La troisième partie passe en revue toutes les activités économiques et financières qui se sont développées dans le village







titreLa troisième partie passe en revue toutes les activités économiques et financières qui se sont développées dans le village
page1/18
date de publication17.12.2016
taille1.1 Mb.
typeDocumentos
a.21-bal.com > économie > Documentos
  1   2   3   4   5   6   7   8   9   ...   18
 la troisième  partie passe en revue toutes les activités économiques et financières qui se sont développées dans le village 

Cette partie permettra de mieux connaître l’économie locale de Silenrieux à travers les siècles. Les différentes activités économiques qui se sont développées depuis le néolithique seront analysées : l’agriculture, la métallurgie, les moulins, l’industrie forestière, brassicole et textile, le commerce et les divers métiers artisanaux.

L’aspect financier sera aussi abordé à travers les différentes périodes de l’histoire : les impôts et taxes, la douane et les finances communales.

Enfin, les différents moyens de communication que les habitants de Silenrieux utilisent seront replacés dans leur contexte historique.

 

 CHAPITRE 1 : PRÉSENTATION GÉNÉRALE

 

Avant le néolithique, les activités principales de nos ancêtres nomades sont basées sur la pêche, la chasse et la cueillette. Les immenses bois avec les animaux, les plantes et la vallée de l’Eau d’Heure leur procurent l’alimentation ; les animaux (peaux, os et cornes) et les arbres leur procurent de quoi fabriquer les outils et leur cabane temporaire.

A partir de la sédentarisation au néolithique, l’agriculture (culture et élevage) devient la principale activité avec l’utilisation des produits forestiers (chasse, pêche et cueillette). D’autres activités complémentaires font leur apparition : l’artisanat (poterie, taille du silex, outillages pour l’agriculture, bijoux, outillages pour l’alimentation, textile avec la laine et les fibres végétales du lin, la vannerie). Pour la fabrication des outils, on utilise le bois, l’os et le silex.

Durant la période celte, la société se différencie : Il y a le druide (à la fois prêtre, médecin, savant et sorcier), le chef souvent élu, les hommes libres à la fois paysans, artisans et guerriers et les semi-libres uniquement paysans. En plus de l’agriculture, chaque paysan se spécialise dans un domaine artisanal utile pour la communauté : forgeron, maréchal ferrant, charron, voiturier, potier, bijoutier, marchand, menuisier et charpentier, cordonnier, tisserand, tonnelier, orfèvre, tanneur, fileur et vannier.

C’est le début de la métallurgie à Silenrieux avec l’utilisation de bas fourneaux temporaires pour fabriquer les outils et armes en fer.

A la période romaine, le domaine de Silenrieux riche en fer appartenait probablement à l’état qui y mettait un colon pour l’administrer ; dans le domaine, la population se composait de paysans tenanciers libres et d’esclaves ; il participait à l’essor économique des centres urbains en développant les échanges et le commerce de produits entre eux.

Au Moyen Âge, les échanges disparaissent et le domaine de Sileno rivo redevient une entité quasi autarcique avec le surplus de production qui servait à l’embellissement de l’abbaye de Lobbes ; les paysans qui vivaient sur les tenures du domaine s’adonnaient aux activités artisanales en plus de l’agriculture ; certains en faisaient leur unique métier. Il y avait comme artisans : tonnelier, tanneur, tisserand, cordonnier, sellier, cuvelier, savetier, fileur, maréchal ferrant, charron, fabricant de panier et cordes, meunier, brasseur, maçon, charpentier, couvreur, charbonnier, mineur, terrassier, menuisier, potier, vannier.

Mais les paysans n’étaient pas tous au même niveau ; il y avait les laboureurs, propriétaires de tenures plantureuses et d’une charrue qui vivaient relativement bien (de 5 % à 15 % de la population selon Génicot) ; c’est parmi eux que se recrutaient les agents du seigneur (mayeur, échevins, greffiers, sergents et forestiers).

Ensuite, les paysans cultivateurs qui exploitaient entre 7 et 14 bonniers qui savaient vivre de leur travail (entre 15 % et 25 % de la population selon Génicot).

