La mine aux images
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la mine aux images estimation BUDGETS 2009 par sections thouars, initiatives pour les arts vivants dépenses recettes espérées 1/ Association fonctionnement et investissemnts fonctionnement Communication générale 3 000 € Fonctionnement part gestion du local ? 600 € Imprévus 1 000 € 4 600 € investissements Fabrication site Internet, signalétique, plan média… 3 700 € ordinateur –mac-, disque externe de stockage imprimante, scanner, logiciels… 3 800 € 7 500 € dons et aides des membres 4 000€ 2/ Artothèque Acquisitions 80 000 € acquisitions fonds propres (dons à l'association) : 32 000 € Production expositions spécifiques 25 000 € Coproduction catalogues 20 000 € Fonctionnement 3 000 € Investissements Meubles genre meuble d'architecte à PH neutre Cartons à dessin, lutrins de présentation, poches et grands buvars de protection à PH neutres, etc. 2 100 € cadres de divers types et formats Tant pour le prêt que pour les expositions : 5 000 € 165 000 € Adhésions et mécénat espérés, dons 35 000 € 3/ Connaissance de l'art contemporain Production exposition B. Plossu 6 000 € Coproduction catalogue 5 000 € Communication et fonctionnement 3 000 € Production exposition F. Léger 2 000 € 16 000 € Organisation manifestations extérieures et mécénat espérés 5 000 € 4/ Philofestival Production : 48 700 € Communication : 14 000 € Fonctionnement 800 € 63 500 € Entrées concerts 3 000 € Retombées commerciales pour la ville (si commerces !) et gain en qualité d'image …….. ? Restauration et buvettes associatives ……... ? 5/ Éditions (équilibre espéré avec la participation des autres sections) Coproduction de 5 livrets-catalogues + 6 estampes originales en tirages de tête 20 000 € Production 2 autres ouvrages dont actes du philofestival : 15 000 € 35 000€ Ventes estimées catalogues, estampes et ouvrages 35 000 € 189 600 € Gratuits ou presque et au service de la population thouarsaise et régionale, l'artothèque et le philofestival doivent être intégralement subventionnés, l'apport du public ne couvrant, au mieux, que les frais de fonctionnement. Pour le festival, une part d'aides privées possible, inchiffrable en l'état, est néanmoins à prendre en compte si la crise économique ne fait pas trop de dégats. Le secteur connaissance de l'art contemporain, aux ambitions d'abord modestes, devrait parvenir à se financer grâce aux bénéfices répartis du secteur précédent, aux subventions et au mécénat. L'entrée du public aux 2 expositions annuelles prévues (+ 3 expositions d'artistes organisées par l'artothèque) sera également gratuite. Les demandes de visites commentées, seront, elles, payantes sauf si subventions spécifique compensatrices. Ces approches différentes de celles des centres d'art, liée aux activités de l'artothèque, d'abord tournée vers le public le plus large possible, entendent remplir véritablement un rôle pédagogique, initiateur et d'animation sur le centre ville. Le secteur édition, compte tenu de nos savoir-faire et de nos réseaux, devrait parvenir, assez rapidement, à équilibrer son budget grâce à l'apport des autres sections subventionnées (co-éditions internes) et, si possible, des aides de la DRAC et achats institutionnels. Par la suite, à 3 ou 4 ans, cette section, fonctionnant comme une affaire commerciale, devrait pouvoir s'auto-suffire, voire dégager des possibilités de financements pour le reste de l'association. Les ventes de catalogues, sauf artistes vedettes (!), dans un premier temps, ne peuvent dépasser, au mieux, la centaine d'exemplaires. C'est pourquoi nous avons pensé éditer parallèlement sous forme de tirages de tête (15 exemplaires + 10 EA) ou, indépendamment, une collection d'estampes originales avec l'aide des artistes : lithos, gravures, sérigraphies. Ce mode de fonctionnement devrait pouvoir financer assez rapidement au moint une part du coût des catalogues. C'est aussi pourquoi nous avons tablé sur une exposition de Bernard Plossu pour l'été 2009 et avec des œuvres surprenantes et inédites et une possible diffusion nationale. Pour l'été 2010 nous envisageons une exposition Gérard Titus-Carmel avec catalogue et également l'édition d'art d'un recueil illustré de textes remarquables de l'artistes, diffusion nationale. À terme, une part des acquisitions annuelles de l'artothèque pourrait être constituée par ses propres éditions de multiples. |
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