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Traduction élaborée

Ce fut surtout dans ses constructions qu'il se montra dissipateur. Il étendit son palais depuis le mont Palatin jusqu'à l’Esquilin. Il l'appela d'abord "le Passage". Mais, le feu l'ayant consumé, il le rebâtit, et l'appela "la Maison dorée". Pour en faire connaître l'étendue et la magnificence, il suffira de dire que, dans le vestibule, la statue colossale de Néron s'élevait de cent vingt pieds de haut ; que les portiques à trois rangs de colonnes avaient un mille de longueur ; qu'il renfermait une pièce d'eau, semblable à une mer bordée d'édifices qui paraissaient former autant de villes; qu'on y voyait des champs de blé, des vignobles, des pâturages, des forêts peuplées de troupeaux et d'animaux sauvages de toute espèce. Dans les diverses parties de l'édifice, tout était doré et enrichi de pierreries et de coquillages à grosses perles. Les salles à manger avaient pour plafonds des tablettes d'ivoire mobiles, qui, par différents tuyaux, répandaient sur les convives des parfums et des fleurs. La principale pièce était ronde, et jour et nuit elle tournait sans relâche pour imiter le mouvement du monde. Les bains étaient alimentés par les eaux de la mer et par celles d'Albula. Lorsqu’ après l'avoir achevé, Néron inaugura son palais, tout l'éloge qu'il en fit se réduisit à ces mots : "Je commence enfin à être logé comme un homme." Il voulut construire un bain couvert depuis Misène jusqu'au lac Averne, l'entourer de portiques, et y faire entrer toutes les eaux thermales de Baïes. Il commença aussi un canal, depuis l'Averne jusqu'à Ostie, dans un espace de cent soixante milles, pour dispenser d'aller par mer. Ce canal devait avoir une telle largeur que deux galères à cinq rangs de rames pussent s'y croiser. Pour achever de pareils ouvrages, il fit transporter en Italie tous les détenus, et ordonna que les criminels ne fussent condamnés qu'aux travaux. Outre la confiance qu'il avait en son pouvoir, ce qui encourageait cette fureur de dépenses, c'était l'espoir qu'il conçut tout à coup de s'emparer de richesses immenses et cachées. Car un chevalier romain lui avait assuré qu'il trouverait d'anciens trésors en Afrique, dans de vastes cavernes où la reine Didon les avait enfouis en s'éloignant de Tyr, et qu'il en coûterait fort peu de peine pour les retirer.

 
P15 Pistes pour le commentaire 

Notez bien : comme le commentaire de ce texte figure dans le sujet du devoir n°2, il ne vous sera donné ici que des pistes de recherche. À vous de les construire, de les développer, et de trouver dans le texte les citations latines à exploiter.
1. Par quels procédés d'écriture Suétone essaie-t-il de faire imaginer au lecteur la démesure de la Domus Aurea ?
P14 Pistes à exploiter 

 La longueur et la construction grammaticale des phrases : énumérations, juxtapositions, abondance des conjonctions « et » et « ac », phrases nominales dans lesquelles le verbe n'est pas répété...

 Des chiffres et mesures précis ;

 Des procédés d'insistance : accumulations, subordonnées de conséquence, reprises anaphoriques...

 Des comparaisons frappantes.
2. quels indices voit-on que Néron a perdu toute conscience de son humanité à ce moment de son règne ?
P14 Pistes à exploiter 

 La volonté irrationnelle de « reconstituer » l'univers entier dans son seul palais, et de maîtriser la nature ;

 L'inhumanité dont il fait preuve en exploitant à son profit les condamnés ;

 La perte de sa lucidité, sa crédulité, qui lui fait penser qu'il va utiliser un argent « mythique » pour entrer lui aussi dans la mythologie de Rome ; rechercher et commenter le sens du mot « furor » ;

 L'opposition choquante entre la démesure, la richesse de son palais, et la parole retenue par Suétone ; commenter « quasi hominem ».

Placer ici le document 6 : la Domus Aurea
Source : AKG-images ; réf.5 IT-R1-F102- 1980
Vue de l'une des salles de la Domus Aurea. Ce document donne une idée des innovations architecturales et esthétiques commandées par Néron pour ce palais, et que l'on retrouve dans des dimensions plus modestes dans la villa qu'il fit construire pour Poppée à Oplontis, en Campanie, ou dans certaines riches villas de Pompéi. On remarque ici, outre la hauteur des salles, l'emploi nouveau dans l'architecture romaine des plafonds en voûte, et la généralisation du trompe-l'œil dans les peintures murales. Le trompe-l'œil fait partie intégrante de l'esthétique voulue par Néron : il s'agit, comme dans les jardins ou la création du lac artificiel, d'imiter et d'égaler la nature par l'art, de créer l'illusion, un décor théâtralisé dans lequel « mettre en scène » la beauté. On voit ici que la fresque figure plusieurs étages successifs, de fausses colonnes, de faux tableaux encadrés, des draperies, des ouvertures vers un extérieur factice ; et il faut imaginer que le faux alternait ici avec le vrai : de vraies portes dissimulées, de vraies fenêtres offrant le même paysage que le paysage peint. La confusion et le dépassement du naturel par l'artificiel est l'une des constantes de l'esthétique décadente.
P1 Documents complémentaires
Pour une visite virtuelle de la Domus Aurea, qui reconstitue les transformations du lieu jusqu'à nos jours, rendez-vous sur youtube et tapez les mots : Rome Domus aurea.

