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IL’inconnaissable.Table des matière-2 Victor Hugo a eu, comme notre société moderne, - j'entends la société pensante, - le sentiment de ce qu'on appelle aujourd'hui l'inconnaissable. Pour lui, l'intelligence trouve à la fois son « éclipse » et sa « preuve » dans le mystère éternel, qu'elle ne peut pénétrer et que cependant elle conçoit. Le savant dit : Comment ? Le penseur dit : Pourgnoi ? Passe ta vie A labourer l'écume et l'onde 1. Nous avons un devoir : « Défendre le mystère contre le miracle, adorer l'incompréhensible, et rejeter l'absurde 2. » C'est donc le mystère universel que Victor Hugo veut représenter sous toutes ses formes, dans l'infiniment petit et dans l'infiniment grand, dans le ciel lumineux et dans le ciel obscur, dans le jour et dans la nuit. Il a senti « l'horreur profonde des choses; » L'horreur constellée et sereine ! L'insondable Au mur d'airain... L'obscurité formidable Du ciel serein. Le ciel, dit-il, « est profond comme la. mort. » Tout se creuse sitôt que tu tâches de voir; Le ciel est le puits clair, la mort est le puits noir, Mais la clarté de l'un, même aux yeux de l'apôtre, N'a pas moins de terreur que la noirceur de l'autre 1. Ailleurs, Hugo compare encore le mystère du monde au mystère du ciel : « D'innombrables piqûres de lumière ne font que rendre plus noire l'obscurité sans fond. » Les scintillations des astres permettent seulement de constater la présence de quelque chose d'inaccessible « dans l'Ignoré ». Ce sont des « jalons dans l'absolu; ce sont des marques de distance, là où il n'y a plus de distance ». Un point microscopique qui brille, puis un autre, puis un autre, puis un autre, « c'est l'imperceptible », et en même temps « c'est l'énorme ». Cette lumière, en effet, est un foyer, « ce foyer est une étoile, cette étoile est un soleil, ce soleil est un univers, cet univers n'est rien. Tout nombre est zéro devant l'infini. » D'autre part, lorsque « l'imperceptible étale sa grandeur », et se révèle à son tour comme contenant un monde infini, « le sens inverse de l'immensité se manifeste 2 ». De cette contemplation de l'inconnu se dégage, dit Hugo, un phénomène sublime: « le grandissement de l’âme par la stupeur. L'effroi sacré est propre à l'homme; la bête ignore cette crainte. » ... Après un long acharnement d'étude, lorsqu'une tête humaine croit enfin s'être remplie de quelques réalités, qu'à grands frais elle croit avoir obtenu un résultat quelconque, elle se sent tout à coup « vidée par quelqu'un d'inconnu » ; à mesure que la science verse en nous quelque vérité nouvelle, le mystère infini « boit la pensée 3 ». « Ce monde est un brouillard, presque un rêve, » « Tout est mêlé de tout. » Création ! figure en deuil ! Isis austère 4 ! Enfin te rends-tu compte un peu du vaste rêve Où ton destin commence, où ton destin s'achève, Qu'on nomme l'univers, et qui flotte infini 5 ? Mais cette infinité du monde qui nous déborde, qui dépasse toutes nos conceptions, n'est flottante que pour notre imagination; en réalité, la nécessité universelle se fait sentir à nous comme une pression infinie. Sur tes religions, dieux, enfers, paradis, Sur ce que tu bénis, sur ce que tu maudis. Tu sens la pression du monde formidable 6. Que faut-il donc faire, devant cet inconnaissable qui est précisément le réel ? Faut-il essayer de se le représenter ? Non, Renonce à fatiguer le réel de tes songes 2. Devant l'ineffable, la pensée comme la parole restera toujours impuissante. Les voix de la nature « ne sont qu'un bégaiement immense, » L'homme seul peut parler, et l'homme ignore, hélas ! Pourtant, nous sommes tous « agents dans cette œuvre immense » ; mais nous ne pouvons être témoins de l'œuvre même, du fait universel auquel nous contribuons : L'immensité du fait prodigieux dépasse L'ombre, le jour, les yeux, les chocs, le temps, l'espace; Elle est telle, et le point de départ est si loin, Que, tous étant agents, personne n'est témoin 3. Qu'est-ce donc alors que la vie ? - « Un inexprimable effort dans l'inconnu 4 ». D'où viens-tu ? Je ne sais. - Où vas-tu ? Je l'ignore. – L'homme ainsi parle à l'homme et l'onde au flot sonore. Tout va, tout vient, tout meurt, tout fuit. Nous voyons fuir la flèche et l'ombre est sur la cible; L'homme est lancé. Par qui ? vers qui ? - Dans l'invisible. Les Travailleurs de la mer nous