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Notes :

1) Les ventes aux enchères ou ventes à l’encan se tenaient devant les boutiques des banquiers.

2) Les chefs de faction étaient les propriétaires d’écuries de course.

3) Le 18e jour avant les calendes de janvier 38 = le 15 décembre 37 apr. J.-C.

4) Le neuvième jour suivant la naissance d’un enfant, se déroulait un rituel qui purifiait le nourrisson et marquait sa reconnaissance au sein de sa famille.

Traduction élaborée

Antonia, l'aînée, lui donna un fils qui fut père de Néron, et dont la vie fut en tout point abominable. Ce fils qui avait accompagné en Orient le jeune Caius César, tua son affranchi parce qu'il avait refusé de boire autant qu'il l'ordonnait. Renvoyé pour ce meurtre de la cour du prince, il ne se conduisit pas avec plus de réserve. Il écrasa exprès un enfant dans un bourg sur la voie Appienne, en lançant tout à coup ses chevaux au galop. À Rome, sur la place publique, il arracha un œil à un chevalier romain qui lui adressait des reproches avec trop de liberté. Il était de si mauvaise foi, que non seulement il privait les courtiers du prix de ce qu'il achetait, mais que, dans sa préture, il frustrait de leurs récompenses les vainqueurs de courses de chars. Cependant les railleries amères de sa sœur et les plaintes des patrons des coureurs l'engagèrent à statuer qu'à l'avenir les prix seraient payés comptant. Quelques jours avant la mort de Tibère, accusé de lèse-majesté, de plusieurs adultères et d'inceste avec sa sœur Lepida, il ne dut son salut qu'au changement de règne. Il mourut d'hydropisie à Pyrges. Il avait eu d'Agrippine, fille de Germanicus, un fils nommé Néron.

Néron naquit à Antium, neuf mois après la mort de Tibère, dix-huit jours avant les calendes de janvier, au lever du soleil, en sorte qu'il fut frappé de ses rayons avant la terre. Parmi beaucoup de conjectures effrayantes qui furent faites à l'instant de sa naissance, on regarda comme un présage la réponse de Domitius, son père, aux félicitations de ses amis, qu'il ne pouvait naître d'Agrippine et de lui rien que de détestable et de funeste à l’État. Le jour de sa purification, on remarqua un signe évident de sa malheureuse destinée. Caius César, pressé par sa sœur de lui donner le nom qu'il voudrait, tourna les yeux vers Claude son oncle, qui depuis l'adopta lorsqu'il fut empereur, et dit qu'il lui donnait son nom. Mais ce n'était qu'une plaisanterie : ce nom fut dédaigné par Agrippine, parce qu'alors Claude était le jouet de la cour.

P15 Pistes pour le commentaire

1. Montrez en quoi le portrait du père de Néron a une fonction analogique.

2. Étudiez l’ambiguïté des présages qui surviennent à la naissance de Néron.

P14 Éléments de commentaire

1. On peut mener une lecture parallèle entre ce que fut le père et ce que sera le fils.

Tout d’abord, ils sont désignés par le même adjectif : « detestabilem », « detestabile », l’un par Suétone, et l’autre par son propre père. Le terme a un sens fort en latin : la « detestatio » est l’action de prendre à témoin les dieux pour une malédiction, d’appeler la colère divine sur la tête de quelqu’un. L’idée d’un destin funeste, d’un châtiment divin, est donc contenue dans le qualificatif, bien plus que celle de l’horreur ou de la haine.

En outre, Domitius est affligé de vices qui seront ensuite illustrés par la conduite de Néron :

  • Il manque aux devoirs qui lient un patricien à ceux qui lui sont inférieurs et aux autres citoyens de Rome : en latin, cela constitue le sens du mot « fides », qui désigne à la fois la loyauté, la droiture, la confiance que l’on peut placer en un homme, la conscience qu’il a de ses devoirs ; or Domitius est qualifié par le mot « perfidia », c’est-à-dire, étymologiquement, la trahison, l’oubli de la « fides ». En témoignent sa violence injustifiée envers son affranchi, un enfant inconnu ou un concitoyen romain, mais aussi l’usage qu’il fait de sa charge de préteur : « fraudaverit ». 

  • On note également son absence de conscience, de remords : « nihilo modestius vixit », « mutatione temporum evasit » ; et lorsqu’il adopte une conduite plus conforme à sa charge, c’est seulement parce qu’il se sent menacé (« querentibus dominis factionum »), ou publiquement humilié (« et sororis joco »).

  • Ce portrait paternel donne aussi une impression de caprice, d’incapacité à se contrôler : la somme de ces vices est rendue dans le texte par la longueur des phrases grammaticales, l’abondance des points-virgules et des participes qui crée un effet d’accumulation. Les verbes d’action au parfait  (« obtrivit, eruit, fraudaverit ») donnent le sentiment d’une suite sans fin d’actions violentes et nuisibles.

