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LE MOUVEMENT PHYSIOCRATIQUE EN FRANCE (1750 A 1770) PAR GEORGES WEULERSSE ANCIEN ELEVE DE L’ÉCOLE NORMALE SUPERIEURE. PROFESSEUR AU LYCEE CARNOT, DOCTEUR ES LETTRES TOME PREMIER PARIS. FÉLIX ALCAN, ÉDITEUR LIBRAIRIES FÉLIX ALCAN ET GUILLAUMIN RÉUNIES 108, BOULEVARD SAINT-GERMAIN 1910 A M. EMILE BOURGEOIS Hommage reconnaissant. AVANT-PROPOS On pourra faire à cet ouvrage, entre autres reproches, celui d’être à la fois trop long et trop court. Trop court, car, s’il remonte aux origines historiques de la doctrine des Physiocrates, il n’en étudie pas le développement au-delà de l’année 1770. Nous n’ignorons pas, certes, que leur école a duré quelques années de plus, et que l’influence de leurs idées n’a point cessé de se faire sentir jusqu’à la fin du siècle. Mais ces deux premiers tomes forment seulement la première partie d’une histoire complète, pour la suite de laquelle nous avons déjà tracé un plan et réuni des matériaux. Nous nous réservons d’étudier plus tard, à loisir, les derniers jours du parti des Économistes sous le Triumvirat, et le regain passager de faveur qu’il a obtenu lors du passage au pouvoir de leur illustre demi-disciple, l’ancien intendant de Limoges. Nous nous promettons surtout de montrer dans le détail comment certains principes de leur doctrine ont inspiré quelques-uns des essais de réforme tentés, non seulement sous le ministère de Turgot, mais aussi sous celui de Calonne ; comment certains articles de leur programme ont été appliqués par la Constituante et sont effectivement entrés dans la constitution du régime nouveau. La Révolution est le terme naturel de toute élude sur le XVIIIème siècle français : ce n’est pas sans regret que nous avons dû renoncer momentanément à l’atteindre. L’influence des Physiocrates sur la Révolution est un sujet sur lequel on a déjà passablement écrit ; le souci de ne pas être banal ou inexact nous a interdit de dépasser les brèves considérations d’attente qui terminent la première partie de celle histoire. Nous avons cru pouvoir nous arrêtera la date de 1770, parce que c’est la dernière année du ministère de Choiseul et la dernière où les Économistes, en tant que parti organisé, ont exercé une action continue et directe sur l’opinion et sur le gouvernement. Après 1770 il y a encore des Physiocrates, mais ce ne sont bientôt plus que des isolés ; il y a encore une doctrine physiocratique, mais qui tend à se dissoudre ; il n’y a plus en tout cas de mouvement physiocratique. Ainsi déterminée par des raisons qui n’ont rien d’arbitraire, cette coupure provisoire, que des nécessités matérielles rendaient d’ailleurs inévitable, n’est pas sans présenter elle-même quelques avantages. Elle permet de dégager les purs principes de l’École des modifications ou des interprétations ultérieures qui, tout en étant souvent très heureuses, et tout en présentant un intérêt historique égal à celui de ces principes mêmes, risqueraient de fausser l’idée qu’on doit se former du système, si on les regardait comme en formant le corps. On connaîtra mal la doctrine propre des Physiocrates si on l’étudie de préférence, comme on le fait parfois, dans les écrits principaux de Le Trosne, qui sont postérieurs à 1770. C’est de même une erreur de considérer Turgot comme une autorité en matière de Physiocratie, parce que, si l’on peut dire qu’il ait jamais appartenu à une école, celle de Gournay, sans parler du groupe des Encyclopédistes, aurait autant de titres à le réclamer que la « secte » de Quesnay. Après 1770 les divergences entre les deux doctrines vont s’effaçant ; jusque-là il est facile de discerner la fraternelle rivalité qui les sépare Mais ne sera-t-on pas fondé à nous reprocher d’avoir donné à une étude dont nous fixions nous-mêmes les bornes, des proportions démesurées ? Notre justification est que nous n’avons pas cru pouvoir satisfaire autrement aux doubles exigences de l’analyse et de la synthèse historique. Il ne nous a pas fallu pousser bien avant nos recherches pour reconnaître que le système physiocratique formait un ensemble aussi complexe que fortement lié. Partis de ce principe abstrait et idéal que l’agriculture seule donne un revenu net, convaincus que seul l’accroissement du revenu territorial pouvait rétablir les finances du royaume, les Physiocrates ont été amenés à présenter un vaste programme de réformes qui n’allait à rien moins qu’à changer toute l’économie du pays. Pour rendre l’agriculture plus rémunératrice, il leur a paru qu’il était nécessaire d’augmenter la somme des avances qui lui étaient consacrées. De là, une longue série de