I- le Tourisme culturel au niveau mondial







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I. Offre existante dans la ville de Rabat

Il y a huit siècles et demi que Rabat domine l’oued Bou Regreg et l’océan Atlantique. Plus de huit cents ans d’histoire y ont laissé quelques très belles réalisations, les unes réputées, les autres un peu plus oubliées des touristes. La médina est bien sûr incontournable, non pas que les souks soient les plus beaux ou les plus intéressants, mais parce que c’est là que bat le cœur de la ville. Les souks et l’un ou l’autre marabout ponctuent sa visite. En sortant de la médina par le boulevard Mohammed V, on rejoint la ville moderne qui vaut surtout par la visite de la nécropole de Chellah. A ne pas manquer lors d’un séjour à Rabat: la casbah des Oudaias. Derrière la porte Bab Oudaia, se cachent des petites maisons blanche et bleue qui rappellent immanquablement les Cyclades. Véritable bijou de cette casbah, le musée des Oudaias est installé dans un ancien palais de Moulay Ismaël. De l’autre côté de l’oued se trouve la ville de Salé où l’on conseille de se rendre au centre d’artisanat.

Dans une ville impériale tel que Rabat on trouve plusieurs sites à intérêt culturel et des mussées mettant en valeur ce patrimoine dont on peut citer :

  • Le Musée des Oudaias :

Le monument date du XVIIème siècle. Il a été construit par le Sultan Moulay Ismaïl.
Le musée regroupe une collection de costumes traditionnels de différentes régions du Maroc, de bijoux, d'instruments de musique, de tapis, de manuscrits...

  • Le Musée Archéologique : 

Le musée date de 1932. Constamment enrichi par les trouvailles archéologiques préhistoriques, romaines, préislamiques et islamiques.
Une riche collection en bronze et en marbre fait de ce musée une particularité : "la mule ivre", "le chien de Volubilis", "l'éphèbe couronnée de lierre", "les têtes de jeunes berbères", "Juba II".

  • Le Musée des Sciences de la Terre :

La pièce maîtresse de ce musée c'est le squelette d'un dinosaure sauropode de 15 m de long et datant de 150 millions d'année découvert dans le Haut-Atlas en 1979 dans la région d'Azilal. L'histoire géologique des origines de la terre y est bien sûr retracée.

  • Le Musée Postal :

Les philatélistes trouveront une importante collection de timbres marocains dont le premier timbre postal du Maroc datant de 1912.
En plus des timbres, le musée regroupe une collection de téléphones, de télégraphes de Baudot, de bélinographes, de fourgons postaux...

  • Villa des Arts de Rabat :

Construite en 1929 –période Art déco- cette élégante demeure est située au cœur d’un îlot de musées et de galeries. Inaugurée en tant qu’espace culturel en décembre 2006, elle a été pensée et réfléchie de telle façon que les artistes, tout autant que les visiteurs, puissent s’y reconnaitre.

Dans cette villa on trouve :

  • Villa du Parc : La villa du parc a le pouvoir évocateur de l'acte de création. Ici la toile donne le ton à ce lieu d'expression organisé.
    Œuvres peintes, découpées, martelées, modelées, l'amateur en sortira séduit tandis que l'exégète y découvrira l'exceptionnel.

  • Carré d'art : Futuroscope des créateurs, l'expression aura libre cours dans le carré d'art, à travers des installations, des sculptures géantes, des performances, ... véritable voltige plastique.

  • Al Borj : Ce volume de béton et de verre, s'élance vers le ciel et se veut un hommage ré-interprétatif à la tour Hassan.

  • Al Qantara : Al Qantara, passerelle entre les cultures, espace où s'exprimera la transhumance des arts, la croisée des disciplines, l'instant critique, la création dans tous ses états, improbable répit...Al Qantara est une salle polyvalente pour les conférences, les projections, les expositions. Une large ouverture latérale permet aux invités, en toute discrétion d'assister aux spectacles donnés dans le Forum .

  • Forum : Le Forum, théâtre qui aspire à devenir l'écrin de notre imagination. Par la remise en cause des valeurs établies, l'art nous fait découvrir que l'authentique existe, là où l'inhumain et la discipline se poétise.La scène permet le déroulement de petits spectacles lyriques, poétiques, musicaux ainsi que des conférences en plein air.

  • Diwan : Expositions permanentes ou itinérantes, rétrospectives d'éminents atistes, le Diwan est avant tout un lieu de consécration où couleur, lumière, ligne, matière, surface, volume vibrent à l'unisson.

