Surtout ‘’Les lunettes d’or’’ et ‘’Le jardin des Finzi-Contini’’







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André Durand présente
Giorgio BASSANI
(Italie)
(1916-2000)

Au fil de sa biographie s’inscrivent ses œuvres

qui sont résumées et commentées

(surtout ‘’Les lunettes d’or’’ et ‘’Le jardin des Finzi-Contini’’).
Bonne lecture !
Il est né à Bologne, le 4 mars 1916. Mais il appartenait, comme il l’indiqua lui-même, à «une famille de la bonne bourgeoisie juive» (‘’En réponse’’) qui, depuis plusieurs générations, vivait à Ferrare, ville d’Émilie-Romagne, à mi-chemin de Bologne et de Venise, enserrée dans ses remparts. Il y vécut, jusqu’en 1943, une jeunesse qu’il qualifia plus tard, d’«aussi heureuse qu’on peut l’imaginer» (‘’En réponse’’), d’abord via della Ghiara, dans la maison de son grand-père maternel, puis, dès la fin de la guerre, chez les grands-parents paternels, au 1, via Cisterna del Follo, un palais à la façade jaune. Son grand-père, professeur de médecine, s’était marié à une «goy» qu'il avait engrossée. Son père, Angelo Enrico, était un gynécologue fortuné. Sa mère, Dora, aurait pu devenir une chanteuse professionnelle si elle ne s’était pas mariée en 1915. À leur premier-né, ils donnèrent le nom de Giorgio, celui du saint patron de Ferrare, le jour de sa fête étant celui où ils s’étaient fiancés.

Il fut un garçon à l’air grave, timide, snob et peu liant, malgré sa participation aux monômes lycéens, et sa passion du sport cat, tout en étudiant l’histoire de l’art et en lisant ardemment la littérature italienne contemporaine, il jouait au tennis, au ‘’Circolo Marfisa d’Este’’, via Saffi, en particulier avec son ami d’enfance, le futur cinéaste Michelangelo Antonioni, Ferrarais chrétien.

Après avoir fréquenté le ‘’Liceo Ariosto’’ de Ferrare, lui, qui avait assez de talent pour devenir un pianiste de concert, opta pour la littérature, et, à l’automne 1934, entra à la faculté des arts et des lettres de l’université de Bologne, rompant ainsi avec la tradition familiale qui privilégiait la médecine. Il y eut notamment pour maître Roberto Longhi, l’un des plus célèbres critiques d’art italiens. Il y découvrit Benedetto Croce. Il s’y orienta vers la lutte contre le fascisme, intégrant en 1937 le mouvement clandestin, ‘’Giustizia e libertà’’.

Il s’adonnait à la littérature. Grand admirateur de Dante, il écrivait surtout de la poésie. Mais il publia des nouvelles :

- en 1935, dans le ‘’Corriere padano’’, journal de Bologne, ‘’Classe III’’ ;

- en 1936, toujours dans le ‘’Corriere padano’’, ‘’Nuvole e mare’’ et ‘’I mendicanti’’ ;

- en avril 1938, dans la revue ‘’Letteratura’’, ‘’Il concerto’’ où, pour la première fois, il mit en scène Ferrare, qu’il appella cependant «F».

En 1939, il obtint son diplôme, avec une thèse sur Niccolò Tommaseo, un écrivain et critique littéraire italien du XIXe siècle.
Même s’il n’était pas un Juif pratiquant, il ne put échapper à sa judéité qui devint dangereuse dans une Italie soumise au régime fasciste. Jusque-là, Mussolini n’avait pas menacé immédiatement les cinquante mille Juifs italiens, même s'il était fondamentalement hostile à toute minorité, et ceux-ci s’accommodaient de la situation. Depuis la réunification et l’ouverture des ghettos, en 1870, ils s’étaient émancipés, étaient devenus des membres très actifs d’une société qui n’était pas ouvertement antisémite, s’étaient assimilés, avaient laissé de côté une grande part de leur héritage culturel. Dès la fin de la Première Guerre mondiale, ils avaient, par crainte des socialistes, résolument pris fait et cause pour la droite révolutionnaire, puis pour les fascistes. Ainsi, la ville de Ferrare était gouvernée par un podestat juif en chemise noire, et le propre père de Bassani avait, comme la plupart de ses coreligionnaires, sa carte du Parti ! Mais lui-même, contrairement à la majorité des bourgeois juifs ferrarais, ne fut pas dupe, comme en témoigna sa fille, Paola Bassani-Pacht : «Une des grandes fiertés de mon père, c’était d’avoir choisi l’antifascisme avant les lois raciales de septembre 1938, en tant qu’Italien et non en tant que Juif.»

