guerre des sexes, elle vient de consacrer un roman à l’homme idéal contemporain dans Game Boy, L’Harmattan, 2010.
« Kubrick : cinéaste compositeur »

Chez Kubrick chaque choix cinématographique et en particulier la musique a une fonctionnalité hypnotique. La prégnance des effets de bruitage « cœur », « souffle » « essoufflement » « rythme du sang » donne une organicité unique à ses compositions. La musique est véritablement chez Kubrick le corps de l’œuvre. L’humanité en chair et en os sur laquelle se greffe une dissection philosophique de la société. L’espèce humaine est analysée en tant qu’organisme vivant sujet à des influx sanguins et nerveux susceptibles de dérives ponctuelles (Lolita) ou géopolitiques (2001, l’Odyssée de l’espace ; Dr Folamour…). Une analyse de The Shining, œuvre la plus représentative de l’univers kubrickien ouvrira ce colloque.
Alain Cohen (Prof. Univ. San Diego) « Le rythme dans The Killing (1946) »
Alain Cohen est Professeur de Littérature Comparée et de Cinéma. Durant sa longue carrière à l’Université de Californie, San Diego (
http://myprofile.cos.com/cohen05), il a publié une centaine de recherches portant sur la psychanalyse, les méthodes d’analyse de film, et la sémiotique. Il explore l’œuvre de nombreux metteurs-en-scène tels que S. Eisenstein, J.-L. Godard, C. Marker, O. Welles, A. Hitchcock, S. Kubrick, P. Greenaway, D. Lynch, M. Scorsese, aussi bien que Billy Wilder, Rouben Mamoulian, Woody Allen, Ridley Scott, Oliver Stone, Quentin Tarantino, Terry Gilliam, Milos Forman, Stephen Spielberg, David Cronenberg, Stephen Frears, Paul Verhoeven, R-W. Fassbinder, Jonathan Demme, Paul Schrader. Il a réalisé en 2001 un documentaire sur Kubrick pour la télévision publique américaine. Dans plusieurs de ses articles consacrés à Stanley Kubrick, il considère que ce metteur-en-scène est un philosophe – qui méditerait par la grâce de l’image/son. 

Une voix narrative extradiégétique, obsessionnelle, simule le minutage de la science du hold-up. Cette voix fonctionne en synchronie avec la voix intradiégétique, dominante, pressée, de Sterling Hayden et du projet que son personnage aurait perfectionné. Les interventions de cette voix off rythment, et brouillent, la chronologie de la stratégie ponctuelle du hold-up. Cette même voix orchestre techniquement l’une après l’autre les harmoniques entre les acteurs du groupe, dont elle tisse les liens autant que les failles potentielles qui à rebours vont morceler ces mêmes liens. Kubrick présente ainsi dans The Killing (son seul film du « heist genre ») une méditation sur un « killing » polysémique : Soit, certes, le meurtre, de chevaux, d’hommes ou de femmes. Mais surtout la concaténation de meurtres symboliques : meurtre de l’accord entre acolytes et le meurtre de leurs projets, ou le deuil soudain des illusions de par leur mise-à-mort non moins rigoureuse, tandis que tournoient dans le vent les billets de banque perdus et que s’instaure abruptement la dépression des personnages, autant que la dépression spectatorielle. The Killing s'aligne ainsi avec The Shining, A Clockwork Orange, et al., dans une paradigmatique virtuose du pessimisme joyeux de Kubrick.

Christine Bonneville (MC Univ. Evry) « Eyes Wide Shut, De la Vienne des notables de Schnitzler au New-York wasp de Kubrick ».

