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B. Suétone, vie et œuvre
1. Une vie discrète au contact du pouvoir impérial

Caius Suetonius Tranquillus est né vers 69 dans une famille de noblesse équestre, et mort en 125 apr. J.-C. Son père, chevalier romain, fut tribun légionnaire en 69 sous le règne éphémère d’Othon.  

Suétone reçut la solide formation classique d’un jeune homme de sa classe sociale. Il fut attiré sans grand succès par une carrière juridique et enseigna la grammaire et la rhétorique dans des écoles d’éloquence. De sa vie privée, nous connaissons peu de choses, si ce n’est par la correspondance qu’il entretint entre 97 et 113 avec Pline le Jeune, membre d’une puissante famille romaine, qui fut pour lui un ami et un protecteur, et avec lequel échangea conseils et confidences littéraires.

C’est grâce à l’influence de ce dernier qu’il obtint sous Trajan un poste d’archiviste, qui lui donna accès aux documents administratifs et historiques de l’État romain. L’empereur Hadrien fit ensuite de lui son secrétaire ab epistolis, c’est-à-dire le responsable de toute sa correspondance intime et officielle. En 121, il fut frappé d’une disgrâce dont les motifs restent obscurs, et se retira pour se consacrer à ses activités littéraires.
2. Une œuvre féconde et érudite

Suétone composa des ouvrages très divers, dont nous n’avons plus d’autre trace que celle de catalogues et index, comme celui de Suidas, mais qui révèlent un esprit curieux, et une érudition éclectique. Nous savons ainsi qu’il écrivit deux traités sur les institutions et mœurs romaines, d’autres sur les jeux des enfants chez les Grecs, sur les spectacles à Rome, sur le costume des Romains, sur le vocabulaire injurieux, sur le De Republica de Cicéron, sur les courtisanes célèbres, sur les rois d’Asie et d’Afrique, et qu’il élabora aussi des tableaux généalogiques…

Mais seules ont été conservées et retenues par la postérité ses œuvres de biographe.

Du De Viris illustribus, Vies des Hommes iIlustres, nous ne possédons que des fragments. Il s’agissait de courtes biographies de célèbres figures littéraires romaines.
Les Vies des Douze Césars sont constituées des biographies des douze premiers empereurs, de Jules César à Domitien. Lorsque cet ouvrage fut publié entre 119 et 122 après J.-C., Tacite avait déjà fait paraître en 106 ses Histoires, et en 115-116 ses Annales, qui traitaient de la même période historique. Suétone choisit pour son œuvre une démarche de composition et d’écriture totalement différente et originale : il rédige douze textes indépendants, et n’adopte pas pour ses biographies un schéma chronologique, mais les construit selon des rubriques récurrentes, des species, que l’on retrouve pour chaque empereur, mais dans un ordre différent et sans articulations entre elles. Suétone aborde :

  • les origines familiales,

  • la naissance et les présages qui l’ont précédée,

  • la carrière poursuivie avant l’ascension vers le pouvoir impérial,

  • les actions publiques du prince : magistratures et campagnes militaires, action politique et législative, attitude envers le peuple,

  • sa vie privée, familiale et amoureuse,

  • sa mort, accompagnée de présages et prodiges divers, et il dresse son portrait physique et psychologique.

Mais il ne relie pas ces éléments, et n’en tire aucune analyse explicite : ainsi, il place après le récit de la mort de Néron, un portrait qui aurait eu plus de sens en début de biographie.

Son style est celui d’un compilateur, détaché, sans émotion ; sa prose est simple, précise, sans effets dramatiques ; il insiste souvent davantage sur les éléments privés, parfois secrets de la vie des empereurs, que sur l’histoire et l’administration de l’État. C’est pourquoi on a pu reprocher à Suétone de se repaître d’anecdotes d’alcôve, « d’écouter aux portes » impériales, et de ne pas faire une œuvre sérieuse d’historien. Il demeure qu’il a eu, par ses fonctions d’archiviste, accès à des documents authentiques : procès-verbaux des séances du sénat, textes des senatus consultes, lettres et testaments impériaux ; il est capable, documents à l’appui, de révéler au lecteur les lacunes orthographiques de l’empereur Auguste : « Loin de suivre exactement les principes et les règles d'orthographe établis par les grammairiens, il paraît avoir été plutôt de l'avis de ceux qui pensent qu'on doit écrire comme on parle. Quant aux lettres et aux syllabes qu'il intervertissait ou qu'il passait, c'est une faute commune à tout le monde. (…) Lorsqu'il écrivait en chiffres, il employait le b pour a, le c pour le b, et ainsi de suite pour les autres lettres. Au lieu du z il mettait deux a » ; il rétablit la légitimité de Néron en tant que poète : « Il m’est tombé sous la main des notes et des brouillons contenant certains vers de [Néron] très connus : or il est facile de voir qu’ils n’avaient pas été copiés ni écrits sous la dictée de quelqu’un, mais incontestablement tracés par un homme qui médite et compose, tant il y avait de ratures, d’additions et de surcharges » ; et s’il rapporte des anecdotes et des rumeurs, celles-ci révèlent ce que l’on disait des empereurs à leur époque, elles sont un reflet de l’opinion publique, donc une sorte de document historique pour qui sait les lire. Cependant, on n’ignore plus aujourd’hui que la dynastie flavienne, arrivée au pouvoir avec Vespasien, a, pour justifier sa légitimité, attaqué et dénigré systématiquement les gouvernements des princes antérieurs. En temps que fonctionnaire d’Hadrien, Suétone a peut-être aussi participé à cette entreprise.