Puis venait la masse des petits paysans, artisans en plus, journaliers ou miséreux, ceux qui n’avaient qu’une petite parcelle sans charrue, ni animaux de grosse taille et qui prêtaient leur bras aux activités métallurgiques, agricoles, forestières ou artisanales. (Parmi ceux-ci, les miséreux et indigents représentaient entre 25 % et 30 % selon Génicot).

Au 16ème siècle, les laboureurs ou chefs d’exploitation représentent 1/5 de la population ; les petits paysans, artisans et journaliers la moitié et les indigents ¼ d’après M. Arnould pour le Hainaut.

Depuis le Moyen Âge, Silenrieux profite de l’influence économique de la ville de Walcourt où un marché était organisé régulièrement. Des francs tours étaient aussi organisés à partir de Walcourt pour sa région ; c’est-à-dire que les marchands accomplissaient des tournées régulières dans les villages proposant épices, soieries, toiles, etc.

Vers la fin du 13ème siècle, les Lombards y ont ouvert un comptoir pour favoriser la circulation de  l’argent.

Par contre, après 1650, le commerce se développa aux dépens de Walcourt. Un témoignage daté du 15 septembre 1668 enregistré par le notaire du Monceau dans le cartulaire de la commune de Walcourt dit : « des habitants des environs de Walcourt dont Nicolas Baisir, 58 ans, ancien échevin de Silenrieux, attestent que Walcourt a perdu plus de la moitié de son commerce et que depuis un certain temps, … les villages voisins en abritent plus ; Philippe Moreau est cité comme marchand à Silenrieux. Cette situation était due aux guerres et à la diminution de la population ».

Au 18ème siècle, la répartition de la population est la suivante : les censiers et gros paysans ont le plus d’influence et représentent plus ou moins 25 % de la population ; ils recrutent de la main-d’œuvre agricole (domestiques, servantes, berger et journaliers agricoles) ; les moyens et petits paysans participent à la propriété collective et sont occupés en hiver dans d’autres activités complémentaires (dans les bois comme scieur ou bûcheron, charbonnier, mineur, laveur de mines, dans les carrières, les fours à chaux ou voiturier pour les plus gros paysans et dans l’industrie du fer) et représentent plus de 55 %  de la population ; les artisans professionnels représentent au maximum 10 % de la population (charron, maréchal, tonnelier, charpentier, couvreur, maçon, tailleur d’habits, cordonnier, menuisier) ; les commerçants, marchands et « fonctionnaires » représentent le reste (plus ou moins 10 %).

Au début du 19ème siècle, les petits et moyens paysans continuent d’apporter leur bras aux activités forestières et métallurgiques de Silenrieux. Mais à partir des années 1840, Silenrieux connut une crise économique intense ; les forges et fourneaux s’éteignent définitivement. Il faudra attendre l’arrivée du chemin de fer en 1853 pour voir un changement important dans les habitudes locales. Une grande partie des journaliers (petits paysans) vont partir travailler dans la métallurgie à Thy ou Charleroi. D’autres vont être engagés au chemin de fer, surtout au début du 20èmesiècle.

L’arrivée rail permettra aux habitants du village de travailler ailleurs que leur lieu d’habitation sans devoir déménager ; ce qui ralentira l’exode rural et permettra à Silenrieux de garder une population importante durant le 19ème siècle. L’exode commencera à la fin du 19ème siècle (voir évolution de la population).

 

