Thèse pour obtenir le grade de docteur de l’Université Paris I panthéon-Sorbonne







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2)Le rapport aux Français de métropole
Bien que les Français d’Algérie partagent avec leurs compatriotes de l’autre rive de la Méditerranée une citoyenneté et les valeurs qui y sont attachées, réside pourtant, entre les deux pans d’un même peuple, des différences apparemment irréductibles, dont certaines datent sans doute des accrocs qui se sont fait jour lors des entreprises de naturalisation massive de la fin du XIXème siècle. En effet, n’oublions pas que les Européens étaient alors perçus comme une menace sérieuse, avant que ne soit fait le choix de les intégrer en tant que Français, une intégration dont les objectifs étaient de permettre de grossir les rangs des Français pour transformer l’Algérie en véritable colonie de peuplement, en même temps que d’avoir sur la population immigrée européenne une plus grande maîtrise.

« S’il est un domaine où le souvenir et l’expérience du double exil, de leur pays d’origine d’abord et d’Algérie ensuite, oriente le discours des pieds-noirs, c’est bien dans la pensée d’une inégalité réelle, inscrite dès ses débuts dans le régime colonial, entre l’Algérie et la France. Car comment rationaliser la dépendance de la première vis-à-vis de la seconde, sinon par la croyance qu’il existait des différences visibles entre les métropolitains et les nouveaux émigrants (…) ? »362

Ainsi, « quelle que soit leur origine, ils se considèrent comme appartenant à une « France algérienne », les « Français de France » étant perçus comme des compatriotes différents. »363

Michèle Baussant relève d’ailleurs que, au cours de son enquête, « nombre d’entretiens évoquent le sentiment de marginalisation des émigrants face à la collectivité métropolitaine. »364 Qu’il se soit agi d’un sentiment de marginalisation ou, plus simplement, d’une impression de différence, les Français affirment presque tous qu’il existait entre les Français de France et eux « quelque chose » d’irréductible. C’est d’ailleurs ce que cherche à nous expliquer Mme P., lorsqu’elle fait référence à une différence de traitement entre les deux pans d’un même peuple :

« Pour nous, nous étions français. On n’était pas en France, mais nous étions français. La seule chose que je vous dis, on n’était pas considérés comme les Français hein… en commençant par les allocations familiales. Nous avions beaucoup moins d’allocations familiales que les Français de France. Ca vous ne le saviez pas… si par exemple on donnait à l’époque… je vous donne un exemple… je vous dis à l’époque, on donnait 60 francs par enfant, nous avions peut-être 25 ou 30 francs pas plus hein. Ah oui… on était quand même… pas si bien considérés que les purs Français… ça je me souviens de ça… »365

De même Alain V., rappelle :

« Il y avait une différence entre le Français métropolitain et le Français… quelles que soient ses origines, qu’elles soient espagnoles, italiennes, maltaises, juives, françaises… le local quoi, le Pied-Noir… la différence se faisant sentir déjà ne serait-ce que dans la discrimination existante dans les droits. Les salaires étaient moins importants… bon, ça, je l’ai su après mais bon, on comprend cette… les salaires étaient moins importants pour les autochtones, et encore moins importants pour les musulmans, bien évidemment. Ca déclinait. »366
Aussi, pour Pascale S. :

« Ma mère me dit que ils payaient plus d’impôts les Pieds-Noirs. Ils n’étaient pas plus avantagés. Le niveau de vie était plus bas. »367
Quant à Roland A., il fait état d’une réelle hiérarchie :

« Alors, même au plan des lois… en théorie, les lois étaient peut-être les mêmes, mais le problème c’est que déjà en France ça changeait souvent aussi. Mais en fait, les lois en Afrique du nord étaient appliquées de façon très imprécise. Il y avait plusieurs niveaux de communautés… au dessus, si vous voulez, vous aviez les Français qui venaient de France. Ceux-là étaient certainement des Français comme les Français de France ici qui bénéficiaient des mêmes lois. On les trouvait… bon, généralement, c’est eux qui dirigeaient l’Afrique du nord… à savoir, on les trouvait dans l’administration, l’armée, la police. Enfin, disons, quelques milliers de personnes, une dizaine de milliers de personnes… (…) mais par exemple, ma famille, qui est d’origine espagnole, ne bénéficiait pas des lois françaises, alors que tous les enfants… (…) ont tous été appelés à faire la guerre… et même en est mort, en 40, après qu’il ait fait la guerre d’Espagne dans les brigades internationales. Vous voyez, c’est très complexe. Mais une fois qu’il est mort, en principe, les Français avaient droit à certaines choses eux… bon les Espagnols, ma grand-mère n’a eu droit à rien. Elle n’a pas eu droit à percevoir une pension… alors que tous ses enfants faisaient la guerre pour la France, comme mon père… enfin tous. Donc en fait, les lois n’étaient pas appliquées à ce qu’on appelle les pieds-noirs, et que moi j’appelle les Nord-Africains… c’était en fait une petite frange de Français de France qui bénéficiaient de ces lois… »368
Enfin, pour Jean-Pierre Mart. :