Christine Bonneville. Double nationalité franco-allemande. Un an aux USA scolarisée en sixième, puis élève de la section nationale Allemande du lycée International de Saint-germain en Laye jusqu’à la terminale. Titulaire du baccalauréat international de Genève en anglais. Ancienne élève de l’EDHEC (promo 1984), spécialisation en droit du travail. Cadre chez Schwarzkopf. Obtention d’une thèse en 2000 à Paris IV (civilisation et littérature germanique du XVIIIeme siècle), agrégation en 2001. MCF d’allemand à l’université d’Evry depuis 2003. Enseignante d’anglais à l’IUT en troisième année de Licence en 2008-2009. Un an de congé sans solde de 2009 à 2010 pour convenances personnelles.

Étude de l'adaptation qu'a faite S. Kubrick de la Traumnovelle de l'auteur autrichien A. Schnitzler dans son dernier film Eyes Wide Shut. Il pourrait être intéressant d'étudier les rapports existant entre le film et la  nouvelle (distorsion des thèmes centraux d'origine, adaptation par Kubrick en 1999 d'une intrigue se déroulant à Vienne vers 1925, présence dans le film de thèmes récurrents ou non dans l'œuvre du cinéaste et de Schnitzler, présence ou non de certaines des clefs de l'œuvre de l'auteur autrichien, etc.). Il pourrait aussi être envisageable de regarder rapidement dans quelle mesure le texte de Schnitzler a été repris (dans sa traduction anglaise pour le film), et s'il y a ou non un effort dans la version distribuée dans les pays germanophones de se rapprocher du texte original en autrichien. J'envisage une démarche se situant à la croisée entre analyse littéraire (comparaison entre le texte original de Schnitzler et de son adaptation sous forme de scénario par Kubrick) et étude cinématographique.

Jocelyn Dupont (MC Univ. Perpignan) « Écritures de Barry Lyndon»

Docteur en littérature anglophone, agrégé d’anglais, Jocelyn est maître de conférences en littérature et cinéma anglophones à l’université de Perpignan Via Domitia. Membre de la SERCIA, il est l’auteur de plusieurs articles sur le cinéma américain mais également la littérature gothique contemporaine et plus spécifiquement l’œuvre de Patrick McGrath. Il avait consacré son DEA à la question des adaptations de Stanley Kubrick et a publié deux articles sur Barry Lyndon. Il a récemment renoué avec Lolita, et en juin dernier a communiqué sur Eyes Wide Shut et Traumnovelle de Schnitzler lors de la journée d’étude « Nouvelle et Cinéma » à la Sorbonne.

Biblio/Stanley Kubrick
Cette communication se propose de revenir sur les processus d’écriture qui ont présidé à l’adaptation de Barry Lyndon (1975), dixième long métrage de Stanley Kubrick et unique film tiré d’un hypotexte littéraire dont le réalisateur choisit d’entreprendre la réécriture scénaristique sans la collaboration d’un écrivain ou scénariste, poussant ainsi au paroxysme la réputation de démiurge cinématographique qui l’accompagna au cours de sa carrière, à tort ou à raison. Comment, entre le projet initial et l’aboutissement du texte cinématographique, a-t-on pu passer du picaresque au pictural de manière aussi radicale? De quelle façon le pastiche de Thackeray des mémoires d’un roué irlandais finit-il par se muer en l’odyssée dans le passé que Kubrick offrit aux spectateurs, après deux films situés dans le futur, proche ou lointain ? La méthodologie de cette communication, en partie génétique, s’intéressera à la première ébauche du scénario esquissé par Kubrick, avant d’essayer de saisir comment, dans le processus d’écriture en quatre temps qu’implique l’adaptation cinématographique, l’intermédialité (notamment picturale) finit par signer le triomphe du scopique sur le verbal, condamnant ainsi au silence le braillard irlandais.
Olivier Caira (MCF en sociologie à l'IUT d'Evry et au Centre Pierre Naville)
Olivier Caïra est maître de conférences en sociologie. Il enseigne à l'IUT d'Evry et conduit des recherches au Centre Pierre Naville (Université d'Evry). Membre du GSPR (EHESS), il est chercheur associé aux séminaires du CRAL (EHESS) et du CERAP (Université Paris I). Ses travaux portent sur les industries de loisir et sur la sociologie comparative des expériences de la fiction (littérature, cinéma, jeux...). Il a publié Hollywood face à la censure (CNRS Editions, 2005) et Jeux de rôle : les forges de la fiction (CNRS Editions, 2007). Son prochain ouvrage, Définir la fiction : du roman au jeu d'échecs (Editions de l'EHESS, 2011), sera préfacé par Jean-Marie Schaeffer.
Les rôles masculins dans Lolita : du roman à l'écran