Voici les activités économiques autres que l’agriculture encore existantes à Silenrieux en 1896 : 4 emplois dans les 2 moulins à farines, 10 emplois dans les brasseries malteries, 5 emplois dans les carrières, 9 emplois à la marbrerie, 3 emplois dans 2 tanneries, 2 forges de maréchaux ferrants pour 2 indépendants avec 1 ouvrier, 2 serrureries poêleries avec un atelier ; un atelier de ferblantier, une scierie à la main avec un ouvrier, 4 boulangeries, 15 couturières et ouvrières, 11 sabotiers avec 56 ouvriers, un magasin de vêtement pour homme, 3 modistes avec 2 ouvriers, une blanchisserie de linge et un atelier de repassage du linge, un couvreur en tuiles, ardoises ou chaumes, 5 maçons avec 5 ouvriers, 3 plafonneurs avec un ouvrier, un tailleur de pierre avec 2 ouvriers, un débiteur de bois, 3 menuiseries, une tonnellerie avec un ouvrier, une charronnerie avec un ouvrier, 3 cordonneries avec 1 ouvrier ; un bourrelier sellier, un fabricant de cire, chandelles, un vannier avec un ouvrier ; 2 entreprises de chargement et déchargement avec 3 ouvriers, 7 voituriers avec 3 ouvriers.

 

Au début du 20ème siècle, les ouvriers partant travailler ailleurs sont de plus en plus nombreux (au chemin de fer et dans l’industrie métallurgique).

C’est aussi la période des premiers employés qui vont représenter à la fin du 20ème siècle une partie importante des travailleurs de Silenrieux.

A partir de 1945 jusque 2000, le nombre de personnes travaillant au village ne va cesser de diminuer.

En 1947, 178 personnes travaillent encore à Silenrieux et 123 ailleurs (Charleroi, Thy et Walcourt) (la plus grande partie pour la SNCB).

Parmi les travailleurs, il y a 45 employé(e)s, 149 ouvrier(e)s et 108 indépendant(e)s. 97 vivent de l’agriculture, 6 de la sylviculture, 6 de l’extraction de charbon ou pierre, 6 de l’industrie alimentaire, 10 de l’industrie forestière, 5 de l’impression, 6 de la tannerie, 6 du textile, 1 de la distribution d’eau, 6 de l’industrie, 38 de la métallurgie, 2 de l’horlogerie et bijouterie, 21 de la construction, 47 des transports dont le chemin de fer, 9 des services de la poste ou du téléphone, 17 du commerce, 2 du milieu financier, 4 de l’horeca, 10 du domestique privé, 1 des loisirs, 2 du secteur médical, 1 de la défense nationale, 4 de l’enseignement.

En 1961, 136 habitants travaillent à Silenrieux et 139 ailleurs.

Parmi ceux-ci, il y a 90 indépendants, 4 cadres, 44 employés, 123 ouvriers, 14 aidants, 2 chômeurs : 63 travaillent dans l’agriculture, 2 dans l’industrie d’extraction, 84 dans l’industrie manufacturière, 26 dans la construction, 3 dans électricité gaz, 25 dans le commerce, 2 dans le milieu financier, 26 dans le transport, 44 dans les services.

Parmi les 174 personnes qui travaillent à Silenrieux même (y compris les 38 extérieurs) : 67 travaillent dans l’agriculture, 18 dans l’industrie manufacturière, 32 dans la construction, 19 dans le commerce, dans la banque assurance, 10 dans le transport, 27 dans les services.

Parmi les activités économiques autres que l’agriculture dans le village, il y a 3 magasins d’habillement ou de chaussures, 3 établissements liés à la métallurgie, une marbrerie avec 18 personnes, 3 entrepreneurs de construction avec 5 ouvriers, un entrepôt et transport avec 6 personnes, 3 commerces de gros, 10 magasins de détails épicerie, un magasin d’entretien et ameublement, 2 autres commerces, 6 cafés et restaurants, 2 personnes qui s’occupent de banque et assurance.

En 1970, il y a 101 personnes travaillant dans la commune et 166 ailleurs (42 personnes viennent de l’extérieur travailler dans la commune) ; il y a encore 157 femmes au foyer.

Parmi ces personnes, il y a 61 indépendants, 5 professions libérales, 5 chefs d’entreprises, 15 cadres, 60 employés, 8 agents de maîtrise, 104 ouvriers, 10 aidants, 5 chômeurs, 2 miliciens ; 45 travaillent dans l’agriculture, 4 dans le secteur de l’eau, 27 dans l’industrie extractive, 25 dans l’industrie métallurgique, 4 dans l’industrie manufacturière, 31 dans la construction, 40 dans le commerce et la restauration, 33 dans le transport (dont SNCB), 7 dans le secteur financier (assurances et banques), 49 dans d’autres services.