  • Enfin, on a une énumération de crimes capitaux : « majestatis, adulteriorum incestique reus », dont se rendra coupable à son tour Néron : lèse-majesté avec l’assassinat de Claude, adultère avec Poppée pour laquelle il répudiera Octavie, inceste soupçonné avec sa propre mère…


2. Le contexte de la naissance de Néron est évoqué par Suétone de façon très ambiguë :

Les dates de sa conception et de sa naissance sont directement liées à une situation politique troublée : la fin du règne de Tibère. Ce dernier avait interdit à Agrippine d’avoir une descendance car il craignait le prestige qui entourait les héritiers de Germanicus dont on le soupçonnait d’avoir ordonné l’assassinat. Suétone met d’ailleurs clairement en lien les deux événements (« Nero natus est Anti post VIIII mensem quam Tiberius excessit ») et le début du règne de Caligula dont on connaît l’issue funeste, et qui préside à la purification, à l’introduction officielle du nourrisson dans la gens, et au choix de son nom, de son identité. La présence de cet oncle aliéné, lors de cette cérémonie essentielle à la reconnaissance de l’enfant, est en elle-même un présage négatif.
Suétone évoque ensuite des présages à valeur « surnaturelle », qui, sont, eux, plus positifs, même s’il ne les commente pas : Néron semble naître en même temps que l’astre solaire (« exoriente sole »), et la mention « prius quam terra contingeretur » donne le sentiment que son destin sera plus qu’humain, car il est touché par la lumière avant toute autre créature terrestre.
Enfin, les derniers présages qui entourent la naissance de Néron sont formulés, consciemment ou non, par des humains. Le plus explicite est donné par son père qui, en guise de reconnaissance officielle, affirme le caractère funeste de son hérédité : « quicquam ex se et Agrippina nisi detestabile et malo publico nasci potuisse ». Cette formule allie déjà les vices individuels du futur empereur : « detestabile », et leurs implications collectives et politiques : « malo publico ».

Cette intuition est relayée par la rumeur publique : « multa et formidolosa multis conjectantibus », « ejusdem futurae infelicitatis signum evidens ».

Enfin, le choix du nom de Claude pour le nouveau-né n'est pas non plus exempt d’ambiguïtés : pour Caligula et Agrippine, il ne s'agit que d'une plaisanterie de mauvais goût  (« per jocum », « aspernante Agrippina »). Mais la clairvoyance des humains est limitée, leur pouvoir temporel aussi : Claude, qui est à ce moment-là la risée de la cour (« inter ludibria aulae ») régnera à son tour ; donner son nom au petit Néron, c'est déterminer son destin et annoncer, mais de façon inconsciente, sa future adoption et sa future accession au trône impérial. Tout se passe comme si une volonté supérieure s'affirmait à travers les paroles humaines, et « disait l'avenir », avec une sorte d'ironie tragique.


C. Prolongement culturel : Suétone, Auguste
P18 Textes complémentaires
Suétone, Vie des douze Césars. Auguste (Traduction de M. Cabaret-Dupaty, 1893)
Pour cerner l’importance que prennent dans les biographies de Suétone les récits de présages à la naissance et à la mort du prince, voici ceux qui ont entouré la vie d’Auguste, que Suétone qualifie de « divus » : divin. On y remarquera des motifs récurrents, notamment dans les symboles interprétés, comme le serpent et le soleil.
[XCIV] Puisque nous sommes sur ce sujet, il ne sera pas inutile de rapporter les présages qui précédèrent sa naissance, et ceux qui l'accompagnèrent ou la suivirent; ils suffisaient déjà pour annoncer sa grandeur future et son bonheur constant. La foudre étant tombée jadis sur une partie du rempart de Vélitres1, l'oracle avait dit qu'un citoyen de cette ville parviendrait un jour au souverain pouvoir. Pleins de confiance dans cette réponse, les habitants de Vélitres entreprirent sur-le-champ contre les Romains une guerre obstinée qu'ils recommencèrent plusieurs fois, et qui faillit causer leur perte. L'événement ne prouva que longtemps après que cette prédiction regardait la puissance d'Auguste. Julius Marathus rapporte que, peu de mois avant la naissance de ce prince, un prodige annonça publiquement à Rome que la nature était en travail d'un maître pour le peuple romain, et que le sénat effrayé avait défendu d'élever les enfants qui naîtraient dans l'année; mais que ceux dont les femmes étaient enceintes, se trouvant intéressés à la prédiction, avaient empêché que le sénatus-consulte fût porté aux archives. Je lis dans les traités d'Asclépias de Mendès, "sur les choses divines", qu' Atia2 étant venue au milieu de la nuit dans le temple d'Apollon pour y faire un sacrifice solennel, fit poser sa litière pendant que les autres matrones s'en retournaient; que tout à coup un serpent se glissa vers elle, et peu après se retira; et qu'à son réveil elle se purifia, comme si elle sortait des bras de son mari; que, dès ce moment, elle avait eu sur le corps l'empreinte d'un serpent que jamais elle ne put effacer, en sorte qu'elle ne parut plus aux bains publics; qu'enfin Auguste naquit dans le dixième mois, et passa en conséquence pour le fils d'Apollon. Atia, avant d'accoucher, avait rêvé que ses entrailles s'élevaient vers les astres, et couvraient toute l'étendue du ciel et de la terre. Octavius, père d'Auguste, rêva aussi que le soleil sortait du sein de sa femme. Il est notoire que, le jour de la naissance d'Auguste, Octavius, à cause de l'accouchement de sa femme, se rendit tard au sénat où l'on délibérait sur la conjuration de Catilina, et que P. Nigidius, ayant appris la cause de ce retard, et s'étant informé de l'heure où l'enfant avait vu le jour, déclara qu'il était né un maître à l'univers. Dans la suite, Octavius, conduisant son armée dans la partie la plus retirée de la Thrace, consulta Bacchus sur son fils, en faisant, dans le bois sacré de ce dieu, les cérémonies des barbares. Les prêtres lui firent le même horoscope.