En effet, à la suite de la visite officielle d'Hitler en Italie en mai 1938, et devant les succès de l’armée allemande, le Duce, voulant plaire au Führer, escomptant, une fois la guerre gagnée, pouvoir «s’asseoir à la table de la paix comme belligérant», lança en automne son ‘’Manifeste pour la défense de la race’’, édicta des lois raciales qui excluaient les juifs de la fonction publique et donc de l'enseignement, interdisaient le mariage entre Juifs et Aryens ainsi que l'emploi de domestiques aryens, confisquaient des propriétés, ne permettaient plus de publier un journal ou de posséder un poste de radio, etc..

Faute d’avoir su ou pu analyser la nature du régime, les Juifs italiens se trouvèrent en plein désarroi, totalement désarmés et désorientés. Ils vécurent une sombre expérience d’isolement, de rejet graduel. Beaucoup se convertirent alors au christianisme, leur nombre passant ainsi de 47 485 en 1931 à 35 156 en 1939.

Ce fut alors que Giorgio Bassani et ses amis juifs furent non seulement chassés de l’université et de la prestigieuse ‘’Biblioteca Ariostea’’ de Ferrare, mais aussi du club de tennis, et que, sur l’invitation d’une riche famille israélite, ils trouvèrent refuge sur le terrain privé d’un palais voisin. Il allait raconter cela dans ‘’Le jardin des Finzi-Contini’’. «C’est là que mon père a rencontré ma mère, elle aussi d'une famille juive de Ferrare, très raffinée, avec des origines vénitiennes», indiqua Paola Bassani-Pacht. Le frère de Bassani, Paolo, qui voulait devenir médecin comme son père et son grand-père, vint étudier à Grenoble, mais, comme toutes les places dans les facultés de médecine en France avaient déjà été prises par des Juifs fuyant l’Italie, il dut faire plutôt des études d’ingénieur. Giorgio, qui était devenu professeur au ‘’Liceo Ariosto’’ de Ferrare, dut quitter son poste. Il enseigna alors l’italien, la littérature et la géographie à l’école juive de la via Vignatagliata, dans l’ancien ghetto, où la communauté juive avait établi des classes pour ses enfants expulsés des écoles publiques. Ce fut ainsi qu’il fut le professeur de sa sœur, Jenny. Ses élèves du temps se souviennent, aujourd’hui encore, de son enthousiasme pour l’art et la littérature contemporains. Il continua à publier dans des revues littéraires, mais sous le pseudonyme de Giacomo Marchi (le prénom étant celui de son oncle, et le nom celui de sa grand-mère, catholique et paysanne, qu’il avait tant aimée). Ainsi, en 1940, parut, à Milan, la nouvelle  : "Una città di pianura" (‘’Une ville de la plaine’’).

Avec l'entrée en guerre de l'Italie en mai 1940, la situation des Juifs italiens s'aggrava encore. Des camps d'internement furent créés pour les ressortissants ennemis, où furent enfermés des Juifs étrangers qui s'étaient réfugiés en Italie ainsi que quelques Juifs italiens. Malgré tout, les autorités italiennes ne participaient pas à la «solution finale» : elles refusaient de donner des Juifs, y compris leurs ressortissants tunisiens, aux polices allemande, française ou croate, et des Italiens s'illustrèrent dans le sauvetage des Juifs. La zone d'occupation italienne en France, principalement Nice, servit de refuge à de nombreux Juifs de France jusqu'en septembre 1943.

Giorgio Bassani décida de ne pas quitter l’Italie, entra dans la clandestinité, et participa intensément à la Résistance. Cet engagement l’amena à se déplacer souvent entre Ferrare, Bologne, Florence et Rome. Il décrivit cette période de sa vie comme «la plus belle et la plus intense de toute [s]on existence» puisqu’elle le «sauva» du désespoir que connurent bien des Juifs italiens, et déclara souvent que ces années avaient été, pour sa carrière d’écrivain, une période de formation sans laquelle il n’aurait pas réussi à atteindre ses buts, et réaliser ses rêves.