Voici le jugement que porte sur l’œuvre de Suétone l’historien Alexis Pierron dans son Histoire de la littérature romaine en 1866 :
«L'ouvrage qui a fait la réputation de Suétone, ce sont les Vie des douze Césars. La Harpe, qui avait traduit Suétone, le juge néanmoins avec quelque sévérité, et cette sévérité est loin de n'être pas méritée : "Suétone, dit-il, est exact jusqu'au scrupule, et rigoureusement méthodique: il n'omet rien de ce qui concerne l'homme dont il écrit la vie; il rapporte tout, mais il ne peint rien. C'est proprement un anecdotier, si l'on peut se servir de ce terme, mais fort curieux à lire et à consulter. On rit de cette attention dont il se pique dans les plus petites choses; mais souvent on n'est pas fâché de les trouver. D'ailleurs, il cite des ouï-dire, et ne les garantit pas. S'il abonde en détails, il est fort sobre de réflexions. Il raconte sans s'arrêter, sans s'émouvoir : sa fonction unique est celle de narrateur. Il résulte de cette indifférence un préjugé bien fondé en faveur de son impartialité. Il n'aime ni ne hait personnellement aucun des hommes dont il parle : il laisse au lecteur à les juger." Nous ajouterons peu de chose à ce qui précède. Les biographies de Suétone ne sont pas proprement de l'histoire; ou, si l'on veut, c'est de l'histoire d'antichambre. Ce sont des récits débraillés, si j'ose ainsi dire, des récits faits sans art, sans ordre, sans méthode aucune, et où le sans-gêne n'est jamais cet heureux négligé qui fait le charme de la narration de Plutarque. Il faut y regarder, avant de puiser dans cet amas d'objets de toute sorte et de toute valeur. Suétone est une autorité souvent suspecte; non pas qu'il n'aime la vérité et qu'il ne la cherche curieusement, mais quelquefois il entend mal, comme on entend en écoutant aux portes. Avec de la critique, on sépare aisément le vrai du faux, et l'or pur du fatras où il se trouve mêlé. Suétone, entre des mains habiles, est une mine historique plus précieuse et plus féconde peut-être que Tacite avec toutes ses richesses et toutes ses magnificences. À coup sûr, il serait presque impossible, sans ce bavard trop souvent obscène, d'écrire une histoire de l'Empire qui, dans nos idées, méritât véritablement le nom d'histoire.»
L’œuvre de Suétone sera sans cesse rééditée durant le Moyen Âge et la Renaissance, et elle sera une source d’inspiration pour le théâtre classique, puis plus tard pour le cinéma…

C. Ambiguïtés du règne de Néron
Il ne s’agit pas de répéter ici ce que Suétone nous a dit de la vie et du caractère de Néron, mais de rétablir une chronologie et un contexte qui ne sont pas toujours clairement explicités dans l’œuvre que vous avez à étudier.
1. Une enfance instable

Lucius Domitius Ahenobarbus, Néron est le cinquième et dernier empereur de la dynastie Julio-claudienne. Il a régné de 54 à 68 après J.C, succédant à son grand-oncle et père adoptif Claude. Il est le fils unique de Cnaeus Domitius Ahenobarbus, qui descend par son père de Marc-Antoine et d’Octavie, la sœur d’Auguste et nièce de Jules César, et d’Agrippine la Jeune, fille de Germanicus et sœur de Caligula. Conçu dès la mort de Tibère, qui, obsédé par la crainte de possibles héritiers de Germanicus, avait interdit à Agrippine de consommer son union, il est né à Antium le 15 décembre 37, au début du règne de son oncle Caligula.

