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Cette édition électronique a été réalisée par Gemma Paquet, bénévole, professeure à la retraite du Cégep de Chicoutimi Courriel: mgpaquet@videotron.ca à partir de : Sigmund Freud (1914) Contribution à l’histoire du mouvement psychanalytique (1914) Une édition numérique réalisée à partir de l’ouvrage français Cinq leçons de psychanalyse suivi de Contribution à l’histoire du mouvement psychanalytique. Traduction de l’Allemand par le Dr. S. Jankélévitch en 1927 revue par l’auteur lui-même. Réimpression : Paris : Éditions Payot, 1965, (pp. 67 à 155) 158 pages. Traduction précédemment publiée dans la Bibliothèque scientifique des Éditions Payot. Collection : Petite bibliothèque Payot, n˚ 84. Polices de caractères utilisée : Pour le texte: Times, 12 points. Pour les citations : Times 10 points. Pour les notes de bas de page : Times, 10 points. Édition électronique réalisée avec le traitement de textes Microsoft Word 2001 pour Macintosh. Mise en page sur papier format LETTRE (US letter), 8.5’’ x 11’’) Édition complétée le 5 octobre 2002 à Chicoutimi, Québec. ![]() Table des matières Chapitre 1 Chapitre 2 Chapitre 3 SIGMUND FREUD CINQ LEÇONS SUR LA PSYCHANALYSE Sigmund Freud. Né en 1856 et mort en 1939, est le créateur d'une science dont les prolongements se font sentir aujourd'hui dans l'ensemble des sciences humaines : psychologie, médecine, sociologie, philosophie, anthropologie, linguistique, esthétique, etc. Après plusieurs autres textes de Freud parmi les plus importants, la "Petite Bibliothèque Payot" réédite deux essais du père de la psychanalyse, qui constituent peut-être la meilleure "défense et illustration" de cette science : Cinq leçons sur la psychanalyse, prononcées lors d'un voyage de Freud aux États-Unis, et Contribution à l'histoire du mouvement psychanalytique, où il retrace les débuts difficiles d'un mouvement qui s'est désormais étendu au monde entier. Retour à la table des matières Né à Freiberg (Moravie) en 1856 et autrichien de nationalité, Sigmund FREUD est mort à Londres en 1939, Créateur génial de la science psychanalytique, il est l'auteur d'une œuvre monumentale, aux innombrables prolongements et qui influence de plus en plus profondément l'ensemble des sciences humaines : médecine, psychologie, sociologie, philosophie, anthropologie, linguistique, esthétique, etc. 1) Depuis sa parution, la « Petite Bibliothèque Payot » s'est efforcée de mettre à la disposition d'un large public certains des principaux textes de Freud : Introduction à la psychanalyse (n˚ 6), Essais de psychanalyse (n˚ 44), Totem et tabou (n˚ 77) - sans oublier la remarquable étude de Marthe Robert: La révolution psychanalytique (nos 56 et 57). Voici aujourd'hui deux essais de Freud qui constituent peut-être la meilleure « défense et illustration » de la psychanalyse : Cinq leçons sur la psychanalyse, suivi de Contribution à l'histoire du mouvement psychanalytique. SIGMUND FREUD Retour à la table des matières CINQ LEÇONS SUR LA PSYCHANALYSE suivi de CONTRIBUTION À L'HISTOIRE DU MOUVEMENT PSYCHANALYTIQUE PETITE BIBLIOTHÈQUE PAYOT Retour à la table des matières Contribution à l'histoire du mouvement psychanalytique Traduit par le Dr S. Jankélevitch, 1927 Cet essai a été précédemment publié dans la « Bibliothèque Scientifique des Éditions Payot, Paris ». « Contribution à l'histoire du mouvement psychanalytique » par le Dr S. Jankélévitch. Traduction revue pour la « Petite Bibliothèque Payot ». Retour à la table des matières Fluctuat nec mergitur. Contribution à l’histoire du mouvement psychanalytique Chapitre 1 Retour à la table des matières Dans les pages qui suivent, je me propose d'apporter une contribution à l'histoire du mouvement psychanalytique. Cette contribution présente un caractère subjectif qui, je l'espère, n'étonnera personne, de même qu'on ne trouvera sans doute pas étonnant que j'y parle du rôle que j'ai moi-même joué dans cette histoire. C'est que la psychanalyse est ma création : pendant dix ans, j'ai été le seul à m'en occuper, et pendant dix ans c'est sur ma tête que s'abattaient les critiques par lesquelles les contemporains exprimaient leur mécontentement envers la psychanalyse et leur mauvaise humeur à son égard. Je crois même pouvoir affirmer qu'aujourd'hui encore, où je suis loin d'être le seul psychanalyste, personne n'est à même de savoir mieux que moi ce qu'est la psychanalyse, en quoi elle diffère d'autres modes d'exploration de la vie psychique, ce qui peut être désigné par ce terme ou ce qui pourrait être mieux désigné autrement. Ayant eu l'occasion, en 1904, de parler pour la première fois publiquement de la psychanalyse, du haut