Le récit de la mort du prince revêt aussi une fonction argumentative indirecte : il est une sorte de métaphore de sa vie et de son œuvre. Vous pourrez comparer ici la mort d’Auguste à celle de Néron, qui vous est donnée en lecture cursive bilingue ci-dessous.
[C] Il [Auguste] se fit apporter un miroir, arranger la chevelure et réparer le teint. Puis, ayant reçu ses amis, il leur demanda s'il paraissait avoir bien joué le drame de la vie, et y ajouta cette finale :

« Si vous avez pris goût à ces délassements,

Ne leur refusez pas vos applaudissements. »

Ayant ensuite congédié tout le monde, il questionna encore quelques personnes qui arrivaient de Rome sur la maladie de la fille de Drusus, et tout à coup il expira au milieu des embrassements de Livie, en prononçant ces mots : "Adieu, Livie : Souviens-toi de notre union; adieu". Sa mort fut douce, et telle qu'il l'avait toujours désirée; car, lorsqu'il entendait dire que quelqu'un était mort promptement et sans douleur, il souhaitait pour lui et pour les siens une fin pareille, en se servant de l'expression grecque euthanasia. Il ne donna qu'un seul signe d'égarement avant de rendre le dernier soupir. Frappé de terreur subite, il se plaignit d'être enlevé par quarante jeunes gens. Encore fût-ce plutôt un présage qu'une absence d'esprit; car il y eut tout autant de soldats pour le porter au lieu où on l'exposa.

Il mourut dans la même chambre que son père Octavius, sous le consulat de Sextus Pompée et de Sextus Appuleius, le dix-neuf août, à la neuvième heure du jour, à soixante-seize ans moins trente-cinq jours. Les décurions des municipes et des provinces portèrent son corps de Nole à Bovilles, pendant la nuit, à cause de la chaleur de la saison. Le jour, on le déposait dans les basiliques des villes ou dans les plus grands temples. À Bovilles, les chevaliers vinrent le prendre et le portèrent à Rome, où ils le déposèrent dans le vestibule de sa maison. Le sénat se montra jaloux de célébrer ses funérailles avec splendeur et d'honorer sa mémoire. Au milieu de plusieurs propositions émises à ce sujet, les uns désiraient que le convoi passât par la porte triomphale, précédé de la statue de la Victoire qui orne la salle du sénat, en faisant exécuter les chants funèbres par les fils et les filles des principaux citoyens. D'autres étaient d'avis que, le jour de ses obsèques, on substituât des anneaux de fer aux anneaux d'or. Quelques-uns demandaient que ses cendres fussent recueillies par les prêtres des collèges supérieurs. Un sénateur proposa de transférer au mois de septembre le nom d'Auguste, parce qu'il était né dans ce mois et mort dans l'autre. Un autre voulait qu'on appelât "siècle d'Auguste" tout l'espace de temps qui s'était écoulé depuis sa naissance jusqu'à sa mort, et de l'inscrire sous ce titre dans les fastes.

