Ce cours nous conduira de l'Egypte ancienne à l'époque contemporaine







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Histoire du livre et des bibliothèques


Livre : de liber (latin)

Bibliothèque : de biblion et bibliothekê (livre et bibliothèque en grec)
Le livre naît d’une nécessité : trouver un support de l’écrit transportable ( contrairement à la pierre) pour répondre aux besoins d’une administration ou d’un gouvernement (comptes, traités, textes juridiques,…) : origine des documents d’archives, puis des textes religieux et littéraires (dès le IIIe millénaire av.J.C. en Assyrie et Egypte) : naissance du livre

Introduction
L'histoire des bibliothèques se confond avec l'histoire des cultures écrites : dès qu'il a existé des supports de l'écrit, le besoin s'est fait sentir de conserver ces traces, donc de les collecter, de les recenser, puis de les organiser de manière à faciliter l'étude et la recherche.
Ce cours nous conduira de l'Egypte ancienne à l'époque contemporaine

avec une double perspective :


  • quelles formes et techniques diverses ont emprunté les supports de l’écrit au long des siècles, pour quels lecteurs, et quels contenus ?

  • voir comment les évolutions de l'histoire des idées et de la transmission des savoirs se sont traduites dans le fonctionnement des établissements et institutions



L'Antiquité


  • Assyrie et Egypte

  • Extrême-Orient 

  • Le Monde gréco-romain


Tout au long de l’Antiquité, des collections se constituent et se conservent.

Il peut s’agir de collections royales, patriciennes ou publiques, souvent fondées sous l’impulsion d’un monarque ou d’une dynastie, parfois associées aux temples des différentes religions (Egypte)

Le Moyen-Age


  • Haut Moyen-Age et renaissance carolingienne

  • Le temps des monastères : scriptoria et armaria (Xe-XIIIe)

  • Cathédrales et Universités (XIIe – Xve)

  • Le livre d'heures, best-seller du Moyen Age


Le livre du Moyen-Age est un codex manuscrit sur parchemin plus ou moins enluminé.

A la fin de la période, de nombreux changements révolutionnent le monde du livre : le papier ( connu en Orient depuis longtemps mais parvenu en Europe au XIIIe siècle ) et le procédé d'impression à caractères mobiles et à la presse, mis au point par Gutenberg dans les années 1450.

Pour l'illustration, la xylographie (bois gravé) va progressivement supplanter l'enluminure


Renaissance et Humanisme ( XV-XVIIe)


  • Publics élargis, besoins nouveaux

  • L'apparition du dépôt légal

  • Développement des bibliothèques privées et publiques


Au cours de cette période marquée une abondante production d'impressions de haute qualité, le livre imprimé s'éloigne du modèle du manuscrit médiéval et prend son identité propre : recherche de la clarté, plus grande lisibilité des caractères, apparition de la page de titre

Les Lumières et la Révolution


  • Le livre au temps des Lumières

  • La Révolution : confiscations et dépôts


Le siècle des Lumières, marqué, en France notamment, par un foisonnement intellectuel extraordinaire, est aussi celui des grandes « sommes » abondamment documentées et richement illustrées : Histoire Naturelle, Encyclopédie de Diderot et d'Alembert
XIXe et XXe siècles


  • Développement de la bibliothéconomie

  • L'essor de la lecture publique

  • L'apparition du « libre accès »


Le XIXe est marqué par une explosion de la production éditoriale dûe à la mécanisation et à l'adoption de la pâte à papier à base de bois : beaucoup de livres d'une qualité moindre, et aussi une vogue du « livre-cadeau » au décor romantique, ainsi que de belles éditions illustyrées par desartistes tels que Daumier, Doré, Grandville,...
Fin XXe -XXIe siècles


  • Nouvelles technologies et bibliothèques

  • Bibliothèques virtuelles et numériques

  • Et demain ?...

Définitions

Les idéogrammes, qui sont une évolution des pictogrammes, permettent la représentation des sons, par exemple le signe représentant le chat, représente aussi le son « cha » dans des mots tels que chapeau, achat etc. L'écriture idéographique dérive vers l'écriture syllabique dans lesquelles les signes représentent les sons successifs de chaque mot. Les hiéroglyphes égyptiens sont une écriture d'idéogrammes, ils apparaissent à partir de 3150 avt J.C.. L'écriture chinoise est aussi une écriture idéographique.

Les pictogrammes : apparus en 3300 avt J.C. en Mésopotamie (Sumer), ils représentent des objets concrets à l'aide d'un dessin (cela dérive vers l'écriture cunéiforme).

Le papyrus est une pâte végétale employée en Égypte (début du IIIe millénaire), c'est une fibre du roseau, découpée séchée et tissée. Le papyrus est le support généralisé de l'écriture dans l'antiquité ; avec l'utilisation du papyrus le livre prend la forme d'un rouleau, le volumen.

