Gymnase de Chamblandes et Gymnase de Morges







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Glossaire


Baroque (style)

Art né en Italie et qui s’impose en Europe du XVIe s. au milieu du XVIIIe s. C’est un art caractérisé par le mouvement, la liberté des formes, la profusion des ornements. Le baroque, en raison des nombreuses commandes faites par l’Église catholique, apparaît comme l’art de la « Réforme catholique ».

Capitalisme

Système économique et social dans lequel les capitaux n’appartiennent, en principe, pas à ceux qui les mettent en œuvre par leur travail. On a distingué le capitalisme d’État et le capitalisme libéral ; c’est de cette dernière forme que l’on parle aujourd’hui.

Citoyen

Dans l’Antiquité, la Cité est une communauté politique (un État) de taille modeste dont les membres (les citoyens) s’administrent eux-mêmes. Cette Cité est constituée d’un petit territoire, pourvu d’un centre urbain et de bourgades rurales. Les Cités restent durant toute l’Antiquité le cadre de références de la vie des Anciens (l’Empire romain se présente comme une fédération de Cités).

Individu qui a des droits civiques.

Classicisme

Tendance littéraire et artistique, opposée au baroque, développée en particulier sous le règne de Louis XIV (dernière partie du XVIIe s. Le classicisme se caractérise par la recherche de l’élégance, de l’équilibre, de l’harmonie et de la stabilité.

Communisme

Traditionnellement, organisation économique et sociale fondée sur l’abolition de la propriété privée au profit de la propriété collective.

Système social prévu par Marx où les biens de production appartiennent à la collectivité.

Ensemble des (partis) communistes.

Confédération

Union de plusieurs États qui s’associent tout en conservant leur souveraineté. Pour désigner les réalités d’aujourd’hui, on parle plutôt d’État fédéral (Union dans un seul État), même parfois pour la Suisse.

Constitution

Ensemble des textes fondamentaux qui fixent les principes d’organisation de l’État, définissent le régime politique, définissent les pouvoirs et règlent les rapports entre eux.

Corporatisme

Doctrine qui préconise les groupements professionnels du type des corporations (ententes entre patrons et ouvriers, par opposition aux syndicats).

Croisades

« Pèlerinages » armés menés par les chrétiens d’Occident. Ces expéditions militaires sont organisées par l’Église pour délivrer la Terre sainte.

Démocratie

Le pouvoir procède du peuple et appartient à l’ensemble des citoyens. La démocratie athénienne était limitée aux citoyens (exclusion des femmes, des étrangers, des esclaves, soit d’une large majorité de la population). Aujourd’hui la démocratie est le plus souvent représentative (« indirecte »).

Droits de l’homme

Droits jugés essentiels et même « naturels » dans les écrits de certains philosophes puis dans des textes officiels, en particulier dans la Déclaration d’indépendance des 13 colonies américaines de 1776 et dans la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen française de 1789

Fascisme

Doctrine et système établi en Italie par Mussolini (totalitarisme, corporatisme, nationalisme).

Par extension, tout système ou doctrine tendant à instaurer une dictature similaire à celle de Mussolini.

Féodalité

Forme d’organisation politique et sociale médiévale caractérisée par l’existence de fiefs (domaines remis à des vassaux en échange de services) et de seigneuries.

Gothique (art)

Style répandu en Europe du XIIe s. au XVIe s. La croisée d’ogives (sommet où se croisent les deux ogives) caractérise l’art gothique par opposition à l’art roman.

Guerre froide

État de tension et d’hostilité. La Guerre froide est le nom donné aux relations internationales qui suivent la Seconde guerre mondiale (jusqu’à divers traités durant les années 1970 et surtout la chute du système communiste à la fin des années 1980). Ces relations se caractérisaient par une tension très forte et systématique entre le camp communiste et le camp capitaliste avec des conflits locaux et des menaces de guerre nucléaire. Ces relations internationales déterminaient aussi les politiques nationales.

Humanisme

Mouvement intellectuel européen des XVe-XVIe siècles. Lié à la Renaissance, il tire ses méthodes et sa philosophie de l’étude des textes antiques. Il met en valeur la dignité de l’homme et préconise une éducation plus individualiste.

Libéralisme

Doctrine économique qui défend les « lois du marché », la libre entreprise et le libre-échange.

Le libéralisme politique trouve son origine dans la lutte contre l’absolutisme et revendique la liberté individuelle.

Lumières

Courant de pensée européen du XVIIIe s. Ce courant revendique, au nom de la « lumière naturelle », celle de la raison, la liberté de pensée et d’expression. Cette philosophie affirme que les hommes ont des droits naturels et que le respect de ceux-ci est indispensable au bonheur. L’Encyclopédie est le manifeste de ce courant intellectuel et scientifique.