représentent, avec Gilliatt en face de l'Océan, notre pensée en face de l'agitation universelle. Gilliatt avait autour de lui, à perte de vue, « l'immense songe du travail perdu. » Voir « manœuvrer dans l'insondable et dans l'illimité la diffusion des forces, » rien n'est plus troublant. On cherche des buts, et on n'en trouve point. L'espace toujours en mouvement, l'eau infatigable, les nuages « qu'on dirait affairés », le « vaste effort obscur », toute cette convulsion est un problème. « Qu'est-ce que ce tremblement perpétuel fait ? que construisent ces rafales ? que bâtissent ces secousses ? Ces chocs, ces sanglots, ces hurlements, qu'est-ce qu'ils créent ? A quoi est occupé ce tumulte ? Le flux et le reflux de ces questions est éternel comme la marée. » Gilliatt, lui, savait ce qu'il faisait; mais l'agitation de l'étendue l'obsédait confusément de son énigme ! « Quelle terreur pour la pensée, le recommencement perpétuel... toute cette peine pour rien !... 5 » Le monde moral, où l'ordre et le nombre devraient surtout régner, n'est pas moins troublé et obscur que l'autre : Le mal semble identique au bien dans la pénombre; On ne voit que le pied de l'échelle du Nombre, Et l'on n'ose monter vers l'obscur infini 1. Dans Horror, c'est encore le mystère universel qui fait naître la pensée, l'horreur sacrée : La chose est pour la chose ici-bas un problème, L'être pour l'être est sphinx. L'aube au jour parait blême; L'éclair est noir pour le rayon. Dans la création vague et crépusculaire, Les objets effarés qu'un jour sinistre éclaire Sont l'un pour l'autre vision. Au milieu de toutes ces apparences phénoménales, de toutes ces « visions », il est pourtant des choses qui se dressent au-dessus des autres et qui semblent avoir plus de réalité : Nous avons dans l'esprit des sommets, nos idées, Nos rêves, nos vertus, d'escarpements bordées, Et nos espoirs construits si tôt. Mais nos idées, nos vertus, nos rêves et nos espoirs passent comme tout le reste : Nous sommes ce que l'air chasse au vent de son aile; Nous sommes les flocons de la neige éternelle Dans l'éternelle obscurité. Ainsi, de toutes parts, la nuit nous enveloppe et telle est l'immensité de l'inconnaissable, qu'elle déborde l'immensité même des espaces, des temps, de l'univers : ... L'infini semble à peine Pouvoir contenir l'inconnu. Toujours la nuit ! jamais l'azur ! jamais l'aurore ! Nous marchons. Nous n'avons point fait un pas encore ! Nous rêvons ce qu'Adam rêva ; La création flotte et fuit, des vents battue; Nous distinguons dans l'ombre une immense statue, Et nous lui disons : « Jéhovah 2 ! » S'il n'y avait dans l'homme qu'un contemplateur, une « raison spéculative », non un être agissant et une « raison pratique », l'homme serait sans doute manichéen. Il ne pourrait que constater l'universelle antithèse du bien et du mal, de la lumière et des ténèbres, sans éprouver ce besoin d'unité qui n'est si impérieux que quand il est moral, que quand il s'agit de l'unité du bien. « Unité du bien » et, en contraste, « ubiquité du mal », voilà ce qui a frappé Victor Hugo; et c'est ce qui, à chaque instant, dans le domaine de la pensée pure, le fait pencher vers le manichéisme. Comme les anciens, il voit dans la lumière et dans l'ombre le symbole de la grande antithèse cosmique : bien et mal. On se rappelle ces espèces d'oracles philosophiques que contiennent les Contemplations, et tout ce que révèle la voix de l'ombre infinie, c'est-à-dire de l'univers, symboliquement appelée la « bouche d’ombre ». Un spectre m'attendait dans un grand angle d'ombre, Et m'a dit ; « Le muet habite dans le sombre. L'infini rêve, avec un visage irrité. L'homme parle et dispute avec l'obscurité. Et la larme de 1'œil rit du bruit de la bouche. Tout ce qui vous emporte est rapide et farouche. Sais-tu pourquoi tu vis ? sais-tu pourquoi tu meurs ? Les vivants orageux passent dans les rumeurs, Chiffres tumultueux, flots de l'océan Nombre. Vous n'avez rien à vous qu'un souffle dans de l'ombre 1. Mais, sur le rapport de l'ombre et de la lumière, Hugo a une vue originale : c'est que, dans. notre monde, ce qui l'emporte sur le reste, ce qui semble faire le fond, c'est l'ombre, la nuit, tandis que la lumière et le jour semblent des accidents passagers, bornés à un petit nombre de lieux et de moments. Les astres lumineux ne sont que des points imperceptibles dans une