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Vers la société post-industrielle, Paris, Robert Laffont, 1976. 100 : Ibid., p. 176. 101 : L’Après libéralisme. Essai sur un système-monde à réinventer, Paris, éd. de l’Aube, 1999, p.9. 102 : Ibid., p. 10. 103 : Ibid., p. 100. 104 : Ibid., p. 45. 105 : Ibid, p. 63. 106 : Cependant, s’il s’avère finalement que « désintégration » soit un terme plus exact que « révolution » pour décrire tout l’inconnu de ce qui se déroule actuellement sous nos yeux, quelle posture, quel positionnement politiques devrions-nous alors adopter. Ibid., p. 18. C’est nous qui soulignons. 107 : Ibid., p. 189. 108 : Paris, Françoise Bourin, 1991. 109 : La Trahison des lumières, op. cit., p. 68. 110 : Gilles Lipovetsky : Le Crépuscule du devoir. L’Ethique indolore des nouveaux temps démocratiques, Paris, Gallimard, 1992. 111 : Le Nouveau Moyen-âge, Paris, Gallimard, 1993, p. 15. 112 : Ibid., p. 10. 113 : L’Après libéralisme, op. cit., p. 208. 114 : La Condition postmoderne, op. cit., p. 88. 115 : L’Après libéralisme, op. cit., p. 208. 116 : Physique quantique et représentation du monde, Paris, Le Seuil, 1992, coll. Points Sciences, p. 30. La publication des travaux dans les collections grand-public, témoignent de ce décalage : W. Heisenberg, La Nature dans la physique contemporaine, Paris, Gallimard, 1962, coll. Idées, Gilles Cohen-Tannoudji et Michel Spiro, La Matière-espace-temps, Paris, éd. Folio, 1990. 117 : Ibid., p. 33. 118 : Ibid, p. 69. 119 : La Condition postmoderne, op. cit., p. 94. 120 : Paris, éd. de Minuit, 1992, p. 110. 121 : Cf. James Gleick : La Théorie du chaos. Vers une nouvelle science, Paris, Albin Michel, 1989, Pierre Gilles de Gennes (sous la direction de ) : L’Ordre du chaos, Paris, Belin, 1989, David Ruelle : Hasard et chaos, Paris, Odile Jacob, 1991. 122 : Cité par James Gleick : La Théorie du chaos, op. cit., p. 21. 123 : Ibid., p. 24. 124 : Les Objets fractals, Paris, Flammarion, 1985, 1984, 1989. 125 : « Se dit d’une figure géométrique ou d’un objet naturel qui combine les caractères que voici :
126 : Ibid., p. 127. 127 : Stabilité structurelle et morphogénèse, Paris, Ediscience, 1972, Paraboles et catastrophes, Paris, Flammarion, 1980. Notons la tentative de Jean Petitot d’appliquer à la sémiologie la théorie des catastrophes : Morphogénèse du sens, Paris, P.U.F., 1985. 128 : Cf. dans Introduction à une poétique du Divers, op. cit. , la référence à Heisenberg, p. 75, à la théorie du chaos et à la notion d’imprédictibilité, p. 85. 129 : « On peut se poser scientifiquement (…) des questions comme celles-ci : quelle est la longueur de la côte bretonne ? Mais si on veut être scrupuleux, en allant de cap en cap, de caillou en caillou, on constate qu’il n’y a pas de réponse définitive. » in Une apocalypse tranquille, Paris, Grasset, 1985, p. 217. 130 : Cf. « Le Manifeste chaoticiste » in Atlantica, Paris, Grasset, 1986. 131 : Critique de la modernité : « Naissance du Sujet », op. cit., p. 268. 132 : Cf. Julia Kristeva : Etrangers à nous-mêmes, op. cit., p. 252. 133 : Homo hierarchicus, Paris, Gallimard, 1966. 134 : L’Ere du vide. Essai sur l’indidualisme contemporain, Paris, Gallimard, 1983, coll. folio essais, 1993, p. 20. 135 : Ibid., p. 10. 136 : On peut illustrer ce « retrait » par un passage de Paul Virilo où il rapporte ce qu’Alain Bombard, qui avait traversé l’Atlantique en naufragé volontaire, pense de l’exploit de Gérard D’Aboville, an 1991 : « La principale différence avec la traversée que j’ai effectuée se situe au niveau de la motivation. En ce qui me concerne, je voulais prouver que les naufragés peuvent suivivre en mer. Abandonner signifiait que l’on ne pouvait pas y parvenir et cela concernait beaucoup de gens…Par contre la motivation de Gérard d’Aboville est uniquement personnelle, son périple de 10 000 kilomètres à l’aviron est un exploit purement sportif, presqu’inhumain qui représente une limite. » En effet, d’Aboville déclare à son arrivée : « Ce que j’ai fait ne sert à rien, mais je l’ai réussi…maintenant, c’est le vide, je ne sais plus quoi faire de cette vie que j’ai gagnée. » Et Virilio ajoute que « l’exploit de Bombard était le reflet d’une société solidaire » tandis que celui de d’Aboville est « si intime que personne en fin de compte, ne saurait le comprendre. », in Un paysage d’événements, Paris, Galilée, 1996, p. 84-87. 