Tourné dans un contexte de crise du Code de production, Lolita constitue l'une des premières brèches majeures dans l'évocation de la sexualité à l'écran aux Etats-Unis. L'adaptation du roman de Nabokov passe par une redéfinition des rôles masculins. Humbert Humbert perd en dualité, en réflexivité : l'ironie du narrateur nabokovien devient comique de situation ; Kubrick et Mason en font un « possédé » dostoïevskien. Cela favorise une lecture psychiatrique du personnage, celle-là même que Nabokov pastichait dans sa préface. Kubrick et Sellers développent le rôle de Clare Quilty par « vases communicants », celui-ci récupérant les propriétés de discours et de manipulation perdues par Humbert, et l'affrontant désormais sur tous les tableaux (notamment la séduction de Charlotte Haze). Pris dans le jeu des contraintes d'acceptabilité, Kubrick affirme ainsi sa double autonomie artistique  face aux œuvres et face à la censure.
Christian Romain « Rapport homme-machine chez Stanley Kubrick »

est consultant en marketing, enseignant et auteur. Diplômé d’HEC en 1982, il obtient parallèlement une maîtrise de Philosophie et une licence de Logique à l’université de Paris-I Sorbonne. Ses écrits portent – entre autres – sur le cinéma, la littérature populaire et la bande dessinée, avec des articles sur la dimension initiatique du Pinocchio de Collodi, l’œuvre de l’auteur-dessinateur François Craenhals, la structure symbolique des films d’évasion ou celle des films de J. L. Mankiewicz.

« Rapport homme-machine chez Stanley Kubrick »

Sur les treize films réalisés par Kubrick, au moins quatre mettent en scène de façon claire ou implicite les relations – souvent difficiles – entre homme et machine. Des militaires de Dr Folamour à ceux de Full Metal Jacket, en passant par la folie de Jack Torrance dans Shining ou celle de HAL dans 2001, l’autonomie graduelle de la mécanique manifeste chaque fois un dérèglement fatal. Mais à y regarder de plus près, les machines de ces films ne sont que la métaphore d’une idée plus obsessionnelle et plus récurrente : celle de la répétition. A l’aide de cette clé, nous pourrons redécouvrir certains autres films de Kubrick (Lolita, Les Sentiers de la gloire, Orange mécanique, Barry Lyndon, Eyes Wide Shut…) et mieux saisir l’unité d’une œuvre qui, ayant embrassé tous les genres, offre cependant une remarquable cohérence.
Réjane Vallée (MC Univ Evry) « 2001, l'avènement des effets spéciaux. De la technique à l'esthétique kubrickienne »
Réjane Hamus-Vallée est maître de conférences au sein du département Sociologie de l'université d'Evry Val d'Essonne, et membre du Centre Pierre Naville, fédération TEPP (FR n°3126). Elle y dirige le master pro Image et société. Elle a publié Les Effets spéciaux, ed. Cahiers du cinéma / CNDP, « Les Petits cahiers », 2005 et Du trucage aux effets spéciaux (direction),CinémAction n°102, Janvier 2002. Elle travaille actuellement avec Gaétan Flocco sur une série de neuf web documentaires portant sur les métiers du cinéma et de l’audiovisuel. Elle a dirigé un numéro de la revue Cinémaction à paraitre intitulé Sociologie de l’image, sociologie par l’image. Elle a publié dans Les Cahiers du cinéma, 1895, Repérages, Simulacres, Revue d’esthétique, Humoresques, Sociétés, Les Cahiers de l’imaginaire
2001 L’Odyssée de l’espace est un film charnière dans l’histoire des effets spéciaux. En prenant très au sérieux les effets, Kubrick modifie en profondeur l’image de l’espace, et force les techniciens à développer de nombreuses innovations techniques – pour donner vie à l’esthétique recherchée. De l'amélioration du Transflex pour la séquence de l'aube de l'humanité, au travail image par image pour les vaisseaux, cette conception de l’effet spécial apparait comme résolument moderne dans les années 60. Ce film de Kubrick a changé à la fois la science fiction (passant des séries B des années 50 tel Planète interdite, à Star Wars), à la fois le regard porté sur les technologies de l'image, quelques années seulement avant l’essor de l’ordinateur derrière la caméra. Cette communication abordera ainsi la conception kubrickienne de la technique, à travers les innovations nécessaires en particulier pour 2001, mais aussi pour ses autres films, et l’utilisation totalement décalée des effets dans 2001, l’Odyssée de l’espace, film-OVNI à plus d’un titre.
Gilles Menegaldo (Prof. Univ. Poitiers) « Musique et conventions génériques dans Lolita et The Shining »