« Là-bas, il y avait un tarif et ici en métropole… on était département français… alors, pourquoi un gars marié avec trois enfants, là-bas il touchait tant ? Il venait ici en métropole, il y avait un autre salaire »369
De façon plus « humoristique », Jean-Marc L. raconte également le décalage qui existait entre Français de France et Français d’Algérie :

« On avait un ressentiment, un complexe d’infériorité par rapport aux métropolitains, parce que c’était des Français… toutes les filles d’Algérie rêvaient d’épouser un Français de France. Tous les mâles pieds-noirs rêvaient d’épouser une femme de France, parce que c’était la classe, l’élégance, c’était le parfum. »370
Ou encore Danielle R. qui essaie d’expliquer cette impression, latente et pourtant « insaisissable », d’une différence :

« Non, non… j’avais pas l’impression d’être pareil… il y avait… je sais pas à quel âge ça s’est développé ça en fait. Ca s’est peut-être développé avec la guerre. J’en sais rien… mais avant que la guerre… parce que on était trop jeunes pour s’apercevoir qu’il y avait des problèmes… le professeur, quand j’étais en 6ème, nous mettait en relation avec des élèves du même âge en métropole. Et j’étais fière de dire « voilà, nous ici, on fait comme ci, on fait comme là… je sais pas… c’était un parent éloigné pour moi, la France. »371
Ainsi, s’il l’on se réfère aux discours tenus ici, il existait donc une différence dans la façon dont la France, métropole et empire colonial, entendait traiter de part et d’autre de la Méditerranée sa population. Cette différence apparaissait aux Français d’Algérie du fait de la France, mais non du fait des Français métropolitains. Or, le rapport qu’entretenaient les Français d’Algérie avec leurs compatriotes de métropole, un rapport qui a participé de la constitution même du groupe et de ses « frontières », impliquait également une mise en présence des deux populations, faisant ainsi apparaître aux yeux de chacun quels fossés les séparaient. Ainsi, dans les propos de Mme T. raconte aussi le décalage qui existait entre les deux groupes :

« Les métropolitains, quand ils étaient là, leur vie était différente. Ils étaient vraiment différents de nous. Ils menaient une vie différente à la nôtre. C’était pas du tout pareil, pas du tout. On sentait la différence. Et quand on les entendait parler, quand on les voyait des fois… des fois, on s’apercevait à leur visage, à leur physique, mais des fois on s’apercevait à leur façon de s’exprimer. On se disait « ils ne sont pas d’ici. Ils sont de France ». »372
De même, pour Mme P. encore :

« On avait des Français qui venaient. On sentait, à leur accent, que c’était pas des gens de chez nous… à l’accent qu’ils nous apportaient… c’était pas des gens de chez nous… alors, pour nous, c’était des étrangers. Pour nous, c’était des étrangers. Nous, nous vivions avec les Arabes, avec les Algériens… on était chez nous. On se sentait proches d’eux… plus proches qu’avec la métropole… »373
Ou encore pour Maxime B. :

« Il y avait les Français qui n’étaient pas nés en Algérie et qui venaient, et qui étaient dans l’ensemble assez mal considérés, parce que les Pieds-Noirs, qu’on n’appelait pas encore comme ça d’ailleurs, hein, considéraient que ils avaient rien compris à l’Algérie, ce qui était probablement vrai d’ailleurs… qu’ils avaient rien compris à l’Algérie, qu’ils venaient en donneurs de leçons, etcetera. »374
Quant à Pierre A., il analyse la différence entre Français d’Algérie et Français de métropole sous un angle bien particulier, plaçant cette fois les premiers, non pas en position de laissés pour compte ou de discriminés au niveau des salaires, des allocations ou des lois, mais dans une position dominante par rapport aux compatriotes de la métropole, une métropole selon lui enrichie, dynamisée par la nouvelle population des Français d’Algérie :

« Nous avions peut-être même la sensation d’être, d’une certaine manière… non pas l’élite de la France, mais sa partie la plus vivante, la plus dynamique, celle qui était la plus entreprenante, la plus joyeuse, la plus festive. »375
De même, pour Hervé H. :