Volumen vient de volvere (rouler) : il nous reste de la racine le mot de volume qui s'applique à l'unité physique bibliographique.

Le parchemin est un mode de tannage de la peau (peau raclée, lavée à la chaux, polie); il s'agit souvent de peau de mouton mais ce peut être de chèvre, d'âne. L'introduction du parchemin date du I e siècle, mais il se substitue totalement au papyrus au Ve siècle. Il viendrait de Pergame où le développement de sa fabrication aurait été favorisé pour pallier le coût élevé du papyrus importé d'Égypte. C'est avec le parchemin qu'apparaît le livre sous forme de codex, car le parchemin à la différence du papyrus peut être plié (le papyrus casse), les feuilles sont pliées pour former un cahier et sont cousues.

Le vélin est la peau la plus luxueuse. C'est la peau de veau mort né, on l'utilise pour les manuscrits de luxe, en raison de son grain très fin et de sa blancheur.

Le palimpseste est une peau réutilisée déjà écrite une première fois. Elle est grattée (pour effacer le premier texte), lavée et de nouveau écrite.

Le papier artisanal : venu de Chine (inventé vers 150 avt J.C.), il est exporté, à travers les pays arabes, en Espagne puis dans le reste de l'Europe. Il est fabriqué à base de pâte de cellulose extraite de tissus (chiffe) : le papier artisanal est réalisée à base de chiffons mis à tremper dans une cuve et battus avec un maillet : la pâte est répandue sur des formes, cadres tendus de fil de laiton, les fils verticaux sont les pontuseaux et les fils horizontaux sont les vergeures. Le papier est introduit en Italie dès la fin du XIe siècle, mais il ne se généralise pas immédiatement. C'est au XIIIe siècle que l'on voit naître des centres de fabrication du papier en Italie (Fabriano), puis au cours du XIV e siècle en Europe. Et c'est en 1500 que l'emploi du papier se généralise pour la confection des livres . Le papier chiffon deviendra l'unique support de l'écrit jusqu'en 1850.

Le papier mécanique : deux innovations majeures, allant de pair, contribuent à l'apparition d'un nouveau papier. La première est l'invention de la machine à papier continu qui, équipée de cylindres, permet de sortir des rouleaux de papier (disparition des pontuseaux et vergeures) ; c'est une accélération de la production. Elle est construite en 1803 en Angleterre et introduite sur le continent en 1811 ; en France elle fut mise en ouvre par Canson et les Montgolfier d'Annonay. La seconde invention est la pâte mécanique à base de pâte de bois en 1844. La première usine de papier de pâte de bois est ouverte en Allemagne en 1848.

L'écriture manuscrite a été longtemps l'unique mode de production du livre. En Europe occidentale, les grands centres de production du livre au Moyen âge étaient les scriptoria des monastères, puis à compter du XIIe siècle, les ateliers de copistes des universités (système de la pecia).

La xylographie : le procédé consiste à graver le texte et l'image sur un bois en relief pour le reproduire par application après encrage sur un support ; c'est une technique venue d'extrême orient qui est mise en oeuvre en Occident à compter du XIVe siècle. On l'utilise pour des éditions de Donat (ouvrages de grammaire pour écoliers), de livres de piété populaire, d'almanachs : des ouvrages où il y a des images et peu de texte. Les éditions xylographiques les plus fréquentes à partir de 1500 ont été l'Apocalypse figurée, la Biblia pauperum (Bible des pauvres), et l'Ars moriendi (Art de mourir). Mais le procédé de la xylographie ne peut se substituer à l'écriture manuscrite.

L'impression du texte

La stéréotypie : invention de la stéréotypie à la fin du XVIII e siècle, elle ne sera mise en ouvre qu'au siècle suivant. Un cliché de la composition de chaque page permet la réimpression sans avoir à utiliser et donc à mobiliser les fontes ; cela est utilisé pour les rééditions multiples : telle celle de la Bible ou de la collection des ouvres de Virgile. Le principe de la stéréotypie est de composer une page avec des matrices en creux dans lesquelles est coulé directement l'alliage, procédé inventé par Didot. Stanhope améliora le procédé en 1810 en prenant des moules en plâtre sur des pages de composition en plomb ordinaire imprégnées d'huile ; ces moules étaient cuits et puis plongés dans un métal en fusion. Ce cliché en métal peut être régulièrement remis sous presse. La presse change elle-même de nature.

La rotative : la presse en métal (et non plus en bois comme celle de Gutenberg) est apparue en 1800, sous sa forme mécanisée (actionnée par une machine à vapeur) ; puis elle prend la forme cylindrique de rotative en 1850, et elle est introduite en 1866 à Paris. Elle permet une accélération prodigieuse des débits d'impression : 10000 exemplaires en 1h. Les clichés stéréotypés prennent une forme cylindrique.

La mécanisation de la composition

Le principe de la machine à composer est de mécaniser la manipulation des casse : par un clavier le composeur appelle les caractères.