  • Galerie sur cour : Pour les artistes en devenir, à la recherche d'une reconnaissance; opposition évolutive, œuvres divergentes, mystérieuse cohérence d'ombre et de lumière, de présence et d'absence, d'opacité et de transparence, lieu où la lenteur est illusoire. L’étage abrite la bibliothèque et la médiathèque, lieux de recherche et d'échanges entre étudiants, chercheurs, historiens et artistes.

  • Musée virtuel : L'espace virtuel accueille des réalisations proposées au visiteur comme autant d'écrans sur lesquels il doit à loisir pouvoir visualiser pour lui seul le spectacle de son propre imaginaire.

  • Médiathèque : Espace prioritairement dédié aux étudiants et chercheurs – donne accès à une sélection de bases de données ou de sites qui permettent la recherche d’informations par thème, d’articles ou de références dans les domaines des arts et de la culture. Une médiathèque publique spécialisée dont la vocation est de permettre à tous ceux qui se passionnent, s’intéressent ou s’interrogent sur les arts, la littérature, les sciences, l’économie de consulter ces différents thèmes. L’une de ses missions : contribuer à la constitution de fonds artistiques et scientifiques.

  • Village des Artistes : Chantier de l'art, les ateliers, aux noms prestigieux de Chaïbia, Kacimi, Gharbaoui, Cherkaoui, offriront aux créateurs la possibilité d'exprimer, de réaliser, de faire découvrir, de transmettre, de faire comprendre l'acte de création.

II. les projets en réalisation :

  • Aménagement de la vallée de Bouregreg :



  • Une initiative royale :


Sa Majesté Le Roi Mohammed VI, que Dieu le préserve, a donné le coup d'envoi des travaux d'aménagement des rives du Bouregreg le 7 janvier 2006.

La maîtrise d'ouvrage est confiée à l'Agence pour l'Aménagement de la Vallée du Bouregreg,

Un établissement public créé sur instigation royale. Le texte de loi portant sa création a été approuvée par les 2 Chambres du Parlement et publié au Bulletin Officiel.

  • Dates et chiffres clés:

Date de présentation du projet à Sa Majesté 12 mai 2004

Date de création de l’Agence du Bouregreg 23 novembre 2005

Date de lancement des travaux par Sa Majesté 7 janvier 2006

Espace global d'aménagement 6000 ha

Espace constructible Environ 15%

Profondeur de la Vallée 15 km

Hauteur du nouveau pont Moulay El Hassan 12,8 m

Aménagement et développement Bab Al Bahr 750 millions de $

Aménagement et développement Amwaj 3 milliards de $




  • Composantes du projet:

Le projet d’aménagement du Bouregreg est un programme intégré et structurant pour les deux rives du fleuve. Pour marquer son action, l’Agence du Bouregreg fonde son approche sur 4 principes essentiels ; à savoir :
Environnement : Facteur inextricable d’une vision d’ensemble qui se fonde sur le développement durable, la composante environnement s'inscrit dans une démarche écologique pour la préservation de la nature et l'amélioration du cadre de vie.
Citoyenneté : Par sa démarche participative et consensuelle, le projet Bouregreg se propose de concevoir un avenir meilleur aux générations futures. En plus des règles de citoyenneté érigées en normes de civilité et de conduite dans l’espace public, les programmes de formation offriront une qualité de vie idéale aux citoyens de Rabat et Salé.
Mémoire du lieu : Le respect de l’histoire impose l’adoption d’une démarche qui allie l’économique au culturel à travers la préservation des monuments, à l’image du projet de réhabilitation du Chellah ou de restauration des remparts et infrastructures des Oudayas.
Transports : En assurant la fluidité, la mobilité, et la facilité d'accès aux moyens de transport entre les villes de Rabat et Salé, on accélère le rythme d’intégration des deux villes jumelles. Le nouveau pont Moulay El Hassan, le tramway et le creusement du tunnel des Oudayas participent de cette politique d’agrégation et de cohésion des populations, de part et d’autre du Bouregreg.