« « Ca c’est un point auquel ma mère est très sensible, mais elle n’est pas seule… par exemple, une conscience, assez anecdotique, mais de parler en général un meilleur français qu’en France métropolitaine, ce qui n’est probablement pas faux. »376
Ou encore pour Jean-Christian M. :

« Je me sentais français, mais, mettons d’une… je ne voudrais pas employer le mot « caste », mais d’une catégorie à part… peut-être un petit peu comme les Américains par rapport aux Anglais. (…) On se considérait comme des Français d’Algérie, c’est-à-dire une catégorie à part de la France, un département français avec peut-être un très très léger sentiment de supériorité. Ca, ça n’est pas impossible »377
Ce sentiment particulier d’une certaine forme de supériorité par rapports aux Français de métropole passe aussi par l’impression d’une réelle utilité de l’Algérie française et des Français d’Algérie à la mère-patrie et aux compatriotes. « Dans le cadre des principes du « pacte colonial », l’Algérie doit se contenter d’être une source de matières premières, et un simple débouché pour les produits manufacturés de la métropole. »378 Mettant ainsi l’accent sur les apports de cette terre d’Outre-mer à la métropole, quelques Français d’Algérie semblent laisser penser que, sans l’Algérie et sans leur labeur, ce sont les métropolitains qui se verraient privés de certaines choses que seule la colonie pouvait leur fournir. Il s’agit ici de mettre l’accent sur une autre version des rapports qu’entretenaient métropole et colonie, une version qui sera, nous le verrons, mise en avant plus tard, notamment lorsqu’il faudra donner au peuple métropolitain, outre une dynamique mondiale et un conflit enlisant, des arguments justifiant une séparation de la France et de sa colonie. Ainsi, pour prendre le contre-pied du discours tenu à la fin des années 50, les Français d’Algérie insistent, a posteriori, et pour doter encore une fois l’histoire sur laquelle ils entendent mettre l’accent et mettre au service de leur entreprise de consolidation d’un groupe déterminé, sur des aspects « positifs » de la colonisation française de l’Algérie, et donc, en extrapolant, sur l’utilité des Français d’Algérie pour les Français de métropole.

C’est ainsi que Jean C. affirme :

« Dans l’Algérois, il y a eu des vignes, agrumes, céréales et puis dans la région de Bône, il y avait aussi pas mal d’agrumes, de vignes… on a fait même poussé du coton… il y avait différentes industries, « Tomacop », « Comacop » et puis d’importants vignobles mais dont la plupart appartenaient à la métropole… de très grosses compagnies françaises, des gens… des capitalistes français qui investissaient là-bas. »379
De même, Jacky B. raconte :

« On exportait beaucoup de primeurs, vous savez que l’Algérie était un gros pays exportateur, ça c’est bon pour votre thèse, un gros pays exportateur d’agrumes… après les agrumes, il y avait... ça passait par campagne, c’était la campagne des agrumes, la période si vous voulez… la campagne des tomates, il y avait la période des pommes de terre, il y avait la campagne après des fruits d’été, de tout ce qui est abricots, cerises, des haricots verts et voilà notre job c’était d’envoyer en métropole, en France des bateaux complets et je vous assure par centaines de tonnes, chaque soir, il partait des centaines de tonnes de primeurs »380
Xavier P. explique :

« Nous étions numéro un mondial de l’exportation d’agrumes. Numéro un… vous savez ce que c’est numéro un ?… voilà. On arrosait toute la France. On arrosait l’Allemagne, l’Angleterre, etcetera… avouez que c’est quand même extraordinaire. Pourquoi ne dit-on pas ça au lieu de montrer du doigt ? »381
Pour Monique C. :

« C'était le premier exportateur de primeurs, premier exportateur en vins, premier exportateur en blé... »382
Enfin, pour Pierre A. :

« Des pinardiers (…) venaient chercher le vin d’Algérie pour le mélanger à des vins un peu moins alcoolisés en métropole. »383
Pour Xavier P., pourtant, il existait certains « signaux » laissant penser que les Français d’Algérie n’étaient pas traités exactement comme les Français de France, notamment en ce qu’ils ne bénéficiaient pas d’une réelle liberté de circulation entre leur province et la métropole, quand les Français de métropole pouvaient se rendre en Algérie sans condition :

