télécharger 0.55 Mb.
|
Catalogue, n° 5541 ; Cordier, dans J. A., 1909, II, 215-216). Ces vues ont été reproduites par Le Rouge dans Les Jardins anglo-chinois à la mode (Bibl. Nat., Estampes, Hd89a). En outre, ![]() ![]() 1 Il y a en outre une réédition lithographique récente jointe à celle des Trente-six vues de Jehol ; le titre y est donné sous la forme ![]() 2 Cf. Douglas, Catalogue, p. 270. Le titre y est ![]() ![]() 3 Ces lettres du père Bourgeois publiées en partie par Delatour ne sont notées ni dans la Bibliothèque de Sommervogel ni dans la Bibliotheca Sinica2. 1 Delatour donne (p. 189-207) une description détaillée de ces six peintures, rédigée pour lui par un M. Morel. Ces six peintures figurent au Second Catalogue de sa vente, n° 327. 2 Il y aurait même trois exemplaires si l'indication que donne M. Cordier (J. A., 1909, II, 210) pour AA 6 était juste. M. Cordier décrit ce numéro ainsi : « Vues du Palais d'Eté. Grand Album, acquis en 1862 ». Mais il s'est produit là une confusion de fiche. Le « grand album acquis en 1862 », et qui contient en effet des vues du Palais d'Eté, n'est pas AA 6, mais l'album alors sans cote que M. Cordier décrit p. 211 et qui porte aujourd'hui la cote B9 Réserve ; il en sera question tout à l'heure. Quant à AA 6, qui est aussi de la Réserve, c'est un album composite, qui, a côté de quelques autres pièces, contient les documents chinois suivants, tous de très grand format : 1° Quatre figures marquant les points où on peut pratiquer l'acupuncture d'après les trous du fameux « homme de bronze » ; ces figures sont accompagnées d'une note qui paraît être de la main du père Amiot ; 2° Un autographe du « sixième prince » ; il y en a un autre dans AA 5, vol. Nanteuil-Tardieu ; 3° Deux peintures de fleurs et une représentant un saurien ; 4° Une belle peinture intitulée Tch'ouen hiuan wou tseu t'ou, représentant une poule avec cinq poussins, et signée ![]() 1 Courant, Catal., n° 5549 ; Cordier, dans J. A., 1909, II, 219. 2 N° 280 ; cf. Combaz, Les palais impériaux de la Chine, p. 122. 3 Courant, Catal., n° 5540 ; Cordier, dans J. A., 1909, II, 211-212. M. Combaz a reproduit six de ces peintures (pl. XXI à XXVI de ses Palais impériaux de la Chine). 4 La date de 1754 indiquée par M. Combaz, Les palais impériaux, p. 122, est inexacte. 5 Cf. Giles, Biogr. Dict. n° 2255 ; c'est à tort que M. Courant, qui l'appelle bien Wang Yeou-touen à propos du n° 5540 de son Catalogue, le nomme « Wang Yeou », tseu « Touen-lin », à propos du n° 5538. 6 Cf. Kouo tch'ao yuan houa lou, ch. I, ff. 3-5. 7 Sur les Pin fong t'ou, cf. Pelliot, À propos du « Keng tche tou » dans Mém. conc. l'Asie Orientale, I [1913], pp. 95, 108-109, 120. 8 Cf. Kouo tch'ao yuan houa lou, ch. 2, f° 27 v°. 1 Cf. Lettres édifiantes, éd. du Panthéon littéraire, IV, 120 et 226. 2 Delatour, Essais sur l'architecture des Chinois, p. 170-172 ; cf. aussi le passage de la p. 164 (et non 162 comme dit M. Combaz, Les palais impériaux, p. 149) : « Vous jugerez mieux de ces maisons européennes bâties à Yuen-ming-yuen, par les XX grandes planches gravées qui les représentent, que je vous envoie. C'est le premier essai de gravure sur cuivre fait en Chine, sous les yeux et par les ordres de l'Empereur ». 3 Ceci est vrai, comme le dit le père Bourgeois, de la gravure de dessins en taille douce. Mais antérieurement les Chinois, sous la direction des missionnaires, avaient déjà gravé au trait sur cuivre les cartes de l'empire, tant sous K'ang-hi que sous K'ien-long. 4 Ceci est impossible si la lettre d'envoi du père Bourgeois est bien, comme le dit Delatour, de 1786. 1 Sur l'envoi d'un exemplaire à Bertin, on devrait trouver quelques renseignements soit dans les lettres du père Bourgeois, soit dans celles du père Amiot. Mais la correspondance du père Amiot avec Bertin est encore entièrement inédite, et la dernière lettre publiée du père Bourgeois à Bertin est du 31 juillet 1778 (T'oung Pao, 1917, p. 365-379). 