La linotype : La composition automatique sur matrice est inventée en 1884. Il n'y a plus de fonte mobile, la ligne est automatiquement fondue (au moyen d'une fondeuse) : au moyen d'un clavier on appelle les matrices des caractères et non plus les caractères eux-mêmes. Les matrices de caractères viennent se ranger dans un assembleur où la ligne est composée, la ligne assemblée dans la matrice est passée dans une fondeuse qui fond les caractères dans la matrice. Introduction de la linotype en France en 1890.

La monotype : Date de 1887, c'est exactement le même principe sauf que les caractères sont fondus un à un, ce qui est utile pour des publications complexes avec une grande diversité de caractères (publications scientifiques par exemple).

L'OFFSET : Technique mise au point en 1904, un film est réalisé à partir de la composition et est mis en contact avec une plaque métallique recouverte d'une couche photosensible qui est encrée. Le report de la plaque sur le papier est photographique.

L'impression de l'illustration

L'héliogravure : Technique inspirée de la taille douce, le dessin est gravé en creux, encré et essuyé puis l'impression se fait par une forte pression. Mais l'héliogravure est une technique mécanisée mise au point en 1895. Elle se fait à partir de photographies gravées sur cylindres : les parties à ne pas imprimer sont protégées par un vernis et le dessin à imprimer est attaqué par du chlorure de fer qui creuse des alvéoles qui sont encrées, le report de l'original sur le cylindre se faisant au moyen d'un papier photosensible.

Les procédés de photocomposition : permettent d'obtenir directement la photographie d'un texte sans qu'il ait été matérialisé auparavant. Les matrices des lettres sont photographiques, ce sont des images en négatif, qui sont projetés sur un miroir qui la réfléchit sur le papier ou le film photographique, et la composition est alors imprimée. Avec l'électronique, les matrices photographiques disparaissent, l'image des lettres est matérialisée quelques secondes à l'écran et est simultanément photographiée.

Les procédés informatiques : traitement de texte et PAO (Publication assistée par ordinateur) ; la mise en page se fait sur une mémoire informatique qui est chargée pour l'impression.

Le livre : depuis l'apparition de l'imprimerie un livre est un document imprimé sur support papier. Les feuillets composant le livre sont réunis ensemble et composent une unité physique bibliographique qui est le volume. Traditionnellement un livre comporte plusieurs cahiers et plus de 48 pages, en dessous il est appelé brochure.

Le livre numérique : le texte conservé dans une mémoire de type informatique, numérique, est consultable sur un écran, il n'est plus nécessaire de le matérialiser sur un support papier.

Le copyright recouvre le droit de diffuser son ouvre et d'en tirer un bénéfice, ce droit est ouvert durant toute la vie de l'auteur et au bénéfice de ses héritiers pour une durée qui varie selon les législations, elle est unifiée à 70 ans après la mort de l'auteur dans les pays de l'union européenne. Le copyright anglo-saxon est devenu le référent international dans de nombreuses conventions sur le droit d'auteur. Le copyright est daté puisqu'il naît le jour où l'auteur contracte un contrat d'édition.


La restauration des documents

Entretien des reliures et des documents

Pour les reliures en cuir

L'entretien qui peut être fait à la bibliothèque est le dépoussiérage des cuirs, le nettoyage du cuir avec du savon Brecknell (avec une éponge végétale propre) et pour finir la pose de cire 213 (cire incolore contenant des fongicides) qui doit être étendue en très petite quantité.
Ce sont les seules cires reconnues par la BNF (elles ont été mises au point par le CRCDG).

Restauration des papiers

Procédés de désacidification feuillet par feuillet ou de désacidification de masse (passage dans un autoclave de désacidification d'ouvrages).

Doublage par thermocollage, ou par encollage à la tylose, Comblage, clivage et doublage intérieur etc.

Désinfection et décontamination en cas d'infestation

Une fois l'agresseur identifié, il faut retirer les ouvrages des locaux, et effectuer le traitement des locaux et des collections.

La désinfection des collections

Elle se fait au moyen du gaz d'oxyde d'éthylène.

La désinfection des locaux

Contre les insectes, elle se fait par fumigation dans la bibliothèque d'un produit correspondant aux insectes identifiés (coupelles, réchauds) .

Contre les moisissures, elle se fait par pulvérisation de formaldéhyde sur toute les surfaces y compris les rayonnages (cette désinfection des locaux se fait aussi en cas d'inondation).

En cas d'inondation et d'incendie

Que doit faire le magasinier en cas d'incendie ?

  1. Evacuer le public

  2. Fermer les portes pour éviter les appels d'air, utiliser les extincteurs.

Comment intervenir en cas d'inondation ?

  1. La bibliothèque doit posséder du matériel en quantité importante : sopalin, serpillières, bacs etc.,
    à défaut d'en posséder, il doit se trouver dans la bibliothèque un dossier avec les adresses de fournisseurs pouvant fournir ce matériel, les coordonnées téléphoniques des personnes à prévenir.