Professeur de littérature américaine et cinéma à l’Université de Poitiers. Président de la SERCIA de 2002 à 2008, vice-président du CERLI. Auteur de nombreux articles sur la littérature et le cinéma fantastique et policier, éditeur d’une vingtaine d’ouvrages collectifs. Organisateur de colloques dont 7 à Cerisy-la-salle Dernières publications : Dracula, la noirceur et la grâce (avec AM Paquet-Deyris, Atlande, 2006). Direction ou co-direction: Dracula (avec D. Sipière, Ellipses, 2005), Jacques Tourneur, CinémAction, 2006, Les Nouvelles formes de Science-fiction (avec R. Bozzetto, Bragelonne, 2006), Les Imaginaires de la ville entre littérature et arts, (avec H. Menegaldo, PU Rennes, 2007), Cinéma et histoire (avec Melvyn Stokes, Michel Houdiard, 2008), Manières de noir (avec Maryse Petit, PU Rennes, juillet 2010). Sous presse, deux ouvrages collectifs sur le gothique en littérature et au cinéma.
Ces deux films reposent sur un jeu avec les conventions génériques 
auquel la partition musicale participe. Lolita emprunte à plusieurs 
genres, en particulier le film noir, la comédie (burlesque et 
screwball) et le mélodrame, The Shining est plus homogène et joue en 
particulier sur les ressorts du gothique et du film d'horreur. Dans 
les deux films, la partition musicale souligne la référence générique 
mais se construit aussi de manière autonome. Lolita joue en 
particulier de la répétition des leimotive musicaux associés à tel ou 
tel personnage ou situation. The Shining utilise la musique pour 
susciter des effets fantastiques au-delà des clichés génériques.

Sabrina Baldo (MC Univ Evry) « Analyse du sous-titrage des films de Kubrick »
Maître de Conférences en Anglais (Section 11), Université d'Evry-Val d'Essonne. Ancienne Traductrice Spécialisée Trilingue et Chef de Projets à General Electric Medical Systems. Membre de l’OSMIP (Observatoire des Stages, des Métiers et de l’Insertion Professionnelle). Membre de l’équipe de recherche TRACT (TRAduction et Communication Transculturelle anglais-français/français-anglais), Université Sorbonne nouvelle – Paris 3. Auteur d'articles sur le langage au cinéma : " La représentation des jeunes des cités dans le cinéma américain et français " en collaboration avec S. Genty, R. Vallée et J. Sebag, 2009- le sous-titrage ; "Adaptation : a propaedeutic method for learning how to translate” International Scientific Conference “The Theory of Translation and Interpreting Today”, Faculty of Translation and Interpreting (M. V. Lomonosov Moscow State University), 2007 ;  « Traduction et Adaptation : Analyse comparative » Traductologie et enseignement de traduction à l’université, Etudes réunies par M. Ballard, 2010, Artois Presses Université ; la traduction : « Apprendre à analyser la traduction pour apprendre à traduire » dans « Les langues modernes », Dossier La traduction, p.7-17, n°4, 2002, Nathan. Elle a co-organisé avec S. Genty deux journées d'études sur « Normes et Transgressions des normes en traduction audiovisuelle » à Université d’Evry Val d’Essonne et a rédigé un article en collaboration avec Réjane Vallée sur «  Le sous-titrage relief d’Avatar : la transgression comme norme ».