d'une chaire universitaire américaine, et conscient de l'importance que ce fait pouvait avoir pour les objectifs que je poursuivais, j'avais déclaré que ce n'était pas moi qui avais donné le jour à la psychanalyse, que c'était Josef Breuer qui s'était acquis ce mérite, alors que, encore étudiant, j'étais occupé à passer mes examens (de 1880 à 1882) 1. Mais des amis bienveillants m'ont fait observer depuis que j'avais poussé trop loin l'expression de ma reconnaissance ; que j'aurais dû, ainsi que je l'avais fait dans les occasions antérieures, faire ressortir que le « procédé cathartique » de Breuer constituait une phase préliminaire de la psychanalyse et que celle-ci datait du jour où, repoussant la technique hypnotique, j'avais introduit celle de l'association libre. Au fond, il importe peu de savoir si les débuts de la psychanalyse remontent au procédé cathartique ou à la modification que j'ai fait subir à ce procédé ; et si je mentionne ici ce point d'histoire, si peu intéressant, c'est parce que certains adversaires de la psychanalyse ne manquent pas, à l'occasion, de proclamer que c'est à Breuer, et non à moi, que revient le mérite d'avoir créé cet art. Je dois ajouter toutefois que la priorité de Breuer n'est proclamée que par ceux qui attachent quelque valeur à la psychanalyse ; quant à ceux qui lui refusent toute valeur, ils n'hésitent pas à m'en attribuer la paternité sans partage. La grande part que Breuer a prise à la création de la psychanalyse ne lui a jamais valu, à ma connaissance, la minime partie des injures et des blâmes qui m'ont été prodigués. Et comme j'ai reconnu depuis longtemps que la psychanalyse possède le don irrésistible de pousser les hommes à la contradiction, de les exaspérer, je suis arrivé à la conclusion qu'après tout il n'y avait rien d'impossible à ce que je fusse le véritable auteur de tout ce qui la caractérise et la distingue. Je me fais un plaisir d'ajouter que jamais Breuer n'a fait la moindre tentative de rabaisser mon rôle dans la création de la psychanalyse tant décriée et qu'il n'a jamais prêté le moindre appui aux tentatives faites dans ce sens par mes détracteurs. La nature de la découverte de Breuer a été tant de fois décrite et exposée que je puis m'abstenir ici de toute discussion détaillée sur ce sujet. Je rappellerai seulement qu'elle repose sur ce fait fondamental que les symptômes des hystériques se rattachent à des scènes de leur vie (traumatismes), qui, après les avoir fortement impressionnés, sont tombées dans l'oubli ; et qu'elle comporte un traitement en rapport avec cette constatation et qui consiste à évoquer, sous l'hypnose, le souvenir de ces scènes et à en provoquer la reproduction (catharsis). Aussi crut-il pouvoir formuler la conclusion théorique d'après laquelle les symptômes en question résulteraient d'une utilisation anormale de quantités d'excitation non libérées (conversion). Toutes les fois que, dans sa contribution théorique aux Études sur l'hystérie, Breuer a l'occasion de parler de, la conversion, il ne manque pas de citer mon nom entre parenthèses, comme si ce premier essai de justification théorique était ma propriété spirituelle. Je crois que cette propriété s'arrête au mot, tandis que la conception elle-même nous est venue à l'esprit simultanément et constitue notre propriété commune. On sait également qu'après sa première expérience Breuer avait délaissé son traitement cathartique et n'y était revenu qu'au bout de plusieurs années, lorsque, de retour de Paris où j'avais suivi l'enseignement de Charcot, j'avais cru devoir insister auprès de lui en ce sens. Il s'occupait de médecine interne et était absorbé par une nombreuse clientèle ; quant à moi, qui n'étais devenu médecin qu'à contrecœur, j'avais alors une raison très sérieuse de chercher à venir en aide aux gens atteints de maladies nerveuses ou, tant au moins, à pénétrer plus ou moins la nature de leurs états. J'avais commencé par me fier au traitement physiothérapeutique ; mais je ne tardai pas à me trouver impuissant et désarmé devant les déceptions que me causa l'Électrothérapie de W. Erb, si riche en conseils et indications. Si le jugement de Moebius, d'après lequel les succès du traitement électrique seraient dus à la suggestion, ne s'est pas alors présenté à mon esprit, ce fut pour une cause bien simple : je n'ai pas eu un seul succès à enregistrer. Le traitement par la suggestion au cours de l'hypnose profonde, traitement dont les séances auxquelles j'avais assisté chez Liébault et Bernheim m'avaient fourni des démonstrations impressionnantes, avait semblé, un moment donné, offrir une large compensation à l'abandon du traitement électrique. Mais l'exploration au