propositions tendant, soit à garantir au cultivateur pleine liberté, pleine sûreté et une immunité entière, soit à faire affluer directement les capitaux vers la terre. C’est ce qu’on peut appeler le programme agricole de ces « philosophes ruraux ». Mais, pour accroître le revenu des biens-fonds, ne fallait-il pas aussi relever le prix des denrées ? Cela supposait qu’on accordât au commerce intérieur des grains une complète franchise, et qu’on autorisât, qu’on favorisât l’exportation des blés : l’École avait donc son programme commercial. Par la force des choses, elle avait aussi son programme industriel : le développement du capitalisme agricole ne pouvait pas ne pas affecter celui du capitalisme industriel, et le progrès des exportations agricoles devait retentir sur l’exportation manufacturière. À quoi, d’ailleurs, eût-il servi de procurer aux productions de l’agriculture un bon prix, si l’on ne prenait pas des mesures pour assurer le « bon marché » des produits de l’industrie ? D’autre part, la franchise du commerce des denrées et celle de l’industrie exigeaient la suppression de tous les impôts autres que celui perçu sur le revenu des terres, et appelaient par conséquent une transformation profonde du régime fiscal. Enfin, ce vaste programme économique, que le docteur Quesnay a résumé dans son fameux Tableau de 1758, conduit à la proclamation de certains principes sociaux dont l’observation est la condition d’existence du régime nouveau. Ce nouvel ordre économique détermine aussi, dans une certaine mesure, la forme du gouvernement et la constitution de la nation. Il implique même une philosophie : celle de l’ordre naturel ; une morale : celle de l’intérêt bien entendu. Les fondateurs du système n’ont pas manqué de dégager l’une et l’autre ; ce n’est pas la base de leur édifice, mais c’en est le couronnement. Nous avions d’abord pensé qu’il nous serait possible de laisser dans l’ombre cette partie de leur œuvre ; nous avons dû reconnaître que notre tableau eût alors été incomplet au point d’être infidèle. Pour mener à bien cette analyse méthodique de la doctrine physiocratique, c’était pour nous un devoir strict de ne pas restreindre nos lectures aux œuvres principales de ceux qui en ont été les maîtres, comme le docteur Quesnay et le marquis de Mirabeau, ou les plus brillants adeptes, comme Dupont de Nemours, Le Trosne, Mercier de la Rivière, ou l’abbé Baudeau. On ne nous aurait point pardonné de négliger les disciples obscurs, même la foule des anonymes dont les écrits remplissent les journaux du parti. Aux yeux de l’historien les œuvres classiques ne sont pas les seules qui possèdent une valeur représentative. 1 Notre tâche n’était encore qu’à moitié remplie. Une doctrine de cette importance ne se constitue pas sans que son éclosion ait été préparée par un long mouvement d’idées antérieur. Elle ne se développe pas non plus dans une atmosphère d’indifférence ou d’hostilité ; elle ne se propage pas sans le concours plus ou moins direct d’une bonne partie de l’opinion contemporaine. L’étude des origines immédiates ou plus lointaines, nationales ou étrangères, du système physiocratique était l’introduction indispensable de notre sujet 2 ; comme celle des écrivains qui en ont subi l’influence formait le complément nécessaire de notre exposé. Mais il faut aller jusqu’aux faits pour expliquer les idées. S’il est des conceptions de l’esprit humain dont l’histoire soit intimement unie par des liens d’interdépendance mutuelle à celle des éléments matériels de la vie sociale, ce sont bien les conceptions économiques. Elles ne jaillissent pas spontanément du cerveau d’un homme de génie ; les plus systématiques se fondent sur une certaine interprétation de l’état de choses actuel ; les plus absolues sont même parfois inspirées des circonstances du moment. Ces doctrines, qui toutes pourraient être accompagnées d’un exposé des motifs historique, aboutissent presque toujours à un programme précis de réformes législatives. Tel est bien le cas des Physiocrates. L’application de leurs principes s’étend au domaine entier de l’administration. Quand celle-ci les a partiellement adoptés, il reste encore à voir comment sont exécutés les ordres d’un législateur souvent mal obéi, et si l’effet est conforme aux vœux de ceux qui l’ont inspiré. Des résistances, bientôt des réactions, ne peuvent manquer de se produire : comment ne pas les étudier ? On connaît mal une école si l’on ignore ceux qui l’ont combattue. L’exposition pure et simple d’une doctrine dont certains points peuvent nous paraître aujourd’hui ridicules ou absurdes, risquerait d’être déplaisante ; et ce