  • Perspectives globales :

1 • La préservation de l'environnement vise à instaurer les règles de respect des équilibres naturels, y compris à travers la réhabilitation du site par la fermeture des décharges de l’Oulja et Akreuch. Ces mesures resteraient insuffisantes sans la mise en place de mécanismes appropriés d'interception des eaux usées et lixiviats déversés de manière sauvage sur les rives du fleuve.
2 • Les travaux de réhabilitation des carrières et de reboisement des collines tendent à renforcer la ceinture verte sur une profondeur de 15 km, de l’estuaire Bab Al Bahr jusqu'au barrage de Sidi Mohammed Ben Abdellah, en amont. Le reboisement des versants du fleuve améliorera leur résistance à l’érosion et préservera la flore et le milieu aquatique.
3 • La restitution de la navigabilité au fleuve redynamiserait la vallée dans son ensemble. Cette étape s’était révélée nécessaire à l'épurement des eaux, la construction d'un port fluvial et de quais de promenade et d’accostage des bar cassiers pour le transport des passagers d'une rive à l'autre.
4 • La facilitation du franchissement entre les deux villes et le soulagement du trafic routier se réaliseront à travers la construction de nouvelles infrastructures; un nouveau pont, un tunnel sous les Oudayas et un tramway reliant Rabat et Salé.

  • Séquence Patrimoine Historique et Archéologique :

LE CHELLAH : Une première action de réhabilitation des monuments historiques est programmée pour les prochains mois. Il s’agit de la réhabilitation du site de Chellah. Une mission en partenariat avec l’UNESCO a permis à une équipe d’experts de mener une étude préliminaire, et une convention définissant les modalités de collaboration avec le Ministère de la Culture a également été signée récemment. Les travaux de restauration du site seront échelonnés sur cinq ans.
LES OUDAYAS : Une deuxième action devra intéresser la Qasbah des Oudayas, où une série d’études est en cours. Elle concerne notamment le traitement de la falaise des Oudayas, ainsi que différents espaces publics. L’opération de réhabilitation est plus difficile sur le plan logistique, à cause de la présence des habitants. Une première phase concernera les monuments classés comme les murailles et les esplanades, alors que les monuments privés posent problème. La grande mosquée est en cours de restauration et les études d’assainissement et eau potable ont été lancées, en partenariat avec la REDAL. Les travaux de réhabilitation et de restauration de la muraille des Oudayas et de Bab Al Bahr, entamés en avril 2007, s’échelonneront sur 6 mois.
FOUILLES ARCHÉOLOGIQUES

Une action de fouille a intéressé le site Ribat Tachfine à proximité de la grande porte des Oudayas. Les travaux ont débuté en novembre 2006 et se sont achevés le 31 janvier 2007. Parmi les résultats des fouilles figure la découverte des fondations de Ribat Tachfine datant de la 1ère moitié du 12ème siècle et de la muraille almoravide et des portes à deux tours, qui remontent à l’époque Alaouite du 17èmesiècle, probablement au temps de Moulay Rachid. Par ailleurs, les fouilles ont également permis la découverte de canons du 18ème et 19ème siècle et d’ancres du début du 20ème siècle.

BÂTIMENTS HISTORIQUES : Dans le cadre d’opérations ponctuelles tendant à restaurer certains monuments, une opération de réhabilitation de bâtiments historiques sur le front fluvial de la médina de Rabat a débuté en juin 2006. Elle porte sur la réhabilitation de maisons et fondouks, aujourd’hui tombant en ruine. Cette opération porte sur l’indemnisation de nombreuses familles appelées à quitter les lieux et acquérir des logements sociaux dans des sites mieux adaptés.
RÉHABILITATION DE LA MÉDINA DE RABAT : L'Agence du Bouregreg a entamé en juin 2007 un projet ambitieux tendant à réhabiliter à terme, la façade fluviale, et ce après avoir indemnisé la totalité des occupants d'habitats insalubres.

En effet, une partie de la médina de Rabat était en situation de dégradation avancée, souffrant de surcharges générées par le flux démographique en provenance de l'extérieur de la ville, entraînant une situation sociale dégradée. Une série de transformations spatiales ont ainsi finipar déstructurer le cadre originel de l'endroit, favorisant l'insalubrité, la promiscuité et la prolifération d'habitats de type bidonvilles.
ÉTUDES : Concernant la restauration de monuments historiques à Salé, une série d’études sera lancée en septembre 2007. Elle porte sur l’esplanade de Sidi Ben Acher ; notamment la réhabilitation de cet espace situé sur la façade maritime de la médina de Salé. Des études similaires concernent également la mise en valeur et la restitution de l’ancien arsenal maritime mérinide à Bab Mrissa et Bab Antar.INE



  • La politique de communication du projet :


L'Agence pour l'Aménagement de la Vallée du Bouregreg fait de la communication institutionnelle l'une de ses priorités. Pour cela, elle vise à sensibiliser la société civile sur l'ampleur du projet et ses retombées positives sur les plans économique et social, à travers des émissions télévisées et des communiqués de presse, et à attirer l'attention des investisseurs nationaux et étrangers sur les opportunités qu'offrent l'aménagement et la mise en valeur des deux rives du Bouregreg.