« Genres et Adaptations : étude comparative des sous-titres dans la filmographie de Kubrick »

En 50 ans de carrière, Kubrick a réalisé treize films, ce qui est relativement peu. Cela n'enlève rien à la variété de sa filmographie qui va du genre science-fiction (2001 : l'odyssée de l'espace), historique (Barry Lyndon), futuriste (A Clockwork Orange) au quasi-érotique (Eyes Wide Shut), en passant par le genre de guerre (Full Metal Jacket) ou encore d'horreur-fantastique (Shining). Analyser les sous-titres des films de Kubrick semble intéressant car cela offre la possibilité d'étudier le genre en adaptation. Ainsi nous comparerons les sous-titres par genre de film et tenterons de les caractériser. S'il est d'un commun accord qu'il n'existe pas un type de normes dans l'exercice de l'adaptation mais bel et bien des types normes. L'objectif final sera de dresser une sorte de typologie de normes de sous-titres par catégorie de film. Cette problématique « genre-normes-adaptation » sera traitée étroitement avec les caractéristiques propres aux scénarios de Kubrick : des dialogues de films plutôt
courts, des histoires qui se comprennent à travers les images et la bande-son et pas uniquement le discours... Paul Duncan, dans son livre Kubrick, nous offre cette citation du cinéaste : « Quand vous dites les choses directement, elles ont moins de poids que si vous laissez les gens les découvrir par eux-mêmes. » Le style même du réalisateur en matière de discours, d'image et de son - sera au cœur de notre étude.
Javier Sanchez (MC Univ Evry) « Kubrick et la voix off : L’Ultime Razzia, Lolita, Barry Lyndon »
Javier SANCHEZ débute en 1986 en tant que Moniteur informatique à Paris IV et Paris VIII. Il est nommé en 1989 Allocataire-Moniteur au C.I.E.S.-Sorbonne et affecté à l’ENS de la rue d’ULM où il termine en 1992 sa Thèse de Linguistique informatique hispanique puis il est nommé ATER au Département de LEA de Paris 7 « Industries des langues et traduction spécialisée ». En 1993, il est nommé Maître de Conférences au Département de LEA et de LLCE d’espagnol à l’Université de Limoges. En 2000, il obtient sa mutation à l’Université d’Evry pour la création de la filière de LEA de « Traduction spécialisée ». Il est chargé de la création de la Maîtrise puis la nouvelle Filière LMD (Licence et Master). Actuellement il est membre actif au sein du Laboratoire SCRIPT chargé des nouvelles technologies.
« Kubrick et la voix off » Peut-on relier la Voix Off à la musique chez Kubrick ? D’après ce que je vois chez Kubrick du point de vue de la présentation de l’action filmique il a une originalité intéressante pour un linguiste qui est l’utilisation de la voix off. En effet, Kubrick est le premier à utiliser ce procédé narratif dans le cinéma (à ne pas confondre avec le monologue intérieur de certains de ses personnages). La voix off est l’équivalent pour un linguiste d’un procédé narratif mais utilisé dans l’audiovisuel, elle correspond à une voix d’un locuteur n’appartenant pas aux scènes des films. C'est également le cas de la musique. Cette typologie et originalité de la Voix Off chez Kubrick donnera lieu à une étude des passages (fragments linguistiques) en Voix Off, comparables au discours narratifs des corpus et qui s’opposent, par leur typologie, à l’étude de l’interlocution des personnages (dialogues). Il faudrait également les comparer aux passages comportant de la musique et l'identifier et la classer afin de proposer s'il existe une ou des typologies musicales « communicatives ». L’étude de ce type de discours émanant d’un « narrateur externe à l’action » mérite une approche linguistique & cinématographique afin d’identifier les raisons de son utilisation à la place de l’interlocution des personnages. Quelle est la motivation principale de Kubrick pour utiliser le procédé de Voix Off, sachant que l’interlocution correspond à des échanges communicatifs qui a une typologie complètement différente : l’interlocution utilisera toutes les personnes alors que la Voix Off utilise normalement la troisième personne (typologique de la narration). S’agit-il d’une narration-personnage, narration-témoin, narration-auteur ? Des hypothèses en amont de cette étude sur une volonté communicative spécifique à Kubrick : veut-il limiter les dialogues ? Veut-il mieux présenter et plus rapidement l’action, certains détails trop long à présenter sous forme de dialogues ? S’agit-t-il donc d’un moyen d’intégrer aux films une plus importante masse d’informations et d’accélérer le déroulement de l’action filmique grâce à la Voix Off (narrative) en évitant les dialogues ? À voir donc sur les films utilisant la Voix Off comme par exemple : L’Ultime Razzia, Lolita ou Barry Lyndon et les comparer aux passages comportant de la musique : s'agit-il donc d'un outil narratif non textuel ?