n’est pourtant pas l’affaire de l’historien de la réfuter aux noms des principes de la science actuelle. La critique faite par les adversaires eux-mêmes permet d’éviter toute apparence même de dogmatisme, dans un sens ou dans l’autre. Ainsi entendue, l’histoire d’un mouvement d’idées nous permet de reconstituer sous un certain aspect, d’un certain point de vue, le tableau impartial d’une époque. L’étude du système physiocratique replacé dans son milieu nous fournit comme une coupe à travers la vie économique de la France au milieu du XVIIIème siècle. Alors que nos informations directes sur l’organisation et l’évolution économique de ce temps — surtout en ce qui touche l’agriculture — sont encore pauvres, incertaines, fragmentaires, il nous a semblé qu’elle pourrait apporter à nos connaissances un appoint particulièrement utile. D’ailleurs, l’œuvre de ces hommes laborieux, pleins de talent, sinon de génie, animés d’un amour ardent pour le bien public et formés au cours d’un siècle fécond en découvertes, offre en elle-même un intérêt permanent. N’a-t-on pas vu même leur projet d’impôt territorial unique, repris à la fin du XIXème siècle par l’économiste Henry George, devenir aux États-Unis le point de ralliement d’un parti ? Leurs idées sur la constitution d’une nation agricole, où les propriétaires devaient seuls jouer le rôle de citoyens actifs, n’ont-elles pas reçu une application partielle sous la Constituante, et, plus près de nous, sous la Restauration ? Dans l’ordre philosophique, ne peuvent-ils être comptés parmi les précurseurs de l’utilitarisme et du matérialisme historique ? Mais leur plus beau titre de gloire, est-il besoin de le rappeler ? c’est d’avoir été — avant Adam Smith lui-même — les créateurs de la science économique. Chose singulière, c’est à l’étranger surtout que leur mémoire a été honorée. C’est à Francfort qu’on a publié une édition complète des œuvres de Quesnay. Pour célébrer le deuxième centenaire de sa naissance, c’est à Londres qu’on a reproduit son Tableau économique. Chez nous, le Docteur a son buste, érigé en son village natal ; nous comptons d’excellentes monographies sur quelques-uns des membres ou des précurseurs de son école 3 ; nous ne possédons aucun ouvrage d’ensemble sur ce « système agricole » qui a eu sans doute des inspirateurs en Angleterre et qui a trouvé des adeptes en maint pays de l’Europe, mais qui porte si profondément la marque de l’esprit français, et que ses auteurs ont construit avant tout pour rendre la prospérité au royaume de France. Il nous a semblé qu’il y avait là une lacune. Peut-être, enfin, cette étude sur les commencements de l’économie politique moderne comporte-t-elle quelques enseignements. On incline parfois à penser que certains principes généraux posés par les fondateurs de cette science, comme ceux de propriété individuelle ou de liberté, sont des vérités immuables et absolues. Peut-être n’était-il pas indifférent de constater qu’ils ont été formulés tout d’abord comme les conclusions d’un programme de revendications pratiques dicté par des intérêts particuliers ; qu’il y a eu au XVIIIème siècle en France non pas une, mais deux écoles d’économistes, qui ne s’entendaient pas exactement sur l’interprétation de ces principes ; et que dès l’origine il s’est élevé contre certaines des nouvelles maximes des maximes contraires. INDEX BIBLIOGRAPHIQUE METHODIQUE
Dupont de Nemours. — Catalogue des écrits composés suivant les principes de la science économique. Éphémérides, fév. 1768 Notice abrégée des différents écrits modernes qui ont concouru en France à former la science de l’Économie politique. N ° 1, 2, 3, 4, 5, 7 et 8 des Éphémérides de 1769 Morellet (abbé). — Catalogue d’une Bibliothèque d’Économie politique. À la fin du Prospectus. Bibliographies jointes à l’article Physiocrates du Dictionary of Political Economy de Palgrave, du Handwörterbuch der Staatswissenschaften de J. Conrad et H. Lexis ; au tome premier de la Geschichte der Nationaloekonomie de A. Oncken ; au tome premier de l’Histoire des systèmes économiques et socialistes d’Hector Denis (p.181). Bibliographie étrangère relative à la législation des grains en France. En appendice à la traduction de Roscher, Du commerce des grains, par Maurice Block. 1854