  2. Les mesures à prendre sont les suivantes :

  3. Pratiquer un endiguement, dériver l'eau vers les endroits les moins gênants.

  4. Faire recouvrir avec des bâches les rayonnages dans les magasins non encore touchés mais qui peuvent être menacés (et surveiller attentivement les collections sous les bâches)

  5. Constituer des équipes pour intervenir sur les livres qui ont été mouillés : une équipe sera donc chargé de ramasser les ouvrages et d'opérer un premier tri entre les ouvrages complètement imbibés d'eau et ceux qui sont mouillés en surface seulement ou même simplement humides.

Deux opérations doivent être menées de front, la première est le ramassage et le tri des ouvrages. La seconde opération est la préparation des documents en fonction du mode de traitement choisi.

  1. 1ère phase : Ramassage et tri des ouvrages

Ramasser les ouvrages tels qu'ils se présentent, s'ils sont fermés, ne pas essayer de les ouvrir ; s'ils sont ouverts, essayer de les fermer mais ne pas insister si cela casse.

Ne pas séparer les feuillets collés.

Essayer d'enlever la boue (dans la mesure où cela n'abîme pas le livre).

Effectuer tout en ramassant un premier tri entre :

- les parchemins, les tissus, les cartonnages.

- Les livres imprimés artisanaux, les livres imprimés sur papier mécanisé .

Et mettre ces catégories dans des sacs à congélation et des caisses différentes
(car les constituants de ces ouvrages ne vont pas réagir de la même façon à l'eau et à la congélation.
De plus la reliure absorbe l'eau différemment selon qu'elle est en basane, parchemin, carton).

Trier aussi les ouvrages imbibés et ceux moins mouillés

  1. 2ème phase Le traitement des ouvrages

Les ouvrages imbibés doivent être préparés pour la congélation
(congélation très rapide à moins de 30° pour éviter la formation de cristaux de glace), il faut les mettre dans des sacs de congélation (sacs fermés) sur lesquels on peut éventuellement porter la cote au crayon
(pas d'encre, qui pourrait se mêler à celle des livres).

Les ouvrages moins mouillés

Il faut prévoir : des tables et des tréteaux, des déshumidificateurs, des ventilateurs, du sopalin, des buvards blancs, du papier neutre et des crayons à papier.
Il faut recouvrir les tables de papier, de polyester (pour le traitement des estampes et des photographies).

Par exemple si les livres sont mouillés sur le dessus on les ouvre délicatement pour insérer des feuilles de buvard entre les pages ;
une fois qu'elles auront pompé l'eau, il faut les enlever et en glisser d'autres quelques pages plus loin.
Il ne faut pas intercaler trop de buvard à la fois pour éviter que le dos lâche.
On peut aussi utiliser des sèche-cheveux.

Après passage à la désinfection des documents au gaz d'oxyde d'éthylène, la désinfection des locaux peut également être nécessaire.

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La Conservation des documents

  • Les facteurs de deterioration des documents

  • Les modes et moyens de conservation des documents

  • Les organismes chargés de la conservation

Même dans une bibliothèque qui n'est pas une bibliothèque de conservation comme le sont les bibliothèques nationales, la conservation des collections en bon état demeure un objectif,
car les bibliothèques se doivent de maintenir les collections en bon état afin qu'elles soient communiquées au public dans des conditions normales.

Le magasinier a dans ces matières un rôle capital à jouer parce qu'il appartient à la catégorie de personnel qui manipule le plus les ouvrages (équipement, prêt, rangement des collections) ;
il doit être en mesure de diagnostiquer les agents et les facteurs mettant l'intégrité de l'ouvrage en péril ou même provoquant sa disparition.

Conserver les collections suppose que l'on possède une connaissance des causes de détérioration des documents, afin de pouvoir déterminer le type d'intervention sur les documents eux-mêmes ou sur l'environnement des documents.

La conservation est un domaine technique, les bibliothécaires ne sont ni des chimistes, ni des biologistes, aussi pour les aider dans les expertises et les moyens à mettre en ouvre, un certain nombre d'organismes à vocation transversale ont été créés pour étudier ces questions de conservation ; ils offrent une aide à l'expertise aux bibliothèques.

1 - Les Facteurs de détérioration des documents

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Ils sont de deux ordres : ce sont des facteurs externes au document lui-même et des facteurs internes aux documents .

Les Facteurs externes de détérioration

Ce sont des facteurs environnementaux.

Les conditions climatiques, l'exposition à la lumière naturelle ou artificielle, la pollution, les agents de dégradation tels que les rongeurs, les manipulations, les conditions de rangements etc.

Les Facteurs internes de détérioration

Il s'agit des matériaux constitutifs du livre, à travers les âges ils ont changé.