Il est orphelin de père à trois ans, et, sa mère ayant été exilée par l’empereur, il est élevé par sa tante maternelle Lepida, mère de la future impératrice Messaline, qui néglige son éducation. Suétone raconte qu’un danseur et un barbier lui ont servi de précepteurs. Si, plus tard, pour le préparer au pouvoir, sa mère le confie à deux conseillers prestigieux, Sénèque pour la formation philosophique et morale, l’ancien général Burrus pour l’apprentissage de l’art militaire, il conservera de cette enfance un goût immodéré pour les jeux du cirque, les courses de chars, le théâtre, le chant…
2. Une figure maternelle écrasante

Agrippine la Jeune est d’une intelligence redoutable et d’une grande beauté, qu’elle consacrera tout entières à la conquête du pouvoir politique. Durant sa vie, elle va intriguer, manipuler, détruire, pour parvenir à régner. Elle grandit dans un contexte politique et familial délétère, dans lequel chaque membre de la famille impériale doit craindre pour sa vie. Ses oncles maternels, descendants directs d’Auguste, sont tous deux décédés dans des circonstances suspectes, organisées par la seconde impératrice Livie qui voulait ouvrir à son fils Tibère la voie du trône ; son père Germanicus va payer de sa vie son extrême popularité et l’on soupçonnera fortement Tibère lui-même d’avoir ordonné à Pison de l’assassiner; sa mère, Agrippine l’Aînée, mourra en exil, dans des conditions atroces, et deux de ses frères en prison. Elle-même a treize ans, en 28, lorsqu’elle épouse sur l’ordre de Tibère, Cnaeus Domitius Ahenobarbus ; plus tard, elle est soumise aux caprices de son frère Caligula, avec lequel, comme ses deux autres sœurs, elle entretient des relations incestueuses et qui parfois la prostitue à ses favoris.

Soupçonnée de complot en 39, elle est reléguée par Caligula dans les îles Pontines, puis rappelée d’exil et rétablie dans ses privilèges en 41 par son oncle Claude, devenu empereur. Grâce à son mariage avec le très riche Crispus Sallienus, elle tient à Rome une position dominante, et soigne sa popularité et son image face aux débauches de l’impératrice Messaline. Messaline est exécutée en 48, et Agrippine épouse son oncle Claude en janvier 49. Elle devient aussi la maîtresse de Pallas, un riche affranchi, proche conseiller de Claude. Une fois établie dans le palais impérial, elle va enchaîner les manœuvres propres à donner à son fils Néron la première place sur le testament de Claude : Néron est fiancé en octobre 49 à Octavie, fille de Claude et de Messaline ; il est adopté par Claude en 50, et quitte la gens des Domitii pour celle des Claudii. Plus âgé que Britannicus, le fils légitime, il devient ainsi l’héritier officiel de l’empereur ; en 51, à quatorze ans à peine, il endosse la toge virile, et est nommé par le Sénat « prince de la jeunesse » ; il épouse Octavie en 53. Dès lors, Agrippine n’a plus qu’à éliminer Claude le 13 octobre 54 pour que son fils soit « légitimement » proclamé princeps par les prétoriens et le Sénat.

Pendant cinq ans, Néron, devenu empereur grâce à elle, supporte son autorité. Mais elle a décidé de régner seule et, en tant que petite-fille et fille de généraux romains, elle compte de nombreux partisans dans l'armée. Néron l’écarte d’abord de Rome en la confinant dans sa villa du bord de mer, qui devient vite un centre de conspirations. Si bien qu'au printemps 59, il décide de l’assassiner en camouflant le meurtre en naufrage. Mais c'est un échec et il doit se résoudre à la faire assassiner par ses gardes. Tacite rapporte qu’elle aurait fièrement affronté les coups du centurion venu la tuer en lui disant : « Frappe au ventre ! »

Placer ici le document 1 : pièce profils Néron et Agrippine.

Source : AKG-images ; réf.1 IT-829-H55



Cette pièce de monnaie représente les profils de Néron et Agrippine. La pièce date de 54 apr. J.C, année de l'accession de Néron au trône. Néron est encore un très jeune homme, il n'a que dix-sept ans. L'inscription ne mentionne que les titres impériaux de Néron : Nero Claudius Caesar Germanicus Imperator. Mais le double profil sur la pièce, alors qu'Agrippine n'a aucun pouvoir politique officiel, prouve la force de l'influence maternelle sur la personne du prince, et donne symboliquement à entendre que « derrière » le fils, c'est la mère qui gouverne réellement.

P 15 Exercice autocorrectif n°1 : Arbre généalogique simplifié de la dynastie julio-claudienne
En vous aidant des éléments donnés dans la biographie de Néron que vous vous venez de lire, replacez dans l'arbre généalogique les noms de Germanicus, Caligula, Claude, Agrippine et Néron.
Scribonia …………… (-27-14) Livie Ti.Claudius Nero

I__________________I I________________I I_______________________I

I _______I__________________

Julia I I

I Tibère (14-37) Drusus

_______________________________ I _____________I

I I I I Drusus II I I

C.Caesar L.Caesar Julia II Agrippine l’Aînée ...................... …................