cours de l'hypnose, à laquelle j'avais été initiée par Breuer, devait exercer sur moi, par son action automatique et par la satisfaction qu'elle offrait à ma curiosité scientifique, un attrait infiniment plus grand que l'interdiction suggestive, monotone, violente, incompatible avec l'exploration proprement dite. Nous savons aujourd'hui, et c'est là une des plus récentes acquisitions de la psychanalyse, que nous devons mettre au premier rang, au cours de l'analyse, le conflit actuel et la cause déterminante de la maladie. Or, c'est exactement ce que nous faisions, Breuer et moi, dès nos premières applications de la méthode cathartique. Nous attirions directement l'attention du malade sur la scène traumatique au cours de laquelle s'était produit le symptôme, nous cherchions à déceler dans cette scène le conflit psychique et à mettre en liberté le sentiment refoulé. Ce faisant, nous avons réussi à découvrir le processus psychique caractéristique des névroses, auquel nous avons donné plus tard le nom de régression. Les associations du malade remontaient, de la scène qu'on cherchait à reconstituer, à des événements psychiques antérieurs et obligeaient l'analyse qui voulait corriger le présent, à s'occuper du passé. Cette régression nous faisait remonter de plus en plus en arrière, généralement, nous sembla-t-il au début, jusqu'à l'époque de la puberté ; mais certains insuccès et certaines lacunes poussèrent l'analyse à poursuivre la régression jusqu'aux années d'enfance qui étaient restées jusqu'alors inaccessibles à toute exploration. Cette orientation ne tarda pas à devenir un des traits caractéristiques de l'analyse. On constata que l'analyse était incapable d'élucider l'actuel sans le ramener à un passé qui, sans être lui-même pathogène, n'en imprimait pas moins à l'événement ultérieur son cachet pathogène. Mais la tentation de s'en tenir à la cause actuelle connue était telle que, pendant de nombreuses années encore, je n'ai pu m'empêcher d'y céder. Pendant le traitement (en 1899) de la malade connue sous le nom de « Dora », je connaissais la scène qui avait fait éclater la maladie actuelle. Je m'étais efforcé, à d'innombrables reprises, de mettre à la portée de l'analyse cet événement psychique, sans jamais obtenir, malgré mes ordres directs, autre chose que la même description sommaire et pleine de lacunes. Ce n'est qu'après un long détour, qui nous avait fait remonter au-delà de la toute première enfance de la malade, que nous nous étions trouvés en présence d'un rêve dont l'analyse avait ramené le souvenir des détails oubliés de la scène, rendant ainsi possibles et la compréhension et la solution du conflit actuel. Ce seul exemple suffit à montrer à quelles erreurs on s'exposerait en suivant le conseil que nous avons mentionné plus haut et de quel recul scientifique on se rendrait coupable en négligeant la régression dans la technique analytique. La première divergence de vues entre Breuer et moi se manifesta à propos d'une question liée au mécanisme psychique intime de l'hystérie. Ses préférences allaient vers une théorie encore physiologique, pour ainsi dire, d'après laquelle la dissociation psychique de l'hystérique aurait pour cause l'absence de communication entre divers états psychiques (ou, comme nous disions alors, entre « divers états de la conscience ») ; il formula ainsi l'hypothèse des « états hypnoïdes », dont les produits feraient irruption dans la « conscience éveillée » où ils se comporteraient comme des corps étrangers. Moins rigoriste au point de vue scientifique, soupçonnant qu'il s'agit de tendances et de penchants analogues à ceux de la vie quotidienne, je voyais dans la dissociation psychique elle-même l'effet d'un processus d'élimination, auquel j'avais alors donné le nom de processus de « défense » ou de « refoulement ». J'avais bien essayé de laisser subsister ces deux mécanismes l'un à côté de l'autre, mais comme l'expérience me révélait toujours la même chose, je ne tardai pas à opposer ma théorie de la défense à celle des états hypnoïdes. Je suis cependant certain que cette opposition n'était pour rien dans la séparation qui devait bientôt se produire entre nous. Celle-ci avait des raisons plus profondes, mais elle s'est produite d'une façon telle que je ne m'en étais pas rendu compte tout d'abord et ne l'ai comprise que plus tard d'après des indices certains. On se rappelle que Breuer disait de sa fameuse première malade que l'élément sexuel présentait chez elle un degré de développement étonnamment insuffisant et n'avait jamais contribué en quoi que ce soit à la richesse si remarquable de son tableau morbide. J'ai toujours trouvé étonnant que les critiques n'aient