Œuvres imprimées de Quesnay, dans l’édition de A. Oncken Œuvres économiques imprimées du marquis de Mirabeau, dans H. Ripert, Le marquis de Mirabeau Bibliographie complète de Dupont de Nemours dans le livre de M. Schelle sur Dupont de Nemours et l’Ecole physiocratique Bibliographie de Le Trosne dans le livre de J. Mill : Un Physiocrate oublié Bibliographie de Gournay dans le livre de M. Schelle : Vincent de Gournay Voir aussi les articles correspondants des Dictionnaires cités ci-dessus ; de la Biographie universelle de Michaud ; du Dictionnaire d’Économie Politique de Coquelin et Guillaumin. Pour les manuscrits économiques de Quesnay et du marquis de Mirabeau conservés aux Archives nationales, voir notre Thèse complémentaire. II. — SOURCES GENERALES (Communes à la période des Origines et à la période 1756-1770) A. — Sources contemporaines (antérieures à 1770) a. — Manuscrits A. N. F" 264. Documents sur les subsistances et les approvisionnements en grains, XVIIIème siècle A. N. F" 264. Correspondance et mémoires sur le commerce des grains. 1724-1787 A. N. K 944. Sociétés agricoles, XVIIIème siècle A. N. KK. 944. Mémoires sur l’agriculture, XVIIIème siècle b. — Imprimés 1- Pièces officielles A. N. AD. IV. 1. Agriculture en général A. N. AD. XI. 39. Législation sur les grains de 1741 à 1779 B. N. Collection des Édits, Déclarations et Arrêts du Conseil d’État B. N. Procès-Verbaux du Conseil du commerce, XVIIIème siècle B. N. Recueil des principales lois relatives au commerce des grains ; avec les arrêts, arrêtés et remontrances du Parlement sur cet objet ; et le procès-verbal de l’Assemblée générale de police tenue à Paris le 28 novembre 1768, 1 vol. in-12, 1769 2- Périodiques Journal économique : de 1751 à 1757, 28 vol. in-12 (4 volumes par an. Chaque volume contenant 3 numéros) Mercure de France. 1 vol. in-12 par mois B. — Sources postérieures (postérieures à 1770) G. Afanassief. — Le commerce des céréales en France, 1894. — Essentiel pour l’étude de la législation A. Araskhaniantz. — Die französische Getreide-Handelspolitik bis zum Jahre 1789. Schmoller’s Forschungen, 1882 Amb. Arnould. — De la balance du commerce, et des relations commerciales extérieures de la France, 2 vol. in-8°. An III Augé-Laribé. — Histoire des doctrines en France sur la répartition du sol, in-8°, 1902. — Superficiel. Ch. Aubertin. — L’esprit public au XVIIIème siècle, 1873. —Quelques indications seulement Avenel (vicomte d’). — Histoire économique de la propriété, des salaires, des denrées et de tous les prix en général depuis l’an 1200 jusqu’en l’an 1800, 4 vol. in-4°. — Documentation abondante, vues intéressantes ; mais conclusions souvent téméraires. A. Babeau. — L’instruction primaire dans les campagnes avant 1789, 1876 A. Babeau. — La Province sous l’Ancien Régime, 2 vol. in-8°. 1894. — Quelques indications seulement. A. Babeau. — Le village sous l’Ancien Régime, 3ème éd., 1 vol. in-16. 1882. A. Babeau. — La vie rurale dans l’ancienne France, 1883 H. Baudrillart. — « La question de la population en France au XVIIIème siècle », Journal des Économistes, 1885, t.XXX H. Baudrillart. — Les populations agricoles de la France. 3 vol. in-8°. 1er vol. Normandie et Bretagne, 1885. 2ème vol. Maine, Anjou, Touraine, Poitou, Flandre, Artois, Picardie, Ile-de-France, 1888. 3ème vol. Populations du Midi, 1893. — Quelques indications seulement. H. Baudrillart. — Gentilshommes ruraux de la France, 1894 St. Bauer. — Zur Entstehung der Physiokratie. Auf Grund ungedruckter Schriften François Quesnay’s, Jahrbucher fur Nationalokonomie und Statistik, vol. XXI, août 1890. — Analyse et commentaire de l’article Hommes. Important. Behmeh abbé;. — Essai sur le tiers étal rural en Sonnandie . au XVlll* siècle, 1891. L’». 112. L. Bioi.LAV. — Le paclf de famine. L’administration du commerce. 1885 — LWx. 1.748. An. Bi.A.NQUi. — Histoire de l’Economie politique, 183":. — R. 29.2". Sommaire; mais des observations judicieuse». Camh.lk Bloch. — Lu répartition île la propriété Toncière à la veille de la Révolution dans quelques paroisses de la généralité d’Orléans. Rev. Hisl. mod. et contemp., t. M. G. Bot’Hc.rx. — Les conimunau.\ et la Révolution framaise. .Nouvelle Revue hislorii|iie de Droil fran(;ais et étranger, nov.-déc. ll’OS. iioTEH UE Sainte-Suzanne. — Les intendants de Picardie et d’Artois, 1865. — L>^i 19.111. Lkon Caiien. — L’idée de la lutl<‘ dr cla-»,.. ,.|) l’r.iii.c ,111 win* -ircl.- Rev. Svnth. hist.. fév. 1900. XVI INDEX inBLIÙGRAPriIQUE. l^ALONNE (X. de). — Lu vie agricole sons l’Ancien Régitne dans le Nord de la France, 1 vol. in-18, 2’ éd. 1885. — l.i«. 83 A. E. CiiouLLiEii. — Les Trudame, 1884. L-^"\ 1.803. — Une brochure. E. GiiiNON. — Les démembremenls de la propriété foncière en France^ avant et après la Révolution, 1881. 8° F. 2. -217. A. Dks Ciu.KULS. — Histoire et réf/iine de la grande indus/rie en France au XVtl’ el au AT///’ siècle, 1808. — 8° V. 27.o8i. Documentation importante. A. Des Cii.lkixs. — Vincent de Gournay d’après des travaux récents. Réforme sociale. 