2 Je crois avoir entendu dire que M. Casenave, ancien chargé d'affaires de France en Chine, avait acquis à Pékin un exemplaire de ces planches sur cuivre des bâtiments « européens » du Palais d'Été ; mais je ne l'ai pas vu. [Cf. infra les Addenda.] 3 Cf. Biblioth. Sinica2, col. 2350-2351. 4 Éd. de Philadelphie, 1797-1798, t. I, p. XXI. Le journal original de Van Braam Houckgeest, qui est inédit sous cette forme, est conservé depuis 1912 aux Archives de La Haye (cf. A. Chapuis, La montre chinoise, Neuchâtel, s. d. [1919], in-4°, p. 47 ; j'ignore s'il s'y trouve quelques détails sur les collections. 1 Les palais impériaux, p. 153. 2 Mais il est fort possible que si on procédait au Département des Estampes à un tri de ce qui vient, comme dessins chinois, de Bertin et de Delatour, on pût retrouver dans le reliquat un certain nombre de pièces que les préliminaires de la traduction de Moreau de Saint-Méry permettraient d'identifier. 3 Cf. Courant, Catalogue, n° 5551 ; Cordier, dans J. A., 1909, II, 218-219 ; Combaz, Les palais impériaux, p. 153. La reproduction de cette note donnée par M. Combaz est inexacte en plusieurs endroits et, par inadvertance, le dernier paragraphe n'est pas indiqué comme une citation. 2 Cf. Combaz, Les palais impériaux, p. 153-157. M. Combaz donne la liste des 19 dessins provenant de Van Braam Houckgeest et reproduit 3 d'entre eux avec les descriptions correspondantes des Essais de Delatour. 3 « Paonkéqua » est le même nom que celui du « Pankeikoua » mêlé aux négociations pour la gravure des estampes des Conquêtes. Mais c'était là en réalité le nom d'une maison hanniste, et rien ne montre que le chef de cette maison en 1794 fût encore P'an T'ong-wen comme en 1765. 4 Voyage, éd. de Philadelphie, t. I, pages 243 et 269. 1 On devrait retrouver ces noms dans les ouvrages chinois qui décrivent le Yuan-ming-yuan ; je ne les ai pas actuellement à ma disposition. 2 Ou de 1782, si la lettre du père Bourgeois était de 1785 comme Delatour paraît l'indiquer en un autre passage. 3 Cf. Houang tch'ao t'ong tche, ch. 113, f° 9 r° de l'édition photolith., et surtout Kouo tch'ao yuan houa lou, ch. 2, ff. 9-10 et 14 v°. Tchang Tsong-ts'ang et Chen Ying-houei vivaient sous K'ang-hi ; le premier fut un des plus féconds artistes du « bureau de la peinture ». Le titre des albums est ![]() 4 Il y a une réédition lithographique récente publiée au ![]() ![]() ![]() 5 M. Franke a donné une liste des 36 sites de Kang-hi et des 36 sites supplémentaires de K'ien-long (Beschreibung des Jehol-Gebietes, p. 91-97). 6 Cf. Cordier, dans J. A., 1909, II, 262. Je ne crois pas que cet album figure dans le Catalogue de M. Courant. 1 L'album Hd 90 ne porte aucune indication de possesseur ni d'origine. Néanmoins il est assez vraisemblable qu'il ait été envoyé de Chine à la fin du XVIIIe siècle, et peut être trouvera-t-on quelques renseignements à ce sujet dans la correspondance encore inédite du père Amiot arec Bertin. 2 C'est ce que j'avais dit à M. Cordier, en ajoutant que certaines des gravures d'exécution chinoise se trouvaient dans la collection Fan de Ning-po ; mais son souvenir l'a ensuite trompé, et il a cru (Les Conquêtes, p. 18) que je l'avais assuré que les planches vues par Sir John Bowring dans la collection Fan de Ning-po n'étaient pas les gravures originales. M. Ishida s'étonne à bon droit que j'aie commis une erreur qui va contre les données du catalogue bien connu de la collection Fan ; les 16 planches sont en effet énumérées avec leurs sujets dans les préliminaires de ce catalogue intitulé ![]() 3 La plus connue de ces séries d'exécution chinoise est celle qui célèbre les victoires de ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() |
![]() | ![]() | ||
![]() | ![]() | «le vautre» qui, doué de «sagesse, d'amour et de vertu», apportera de nouveau aux humains la justice et la paix. IL lui propose de... | |
![]() | ![]() | ||
![]() | ![]() | «Blvrd Centenaire Made in China, Pavillon Dakar : Biennale de Shanghai» ( Chine ) | |
![]() | «Livre des merveilles du monde» est à l'origine de la fascination que la Chine exerce sur les Européens | ![]() |