Le vieillissement des papiers de pâte de bois a pour effet de développer le constituant acide, le ph du papier se situant en dessous de 7.

Les cuirs de basane (mouton) vieillissent mal, ce sont des cuirs colorés dont les composants chimiques des teintures ont contribué à attaquer la peau, notamment les veaux mouchetés à l'acide du XVIIIe s.

Les colles, les reliures trop serrées etc.

Les Cas de sinistres

Autre cause de détérioration des documents : les inondations et les incendies.

2 - Les Modes et moyens de conservation des documents

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Pour assurer la conservation des collections, on distingue deux types d'intervention,
celles qui ont pour objet de prévenir les dégradations en agissant notamment sur les conditions environnementales,
et les interventions qui ont pour objet de remettre les documents abîmés en état : ces interventions se nomment curatives.

La Conservation préventive des collections

A l'entrée du document dans les collections, il peut être mis en ouvre un certain nombre de mesures destinées à protéger voire à renforcer le document.

La principale mesure de conservation préventive à ce titre est la reliure, mais quelques-unes consistent aussi à équiper l'ouvrage de façon à n'ajouter aucun composant qui accélérerait sa dégradation.

Il faut aussi veiller au stockage des documents, ainsi qu'aux conditions de communication.

La reproduction des documents est aussi un moyen de conserver les documents originaux.

Les Mesures curatives : la restauration des documents

La restauration des documents

A l'occasion du récolement qui permet de vérifier l'état physique des ouvrages, et aussi à l'occasion du rangement des ouvrages, des prêts etc. les magasiniers davantage que les autres membres du personnel sont en mesure de juger de l'état des ouvrages.

Ce contrôle peut être fait de façon plus systématique en insérant dans les ouvrages des fiches d'entretien qui permettent de suivre l'évolution des problèmes et des traitements,
ou encore en entrant en données locales sur le catalogue informatisé de la bibliothèque des indications sur les tâches de conservation menées ou à effectuer,
ou tout simplement en constituant une base des ouvrages repérés nécessitant une intervention.

L'entretien des reliures et des documents fait aussi partie de la restauration des documents ainsi que la restauration des papiers

En cas d'infestation il faudra procéder à la désinfection des collections et des locaux

Certaines mesures sont à prendre en cas d'inondation et d'incendie.

3 - Les Organismes chargés de la conservation

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Les Organismes nationaux

La DLL

Le CRCDG

Les Organismes et programmes internationaux

Le PAC

Le Bouclier Bleu

LIBER

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Le vocabulaire

Le vocabulaire du livre manuscrit ancien

Le volumen : le livre est sous forme de rouleau (jusqu'au Ve siècle), rouleau de papyrus pour le livre grec ou rouleau de parchemin. On trouve quelques volumen tardifs à l'époque du codex pour des textes officiels, chronologie des papes et des rois, lettres de créances des ambassadeurs, etc.

Le codex : entre le IIIe et Ve siècles après J.C. le livre adopte la forme définitive du codex, constitué de cahiers réunis par un fil et cousus ensemble. Il est d'une maniabilité plus grande que le rouleau et permet l'écriture recto verso.

Le palimpseste est une peau utilisée une première fois, et réutilisée après effacement du premier écrit

L'enluminure : illustration en miniature peinte dans le texte.

Le vocabulaire éditorial du livre artisanal

L'incunable : edition datant des premières années de l'imprimerie 1450-1500. Plus exactement, sont appelés incunables les premiers livres imprimés dans les premières imprimeries des villes (l'installation d'une imprimerie de Gutenberg ne s'est pas faite à la même date dans toutes les villes d'Europe) c'est pourquoi, la fourchette est de 1500 à environ 1515.

L'édition princeps : première édition des auteurs anciens (le princeps est souvent un incunable mais pas toujours)

L'édition originale : Première édition d'un ouvrage.

Le vocabulaire de l'imprimerie du livre artisanal

Le codex : au III e siècle av J.C. le livre adopte la forme définitive du codex, composés de cahiers réunis par un fil et cousus ensemble. Il est d'une maniabilité plus grande que le rouleau, il permet l'écriture recto verso

Les formats : Les formats datent de l'époque de l'imprimerie artisanale ;
de fait, l'imprimeur disposait d'un papier fabriqué de façon artisanale (papier chiffon jusqu'au XIXe ), la pâte était mise à sécher dans une forme, cadre tendu de fils de laiton parallèles et croisés, les fils apparents sont les pontuseaux, et les fils les plus fins sont les vergeures, la forme comprenait aussi le dessin d'un filigrane.
Les feuilles, une fois imprimées étaient pliées et coupées pour constituer des cahiers.
Ces cahiers étaient numérotés au moyen de lettres et de chiffres, une lettre par cahier et un chiffre par feuillet : Un cahier de 4 feuillets était numéroté ainsi Ai Aii Aiii Aiv, cette numérotation s'appelle la signature des cahiers.
La numérotation permettait de placer dans l'ordre les cahiers successifs.