137 : La Trahison des Lumières, op. cit., p. 181-182. 138 : Ibid., p. 184. 139 : Op. cit., p. 268. 140 : Ibid. 141 : Cf. Marc Gontard : Le Moi étrange. Littérature marocaine de langue française, Paris, L’Harmattan, 1993. 142 : Sur l’opposition entre identité-idem et identité-ipse, voir Paul Ricoeur : Soi-même comme un autre, op. cit. 143 : « Les représentations de l’altérité intime, dans les systèmes qu’étudie l’ethnologie, en situent la nécessité au cœur même de l’individualité, interdisant du même coup de dissocier la question de l’identité collective de celle de l’identité individuelle.» in Non-Lieux, op. cit., p. 29-30. 144 : Cf. Essai sur l’Exotisme 145 : L’Ere du vide, op. cit., p. 43. 146 : « Nous vivons l’ère du « groupisme », celle de la constitution de groupes défensifs, dont chacun revendique une identité propre autour de laquelle il tisse u réseau de solidarité, grâce auquel il luttera pour la survie aux côtés –mais aussi en concurrence avec- d’autres groupes semblables. » in L’Après libéralisme, op. cit., p. 21. 147 : Cf. Luce Irigaray : Ce sexe qui n’en est pas un, Paris, éd. de Minuit, 1977. 148 : La Transparence du mal, op. cit., p. 30. 149 : Cf. De l’ambiguité en architecture, Paris, Dunod, 1976. 150 : Op. cit. 151 : Charles Jenks, traduction française : Le Langage de l’architecture postmoderne, Paris, Denoël, 1979, p. 9. 152 : Cf. Martine Lani-Bayle : Du Tag au Graff’art. Les messages de l’expression murale graffitée, Marseille, Edition Hommes et Perspectives, 1993, coll. Psychologie et société. 153 : Le Champ de bataille post-moderne/néo-moderne, op. cit., p. 102. 154 : Car le rhème, où s’articulent représentations sociales et figures textuelles (l’ « idéosème » d’Edmond Cros), peut très bien contredire le thème et les exemples ne manquent pas dans la littérature de type jdanoviste où l’engagement social explicite se paie d’un conservatisme formel implicitement réactionnaire. 155 : « Le Post-modernisme américain », op. cit., p. 171. 156 : « Temps, récit et postmodernité », op. cit., p. 90. 157 : « Le Récit postmoderne », op. cit. 158 : « Temps, récit et postmodernité », op. cit. 159 : Moments postmodernes dans le roman québécois, Presses de l’université d’Ottawa, 1993, éd. augmentée. 160 : Ibid., p. 20. 161 : Cf. Michel Allemand : Le Nouveau Roman, Paris, Ellipses, 1996. 162 : Pour un Nouveau Roman, Paris, Gallimard, 1963, coll. Idées, p. 146. 163 : L’Ere du soupçon, Paris, Gallimard, 1956, coll. Idées, p. 182. 164 : Ibid. 165 : Repertoire I, Paris, éd. de Minuit, 1960, p. 9, 11. 166 : « Nouveau Roman/Anciennes théories », L’Icosathèque, N° 16, 1999, p. 169. 167 : « Métatextualité postmoderne : de la fiction à la critique », Etudes littéraires, vol. 30, N°3, été 1998, p. 63. 168 : Postmodernité et écriture narrative dans l’Espagne contemporaine, textes réunis par Georges Tyras, op. cit., p. 1996. 169 : L’Infini, N°19, « Où en est la littérature ? », op. cit., p. 8. 170 : « Douze bribes pour décoller (en 40.000 signes », in Collages, Revue d’Esthétique 3-4, Paris, U.G.E. 10/18, 1978, p. 13. 171 : William Burroughs et Brion Gysin, Œuvre croisée, Paris Flammarion, 1976, pour la trd., p. 42. 172 : Paris, Denoël, 1992 . 173 : Non-Lieux, op. cit. 174 : Mobile : Etude pour une représentation des Etats-Unis, Paris, Gallimard, 1962. 175 : « Littérature et dicontinu » paru dans la revue Critique en 1962, repris dans Essais critiques, Paris, Le Seuil, 1964. 