Monarchie

Gouvernement d’un seul, roi ou empereur, qui peut posséder ou non tous les pouvoirs. Dans le premier cas, on parle de monarchie absolue : le roi a tous les pouvoirs, il incarne la Loi, l’État, la Nation ; à l’époque moderne, on parle de monarchie absolue de droit divin car le roi recevrait son pouvoir de Dieu. Dans le second, on parle de monarchie tempérée, parlementaire ou constitutionnelle. Dans une monarchie parlementaire ou constitutionnelle, le roi n’est plus « le souverain », il y a une séparation des pouvoirs et les « sujets » sont « citoyens ».

Nationalisme

exaltation du sentiment d'appartenance à une nation;

doctrine fondée sur ce sentiment et accordant une place privilégiée à l'intérêt national (face aux membres de la nation et face aux autres nations).

Nazisme

Doctrine et système fasciste et raciste établi par Hitler et le parti nationalsozialist.

Néocolonialisme

Nouvelle forme de colonisation qui impose la domination économique (accessoirement politique et parfois militaire) à un pays (en général une ancienne colonie).

Obscurantisme

Hostilité aux « lumières », opposition à la diffusion de l’instruction et de la culture dans le peuple.

Philosophique (esprit…)

Qui appartient à la philosophie, c’est-à-dire à une attitude qui privilégie la recherche de la vérité par la raison (cf. aussi Rationalisme)

Positivisme

Doctrine qui se réclame de la seule connaissance des faits, de l’expérience scientifique.

Rationalisme

Doctrine selon laquelle tout ce qui existe est intelligible et toute connaissance vient de la raison (cf. Descartes ; opposé à empirisme).

Croyance et confiance dans la raison, dans la connaissance naturelle (XVIIIe s. ; opposé à révélation religieuse)

Réforme

Mouvement religieux qui est à l’origine des Eglises protestantes. Ces Églises rejettent en particulier l’autorité du pape, le culte de la Vierge Marie et des saints, de nombreux sacrements et la doctrine du salut par les œuvres.

La Réforme catholique ou Contre-Réforme représente l’ensemble des réformes entreprises par l’Église catholique en réponse à la Réforme protestante : réactions défensives, comme la réactivation de l’Inquisition, ou doctrinales (Concile de Trente).

Religion

Foi fondée sur une doctrine et des dogmes (croyance donnée comme vérité indiscutable) ainsi que sur des rites (règles, pratiques ou coutumes cultuelles qui manifestent l’appartenance de l’individu à une religion particulière)

République

Régime politique qui s’oppose à la monarchie et où les détenteurs du pouvoir gouvernent la chose publique (« res publica ») en vertu de la volonté populaire.

Roman (art)

Relatif à l’architecture médiévale d’Europe occidentale du milieu du IXe s. à la diffusion du gothique. Caractérisé par la prépondérance de l’art religieux, la variété régionale, le développement de l’iconographie (chapiteaux). La voûte en plein cintre (demi-cercle) caractérise l’art roman par opposition à l’art gothique.

Romantisme

Mouvement artistique qui, à partir de la fin du XVIIIe s. et jusqu’au milieu du XIXe s., fait prévaloir le sentiment sur la raison, l’imagination sur le réalisme, la couleur sur le dessin, le mouvement sur l’équilibre. Sur le plan politique, le romantisme exaltera le Volksgeist, l’âme des peuples, le sentiment national, la liberté des peuples.

Scientifique « esprit…)

Qui appartient aux sciences, c’est-à-dire aux connaissances fondées sur des relations objectives et vérifiables, qui ont un objet défini et des méthodes.

Socialisme

Terme né au XIXe siècle pour désigner l’ensemble des courants politiques qui visent à établir plus d’égalité.

Totalitarisme

Système politique à parti unique, n’admettant aucune opposition, dans lequel le pouvoir politique dirige souverainement et tend à confisquer la totalités des activités de la société.

Sources : Dictionnaire Le Robert

MARSEILLE Jacques (dir.), Histoire, Seconde, Les fondements du monde contemporain, Nathan, 1996


1 Il s’agit bien ici d’apprendre (« par cœur ») et non de faire une recherche sur un sujet donné ; dans ce dernier cas, on ne saurait se contenter d’ouvrages illustrés !