Les principaux formats

In plano : C'est la feuille en son entier , (sens des pontuseaux horizontaux), format adapté aux cartes et atlas.

In folio : La feuille est pliée une fois, une feuille fait deux feuillets et avec quatre pages on a des cahiers pairs de 2, 4, 8 feuillets encartés les uns dans les autres dans le sensvertical des pontuseaux. Le filigrane au centre de la page.

In quarto : La feuille est pliée deux fois, ce qui fait quatre feuillets ou 8 pages, ce qui forme un cahier de quatre feuillets, sens horizontal des pontuseaux et filigrane vers le bord gauche de la page

In octavo : La feuille est pliée quatre fois ce qui fait huit feuillets ou seize pages, et des cahiers de huit feuillets, le sens vertical des pontuseaux et filigrane dans le coin supérieur gauche.

In douze : La feuille est pliée six fois, ce qui fait douze feuillets ou vingt quatre pages, un cahier de huit et un cahier de quatre, ou deux cahiers de six. Pontuseaux horizontaux et filigrane vers le bord droit.

In seize : La feuille est pliée huit fois, ce qui fait seize feuillets ou trente deux pages, alternance de cahiers de 8 avec pontuseaux horizontaux et filigrane dans le coin supérieur droit de la page.

Pour la détermination du format du livre, utile pour le catalogage du livre ancien, il faut compter le nombre de feuillets par cahier en s'aidant des signatures, regarder le sens des pontuseaux (verticaux ou horizontaux) et la place du filigrane.

Les formats de papeterie et d'imprimerie déterminée par le papier fabriqué à la forme ont toutefois disparu avec l'introduction du papier continu.

Ces formats ont été repris et adaptés pour différents usages, la reliure, le classement en bibliothèque, bien que les définitions à l'usage des relieurs, tout comme à l'usage du classement des bibliothèques aient été modifiées.
Pour les formats de rangement, il est fait référence à la hauteur de l'ouvrage, il s'agit d'un format purement conventionnel, défini en fonction de la taille apparente de l'ouvrage et non pas sur le format réel déterminé par le nombre des pliures de la feuille de papier. Les formats les plus utilisés pour le rangement sont les suivants :

Format Gd folio (au-dessus de 50 cm), in Folio (32 cm à 45 cm), in 4° 25 cm à 31 cm, in 8° (18 cm à 24 cm), in 16° (inférieur à 18 cm) .

Le vocabulaire de la reliure du livre artisanal

Dans la période artisanale : le livre au sortir de chez l'imprimeur se présente en cahiers non reliés. L'acquéreur du livre se charge lui-même de le confier à un relieur.

Le Livre relié : les éléments constitutifs de la reliure sont les plats, les tranchefiles, la coiffe, les tranches, la pièce de titre, les mors, cf. les annexes.

Les matières de couvrures

Les tissus : Velours, brocart, etc. pour les reliures de luxe jusque vers 1530. Toiles apprêtées sur les reliures éditeur à partir de 1830.

Le parchemin : Peau tannée (truie, chèvre, mouton) ; peau mégissée : peau au tannage naturel (aspect blanchâtre) ;

La basane : Peau de mouton utilisée à toutes les époques pour des reliures courantes, la basane reçoit des traitements divers selon les époques, mouchetée au XVIIe et XVIIIe , marbrée au XVIIIe siècle.

Le veau : Le veau présente un grain plus lisse que la basane il est utilisé à toutes les époques, le plus souvent pour des reliures plus soignées que celles recouvertes de basane. Comme la basane le veau peut également être décoré.

Le maroquin : Peau de chèvre, employé en France à partir de 1530, teintée généralement de rouge au XVII e et de couleurs variées au XVIII e siècle.

Le chagrin : Peau de chèvre utilisée surtout pour les ½ reliures depuis le XIX e siècle.

Le papier : Utilisé pour les couvertures des demi-reliures, les cartonnages bradel et les reliures éditeur (à compter de la fin du XVIII e siècle)

Les types de reliures

La reliure du moyen au âge - XVe siècle : Ais de bois recouverts de peau estampée à froid (peau de truie le plus souvent) ou de peau mégissée, fermoirs et cabochons sur les plats (le livre est conservé à plat) dos sans décor, reliure d'orfèvrerie et de tissus, pour les reliures de luxe.

La reliure XVIe siècle : Reliure courante de parchemin, les plats sont souples sans carton avec parfois rabats et attaches, dos long et souvent sans décor. Reliure pleine peau décorée de dorure à chaud, le décor est simple composé de fleurons dorés au centre et parfois aux angles, les dos sont peu décorés un petit fleuron entre les entre-nerfs. La reliure de luxe est très chargée en décor doré aux plats jeux d'entrelacs parfois mosaïqués

La reliure XVIIe siècle : Les plats sont sans décors parfois armoriés au centre, les dos sont très décorés, fleuron central et fleurons aux angles dans les entre-nerfs, le titre est doré au dos. Les gardes de couleurs apparaissent. La reliure d'amateur au XVII e est souvent en maroquin rouge, avec des encadrements de filets aux plats.