Parmi la population qui travaille à Silenrieux : 44 dans l’agriculture, 1 dans le secteur de l’eau, 15 dans la marbrerie, 4 dans l’industrie mécanique, 2 dans l’industrie manufacturière, 31 dans la construction, 22 dans le commerce et la restauration, 5 dans le transport, 1 dans le secteur financier, 21 dans d’autres services.

Parmi les activités économiques autres que l’agriculture au village, il y a une industrie alimentaire ; un entrepreneur avec 10 ouvriers, une marbrerie avec 15 personnes, 3 établissements du bâtiment, une entreprise de transport avec 2 personnes, 2 commerces de gros, 6 commerces de détail alimentaire avec 8 personnes occupées, 3 commerces de détail appareils et matériels pour équipement des foyers, 5 autres commerces détails, 4 cafés ou restaurants, un garage et un établissement financier.

En 1981, 61 personnes travaillent dans la commune et 169 ailleurs.

Parmi celles-ci, 35 sont indépendants, 3 employeurs, 33 cadres et professions libérales, 54 salariés du secteur public et 96 salariés du secteur privé, 9 aidants, 2 miliciens et 19 chômeurs.

En 1991, il y a 234 personnes qui travaillent et 49 chômeurs.

Parmi celles-ci, il y a 33 indépendants, 13 cadres, 7 chefs d’entreprises et employeurs, 99 employés, 66 ouvriers, 10 aidants, 6 inconnus.

Par secteur d’activités, 9 travaillent dans l’agriculture, 2 dans le secteur de l’eau et énergie, 10 dans l’industrie chimique, 6 dans la métallurgie, 6 dans autres industries, 15 dans la construction, 40 dans les secteur horeca, 26 dans les communications, 8 dans le secteur financier, 78 dans d’autres services, 34 inconnus.

  

CHAPITRE 2 : PRÉSENTATION PAR SECTEUR D’ACTIVITÉ 

 

§ 1.  L’agriculture et l’alimentation

 

1. Le début de l’agriculture au néolithique

 

L’agriculture a commencé à se développer vers le 4ème millénaire avant notre ère. L’homme devient sédentaire et réalise les premiers défrichements. Ces essarts qui serviront de terrains de culture et de pâturage seront protégés par des haies épineuses (prunelliers, mûriers et églantiers) afin d’écarter les intrus et de parquer le bétail. L’élevage est pratiqué dans les terrains défrichés et dans les forêts. Les animaux domestiqués sont les bœufs, les moutons, les chèvres, les volailles et les porcs qui fourniront lait, viande, peaux et laine.

Au niveau de la culture, les terres défrichées (culture sur brûlis) sont travaillées avec le bâton à fouir et des houes en bois pour retourner la terre, creuser des sillons et dresser des buttes. Ces premiers paysans cultivaient l’orge, l’épeautre et le froment noir comme céréales et les pois, les fèves et lentilles comme légumineuses ainsi que le lin comme oléagineux.

Les engrais sont apportés par l’azote des légumineuses et le feu mis aux pailles des céréales coupées courts sous l’épi (apport de potasse). La production sert pour l’alimentation du groupe et pour les semences de l’année suivante.

Quant à l’homme, il s’installe à côté de ses champs dans des cabanes en bois et terres sur les hauteurs de vallée (voir partie urbanisme).

En plus des travaux de sédentarisation, l’homme continuait à chasser le gros gibier (cerf, chevreuil, sanglier) pour l’alimentation, la fourrure et pour protéger les récoltes.

La cueillette des baies, racines et fruits sauvages était effectuée par les femmes. Le miel était aussi récolté dans les bois.

Les techniques agricoles occasionnaient un épuisement rapide des terres. Il fallait alors se déplacer, défricher de nouvelles terres et ainsi de suite pour revenir après plusieurs années au premier site.

Les outils pour la chasse, l’agriculture et le défrichement sont en bois, os et silex taillés ou polis (hache, flèche, pioche, bâton à fouir, etc…).