I I (41-54)

I_________________________________I I

(+ 4 autres enfants) I I épouse Messaline

…................... …................... I I

(37-41) I Octavie Britannicus

épouse Cn.Domitius Ahenobarbus

I

.................... (54-68)


  • Reportez-vous au corrigé de l’exercice 2 en fin de chapitre.


3. Une réhabilitation partielle par les historiens contemporains
Les fictions contemporaines, des films comme le Quo Vadis tiré du roman historique de Henryk Sienkiewicz (1895), nous ont donné de Néron l’image d’un « monstre », d’un malade mental assoiffé de débauches et de crimes, soumettant Rome tout entière à l’adulation d’un talent poétique ridicule et imaginaire, et trouvant un plaisir pervers à de sanglantes persécutions. Cette image est largement inspirée des ouvrages de Tacite et Suétone, puis d’auteurs chrétiens comme Tertullien ; leur objectivité est mise en doute aujourd’hui, ainsi que leur manque de preuves sur des événements comme la mort de Britannicus ou l’incendie de Rome.

Ainsi, des historiens comme Claude Aziza, universitaire français et latiniste, dans son ouvrage Néron : le mal-aimé de l'Histoire, édité en 2006, revoient le règne de Néron sur la base d’éléments économiques et politiques, et en tirent une analyse beaucoup plus nuancée : sous son règne, l'Empire est correctement administré, Rome n’a pas de problèmes de ravitaillement, pourtant récurrents dans l’Antiquité. Une réforme monétaire et fiscale profite aux milieux d’affaires, l’État veille à la subsistance des plus démunis par des distributions de vivres ; l’influence du sénat dans les décisions publiques est respectée et même étendue. Et même si les conquêtes militaires sont mises au second plan, Rome remporte des victoires précieuses, notamment à l’Est de l’empire, où la paix est conclue avec les Parthes, ennemis héréditaires ; en 66, Néron rend à la Grèce une indépendance que ses successeurs s’empresseront de lui retirer. Enfin, cet empereur a donné une impulsion importante aux évolutions artistiques dans le domaine de l'architecture, des arts décoratifs, il a soutenu des écrivains, des musiciens, des ingénieurs. Jusqu’à l’assassinat de sa mère, il bénéficie d’une popularité intacte auprès de la plèbe comme du sénat, et il conservera l’amour du peuple, qui même après l’annonce officielle de sa mort croira à son retour à la faveur d’usurpateurs.

Mais il perd la confiance publique dans les dernières années de son règne où il écarte ses anciens conseillers Sénèque et Burrus, cède à l’influence de sa seconde épouse Poppée et de son favori Tigellin, et accumule les actes de tyrannie et de débauche, tout en oubliant la gestion de l’État. En particulier, le suicide forcé d’Octavie, qu’il avait répudiée en 62 pour infertilité, provoque des émeutes publiques. On ne peut lui imputer, en 64, l’incendie de Rome, qui a détruit surtout des quartiers prestigieux, le propre palais de Néron sur le Palatin et des œuvres d’art qui lui étaient chères. La plupart des historiens de l’Antiquité s’accordent à dire que sa conduite dans cet événement a été exemplaire : il a ouvert dans ses propres jardins des baraquements d’urgence pour héberger les sinistrés, ordonné une baisse du prix du blé, organisé des distributions de vivres… Même les persécutions de chrétiens qui auraient servi de bouc émissaires ne se trouvent évoquées que dans un seul texte de Tacite dont l’authenticité est aujourd’hui contestée. En revanche, la construction fastueuse et très coûteuse de la domus aurea qui a suivi de très près la catastrophe sera perçue par le peuple comme un caprice ruineux et une preuve de démesure.

Enfin, la part « spectaculaire » de la personnalité de Néron est à traiter avec les mêmes nuances : Néron est féru d’art, il compose, écrit, peint, mais il est en ceci conforme à tout jeune aristocrate romain instruit, et Suétone témoigne que les mêmes loisirs étaient pratiqués par d’autres princes, dont Auguste. Cependant, il était considéré comme dégradant pour un citoyen romain d’apparaître comme un amuseur public, de se produire en train de chanter, de danser ou de jouer de la lyre ; c’était là le domaine du divertissement, dispensé par des esclaves. Le comportement de Néron, notamment sa passion pour les exhibitions qui le conduira même à effectuer en 66 une sorte de « tournée » en Grèce, son acharnement à être reconnu comme un artiste et à remporter des prix publics, constituera à son époque une transgression des règles politiques et morales romaines, et pourra passer pour une forme d’aliénation et de décadence.

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