Un reportage sur les fouilles archéologiques menées actuellement sur le site est également accessible sur youtube. Tapez les mots clés : euronews science le palais de Néron à Rome bientôt ouvert.

C. Prolongement culturel : Pétrone, Satiricon – Suétone, Caligula
P18 Texte complémentaire
Pétrone. Satiricon.

Le Satiricon est un roman satirique attribué, de façon aujourd'hui contestée, à l'auteur latin Pétrone, contemporain de Néron. Il se déroule dans la Rome de la fin du 1er siècle apr. J.-C., dont il décrit les milieux marginaux et débauchés. Le récit conte les aventures de deux jeunes homosexuels, Encolpe et Ascylte, ainsi que du jeune amant du premier, l'adolescent Giton. Encolpe a été frappé d'impuissance par le dieu Priape alors que son ami et rival, Ascylte, convoite l'amour de Giton. Au cours de leur errance, ils sont invités à un splendide festin organisé par un riche affranchi, Trimalcion. Cet extrait décrit les fastes du repas offert par ce nouveau riche à ses nombreux convives. Les thèmes décadents sont ici bien présents, en particulier l'absence de mesure, l'excès de raffinement et la mise en scène artificielle du naturel.


XXXV. À l'élégie succéda le second service, dont en vérité la splendeur ne fut pas selon notre attente. Sa nouveauté pourtant attira tous les regards. C'était un surtout en forme de globe, représentant les douze signes du Zodiaque rangés en cercle. Par-dessus chaque signe, le maître d'hôtel avait placé le mets analogue et correspondant : sur le Bélier, des pois chiches cornus ; sur le Taureau, une pièce de bœuf ; sur les Gémeaux, des testicules et des rognons; sur l'Écrevisse, une couronne; sur le Lion, des figues d'Afrique; sur la Vierge, une matrice de jeune truie ; sur la Balance, deux bassins couverts, l'un d'une tourte, l'autre d'un gâteau ; sur le Scorpion, un petit poisson de mer de ce nom ; sur le Sagittaire, un lièvre ; sur le Capricorne, une langouste ; sur le Verseau, une oie ; sur les Poissons, deux surmulets. Au centre, une touffe de gazon ciselée se couronnait d'un rayon de miel. Un esclave égyptien portait à la ronde du pain dans un petit four d'argent, en tirant de son rauque gosier un hymne en l'honneur de je ne sais quelle infusion de laser et de vin. Comme nous abordions assez tristement de si pauvres mets : - Croyez-moi, dit Trimalchion, faisons honneur au souper : c'est là le fin de notre affaire.

XXXVI. Dès qu'il eut dit, nouvelle symphonie : quatre danseurs accourent, et la partie supérieure du globe est enlevée par eux. Cela fait, nous vîmes au-dessous, à savoir comme nouveau service, des volailles grasses, des tétines de truie, et un lièvre au milieu, décoré d'une paire d'ailes pour figurer Pégase. Nous remarquâmes aux angles du surtout quatre satyres. De leurs cornemuses jaillissait une sauce de garum poivré, sur des poissons qui nageaient dans cet autre Euripe. Tout éclate en applaudissements, à commencer par les valets, et l'on attaque gaiement des mets d'un choix aussi exquis. Trimalchion ne fut pas moins charmé que nous de la surprise : - Coupez ! s'écria-t-il. Aussitôt s'avance l'écuyer tranchant ; et, mesurant ses gestes sur l'orchestre, il va déchiquetant les morceaux de telle sorte, qu'on eût dit un conducteur de chars qui court dans la lice aux sons de l'orgue hydraulique. Cependant Trimalchion disait toujours en radoucissant sa voix : - Coupez ! coupez !