D. Entraînement à l'examen
P15 Exercice autocorrectif n°2 : Comparaison de traductions

Comparez les deux traductions de l’extrait suivant.
Extrait :

[VIII] Septemdecim natus annos, ut de Claudio palam factum est, inter horam sextam septimamque processit ad excubitores, cum ob totius diei diritatem non aliud auspicandi tempus accommodatius videretur.
Traduction n°1 :

Il avait dix-sept ans quand mourut Claude. Dès que cette nouvelle fut rendue publique, il alla trouver les gardes. C'était entre la sixième et la septième heure, le seul moment, dans ce jour malheureux, où il eût été permis de rendre les auspices. (T. Baudement, 1858)
Traduction n°2 :

Il était dans sa dix-septième année, lorsque, la mort de Claude ayant été rendue publique il sortit vers la sixième ou septième heure pour se rendre auprès de la cohorte de garde, ce moment-là paraissant le seul propre aux auspices dans cette journée autrement tout entière défavorable. (P. Klossowski, 2010)

P18 Lecture cursive bilingue
Le récit de la mort de Néron (§ XLVIII-XLIX)


XLVIII. (…) Statimque tremore terrae et fulgure adverso pavefactus audiit e proximis castris clamorem militum et sibi adversa et Galbae prospera ominantium, etiam ex obviis viatoribus quemdam dicentem : "Hi Neronem persequuntur", alium sciscitantem : "Ecquid in urbe novi de Nerone ?"


(…) Aussitôt épouvanté par un tremblement de terre et un éclair jaillissant devant lui, il entendit, du camp voisin, les clameurs des soldats qui formaient des vœux contre lui et pour Galba, et même l’un des passants qu’ils rencontrèrent dire : « Voilà des hommes qui poursuivent Néron », et un autre leur demander : « Qu’y a-t-il de nouveau à Rome au sujet de Néron ? »

Equo autem ex odore abjecti in via cadaveris consernato detecta facie agnitus est a quodam missicio praetoriano et salutatus.

Mais son cheval s’étant effarouché à l’odeur d’un cadavre abandonné sur la route, il découvrit son visage et fut reconnu par un ancien prétorien qui le salua.

Ut ad deverticulum ventum est, dimissis equis inter fruticeta ac vepres per harundineti semitam aegre nec nisi strata sub pedibus veste ad aversum villae parietem evasit.

Quand ils arrivèrent sur un chemin écarté, abandonnant leurs chevaux, Néron parvint péniblement jusqu’au mur arrière de la maison, à travers buissons et broussailles, par un sentier de roseaux, et non sans avoir étendu un vêtement sous ses pieds.

Ibi hortante eodem Phaonte, ut interim in specum egestae harenae concederet, negavit se vivum sub terram iturum, ac parumper commoratus, dum clandestinus ad villam introitus pararetur, aquam ex subjecta lacuna poturus manu hausit et: "Haec est", inquit, "Neronis decocta !"

Là, comme Phaon l’exhortait à se reposer quelque temps dans le creux d’une carrière de sable, il dit qu’il ne voulait pas s’en aller vivant sous la terre, et, s’étant un peu arrêté, pendant qu’on lui préparait une entrée secrète dans la maison, il prit dans sa main l’eau d’une mare à ses pieds pour se désaltérer en disant : « Voilà le rafraîchissement de Néron ! »

Dein divolsa sentibus paenula trajectos surculos rasit, atque ita quadripes per angustias effossae cavernae receptus in proximam cellam decubuit super lectum modica culcita, vetere pallio strato, instructum; fameque et iterum siti interpellante panem quidem sordidum oblatum aspernatus est, aquae autem tepidae aliquantum bibit.

Puis avec son manteau léger déchiré par les ronces, il traversa les broussailles en s’y écorchant, et, à quatre pattes, par une cavité étroite que l’on venait de creuser, il parvint dans le réduit le plus proche, et se coucha sur un lit fait d’un mauvais matelas, couvert d’un vieux manteau ; à nouveau tourmenté par la faim et la soif, il dédaigna le pain grossier qu’on lui offrait, mais but une assez grande quantité d’eau tiède.

XLIX. Tunc uno quoque hinc inde instante ut quam primum se impendentibus contumeliis eriperet, scrobem coram fieri imperavit dimensus ad corporis sui modulum, componique simul, si qua invenirentur, frustra marmoris et aquam simul ac ligna conferri curando mox cadaveri, flens ad singula atque identidem dictitans: "Qualis artifex pereo !"


Alors, comme chacun à son tour le poussait à se dérober sans retard aux outrages qui le menaçaient, il ordonna que l’on creuse devant lui une fosse aux dimensions de son corps, que l’on y dispose, si l’on en trouvait, des morceaux de marbre, et que l’on apporte de l’eau et du bois pour rendre bientôt les honneurs à son cadavre ; en pleurs, il répétait à chacun de ces préparatifs : « Quel artiste meurt avec moi ! »


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