2 Cette remarque devrait aussi inciter chacun à prendre des notes…

1 Un index de cette revue est disponible sur Internet : http://www.histoire.presse.fr

1 En fait, on utilise habituellement le terme bibliographie pour la liste de l’ensemble des sources même si celles-ci sont de moins en moins exclusivement écrites. (Cf. par ex. Robert DEROME, Université de Montréal, http://www.er.uqam.ca/nobel/r14310/Guide/8.0.html ou le fascicule d’Etienne HOFMANN et Gianni HAVER, Histoire et sciences sociales, Représentation cinématographique de l’histoire, Université de Lausanne, 2000-2001). Les sources audio-visuelles mentionnées plus loin sont ainsi présentées dans la bibliographie, pour l’essentiel selon les mêmes règles et dans le même but.

2 Pour une bonne synthèse sur ces questions, cf. le site de Robert DEROME, Université de Montréal, Histoire de l’art, http://www.er.uqam.ca/nobel/r14310/Guide/8.0.html

3 La consultation des catalogues par l’Internet permet un contrôle aisé et rapide : http://www.rero.ch

4 Pour le nom, il y a le choix entre les majuscules et les petites capitales (avec une majuscule pour la première lettre). Pour les références en bas de page, il y a quelques petites différences (cf. ci-après).

1 Ce que conteste Robert DEROME qui propose de suivre le même ordre que pour un ouvrage (Réalisateur, Titre, …) (Cf. http ://www.er.uqam.ca/nobel/r14310/Guide/8.0.html)

1 Entre chaque notice, on laisse un interligne et demi ou un interligne double.

1 Dans les travaux en français, on utilise les guillemets français « » ; on peut cependant utiliser les guillemets anglais “ ” pour marquer une citation dans une citation.

2 Certains auteurs optent, dans ce cas, pour une présentation sans guillemets. Derome rappelle que si l’on veut être strict, il y a un guillemet ouvrant au début de chaque paragraphe et un guillemet fermant à la fin de la citation.

1 Le nom de VERDI sera associé d'une autre manière encore au patriotisme italien : en 1859, alors que Verdi est au sommet de la gloire, l'inscription « Viva VERDI » couvre les murs italiens pour Viva Vittorio Emmanuele Re d'Italia. (Source : L'époque contemporaine, 1770-1990, version B, LEP, 1995, p. 146)

1 Source : Guide du typographe romand, cité par CHATELAIN René, Quelques conseils de présentation d'un texte, ms, 1998, p. 8. Pour en savoir plus, sur ce sujet entre autres, on peut consulter les sites suivants : http://www.er.uqam.ca/nobel/r14310/Guide/8.0.html (Uni. de Montréal)  ou http://www.univ-tlse1.fr/publications/GuideMemoire/index.html (Uni. de Toulouse)

1 D’une source à l’autre, les chiffres concernant la préhistoire – approximatifs – se contredisent (cf. le texte suivant ou la chronologie qui suit et qui tente de dégager les éléments consensuels).

2Tiré de NOUGUIER Louis-René, 1984

3Tiré de LEAKEY R. E., LEWIN R., 1985

1 Pour avoir une idée des débats concernant ce point en particulier ou l’ensemble de la préhistoire, on peut consulter l’Encyclopaedia Universalis (article « Hominidés »). On voit que l’origine de l’homme remonte selon certains auteurs à 4 ou 5 Ma et selon d’autres à 2 Ma, selon les critères retenus.

Pour avoir une vision globale et simple de l’évolution, de ses étapes, des civilisations anciennes, on peut par exemple consulter SCARRE Chris, Chronos, une chronologie visuelle des temps anciens, Seuil, 1994 (éd. angl. 1993), 255 p.

Sur l’Internet, on peut consulter les sites suivants, en particulier pour illustrer divers éléments (de la préhistoire ou de l’histoire) :

http://www.hyperhistory.com/online_n2/History_n2/a.html

http://perso.libertysurf.fr/pythacli/chronologie.htm

http://home.worldnet.fr/~larane/histoire00chrono.htm

http://www.lib.utexas.edu/Libs/PCL/Map_collection/historical/history_main.html http://members.tripod.com/~CABCN/indexfr.htm

1 Lucien Febvre écrivait : « N'écrasons pas l'effort humain sous le poids écrasant du passé. Répétons hautement, historiens   et parce qu'historiens   que le passé n'oblige pas. Passé, du reste ? Soyons sans illusions. L’homme ne se souvient pas du passé ; il le reconstruit toujours. » Jean-Claude RUANO-BORBALAN ajoute à ce sujet : « Les historiens professionnels d'aujourd'hui reprendraient volontiers cette mise en garde, mais demeurent partagés sur l'utilité de l'histoire pour comprendre le présent : Jacques Le Goff l'affirme, alors que Jacques Revel et Paul Veyne pensent le contraire. » (Source : idem, p. 5)
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