176 : Madeleine Santshi : Voyage avec Michel Butor, Lausanne, L’Âge d’Homme, 1980, P. 40-41. 177 : Le Génie du lieu 3, Paris, Gallimard, 1978 ; Le Génie du lieu 4, ibid., 1992. 178 : « Leurs Filmes cultes » in L’Evénement du Jeudi, N° 236, 11-17 mai 1989. 179 : Voyage avec Michel Butor, op. cit., p. 42-53. 180 : éd. du Seuil, coll . Points, 2000. 181 : C. Jean-Louis Galay : « Problèmes de l’œuvre fragmentale : Valéry » in Poétique, N° 31, Le Seuil, Sept. 1977. 182 : Ibid., p. 337. 183 : Gilles Deleuze et Georges Guattari : L’Anti-Œdipe, Paris, Minuit, 1972, p. 184 : Paris, Hachette, 1992. 185 : Ibid., p. 5. 186 : in Langages, 13 mars 1968. 187 : De l’inconvénient d’être né, Paris, Gallimard, 1973, coll. Folio, pp. 11, 13. 188 : Papiers collés (« Notes pour une préface »), Paris, Gallimard, 1960, pp. 13, 14, 16. 189 : Paris, Galilée, 1995. 190 : Michel Bitbol in Erwin Schödinger : Physique quantique et représentation du monde, op. cit., p. 12. 191 : Papiers collés, Paris, Gallimard, 1960, p. 8. 192 : Ibid., p. 67. 193 : Une gêne technique à l’égard du fragment, Fata Morgana, 1986. 194 : « Notes de mémoire » in Par-dessus l’épaule, éd. Aubier, 1988, p. 70, repris sous le titre Le Livre de l’aimance, Rabat, éd. Marsam, 1995. 195 : Ibid., p. 10. 196 : Cf. Esthétique et théorie du roman, Paris, Gallimard, 1978, pour l a traduction française. 197 : Marc Gontard : Violence du texte. La Littérature marocaine de langue française, Paris, L’Harmattan, 1981 198 : La Nuit de l’erreur, Paris, Le Seuil, 1997, p. 95. 199 : Cf. Abdellatif El Alami : Métalangage et philologie extatique (essai sur Abdelwahab Meddeb), Paris, L’Harmattan, 2000, p. 258. 200 : Et je laisse aux spécialistes le soin d’indiquer une possible connexion entre la rhétorique soufie de l’itinéraire intérieur vers l’extase mystique (les « stations »), modèle que reconnaît Meddeb et le modèle de la rhila comme itinéraire géographique avec ses « séances ». 201 : Paris, Christian Bourgois, 1979. Nouvelle édition revue, Paris, Sindbad, 1987. C’est à la première édition que je me réfère. 202 : Sartorius, Paris, Gallimard, 1999, p. 350. 203 : Eléments de linguistique générale, Paris, Armand Colin, 1970, p. 12. 204 : in Le Français et les siècles, Paris, Odile Jacob, 1987, p. 221 ? 205 : Paris, Le Seuil, 1954, pp. 7-8. 206 : L’Oeil et la Nuit, Casablanca, éd. Atlantes, p. 16. 207 : Cf. Maghreb Pluriel, Paris, denoël, 1983. 208 : in Imaginaires de l’autre : Khatibi et la mémoire littéraire, Paris, L’Harmattan, 1987, p. 133. 209 : Amour bilingue, Fata Morgana, 1983, pp. 26-27. 210 : Les Nuits de Strasbourg, Actes Sud, 1997, p. 88. 211 : Pha ntasia, Paris, Sindbad, 1986, p. 25. 212 : « L’alternance codique dans la conversation peut se définir comme la juxtaposition à l’intérieur d’un même échange verbal de passages où le discours appartient à deux systèmes ou sous-systèmes grammaticaux différents. » in John J. Gumperz : Sociolinguistique interactionnelle, Université de la Réunion-L’Harmattan, 1989, p. 57. 213 : Le mot « joual » est la déformation du mot « cheval ». 214 : Volkswagen blues, Québec-Amérique, 1984, réed. Actes Sud-Léméac, 1998, p. 249. 215 : Aïlen ou la nuit du récit, Paris, Maspero, 1983, pp. 92-93. 216 : Une enquête au pays, Paris, Le Seuil, 1981, p. 116. 217 : Introduction à une poétique du Divers, Paris, Gallimard, 1996, p. 15. 218 : Ibid., p. 21. 219 : Eloge de la créolité, Paris, Gallimard, 1989, éd. bilingue français-anglais, 1991. 220 : Ibid., p. 28. 221 : Ecrire en pays dominé, Paris, Gallimard, 1997, p. 266. 222 : Poétique de la relation, Paris, Gallimard, 1990, p. 177. 223 : Ibid., p. 207. 224 : Texaco, Paris, Gallimard, 1992, p. 43. 225 : Eloge de la créolité, op. cit., p. 48. 226 : in Littérature francophones et théorie postcoloniale, Paris, PUF, 1999, p. 153. |
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