Dans cet esprit, l'Agence du Bouregreg a lancé une campagne d'affichage à Rabat et Salé, permettant aux riverains d'avoir une vision globale sur le devenir architectural et sur l'attractivité économique et culturelle des deux villes. Par ailleurs, l'Agence a participé, par le biais de stands spécialement conçus pour l'occasion, au Salon d'Investissement Maroc-Dubaï à Marrakech en février 2006, et à la Foire Internationale d'Alger en juin 2006, dans lesquels le projet et toutes ses composantes ont été exposés aux investisseurs potentiels. Elle a également pris part au Salon de l’Immobilier Marocain à Paris (SMAP - IMMO France) en mai 2007.

D'autre part, et dans le souci de mieux suivre les différents chantiers du projet, l'Agence a redynamisé son site Internet et procédé à l'installation de caméras permettant la collecte d'images en temps réel sur l'avancement des travaux.

Enfin, en entreprise citoyenne, l'Agence du Bouregreg sponsorise divers évènements, tels le Moussem des Cierges, Karacena, le Festival International du Film de la Femme de Salé et le Festival Nautique International de Rabat, et apporte son aide à différentes associations.

HISTORIQUE ET PATRIMOINE HISTORIQUE ET ARCHÉOLOGIQUE

CONCLUSION

Le tourisme national et international a été et demeure un des principaux véhicules d'échanges culturels, une occasion d'expériences professionnelles non seulement de ce qui a survécu du passé mais aussi de la vie actuelle d'autres groupes humains. Il est de plus en plus largement reconnu comme une force positive qui favorise la conservation du patrimoine naturel et culturel. Le tourisme peut saisir les caractéristiques économiques du patrimoine et les utiliser pour sa conservation en créant des ressources, en développant l'éducation et en infléchissant la politique. Il représente un enjeu économique essentiel pour de nombreux pays et de nombreuses régions, et peut être un facteur important de développement, lorsqu'il est géré avec succès.

Le tourisme est devenu un phénomène complexe en plein développement. Il joue un rôle essentiel dans les domaines économiques, sociaux, culturels, éducatifs, scientifiques, écologiques et esthétiques. Parvenir à dépasser pour les valoriser les conflits qui peuvent exister entre les attentes et les aspirations des visiteurs et celles des communautés d'accueil, constitue à la fois un enjeu et une opportunité.

Le patrimoine naturel et culturel, comme la diversité des cultures vivantes sont des attractions touristiques majeures. Un tourisme excessif peut de la même façon qu'un tourisme inexistant ou mal géré nuire à l'intégrité physique et à la signification du patrimoine. La fréquentation touristique peut également conduire à la dégradation des espaces naturels ainsi que des cultures et des modes de vie des communautés d'accueil.

Le tourisme est porteur d'avantages pour les communautés d'accueil et leur procure des moyens importants et des justifications pour prendre en charge et maintenir leur patrimoine et leurs pratiques culturelles. La participation et la coopération entre les communautés d'accueil représentatives, les conservateurs, les opérateurs touristiques, les propriétaires privés, les responsables politiques, les concepteurs et les gestionnaires des programmes de planification, et les gestionnaires de sites sont nécessaires pour mettre en œuvre une industrie touristique durable et favoriser la protection des ressources patrimoniales pour les générations futures.

Bibliographie:

  • Ouvrages

« Action Commerciale » FLORENCE FERNANDEZ, agrégée d’économie et gestions, Professeur en BTS à Perpignan

« Marketing opérationnel »,Pr MOURAD SBITI, Ecole Supérieur de Technologie-Salé.

« Promotion et distribution Touristique» MOURAD SBITI, ISIT (Institut Supérieur International du Tourisme)

« Marketing », AHMED ZEKRI, Ingénieur d’état à INPT

  • Documentation :

Mme. BENSLIMANE, Directrice du Centre Régional d’investissement à Rabat.

HIND BOUNHAR, Responsable Marketing et communication, agence d’aménagement de la vallée Bouregreg

Mlle MAJDA Responsable département Tourisme Culturel et Mlle MERYEM BOURAZOUK responsable de gestion à l’Office National Marocain du Tourisme (ONMT)

MOHAMED OULD KHATAR, responsable du département Culturel à l’UNESCO.

  • Webographie :

www.tourismeculturel.net

www.memoireonline.com

www.visitmorocco.com

www.marketing-etudiant.net
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