Stephanie Genty (MC Univ Evry) Lolita « Kubrick et Nabokov : Traductions de la censure »

Stephanie Genty, née Adams, d’origine américaine, a reçu une formation en art, histoire de l’art et la littérature française à l’Université de Californie, avant de se tourner à la littérature américaine et surtout féminine lors de la préparation de son doctorat à l’Université Michel de Montaigne-Bordeaux III, soutenu en 1994. Nommée à l’Université d’Evry-Val d’Essonne en 1995 en tant que Maître de Conférences d’anglais, elle se consacre depuis à l’étude de la langue de spécialité, et plus particulièrement à la fiction à substrat professionnel, ainsi qu’à la traduction audiovisuelle.
Lolita « Kubrick et Nabokov : Traductions de la censure »

Lolita. What I found interesting was how he (and Nabokov of course) worked within and against the confines of censorship. The film is filled with sexual innuendos, references to exchangism, homosexuality, S and M, etc, all of which are coded in particular ways. It is interesting to see how these codes are adapted in French, or not adapted, etc.


Chloé Huvet (ENS) « Les rapports entre regard, point de vue et musique dans Eyes Wide  Shut ».

Chloé Huvet est étudiante en master 2 de musicologie à l’Ecole Normale Supérieure de Lyon, où elle suit parallèlement des cours de musique de chambre, et de harpe à Paris avec Madame Isabelle Perrin, soliste à l’orchestre national de France. Après deux années de classes préparatoires au Lycée Fénelon de Paris en option musique, elle intègre l’Ecole Normale Supérieure de Lyon en septembre 2008, où elle soutient en juin 2010 un mémoire de master 1 sous la direction de Monsieur Yves Balmer et de Madame Elise Domenach, portant sur une analyse comparée de la musique composée par Georges Delerue pour les films Le Mépris de Jean-Luc Godard et Vivement Dimanche ! de François Truffaut. Elle prépare actuellement un master 2 sur le travail du compositeur John Williams pour les films de science-fiction de Steven Spielberg.
À partir de l’analyse de plusieurs scènes clés d’Eyes Wide Shut, il s’agira d’interroger les rapports entre regard, point de vue et musique dans ce film de Stanley Kubrick. Il semble en effet pertinent de mettre en relation les différentes focalisations adoptées et les musiques convoquées par le réalisateur. Dans cette optique, est-il possible de dégager une fonction propre à chaque utilisation musicale ? Qu’implique la récurrence d’une même musique dans les scènes qu’elle accompagne ? Les compositions originales de Jocelyn Pook sont liées au point de vue du médecin Bill Harford, tandis que la Musica Ricercata de Ligeti suggère la présence d’un regard surplombant. Enfin, la valse de Chostakovitch participe davantage du regard posé par le spectateur sur le quotidien des deux personnages principaux. Ainsi, la musique met en valeur l’hétérogénéité des points de vue, au service de la rencontre singulière entre rêve et réalité.