16 fév. 1898 .— 4° R. 4.012. Clamaoekan. — Histoire de L’impôt en France, t. Ill (1683-117 i . — Lfi6;x23. PiEHRE Clément. — Histoire du si/stème prolecteur en France. 1834. — R. 31.888. — En appendice, quelques-uns des Mémoires des Députés du commerce de 1701. (^OQUEUN el GoiLLAUMiN. — Dictionnaire d’Economie politique. L. GossA. — Histoire des doctrines économiques, 1899 — 8° R. 15.759 — Excellente. GosTAZ. — Histoire de l’administration en France de l’agriculture, des arts utiles, du commerce, etc. 3 vol. 8", 1843. — L’"‘- 6. Darestk ue LA Ghavanne. — Histoire des classes agricoles en France, 2’ éd., 1858. — L16. u. Dexis (Abbé). — L’agriculture da)is Seine-et-Marne, 1881. — 8°S. 4.881. DioNNiiT. — Le néo-mercant ilisme au XVUI’ s’tècle et au commencement du A7X«, 1901. — 8’’F. 13.081. DoN’iOL. — Histoire des classes rurales en Fraiice, 1857. L’’’. 14. AuG. Dubois. — Les théories psychologiques de la valeur au xviii° siècle. — Rev. Econ. pol., 1897. — 8’’R 8.471. Th. Ducrocq. — La corvée des grands chemins et sa suppression en France, et spécialement en Poitou. Rev. Gén. Droit. 1882. — 8°F. 847. Dupont de Ne.mouks. — Analyse historique de la législation des grains depuis 1692. 1789. — L^^s, 2.340. Flour de Saixt-Gexis. — La propriété rurale eti France, 1902. — 8°F. 13.747. FoLRMERDE Flaix. — la réfor)ne de l’impôt en France, 1. 1, 1885. Li"»‘‘*- 98. FoviLLE (de). — Le morcellement. 1885. — 8° R. 6.875. Gébelin. — Histoire des milices provinciales (1688-1791). 1882. — L^of- 99. Glasson. — Les communaux el l’Ancien Droit. Nouvelle Rev. hist. du Droit. 1891. — 8’’F. 232. Graffin. — Les biens communaux en France. 1899. — 8°F. 11.550. W. Hasbagh. — Les londements philosophiques de l’économie politique de (juesnay et de Smith. Rev. Econ. pol., sept. 1893. — 8° R. 8.471. Elude importante. HiPPEAU. — Le Gouvernement de Sormandie aui- X\ 11’ et XilII’ siècles. 9 vol. 8» 18(33-1869, t. 1, U, 111 et IV. — L^^. i.-2gu. Gh. Hùfkmann. — L’Alsace au XVHI’ siècle, 4 vol. 8°, 1906-1907. t. 1. L2k .5.276; JuBAiNviLLE (Arboisdu). — L’administration des intendatits (d’après les archives de l’Aube). 1880. — U■^6. 182. G. JuLLiAN. — Histoire de Bordeaux. 4" 1895. — L^’t. 2’J.G18. Kareïev. — Les paysans et la question paysanne en France. Trad. franc. I.NUtX HIUI.KMiU.U’lllgUE. xvti 181)9. — L"! 1 ‘•"). — liichu (loiiuiieiilalioii; bibliogrupliie très importante : ni.iis bt-aiiioiip (i’affiriiiatious values. Th. I.abat. — L’etonoiiiie j)olili(|iie à l’Académie île IJorieaiix pendant le xviu* sièfl.-. Atte.s de l’Aciclemie. 18S1-1S88. — Z. :i8.6n. K. 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Mathieu (abbé). — L’Ancien régime en Lorraine. 1878. — I>-2 3.0F’)4. M.M’ci’iN. — Eludes liistoriques sur l’adminisl ration de l’agrictillure. 18"6, t. 1. — 8" S ;101. — Utile encore aujourd’luii. MoNTYON. — l’arlicidarile’s et observations sur les ministres des finances les plus célèbres depuis 1660 jusqu’en 1791. 1812. — L""‘- 3. MoREi.LET (abbé). — Mnnoires jnédils. 2 vol. 8°. 1821. — U^^- 89. A. Oncken. — Die Maxime : Laissez faire, laissez passer. 1886. — 8° R. 8.3iO A. Oncken. — Entstehen und Wenlen der Physiokratische Théorie. Fran- kenstein’s Vjerteliahrschrift fiïr Staats-uad Volkswirthschift, T. V, 1897. — S’-Z. 13.968. A. Oncken. — Gesctiictite der Nafionalœltonomie. Première partie 1902. 8° II. 11.921. Ouvrage d’érudition; indispensable à consulter. B. Raynai D. — Les discussions sur l’ordre naturel au xviii* siècle. Hev. Econ pol., 1903. H. Rivière. — La législation sur les grains, 1859. — F. 43.538. Contient quel ques documents. F. RocQUAiN. — L’esprit réoolulionnaire avant la HcvolulionASlS. La^o. 47. RoSNY ! H. nE). — Histoire du Boulonnais. 4 vol. 8° 1869-1873, t. IV. — L2k 2.310. Ph. Sagnac. — La propriété foncière au xviii’ siècle. Rev. Hist. mod. et "cont., juillet-août 1901, t. 111. A. SciiATZ. — L’œuvre économique de David Hume. 1902. — 8° F. lo.l9j. A. ScHATZ. — L’individualisme économique et social. 1907. — Quelques indi cations. G. Schelle. — Vincent de Gournay, in-lG. 1897. — Ln^"- 43.015. SciiMOLLER. — Die englisehe Handelspolitilc des 17 und IS Jahrhun- derts. Jahrbucti fiir Gesetzgebung, Verwaltung und Volkswirthschaft. 1899. —8° F. 176. H. Sée. — Les classes rurales en Bretagne du XVI" siècle à la Bévolu- lion. 1906. — L6I- 167. R. Stol’rm. — Les finances de la France sous l’Ancien Régime et sous la Révolution. 2 vol. 8° 1885. — L"6- 194. H. Taine. — L’Ancien Régime, 1876. TocQi’EViLLE (De). — L’Ancien Régime et la Révolution. 2’ éd. Is.lfi. — L^-» 411. A. — Quelques indications. G. THAPENARn. — Le pâturage communal en Haute-Auvergne, aux XVH’ et XVI 11’ siècles. 