immensité noire; le jour n'est que le phénomène, exceptionnel dans l'univers, produit par le voisinage d'un astre, d'une « étoile », et qui cesse à une assez faible distance; entre les astres, dans la grande étendue, règne la nuit. Victor Hugo revient souvent sur cette idée que la nuit, loin d'être un état accidentel et passager dans l'univers, est l'état propre et normal de la création spéciale dont nous faisons partie : « Le jour, bref dans la durée comme dans l'espace, n'est qu'une proximité d'étoile. » Et cette nuit semée de rares lueurs est le symbole sensible du monde moral : Les êtres sont épars dans l'indicible horreur. L'ombre en étouffe plus que le jour n'en anime 2. La nuit, c'est l'ignorance, le mal, la matière, tout ce qui voile Dieu, tout ce qui semble en dehors de Dieu et contre Dieu, tout ce qui en parait la négation. C'est pourquoi Hugo appelle l'ombre athée; ce n'est pas pour le plaisir de faire une métaphore inattendue et étonnante qu'il a dit, dans les vers sublimes par où se terminent les Contemplations: « l'immense ombre athée. » Les allusions à cette conception des choses, à la fois imaginative et métaphysique, sont continuelles chez Hugo, mais passent naturellement incomprises pour la plupart des lecteurs. Ainsi, après avoir reproché à l'homme ses négations et ses doutes, Hugo convient que ces négations ont leur raison d'être dans l'ubiquité du mal et de l'ombre : Après t'avoir montré l'atome (l'homme) outrageant tout, Il faut bien te montrer la grande ombre debout 3. … Comment dire : la vie est cela; la vertu Est cela; le malheur est ceci; - qu'en sais-tu ? Où sont tes poids ? Comment peser des phénomènes Dont les deux bouts s'en vont bien loin des mains humaines, Perdus, l'un dans la nuit, et l'autre dans le jour ? … …Voici les astres. Autour de tes bonheurs, autour de tes désastres, Autour de tes serments à bras tendus prêtés. Et de tes jugements et de tes vérités, Les constellations colossales se lèvent; Les dragons sidéraux s'accroupissent et rêvent Sur toi, muets, fatals, sourds. et tu te sens nu Sous la prunelle d’ombre et sous l'œil inconnu. … L'univers met sur toi, dans l'espace vermeil, La nuit, ce va-et-vient mystérieux et sombre De flambeaux descendant, montant, marchant dans l'ombre 1. Le prodige de l'univers est pour Hugo un « prodige nocturne infini », parce que la formule vraie du ciel n'est pas pour lui le jour, mais la nuit : la sérénité apparente des cieux, c'est au fond la manifestation de l'obscurité sans bornes : …l'obscurité formidable Du ciel serein. Le mal est la nuit, qui enveloppe encore le jour, et d'où le grand jour ne sortira qu'à la consommation des siècles. La lumière ne peut, dit Hugo, jaillir sans un froissement et un frottement des êtres les uns contre les autres. Les frottements de la machine, c'est là ce que nous nommons le mal, « démenti latent à l'ordre divin, blasphème implicite du fait rebelle à l'idéal. Le mal complique d'on ne sait quelle tératologie à mille têtes le vaste ensemble cosmique. Le mal est présent à tout pour protester... Le bien a l'unité, le mal a l'ubiquité. » Cette antithèse philosophique ne pouvait manquer d'inspirer à Hugo une série d'antithèses poétiques qui en sont l'expression figurée, depuis la « profondeur morne du gouffre bleu », l'identification du ciel et de l'abîme, jusqu'aux oppositions perpétuelles de l'ombre et de la lumière 2. L'ombre est le mal pour l'intelligence, parce que c'est l'impénétrable et l'insondable. Son domaine croît à mesure qu'on descend l'échelle des êtres. Au bas, c'est ce mystère le plus grand de tous : la matière, la « chose », Cet océan où l’être insondable repose. Plus haut, c'est la plante, c'est l'animal, surtout l'animal mauvais et féroce, le monstre. « Il y a des monstres dont l'organisme est une merveille, une perfection en son genre; et cette perfection a pour but la destruction, elle est comme la perfection du mal même ! L'optimisme perd presque contenance devant certains êtres. Toute bête mauvaise, comme toute intelligence perverse, est sphinx; sphinx terrible proposant l'énigme terrible, l'énigme du mal. C'est cette perfection du mal qui a fait pencher parfois de grands esprits vers la croyance au dieu double, vers le redoutable bi-frons des manichéens 1. » On voit ici formellement exprimée la tentation manichéenne d'Hugo. Enfin, la plus grande ombre de