XL. Bravo ! s'écrie-t-on tout d'une voix ; et, les bras levés vers le plafond, nous jurons qu'Hipparque et Aratus n'étaient pas comparables à notre hôte. Cela dura jusqu'à l'arrivée des officiers de table, qui étendirent sur nos lits des tapis où étaient figurés en broderie des filets, et des piqueurs armés d'épieux, et tout l'équipage d'une chasse. Nous ne savions encore où porter nos conjectures, lorsqu'en dehors de la salle de grands cris s'élèvent, et tout à coup des chiens de Laconie s'en viennent courir autour de la table. Ils étaient suivis d'un plateau où gisait un sanglier de première grandeur, coiffé du bonnet d'affranchi, et portant accrochées à ses défenses deux petites corbeilles tissues de feuilles de palmier, l'une remplie de dattes de Syrie, l'autre de dattes de la Thébaïde. Il était entouré de marcassins en pâte cuite qui semblaient chercher la mamelle et dire : Prenez que ceci est une laie ; les convives qui les eurent purent les emporter. Du reste, pour dépecer cette pièce, ce ne fut point Coupez, l'écuyer tranchant des volailles, qui fut appelé, mais une espèce de géant barbu, ceint d'un tablier qui lui allait aux genoux, affublé du costume bariolé et muni du couteau de chasseur. Il tire son arme, en donne un coup furieux dans le flanc de l'animal ; et de la plaie qu'il ouvre part un essaim de grives. Des oiseleurs, apostés avec leurs baguettes, les épient dans leur vol autour de la salle, et en un moment les rattrapent. Puis, en ayant fait remettre une à chacun de nous, Trimalchion ajouta : - Maintenant voyez si ce porc sauvage a mangé tout le gland. Aussitôt les valets s'approchent des corbeilles suspendues aux défenses, et les deux espèces de dattes sont en nombre égal distribuées aux convives.
Traduction de M.Nisard (1842)


Suétone, Caligula. XXII.
Dans sa biographie consacrée à Caligula, Suétone évoque aussi les tendances à l'hybris de l'oncle

maternel de Néron. Caligula est convaincu d'être une divinité vivante, et se comporte comme tel.
J'ai parlé jusqu'ici d'un prince; je vais parler d'un monstre. Chargé d'une foule de surnoms, tels que le pieux, l'enfant des armées, le père des soldats, le très bon, le très grand, après un souper qu'il avait donné à des rois venus à Rome pour lui rendre leurs devoirs, il les entendit se disputer entre eux sur la noblesse de leur origine, et s'écria en grec : "Qu'il n'y ait qu'un seul maître, qu'un seul roi". Et il s'en fallut de peu qu'il ne prît aussitôt le diadème et ne convertît l'apparence du principat en insignes de la royauté. Mais, comme on l'avertit qu'il avait surpassé la grandeur des princes et des rois, il commença à s'attribuer la majesté divine. Il fit venir de Grèce les statues des dieux les plus célèbres par leur perfection ou par le respect des peuples, entre autres celle de Jupiter Olympien. Il leur ôta la tête et y fit substituer la sienne. Il prolongea jusqu'au Forum une aile de son palais, et transforma en vestibule le temple de Castor et Pollux. Souvent il venait se placer entre ces deux frères et s'offrait aux adorations de ceux qui entraient. Quelques-uns le saluèrent du nom de Jupiter Latial. Il institua pour sa divinité un temple spécial, des prêtres et les victimes les plus recherchées. Il y avait dans ce temple une statue d'or faite d'après nature, que chaque jour on habillait comme lui. Les plus riches briguaient avidement ce sacerdoce, et ils enchérissaient à l'envi les uns sur les autres. Les victimes étaient des flamants, des paons, des tétras, des poules d'Afrique, des pintades et des faisans, qu'on sacrifiait chaque jour, selon le rang établi entre les espèces. La nuit, Caligula invitait la lune, lorsqu'elle brillait dans son plein, à venir l'embrasser et à partager sa couche. Le jour, il s'entretenait secrètement avec Jupiter Capitolin, tantôt lui parlant à l'oreille et feignant d'écouter ses réponses, tantôt élevant la voix et se brouillant avec lui; car on l'entendit un jour le braver en ces termes : "Ou tu m'enlèveras, ou je t'enlèverai"; enfin selon son expression, il se laissa fléchir ; et, invité par Jupiter à venir loger chez lui, il établit un pont par-dessus le temple d'Auguste, du mont Palatin jusqu'au Capitole. Bientôt, pour être encore plus voisin, il fit jeter les fondements d'un nouveau palais sur la place même du Capitole.
Traduction de M.Cabaret-Dupaty (1893)

 

D. Entraînement à l'examen
P15 Exercice autocorrectif n°2 : comparaison de traductions

Comparez les deux traductions de l’extrait ci-dessous.
Extrait :

[XXVI] Petulantiam, libidinem, luxuriam, avaritiam, crudelitam sensim quidem primo et occulte et velut juvenili errore exercuit, sed ut tunc quoque dubium nemini foret naturae illa vitia, non aetatis esse.
Traduction n°1 : T. Baudement (1858).