1908. Vaissière (P. de\ — Gentislliommes campagnards de l’ ancienne France . — 1903. — L12 113. ViGNON. — Etudes historiques sur l’administration des voies jiubliques en France, t. 111. 1862. — V. 51.931. Vroil (J. de). — Etude sur Clicquof-Blervaclie, 1870. — L-’’"- 23.33."j. WoLTERS. — StiJiUen iïber Agrarzust’inde und Agrarproblem in Fran- kreich, von 1760 bis 1790. 1905. SchmoUer’s Forschungen. Band 22. Heft 5. -. 8» R. 1301. — Etude approfondie. D. ZoLLA. — VarialiOMs du revenu et du prix des terres en France aux xvii" et xviii" siècles. — Annales de l’E.’ole libre des Se. politiques. 1893-1894. — 8" R. 7.787. — Données statistiques très précieuses. INDEX BIHLIOGHAI’IIIQIK. xi\ III. - SOURCES PARTICULIÈRES A LA PÉRIODE DES ORIGINES ..v.ml t7,i(i .1. — Ouvrages contemporains AïKiEXSON fmarqiiis d). — Consiilénilions sur le gouvernetnenl de la France. Composées vers 113!». i:il. llfii. — L’»*’’. 0(59. Akgknson {iiiaiv|iiis d). — Du bien que les seigneurs peuvent faire aux habitfint» de leurs terres, J. E., juin 1751. Ahge>sox (marquis d). — Observations sur la Dissertation du marquis Belloni. Jiurn. écon.. avril 1151. — Ob.«ervations relatives a la libcrlc du commerce. AitiiE-NsoN mar(|uis d). — Mémoire sur le commerce des grains. ./’j?/cHfr/ éconintiif/ve, mai n.’i4. Akgexsox (marquis d"). — Mémoires el Juiirnal iurdils. Ed. Jannet, 5 vol. in-lt!, I8.M-1S.",8. — Lb-’«. 13.V.). A. -VnoEvsoN marquis d’). — Journal el Mémoires. Ed. Kathcrv. fl vol. in-8. 185H-180T. — Lb»B. 1.3G2. BoiSGiiLi.EitKUT. — Œiirre.^. Colleclion des Kconomistes Guillaumin. Ed. ista. t. I. Boi I.AINVILLIEHS (c" de). — Mémoires iiresenlés à Mf/r le Dm: d’Orléans, réf/en/ de France; contenant les moyens de rendre ce royaiune très pui-saiit, et d’iufjtmenler considérablement les revenus du roi et du peuple. Publiés en 1727, 2 tomes en un vol. — H. 29.725-6. Kantillo.n. — Fssai sur la nature du commerce. Ed. Londres. 1756. — S" V. 7.2i)l. JoSi.AS CiiiLD. — Traité sur le commerce, el sui les avantages qui résul- tent de lu réduction de iinlérél de l’arr/enl. Ecrit en 1(169. Trad. Gournay, 175i — V. .34.727. Ci.icoi;ot-Blekvaciik. — Dissertation sur les e/fets que produit te taur de Vintérél de l’argent sur le commerce et l’agriculture, 1755. — |{‘ 3.437. Tu. Cl Li’KPiut. — l’elil traité contre l’usure, composé en 1621. Trad. Gour- nay, 1754 - V. 34.727. Da.ngkii. (IMumart de . — Traduction supposée de John Nickolls. Hemar- ques sur le.t avantages et les désavantages de la France el de la Grundc-liretagne, par rapport au commerce el au.r autres sources de puissance des Etats, 1754 — 8" V. 13.272. Deckeh. — E-sag on tlie causis of décline of /’oreign trude, 1740. Trad. Gua de Malves, 17."i7. DtUEHOT. — .Vrlicle Agriculture, t. I de V Envgclupédie. Ci.Ai oe Dt i’IN. — Mémoire sur les hlés. Conq)osé en 1742. Public une pre- mif-re fo s en ITiH. Beprodiiit dans le ./. E., l’év. el mars 1760. ‘^-i.AiDR l)i PIN. — Œconomiques, 3 vol. i", 1755. — Réserve. I{. l.:!i7-9. Spéiialcment les tomes I et III. — Ouvrage rare et important. Claude Dupin. — Observations sur l’Esprit des Lois, 3 vol. 8°, 1749. — Béserve. ‘R. 504. XX INDEX iui{lioghaj>hiquh;. Dlm’Hk de Saim’-Mauu. — l’essai .<(■ les monnaies, 1146 — 4" l\. ".120. — t>latistiqutjs agricoles où les Pliysiocrates ont largi;inerU puisé. DuToT. — lic/lexidiis sur le commerce, HiiS. Golleclion des Economistes fmîincicrs ilu xviii« siècle. Guillaumin, 1843. Fkneliin. — Télémaqiie. Livre X. Fénki.os. — Ecrits politiques. Œuvres. Ed. 1843, 4 vol, in-4’’. t. III. FoiuuiNNAis. — Le néqocianl aiujlais. 1753. Traduclion partielle du liritish tyierchani, de Goe, 1721. FoRHONNAis. — Reclierches el considérations s^^r les finances de la France de /.>9.> à 17-21, 2 vol. 4°. Ecrit en 1754. Publié en 1758. — L™. 11. FoiiBoNNAis. — Elémenls du commerce, 2 vol. in-12, 175i. — B. 34.986-7. FoiutoN.NAis. — Eramen ile^- avantages el des désavanlages de la prohihi- liiin des foiles peintes, -Marseille, 1755, in-12. — Vz. 2.243. GouitNAY (Vincent de). — Observations, jointes à YExamen ci-dessus. (îoi’HNAV (Vincent de). — Observations sur le l’apport fait à. M. le Contrù- leur-i:énéral par M. de S*’*, le 20 juin 17S5. — Publié en appendice au Mnnoire de Alorellutsur la Compagnie des Indes, I7t)’^. W.infra, p. xvi. GuKi vix DE Uademo.m’. — Nouve(ni traité sur la dîme ro//ale, 1715 — R. 37.926. Herheri’. — Essai sur lu police générale des grains. Les deux premières éililions, de 1733 et 175i, sont incomplètes. La première édition com- plète date de 1755, c’est celle-là que nous avons consultée. — S. 15.400. David Hume. — Essais moraux, politiques el liltéraires, 2’ partie. 