l'univers, c'est le mal dans l'homme, - et non pas tant la souffrance que la faute ou le crime. Oh ! qu'est-ce donc, se demande Hugo, que ce « grand inconnu » qui fait croître un germe malgré le roc, qui tenant, maniant, mêlant les vents et les ondes, Pour faire ce qui vit prenant ce qui n’est plus, Maître des infinis, a tous les superflus, Et qui, - puisqu'il permet la faute, la misère, Le mal, - semble parfois manquer du nécessaire 1 ? L'être est morne, odieux à sonder, triste à voir. De là les battements d'ailes du désespoir 2. … Oh ! si le mal devait demeurer seul debout, Si le mensonge immense était le fond de tout, Tout se révolterait. Oh ! ce n'est plus un temple Qu'aurait sous les yeux l'homme en ce ciel qu'il contemple. … De tout ce qui parait, disparaît, reparait, Une accusation lugubre sortirait 3. Mais, comme tous les critiques l'ont remarqué, l'optimisme finit toujours par l'emporter chez Hugo, - et. aussi d'ailleurs chez les manichéens eux-mêmes, qui aboutissaient à une absorption finale des ténèbres dans la lumière. Le cheval doit être manichéen : Arimane lui fait du mal, Ormus du bien; Tout le jour, sous le fouet il est comme une cible; Il sent derrière lui l'affreux maître invisible, Le démon inconnu qui l'accable de coups; Le soir, il voit un être empressé, bon et doux, Qui lui donne à manger et qui lui donne à boire, Met de la paille fraîche en sa litière noire, Et tâche d'effacer le mal par le calmant, Et le rude travail par le repos clément; Quelqu'un le persécute, hélas ! mais quelqu'un l'aime. Et le cheval se dit : « Ils sont deux. » - C'est le même 4. Et dans les Contemplations : L'immensité dit : « Mort ! » L'éternité dit : « Nuit ! » … Tout semble le chevet d'un immense mourant; Tout est l'ombre; pareille au reflet d'une lampe, Au fond, une lueur imperceptible rampe; C’est à peine un coin blanc, pas même une rougeur. Un seul homme debout, qu'ils nomment le songeur, Regarde la clarté du haut de la colline; Et tout, hormis le coq à la voix sibylline, Raille et nie; et passants confus, marcheurs nombreux, Toute la foule éclate en rires ténébreux Quand ce vivant, qui n'a d'autre signe lui-même Parmi tous ces fronts noirs que d'être le front blème, Dit en montrant ce point vague et lointain qui luit « Cette blancheur est plus que toute cette nuit 5 ! » L'optimisme d'Hugo tient en partie à la tendance objective de son génie, que l'on a mainte fois signalée. Le problème du mal ne se pose pas simplement pour lui à un point de vue personnel. La puissance même de son imagination le projette toujours hors de lui, dans le monde entier, et il en résulte une conséquence qu'on n'a pas assez remarquée: c'est que, par cela même qu'il est plus imaginatif, plus objectif, il est aussi au fond plus métaphysicien. Son sentiment du mal, au lieu de rester une douleur individuelle, s'élargit, se socialise en quelque sorte, et s'égale même à l'univers, « au prodige nocturne universel », à la nuit sans limites que nous appelons le monde. Par cela même aussi ce sentiment, sans perdre de sa profondeur, a quelque chose de plus intellectuel, de moins nerveux, finalement de plus calme. Ce n'est plus une sorte de fièvre de douleur, un vertige de désespoir; c'est la vision illimitée d'un horizon noir où notre moi n'est qu'un point; d'un abîme où nous sommes engloutis. La mort, la douleur, le vice, le mal, la bestialité, la matière, la « grande ombre » sans bornes, « l'ombre athée », tout cela ne parle plus aux nerfs, mais à la pensée, qui cherche à pénétrer l'abîme et qui n'en a plus peur. Au pessimisme maladif de la personne blessée succède la sérénité des idées impersonnelles qui embrassent l'infini. Le vertige, ce trouble des nerfs, ne saisit et ne précipite que ceux qui avaient encore les pieds sur la terre : les voyageurs de l'espace, les aéronautes, qui vivent pour ainsi dire au milieu même de l'abîme, n'en ont plus peur; ils regardent à des profondeurs énorme,. et ils les sondent sans que leur œil se trouble. Hugo avait une puissance d'esprit et de volonté trop forte pour en rester au pessimisme; il n'avait pas non plus un désintéressement intellectuel assez grand pour rester dans le doute il eut la foi. Deuxième partie: chapitre III: “L’introduction des idées philosophiques et sociales dans la poésie contemporaine (suite). Victor Hugo” |
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