pas songé à opposer plus souvent qu'ils ne l'ont fait cette déclaration de Breuer à ma propre conception de l'étiologie sexuelle des névroses, et j'ignore encore aujourd'hui si cette omission leur a été dictée par la discrétion ou si elle s'explique par un manque d'attention. En relisant l'observation de Breuer à la lumière des expériences acquises au cours de ces vingt dernières années, on trouve que tout ce symbolisme représenté par les serpents, par les accès de rigidité, par la paralysie du bras est d'une transparence qui ne laisse rien à désirer et qu'en rattachant à la situation le lit dans lequel était étendu le père malade, on obtient une interprétation des symptômes telle qu'aucun doute ne peut subsister quant à leur signification. On arrive ainsi à se former sur le rôle de la sexualité dans la vie psychique de cette jeune fille une idée qui diffère totalement de celle de son médecin. Breuer disposait, pour le rétablissement de sa malade, d'un « rapport » suggestif des plus intenses, d'un rapport dans lequel nous pouvons voir précisément le prototype de ce que nous appelons « transfert ». J'ai de fortes raisons de croire qu'après avoir fait disparaître tous les symptômes, Breuer a dû se trouver en présence de nouveaux indices témoignant en faveur de la motivation sexuelle de ce transfert, mais que le caractère général de ce phénomène inattendu lui ayant échappé, il arrêta là son exploration comme devant un « untoward event ». Il ne m'a fait aucune communication directe à ce sujet, mais il m'a fourni, à de nombreuses reprises, des points de repère qui suffisent à justifier cette supposition. Et lorsque j'ai adopté d'une manière définitive la conception relative au rôle essentiel que la sexualité joue dans le déterminisme des névroses, c'est de sa part que je me suis heurté aux premières réactions de cette mauvaise humeur et de cette réprobation qui, dans la suite, me sont devenues si familières, alors qu'à l'époque dont il s'agit j'étais loin de prévoir quelles me poursuivraient toute ma vie comme une fatalité. Le fait que le transfert sexuel, grossièrement nuancé, tendre ou hostile, s'observe au cours du traitement de la névrose, quelle qu'elle soit, sans qu'il soit désiré ou provoqué par l'une ou l'autre des deux parties en présence, m'est toujours apparu comme la preuve irréfutable de l'origine sexuelle des forces impulsives de la névrose. Cet argument n'a encore jamais obtenu toute l'attention qu'il mérite et n'a jamais été envisagé avec tout le sérieux qui convient, car si tel avait été le cas, l'opinion sur ce sujet serait, à l'heure actuelle, unanime. Quant à moi, je l'ai toujours considéré comme décisif, aussi (et plus souvent) décisif que tant d'autres données fournies par l'analyse. Ce qui fut de nature à me consoler du mauvais accueil qui, même dans le cercle étroit de mes amis, fut réservé à ma conception de l'étiologie sexuelle des névroses (il ne tarda pas à se former alors un vide autour de ma personne), ce fut la conviction que je combattais pour une idée neuve et originale. Mais un jour, certains souvenirs vinrent troubler ma satisfaction, tout en me révélant certains détails très intéressants, concernant la manière dont s'effectue notre activité créatrice et relatifs à la nature de notre connaissance. L'idée dont j'avais assumé la responsabilité ne m'était nullement personnelle. Je la devais à trois personnes dont les opinions avaient droit à mon plus profond respect, à Breuer lui-même, à Charcot et au gynécologue de notre Université, Chrobak, un de nos médecins viennois les plus éminents. Ces trois hommes m'avaient transmis une conception qu'à proprement parler ils ne possédaient pas. Deux d'entre eux contestaient cette transmission ; quant au troisième (le maître Charcot), il en aurait sans doute fait autant, s'il m'avait été donné de le revoir. Mais ces transmissions identiques que je m'étais assimilées sans les comprendre avaient sommeillé en moi pendant des années, pour se révéler un jour comme une conception originale, m'appartenant en propre. Jeune médecin des hôpitaux, j'accompagnais un jour Breuer dans une promenade à travers la ville, lorsqu'il fut abordé par un monsieur qui demanda instamment à lui parler. Je restai en arrière, et lorsque Breuer, la conversation terminée, vint une rejoindre, il m'apprit, dans sa manière amicalement instructive, que c'était le mari d'une malade qui venait de lui donner des nouvelles de celle-ci. La femme, ajouta-t-il, se comportait en société d'un manière tellement singulière qu'on avait jugé utile, la considérant comme nerveuse, de la confier à ses soins. Il s'agit toujours de |
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