1752. Collection des Economistes Guillaumin. Mélanges, t. I, éd. 1847. — L’Essai sur la jalousie commerciale date seulement de 1758. Law. — Voir Collection des Economistes financiers du xvni’ siècle. Guillaumin, 1843. Leroy. — Article Fermes dans VEncijclopédie, 1754. Locke. — Two treatises of civil governmeni, 1690. Ed. 1764 — *E. 2.008. Machault d’Arnouville (attribution à peu près certaine). — Mémoire sur le commei’ce des grains de 1749; publié par Dupont, dans son Anahjse historique de la législation des grains, 1789. V. S2ipra. p. iv. Melon. — Essai politique sur le commerce, 1734. Collection des Econo- mistes financiers du xviir siècle. Guillaumin, 1843. Mirabeau (marquis de). — Mémoire sur l’utilité des Etals provinciau.i , i" édition 1750; 2" 1757. Edition consultée, de 17’58; dans la 4’ partie do VAmi des hommes. MoNTESQiiEU. — Esprit des Lois, 1748. François Qcesnav. — Essai physique sur i’écononiie animale, -I" édition. 1747. Publié par A. Oncken, OEuvres de Quesnay, V. infra, p. xv,h. ■ ■ J.-J. RiiussEAU. — .Vrlicle Economie politique dans V Encyclopédie, 1753. Silhouette (Et. de). — Liée générale du gouvernement el de la morale des . Chinnis. 1729. — 0^". 37. JosiAS TucKER. — A brief essay on t/ie advantages and disadvanlaqes wich respeclivelij attend France and Greal Britain with regard lo trude, 1" éd. 17 18. Ed. consultée, 1753 — V. 53.326. Valban. — Dîme royale. Collection des Economistes financiers du xviu’ siècle. Guillaumin, 1843. Voltaire. — Lett>-es philosophiques sur les .inglais, 1734. Voltaire.— Le Mondain. 1736. INDEX m lil.Kx. It A nil ol I. XXI VciLiAiÉïK. — Di’/’en.sf (lu Moii \’oLTAiKK. — Olisfi milions sur MM. ./. Iaiw, Melon el Dulol, ll-’iS. VoLTAiHK. — Le/lreà M Tlnr,,.i .,,,• l\, M. Duloi. nas. B. — Ouvrages postérieurs. A. Alfm. — b’Aifjenson écono}niste,\’^*yi. —^’’ F. Xl.W.V.K — Etude conscien- rieuse. A. Mrktte. — Ln France au milieu du AT///* siècle (1747-110"), iJa[>rùs le Journ.il du marquis d’Argeason, ia-18. 1898. — L^-^». i.Ti.i. F. Cadet. — Iloisf/uHleberf précurseur des Economislrs, 1870. — L-’". 26.0H2. l’iKHiiK Ci.KMKM. — lli.s/aire dr CoUierl, T éd. 1874. 1 vol. in-lS. — 8° lu. ■i.:\m. A. A. Dlboi.s. — l’récis des doctrines économiques. Le Tome 1", seul paru, (eu t’JO.3 , traite des |i(‘‘riodcs .iMlérieurrs aux l’Iiysioriates — S" R.18.G8C. — Mctiiode scienlilique, cl firaudc éruditinn. \. F.si’iNAs. — \.:i troisiêuie i>liase et la dissolution du mercantilisme. Rev. internat? de sorioloyie, mars l!)(t2. Fag.mez. — L’économie rurale de lu France sous Henri IV. 1894 — L’^. 117. Fhotirr de la MKs.SKLiKitE. — lioisffuilleberl et le commerce des grains. Thèse de droit, Paris, 190:i. — Qi’clques indications. fl. IliGOs. — Cantillon’s plac(; in Economies. Quarterly Journal of Econo- mies, juillet 1892. — S» H. 9.327. lloKN. — L’économie politique avant les Pfiysiocrales. — 8" H. 38.743, — L’ouvrage traite surtout de la doctrine de iîoisguillebert. .Iaubeut. — Montesquieu économiste, 1901. — 8° F. 14.282. — Etude cons- ciencieuse. ^’T. Jevons. — Richard (^antillon and tlie nationality of political eco- nomy. Contem|)orary Reviesv, janvier 1881. — 8" Z. 909, F. JoLRi.EAU. — Etudes sur Coll>erl . 2 vol. 8". 1850. — L-f- 4. Emm.e Levasskuk. — Recherches historiques sur lesi/stèmede Law. \^ï)\. — !> 3R. 2.ÏS. — Très utile, encore aujourd’hui, li. Lk(;h.\nd. — Cantillon, un mercantiliste précurseur des l’h;/sio- crates. 1900. — 8» F. 12.920, .MfM.tNAMi {(‘t. DK). — Vie et œurres, de l’iiltl)é de Saint-l’iene. 18,’j7. — L-’’» 18.301. — Sommaire cl superliciel. G. Mii;iiEL el A. Liesse. — Vaulmn économiste. 1S9|. — L-"" 40.3Sii. .MiKAiiKAO (marfpiis de). — Hommes à célélirer pour avoir liien mérité de leur siècle et île l’humanité par leurs écrits sur l’économie politique. Ouvrage posthume publié par le P. Roscowilcli eu 1789. — 2 vol. 8". L".’* 8 4. — Eloge (unique) do Sully, roprijdnil des Fphémériiles. .\l\itri;i, .Maiiio.n. — Machault d’Arnouville. 1891. — L-^"-40. 473. — Excellent. .M. Pasoiukii. — .Sic Wdliam l’etty; ses idées économiques. 1903. — 8" F. 14.760. Très consciencieux. A. SciiATZ et R. CAii.i.KMKit. — Le mercantilisme libéral à la fin du XVII* siè- cle (1692-1700). Les idées économiques et /mliUifues de M. de Beles- f>nl. - 1906. Wkui.kii.shk. I iNiti: \ Il lit 1,1 ix; i!.\ l’MigiM’:. IV. SOURCES PARTICULIÈRES A LA PÉRIODE 1756-1770. A. - Sources contemporaines. a) Mainusckits. 