Il ne se livra d'abord que par degrés et en secret à la fougue de ses passions,à la débauche, au goût du luxe, à l'avarice, à la cruauté, que l'on voulut faire passer pour des erreurs de jeunesse ; mais personne, même alors, ne douta que ce ne fussent plutôt les vices de son caractère que de son âge.
Traduction n°2 : P. Klossowski (2010).

Il ne donna que graduellement des preuves d'insolence, de débauche, de luxure, de cupidité et de cruauté, et d'abord secrètement et de façon à faire croire à des écarts de jeunesse, mais déjà il ne faisait de doute pour personne que pareils vices ne procédaient point du jeune âge, mais du fond même de sa nature.



=> Vous confronterez vos réponses avec le corrigé en fin de chapitre.

P18 Lecture cursive bilingue
Scènes de débauche. § XXVIII.XXIX.


Puerum Sporum exsectis testibus etiam in muliebrem naturam transfigurare conatus cum dote et flammeo per sollemnia nuptiarum celeberrimo officio deductum ad se pro uxore habuit ;

Après avoir fait émasculer un jeune garçon nommé Sporus, prétendant même le transformer en vraie femme, il se le fit amener avec dot et voile nuptial, en grand cortège, selon le cérémonial des mariages, et le traita comme une épouse ;

exstatque cujusdam non inscitus jocus bene agi potuisse cum rebus humanis, si Domitius pater talem habuisset uxorem.

cela inspira à quelqu'un cette plaisanterie assez spirituelle : si Domitius son père avait pris une telle femme, quel bonheur c’eût été pour l'humanité !

Hunc Sporum, Augustarum ornamentis excultum lecticaque vectum, et circa conventus mercatusque Graeciae ac mox Romae circa Sigillaria comitatus est identidem exosculans.


Ce Sporus, paré des ornements d'une impératrice et porté en litière, l'accompagna en Grèce dans les assemblées judiciaires et les marchés, et bientôt à Rome même pendant les Sigillaires, et Néron le couvrait à tout instant de baisers.

Nam matris concubitum appetisse et ab obtrectatoribus ejus, ne ferox atque impotens mulier et hoc genere gratiae praevaleret, deterritum nemo dubitavit, utique postquam meretricem, quam fama erat Agrippinae simillimam, inter concubinas recepit.


Il souhaita même posséder sa mère, et en fut dissuadé par les ennemis d'Agrippine, qui craignaient de voir cette femme féroce et avide de pouvoir gagner trop d'influence grâce à ce genre de faveur ; personne ne douta de cela, surtout lorsqu'il reçut parmi ses concubines une prostituée bien connue pour sa ressemblance frappante avec Agrippine.

Olim etiam quotiens lectica cum matre veheretur, libidinatum inceste ac maculis vestis proditum affirmant.


On affirme même que jadis, chaque fois qu'il se faisait transporter en litière avec sa mère, son désir incestueux était dénoncé par des taches sur ses vêtements.

Suam quidem pudicitiam usque adeo prostituit, ut contaminatis paene omnibus membris novissime quasi genus lusus excogitaret, quo ferae pelle contectus emitteretur e cavea virorumque ac feminarum ad stipitem deligatorum inguina invaderet et, cum affatim desaevisset, conficeretur a Doryphoro liberto;


Lui-même prostitua sa pudeur à un tel point qu'après avoir souillé presque toutes les parties de son corps, il imagina une nouvelle sorte de jeu, dans lequel couvert d'une peau de fauve, il s'élançait d'une cage et se ruait sur les parties sexuelles d'hommes et de femmes liés à un poteau, et lorsqu'il avait assouvi sa lubricité, se livrait à son affranchi Doryphore ;

cui etiam, sicut ipsi Sporus, ita ipse denupsit, voces quoque et hejulatus vim patientium virginum imitatus.


il se fit même épouser par cet affranchi comme lui-même avait épousé Sporus, allant jusqu'à imiter les cris et les gémissements des vierges qui subissent violence.

Ex nonnullis comperi persuasissimum habuisse eum « neminem hominem pudicum aut ulla corporis parte purum esse, verum plerosque dissimulare vitium et callide optegere », ideoque professis apud se obscenitatem cetera quoque concessisse delicta.


J'ai appris de plusieurs personnes qu'il était absolument persuadé que « nul homme n'était pudique ni pur en aucune partie de son corps, mais que la plupart dissimulaient ce vice et le cachaient habilement » ; c'est pourquoi il pardonnait tous leurs autres délits à ceux qui lui avouaient ouvertement leur obscénité.


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