Giovanni Robbiano (Prof. Genova) :

« Film as score music and narration in Kubrick's classic movies »

Giovanni Robbiano est né le 25 novembre 1958 à Gène en Italie. Ecrivain, scénariste et professeur de cinéma à Gène, à Milan et en Grèce, Giovanni Robbiano est également réalisateur. Après avoir étudié à la Columbia University de New York dans la classe d'Emir Kusturica, il a réalisé Figurine à partir d'un de ses scripts, puis 500!, une comédie à la John Landis, co-réalisée avec deux amis, et enfin Deadly compromise un thriller réalisé avec la même équipe.

Giovanni Robbiano, born in Genova, Italy in 1958 is an Italian filmmaker, director, screenwriter producer. He is a graduate of the University of Bologna and of the film department, school of the arts, Columbia University in New York City, where he entered as Fulbright exchange program student and was the assistant of Emir Kusturica. He directed 4 features and wrote many others, both for film and tv. His films have been screened at many international festivals and have been released or aired in at least 20 countries around the world. He has been teaching professionally for almost 20 years at various universities, (Genova, IULM at Milano, Bologna and Prague's FAMU) and institutions in Italy and Europe. He is a trainer in the media program of the European Union since 2000, he has written many essays and two books on screenwriting. Currently, he works as a screenwriter/producer and teaches at MFI (Mediterranean Film Institute of Athens), at the University of Genova and collaborates with Famu in Prague.

« Film as score music and narration in Kubrick's classic movies »

When hearing Richard Strauss Also Sprach Zarathustra's opening theme would you consider it an original composition or believe it was composed to suit 2001's initial emphatic and unforgettable film moment? Nowhere as in Kubrick, has music been exalted as to become a cinematic element at the same level as photography, editing, art directing. Kubrick was able to forge classic themes and composition to his own vision translating them into new meaning and dimension; sometimes as it was common of the man he was taking advantage of it to its own purpose... turning music tradition into a tool for his own dictionary, chopping, cutting, dissolving the classics and yet bringing them to popularity never before reached or reachable. But it is clear once a piece of music has been heard in one of Kubrick's film it is not the same for us anymore. Furthermore, nowhere as in the maestro's cinema, has music become a part of the fresco, an element of emotion, of narrative, or simply of structure.
As music structure relays on mathematics such does film structure, especially in Kubrick's cinema, there is so much in common that music may be the key to enter the world of this unparalleled master.

music references: Walter Carlos' Clockwork Orange, clockwork orange original soundtrack (Rossini, Elgar, Beethoven etc.) 2001 original soundtrack (Ligeti, Khachaturian, Richard Strauss, Joseph Strauss etc.) , Barry Lyndon original soundtrack (Haendel, Bach, Schubert, Chieftains etc.)  The shining original soundtrack (Bartok, Berlioz (quoted), Penderecki, etc) Eyes Wide Shut (Chostakovich, Pook,  etc.)
Violaine Anger (MC Evry, RASM) « L'utilisation de Bartok et Ligeti dans The Shining »
Violaine Anger. Ancienne élève ENS, CNSM, ESCP. Agrégation, HDR en musicologie et en poétique. Travaux sur l'esthétique musicale, les liens texte-musique, l'écriture musicale comme visibilité du son. Principale publication : Le sens de la musique, Presses de la rue d'Ulm, 2006