La reliure XVIIIe siècle : Reliure courante comme au XVII e et dos à nerfs décoré de fleuron (fleur de grenade très utilisée). Fin XVIIIe s. le dos long apparaît. Reliure d'amateur, maroquin teinté (rouge, citron, olive), plats décorés de filets ou de dorures à la plaque au motif de dentelles.

La reliure XIXe siècle : Pour la reliure courante généralisation des demi-reliures à partir de 1830, avec plats en papier, le décor se trouve désormais au dos qui est long. La reliure de luxe est en pleine peau, les décors sont des décors de pastiches des décors des siècles antérieurs. Le décor à la cathédrale est propre à la période romantique. A la fin du XIXe siècle apparaît la reliure industrielle du type des cartonnages Hetzel.

Le livre broché : c'est le livre non relié dont les cahiers sont cousus et souvent recouverts d'une protection papier (au XVIIIe siècle des papiers dominotier, marbré ou uni). Au XIXe siècle, apparaissent les livres brochés avec couvertures parlantes imprimées.

Le vocabulaire du livre industriel

Il tient aux innovations en ce domaine, puisque les éditeurs se sont mis au XIXe siècle à fournir un produit fini relié, ou un produit recouvert qui peut se passer éventuellement de reliure et qui d'ailleurs n'est pas conçu pour être relié.

On parle de cartonnage éditeur , de reliure éditoriale , de coupé collé (avatar du livre broché cousu).

Quelques nouveautés : la 4ème de couverture, la mention du copyright , le n° ISBN, ISSN (à partir de 1970).

Questionnaire première visite d’une bibliothèque/orientation politique documentaire


Ville




Nombre d’habitants




Nom de la bibliothèque




Surface



Nb de niveaux/étages





Organisation des espaces :

Décrivez l’organisation globale de la bibliothèque, ou dessinez un plan succinct


Y a-t-il plusieurs niveaux/étages ?

 Oui  Non

si oui, que trouve-t-on à chaque niveau ?





si non, comment est organisé ce niveau unique ?
y a-t-il plusieurs espaces distincts ? plusieurs « secteurs » ?





Comment les collections sont-elles présentées/organisées dans les espaces ? (ex : suivant la Dewey, pôles thématiques, …)




Détectez-vous la présence de cotes validées ?

 Oui  Non

Signalétique : existe-t-elle ?

 Oui  Non

Signalétique : distinguez-vous plusieurs niveaux ?

 Oui  Non

Signalétique : vous semble-t-elle claire ?



 Oui  Non

Remarques :


Les collections

Nombre total de documents de la bibliothèque




Nb de doc en magasin/réserve




Nb de doc en libre accès




Nb de documents adultes




Nb de documents jeunesse




Budget d’acquisition annuel




Nombre de documents acquis annuellement 





Exercice pratique sur les documentaires adultes

Choisissez un volume de documents (ex : tous les documents d’une cote, ou d’un ensemble de cotes qui forme un ensemble cohérent), n’excédant pas 5 ou 6 tablettes. Évaluez le nombre de documents choisis (10 ? 20 ? 30 ? 50 ? 100 ?).
Vos premières impressions :

Voyez-vous :

- des documents de référence (dictionnaires, encyclopédies) ?  Oui  Non

- des documents de synthèse (type « Que sais-je ? »), qui font le tour d’une question ou d’un savoir ?  Oui  Non

- des documents de vulgarisation, qui rendent accessibles des savoirs complexes ?  Oui  Non

- des documents exprimant le point de vue de l’auteur (essai, ..)?  Oui  Non

- des manuels universitaires ?  Oui  Non

Si oui, de quel niveau ?  1er cycle (bac à bac+3)

 2e cycle (bac+3 à bac+5)

 3e cycle (au-delà de bac+5)

- des livres pratiques, qui expliquent un savoir-faire ?  Oui  Non

- des livres qui donnent à voir (photos, dessins, …)  Oui  Non

- des documents qui s’adressent à des professionnels ?  Oui  Non

- des documents dont la lecture demande des connaissances approfondies en amont ? (livres de niveau recherche universitaire, …) ?  Oui  Non

- d’autres types d’ouvrages ?

Lesquels :


Choisissez 10 documents au hasard

  • Décrivez l’état physique de ces documents : sont-ils neufs ? anciens ? abimés ? cornés ? jaunis ? etc.

- ouvrez les documents et indiquez leur date d’édition :
Combien ont moins de 5 ans ?

Entre 5 et 10 ans ?

Plus de 10 ans ?
En fonction du domaine que vous avez choisi, cette situation vous semble-t-elle problématique ? pourquoi ?