1° Ay’chives Nalioiiales. F" 223. Correspondance des inlondant.s, et autres documents .sur le com- merce des grains. n68-m2. F»2 105’, folios 1, 12, 21, 37; et lOa^, lolios 1, 57. Délibérations du Bureau du coninierce (1764-1765). F*2 149, folio 194. Circulaire de Berlin aux intendants relative aux Socié- tés d’agriculture. 22 août 1760. Folios 250. 32cS, 3H0. Correspondance de Berlin relative à la libertr de l’exporlation des grains (1762-1763). F’’^ 713. Avis des Députés du commerce sur la liberté du commercp des grains ; des suifs. 31 déc. 1762. — 12 juillet 1763. F’2 715. Avis des Députés du commerce sur la question de l’exporta- tion. 26 oct. 1769. F30 1.(102. Mss. N° 382. Projet sur la réforme de l’impôt. 12 déc. 1766. — Mémoire d’inspiration physiocratique, si ce n’est pas l’œuvre d’un Physiocrate. H. 1485. Pour et contre le droit de clôture. H. 1503. Délibérations du Bureau d’agriculture de Brives. H. 1505. Mémoires lus à la Société d’agriculture de la Généralité d’Alenr çon (priniip.tlement en 1763). 11. 1508. Mémoires lus à la Société d’agriculture d’Auch. H. 1510. Lettre du Contrôleur général aux Sociétés d’agriculture, relati- ve à la liberté du commerce des grains. 28 juill. 1764. H. 1511. Correspondance relative à l’agriculture 1760-1766. H. 1512. « Travail pnur parvenir à la Déclaration du 14 août 1766 concer- nant les défrichements ». H. 1515. Défense des servitudes communales contre les agronomes, en faveur des manouvriers sans terre. H. 1515. Mémoire sur le droit de parcours et de vaine pâture dans les Ïrois-Evéches. 1769. H. 1518. Correspondance du (Contrôleur général avec les Sociétés d’agri- culture. (v. 885. N" 4. Mémoire justificatif de Laverdy pour la liberté d’exporta- tion, janv. 1768. Tableau comparatif des impositions qui frappentles exploitations rurales. K.. 906. N" 24. « Sur la nécessité des encouragements pour l’agriculture ■ Vers 1760. K, 906. N" 25. Mémoire sur l’utilité des Sociétés d’agriculture et sur le bien qu’elles peuvent produire. Rédigé dans les bureaux de Berlin ver> 1769. R. 906. N" 33. Correspondance enti-e le marquis de .Mirabeau et l’auleurdo IN l)K\ lill’.LhM. 1! \ i’il l(,.| I x.VMi la. France iif/ficole l’I iniirilniiile ii’ii>yi}n di- l.i l’Inmb.iiiie . \1&2. - <‘f Thèse coni/jléineultiire. ^ K. 906. N* 36. Lettre de lintendaiit «ie Soissons au (lonlroIcMir gém-ial. du 26 défombre HiiO, — Ciipir d um- lettre de Oiie-^nriv .:i rinlriidant de Soissons. — CA. Thèse coinpli-menlaire. \\. ‘106. n° i2. ^cltre de Oucsnay au iiiari|uis de AliraljiMU, vers 1"G2. Voii Thèse coinplèinenldire. K. !>08, N" 51. (înrresptjndance entre le (loiilniicur-i^’énéral et l’mli-ndaul de Soissons Meliand de Thoisy, août IIHI. — \ <>ir aussi les n"" .’JS. TM. m, 6:f. 65. 6ti. (;f. Thèse comiAénieiilniri’. .M. 718-185. MiDin.scvils Un Marquis itr Mirahruu ri ‘/<• ijnesnat/. Vnirnolir Thèse coinplèinenlaire. 2" Bibliothèque Nationnlr. Fonds français. S" 6.680. à 6.681. Journal dr Hardy, anfien libraire, s vol. iu-folin. 1161-11S9. Tome premier. .\’ 11. :!’.!. P. 84-1)1. .Muiuoire de Forbonnais sur la police des crains. llo8. P. 213 et sqq. Mémoire de .M. Heaujon sur le rommerre des forains. 1161 ou 1162. I».222 et sqq. MémoiredeM. ileSauvif;ny sur leioiiimerce desj,’rains. IIH:: P. 247 et sqq. Képonse du secrétaire d’ambassade de Londres à un (|ues lionnaire de iNS. de Sauvigny sur les «((ndilions du roniinerce des blés en Angleterre. 1163 N 14.29.->. Avis des Députés du coMunercc sui’ la liberté d’exportation des grains. 1764. N ■ I V.2’.)6. Avis du Bureau de 1 llùlel de \illc dr Paris sur lu liberté d’exportation des grains, \l(^^. 3" liildidlkèiiur (le l’Arsriinl. Mss. N<-2.8’J1. F" l.ïl. .Mémoire sur l’agriculture en Bourgogne, rédige par les Elusgéue- raux de la jirovinre. 17fi’.l. F’ 161. Discours sur la clôture des terres en Bourgogne, prononcé aux Ktats lie la province. 1769. F" m. Avis d’un .\cailéuiieieu Guilun de .Mor\eau) sur la rpiestion du parcoui’s. 1769. F" 179. Examen des Nouveauj- lissais d’af/riciilturr ù la faveur des enclos. F° 191. .Mémoire sur les avantages de la mouture r-c(uioiuique etdu coui merce des farines, par M. B. Beguillet), de la SociiMé d’agriculture de Lyon. 1769. h. — I.Ml’ItIMKS. 1" l’érioiliqurs. Journal encyclopédique, fonde en 17:)6. Notamment pour les années )’•>‘‘ et suivantes. — Z. 51.538 t sqq. .loin ii’il ‘le commerce, parRoubaudel LeCamus. 17.’i9-1762. — V. 2s. 126 eNqq. XXIV INDEX nilîl.lOG RA IMIIQUL. Gazelle |
![]() | «mécanique» qui se met en place. La répétition systématique très obsédante, voire gênante, dans le 3ème mouvement | ![]() | «mécanique» qui se met en place. La répétition systématique très obsédante, voire gênante, dans le 3ème mouvement |
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