Stanley Kubrick est célèbre pour son utilisation quasi systématique de musique préexistante. Cette intervention questionnera  à ce sujet la notion de « musique » dans le cadre précis des relations entre bande-son et bande image. On pourrait penser que l'utilisation d'une musique préenregistrée, ayant son autonomie propre, fige le propos sonore et instaure ainsi une dichotomie binaire entre le visible et l'audible. Ces derniers seraient alors vus comme des entités intouchables, et l'objet de l'étude serait d'analyser leurs parcours respectifs. Cette intervention cherchera à montrer que, bien qu'il y ait musique préenregistrée, il y a interaction entre les deux pôles. L'image transforme la musique tout autant que la musique accompagne l'image. Il faut alors s'interroger sur la spécificité, œuvre par œuvre, du discours filmique pris comme une entité globale, unissant des éléments qui semblent hétérogènes mais ne le sont pas. L'utilisation de musique préenregistrée, dans le cadre de ce film particulier, aurait-elle quelque chose à voir avec la hantise de figer les morts, de geler ce qui passe?

Damien Ehrhardht (Evry, RASM, SCRIPT) – Clockwork Orange « La réception de Beethoven au cinéma après 1968. Ludwig van… chez Kagel et Kubrick »

Damien Ehrhardt est docteur habilité en musicologie, enseignant et chercheur à l’Université d’Evry-Val-d’Essonne. Ancien boursier du DAAD et de la Fondation Humboldt, il est lauréat du prix de l’amitié franco-allemande et président de l’Association Humboldt-France. Il est l’auteur de La variation chez Robert Schumann (1998), Les relations franco-allemandes et la musique à programme (2009) et l’éditeur scientifique de Franz Liszt : musique, médiation et interculturalité (2008).

« La réception de Beethoven au cinéma après 1968. Ludwig van… chez Kagel et Kubrick »

Réalisé en 1969, Ludwig van est un film du compositeur Maurizio Kagel. Il présente une vision volontairement distanciée de Beethoven, en décalage avec l’héroïsation dont le compositeur fait habituellement l’objet. Ce décalage apparaît également, de manière plus surprenante, chez le personnage d’Alex dans Orange mécanique compte tenu de son intérêt à la fois pour l’ultra-violence et le compositeur Ludwig van qui n’est autre que Beethoven. Or ce dernier est connu précisément pour son humanisme et sa vision fraternelle de la société, tels qu’ils s’expriment dans le finale de la Neuvième symphonie. Ces deux œuvres cinématographiques témoignent d’un changement de paradigme dans la réception de Beethoven : le passage de l’essentialisme, dans la proclamation du génie du compositeur, au constructivisme qui se révèle dans la fabrication du personnage et de la monumentalité de son œuvre.

Vivien Villani (ESEC) « Interactions dynamiques entre musique et image de 2001 à Eyes Wide Shut ».
Vivien Villani (ESC) Vivien Villani est né en 1976. Il enseigne la dramaturgie de la musique de film à l’ESEC et aux 3IS. Il est l’auteur de deux ouvrages, Guide pratique de la musique de film (Paris, Scope éditions et Maison du Film Court, 2008) et Dario Argento : Toutes les facettes de la créativité du maître de l’horreur (Rome, Gremese editore, 2008), monographie sur le réalisateur Dario Argento. Musicien de formation classique, il compose des musiques pour des films de fiction et des documentaires.

« Interactions dynamiques entre musique et image de 2001 à Eyes Wide Shut ».

Présentation des questions d'interactions « dynamiques » ou « plastiques » entre musique et image (rapports entre musique et montage, mouvement, espace, couleur, lumière) chez Kubrick de 2001 à Eyes Wide Shut. Analyse des apports de Schubert, Beethoven, Strauss, Ligeti.

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