« Nous percevions mal pourquoi, lorsque nous nous rendions en métropole… très peu… on vivait d’abord en Algérie… moi, jusqu’à ma majorité et même après, je ne suis allé en France qu’une fois ou deux… donc, en définitive, on était étonné de cette espèce de barrière qui obligeait le Français d’Algérie à passer par la douane. Il y avait une organisation de la douane dans tous les ports d’Algérie, ou les aéroports, qui était quand même curieuse pour des départements qui étaient français, puisqu’on disait que la France, c’était l’Algérie. En réalité, il y avait manifestement quand même un statut spécial de l’Algérie, que nous ne percevions pas. Pour nous, nous étions en France, tout bonnement, de façon primaire »384
C’est en partie dans le vocabulaire employé par les Français d’Algérie que peut être mise en évidence leur conscience d’une forme de différence, même s’ils insistent pourtant presque tous sur le sentiment de faire partie d’un seul et unique peuple, le peuple français. Plus qu’une simple différence, c’est en fait à une forme de hiérarchie dans l’appartenance à la communauté des citoyens français que les propos des Français d’Algérie interviewés renvoient. En effet, tout en insistant sur leur commune appartenance au peuple français, ils ne cessent pourtant de qualifier les métropolitains de « Français », comme s’ils bénéficiaient d’une plus forte légitimité à revendiquer cette appellation. Malgré eux, les Français d’Algérie laissent entendre que les Français métropolitains seraient en fait les « vrais » Français, ceux qui seraient en haut de la hiérarchie. Ainsi, par exemple, dans la bouche de Mme P., « les Français » sont, d’abord et avant tout, les métropolitains :

« Quand c’était des fêtes nationales, eh bien, on les fêtait comme les Français (…) Nous étions français. La seule chose que je vous dis, on n’était pas considérés comme les Français. »385
Quant à Jean-Claude G., il semble se rendre compte de la fréquente confusion qu’opèrent les Français d’Algérie lorsqu’ils cherchent à désigner leurs compatriotes métropolitains, leur accordant le titre de « Français », traduisant ainsi la façon dont la « hiérarchie » au sein du peuple français est ancrée en eux, et même chez ceux qui entendent s’en défaire en faveur d’une égalité de considération entre leurs compatriotes d’outre-Méditerranée et eux :

« Vous voyez j’en ai voulu un petit peu aux Français, pardon... je suis français... aux métropolitains pardon, je dis français... »386
De même, Jean-Pierre Z. :

« Un jour, je partais en Algérie passer les vacances de Noël, et sur le bateau, il y avait un jeune. Il avait pas fait son service militaire. On a bu un coup et on a commencé à parler. Lui, il venait de la région d’Orléans… je l’ai appris par la suite… et il me dit « vous allez en Algérie ? »… vu mon âge, il croyait que j’étais militaire. J’ai dit « non, non, je suis de là-bas. Je vais chez mes parents. Je travaille en France. Et vous, vous êtes de là-bas aussi ? ». Il m’a fait « ah non, moi je suis français de France »… je lui dis « et alors ? Excusez-moi. Moi, je suis français d’Algérie. Vous, vous êtes français de France ». Il s’est rattrapé un petit peu. Il a dit « non, je vais à un mariage. C’est mon frère qui est militaire, qui était français de France, qui se marie avec une Pied-Noire là-bas »… alors, il allait au mariage… comme il était jeune, bon… mais sur le coup… « je suis français de France ». C’est un peu le Marseillais et le Parisien. »387
C’est à la fois un très fort sentiment de proximité en même temps que la conscience d’une différence que l’on trouve, sinon injuste, du moins non fondée, et que la volonté et la fierté de se distinguer de ces compatriotes qui les regardent souvent avec mépris, qui caractérise le positionnement des Français d’Algérie à l’égard des Français de métropole. Ainsi, « ce sentiment d’appartenance à la France, avec qui on partage un référent puissamment fédérateur : la Mère-patrie, s’accompagne d’un fort sentiment d’autonomie. Vis-à-vis de la Métropole, on a une attitude à la fois d’imitation et de « démarquage », on se revendique Français, certes, mais, encore plus, « Algérien » ».388 Très attachés à leur patrie, aussi nouvelle soit-elle, les Français d’Algérie témoignent également de la volonté que le nom qui les désigne rende aussi compte de leur attachement la terre algérienne. Fortement ancrés à la terre algérienne, également attachés à la France, mélange de différentes communautés ainsi que de plusieurs religions, c’est respecter la « forme » que de les appeler les Français d’Algérie. Pour autant, il est vrai que certains énonceront d’autres appellations, simplement parce que, selon eux, elles reflétaient peut-être plus fidèlement la réalité de leur situation. Toutefois, les entretiens témoignent ici d’un certain décalage entre le vocabulaire employé à l’époque et celui qui a cours aujourd’hui, celui qu’il est « autorisé » d’employer au regard de l’évolution de l’histoire entre la France et l’Algérie.
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