Quant à la conservation des aliments, on utilisait :

- le séchage à l’air libre et au soleil, ou en local clos sous la chaleur ;

- le fumage pour les chairs d’animaux ;

- le salage si disponible ;

- le grillage léger des grains pour éviter la pourriture.

Puis, on les stockait dans un silo surélevé pour les protéger des mulots et rats. (La céramique faite à la main est déjà connue pour le stockage).

Après le stockage, les céréales sont consommées sous forme de bouillie ou de galette après avoir été transformée en farine grossière à l’aide de meule et de broyon.

La cuisson se fait directement par le feu avec l’usage de la poterie en terre cuite qui permet l’ébullition des aliments. La cuisson se faisait aussi sur pierres chauffées ou à l’étouffé dans une fosse remplie de pierres chauffées. Le fromage était déjà connu dans des faisselles en terre cuite.

L’introduction de l’araire (ancêtre de la charrue) tirée par un animal ou un homme qui fendait simplement la terre se fera à l’âge du bronze (1800 à 750 avant J-C).

 

 

  1   2   3   4   5   6   7   8   9   ...   18

similaire:

La troisième partie passe en revue toutes les activités économiques et financières qui se sont développées dans le village iconCours de droit economique professeur moussa samb agrege des facultes...
«législation communautaire sur la concurrence» composée de Règlements et de Directives

La troisième partie passe en revue toutes les activités économiques et financières qui se sont développées dans le village iconCette troisième partie est consacrée à
«romantisme», ce «mot de ralliement», et sur «réalisme», ce «mot de passe», sur ces «canards» [fausses nouvelles] qu’on lance et...

La troisième partie passe en revue toutes les activités économiques et financières qui se sont développées dans le village iconThèse : la littérature romanesque doit se démarquer des œuvres du...
«appellation commode englobant tous ceux qui cherchent de nouvelles formes romanesques […] et qui sont décidés à inventer le roman»....

La troisième partie passe en revue toutes les activités économiques et financières qui se sont développées dans le village iconRecours à des textes qu’à des documents graphiques, soit un "montage" thématique de documents de
«connaissons», quand nous parvenons à reconstituer toutes les pièces manquantes du passé qui l’entoure. Toute la valeur est concentrée...

La troisième partie passe en revue toutes les activités économiques et financières qui se sont développées dans le village iconCartes d’abonnés à la revue cartophile du club des Cartophiles du finistere
«aller à la pêche» auprès des auteurs qui disposent nécessairement d’un petit stock, à travers des 50 cp offertes. Nombreuses sont...

La troisième partie passe en revue toutes les activités économiques et financières qui se sont développées dans le village iconTitre II le contenu du contrat
«Quatre conditions sont essentielles pour la validité d’une convention : le consentement de la partie qui s’oblige, sa capacité de...

La troisième partie passe en revue toutes les activités économiques et financières qui se sont développées dans le village iconDe ‘’À la recherche du temps perdu’’
«hommes-femmes» (page 46) l’analogie entre ce qui se passe dans la nature et ce qui se passe entre les homosexuels (page 46) la théorie...

La troisième partie passe en revue toutes les activités économiques et financières qui se sont développées dans le village iconQuelques définitions technique
«ars», désignait «l'habileté acquise par l'étude ou la pratique». Le mot peut donc s'appliquer à toutes les activités humaines qui...

La troisième partie passe en revue toutes les activités économiques et financières qui se sont développées dans le village iconL'humanisme, mouvement d'idées qui culmina en Europe au xvie siècle,...
«toutes faites» issues de la scolastique. Par l'autonomie de la raison, Montaigne affirma également l'autonomie de l'homme

La troisième partie passe en revue toutes les activités économiques et financières qui se sont développées dans le village iconDu conseil municipal du 08 octobre 2007
«massacrés» dans des conditions toutes aussi ignobles. Par ailleurs, tous les jours, des gens sont dans des situations similaires....







Tous droits réservés. Copyright © 2016
contacts
a.21-bal.com