Quelques questions à poser aux bibliothécaires :

  • comment les documents sont-ils sélectionnés ?

  • comment sont organisées les acquisitions ? (qui achète quoi ? selon quels critères ? à quelle fréquence ?, …)

  • pour le segment de collections que vous avez choisi, existe-t-il des éléments de politique documentaire (analyse des collections, plan de développement des collections, protocole de sélection, …) ?


LE BIBLIOTHECAIRE-DOCUMENTALISTE :

« Le savoir, c’est le pouvoir ». L’évolution de notre société ne fait que confirmer et renforcer cet adage. En effet, le volume d’information technique et scientifique produit dans le monde suit une courbe exponentielle. Il double tous les 5 ans et on peut parler alors de ‘ Société de l’information’ » (extrait de Luc Verdebout . Formation à la recherche documentaire à l’Université libre de Bruxelles www.bib.ulb.ac.be/fileadmin/user_upload/Web_Bibliotheques/documents/huy3.doc )

Formation :

Les études comportent les volets suivants :

Des cours généraux, des cours techniques relatifs à la profession, des cours de langues (néerlandais et anglais), des travaux pratiques, des stages et un travail de fin d’études.
Pour le graduat de bibliothécaire-documentaliste :

Les écoles de plein exercice en cours du jour :

- IESSID-HE. Institut d’Enseignement Supérieur Social des Sciences de l’Information et de la Documentation. Paul Henri Spaak à Bruxelles (Rue de l’Abbaye, 26 à 1050 Bruxelles. Tél. 02/629.04.00 ou www.iessid.be)
- Haute Ecole de la province de Liège Léon Eli-Troclet (Rue des Croisiers, 15 à 4000 Liège. Tél : 04/237.95.86 ou www.prov-liege.be/epl)
- Haute Ecole Namuroise Catholique (Rue Fond de Malonne, 129 à 5020 Namur. 081/44.72.29 ou www.henac.be)


Les écoles de promotion sociale (cours du soir et à horaire réduit pour adultes):

- Institut Jean-Pierre Lallemand (Rue du Chêne, 17 à 1000 Bruxelles. Tél. : 02.513.60.93)

- Institut provincial supérieur des sciences sociales et pédagogiques. IPSMA - Atelier Ferrer à Charleroi (Bd Rouillier 1 à 6000 Charleroi. Tél. 071/53.17.58 ou www.utpp.be)

- Institut provincial d’enseignements de Promotion sociale de Liège – IPEps (Rue des Augustins 30 à 4000 Liège Tél : 02.223.38.04)

- Institut Reine Astrid de Mons – IRAM (Av. de l’Hôpital, 22 à 7000 Mons. Tél. 065.33.45.05)
Les passerelles vers l’Université :

- MASTIC ULB (Infodoc) : Master en Sciences et technologies de l’information et de la communication. Licence en sciences du livre et des Bibliothèques ou www.ulb.ac.be.philo/infodoc/listcour.html (programme des cours)

- MASTER UCL : Master en information et communication www.uclouvain.be/prog-comu2m1.html
(renseignements pris auprès du Siep : Service d’Information sur les Etudes et les Professions www.siep.be)
Les associations professionnelles :

Les bibliothécaires-documentalistes se regroupent en associations professionnelles diverses :
- ABD (Association Belge de Documentation. Chaussée de Wavre, 1683. 1160 Bxl Tél. 02.675.58.62 www.abd-bvd.be). Publications : Abd-Info et Les Cahiers de la Documentation
- APBD (Association Professionnelle des Bibliothécaires et des Documentalistes. Av. Rêves d’or, 30. 7100 La Louvière. Tél. 064.21.52.37 www.A.P.B.D..be) Publication : Bloc-notes
- F.I.B.B.C. (Féd. Interdiocésaine des Bibliothécaires et Bibliothèques Catholiques. Rue de Joie, 68 à 4000 Liège Tél. 02.254.61.06). Publications : biblirama
- Et encore : Le groupe EDUDOC Asbl (pour la promotion de manière pluraliste de l’accès à l’information et à la documentation scientifique et technique), PRO-DOC.EDU (Rue de la Clissure, 34 à 4130 Esneux Tél. 04.380.31.53), Dédale, le réseau RéCoDA.
- IFLA (International of Libraries Associations and Institutions) www.ifla.org
Les débouchés :

Des débouchés existent dans les secteurs publics, privés, internationaux.

Dans une bibliothèque publique : gestionnaire de lecture pour les jeunes et les adultes, conseiller de lecture, animateur socio-culturel, animateur de lecture pour la jeunesse.

Dans une bibliothèque spécialisée : Bibliothèques de musées, de Ministères, universitaires, d’organisations internationales, communautaires, nationales, musicales, …

Dans un centre de documentation : médical, pharmaceutique, juridique, financier, commercial, industriel, agricole, artistique, audio-visuel
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