Mais, en mai 1943, il fut arrêté, et emprisonné à Ferrare. Il échappa ainsi à la déportation, et en furent aussi providentiellement sauvés (ils échappèrent aux rafles en se cachant dans une armoire) son père, sa mère et sa sœur, Jenny, qui put donc lui apporter de bons repas et du linge propre. Il décrivit cette période dans quatorze lettres envoyées à sa famille (qui allaient être réunies dans ‘’Da una prigione’’ [‘’D’une prison’’], qui fait partie du recueil de textes intitulé ‘’Di là dal cuore’’ [1984]). Le 25 juillet, il fut libéré par la chute du fascisme, qui entraîna l’invasion du Nord du pays par les Allemands. Le 4 août, il épousa une jeune femme juive de Ferrare, et, sous de fausses identités, pour échapper à l’atmosphère étouffante de la ville, ils fuirent, d’abord à Florence pendant quelques mois (il exhorta ses parents et sa sœur à venir les rejoindre), puis, le 6 décembre de la même année, à Rome, via Rossi, où il allait rester jusqu’à sa mort. Connu alors sous le nom de Bruno Ruffo, il gagna sa vie en traduisant Hemingway et Voltaire, tout en participant à des réunions politiques clandestines avec des membres du ‘’Partito d’Azione’’, expériences qu’il rapporta dans son ‘’Pagine di un diario ritrovato’’ (‘’Pages d’un journal retrouvé’’). Puis il adhéra au Parti socialiste italien.

Survint alors la catastrophe prévisible. Comme, le 8 septembre, l'Italie capitula devant les Alliés, les Allemands raflèrent les Juifs dans les grandes villes italiennes, ouvrirent un camp de concentration à Fossoli où furent enfermées cinq mille personnes, dont la moitié de juifs. À l'été 1944, un autre camp fut ouvert à Bolzano. Cent quatre-vingt-trois juifs de Ferrare furent envoyés à Fossoli, et, de là, déportés en Allemagne et anéantis, à Auschwitz, Buchenwald, Mauthausen ou Dachau. Finalement, environ neuf mille des cinquante mille Juifs italiens disparurent dans la Shoah. Quelques-uns revinrent des camps de la mort, parmi lesquels Primo Levi.

À la Libération, Giorgi Bassani, qui, forcé de prendre diverses occupations pour gagner sa vie, travailla dans des bureaux puis devint professeur dans une école de Velletri, une petite ville proche de Rome, publia d’abord des recueils de poèmes où il montra son goût pour l’analyse de la vie intérieure et pour l’évocation d’expériences autobiographiques dans des tonalités le plus souvent lyriques et nostagiques :

- en 1945 : ‘’Storie dei poveri amanti e altri versi’’ (‘’Histoires de pauvres amants’’), poèmes écrits de 1939 à 1945, dont une seconde édition fut donnée en 1946.

- en 1947 : ‘’Te lucis ante’’, dont Bassani déclara que, d’une certaine façon, c’est son livre le plus important. Le titre est le début de l’hymne chrétien, ‘Te lucis ante terminum’’.
En 1947, l’Américaine Marguerite Chapin, princesse Caetani de Bassiano, entra en contact avec lui, et l’invita à collaborer avec elle à une extension en Italie de la revue littéraire ‘’Commerce’’, qui avait été publiée avec succès en France avant la guerre.

En 1948, elle lança une autre revue internationale et raffinée, ‘’Botteghe oscure’’ (nom de la rue de Rome où se trouvait son palais), dont il devint l’éditeur. Il allait, dans ce métier, montrer une grande habileté pour détecter le meilleur de la prose et de la poésie à travers le monde, publiant des Italiens (Mario Soldati, Italo Calvino, Attilio et Bernardo Bertolucci, Giorgio Caproni, Pier Paolo Pasolini [dont il fut le mentor]) mais aussi, en langue originale des textes d’importance internationale (T. S. Eliot, Dylan Thomas, René Char, Henri Michaux, Roger Caillois, Maurice Blanchot, Georges Bataille, Antonin Artaud, Isaak Dinesen, Jorge-Luis Borgès, W. H. Auden, Truman Capote, Robert Graves, etc.). Mais ‘’Botteghe oscure’’ allait cesser sa publication en 1960.

En 1949, il commença à enseigner l’italien et la littérature à l’’’Istituto nautico’’ de Naples.

En 1951, il publia un recueil de poèmes : ‘’Un’ altra liberta’’ ( ‘’Une autre liberté’’).

En 1952, toujours pour gagner sa vie, il s’intéressa au cinéma (que, selon sa fille, il trouvait «amusant»), tenant le rôle d’un professeur dans le film de Luciano Emmer ‘’Le ragazze di Piazza di Spagna’’ (‘’Les fiancés de Rome’’), commençant à écrire des scénarios, celui de ‘’Le avventure di Mandrin’’ (‘’Le chevalier sans loi’’) de Soldati, et celui de ‘’II vinti’’ (‘’Les vaincus’’) d’Antonioni.

Lui, qui n'avait quitté Ferrare que pour mieux la raconter, commença à se faire surtout l’historien littéraire de la communauté juive de Ferrare, avec :

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‘’La passegiata prima di cena’’

(1953)

‘’La promenade avant dîner’’
Nouvelle de 45 pages
Le narrateur examine une vieille carte postale montrant le corso Giovecca, l’artère principale de Ferrare, «vers la fin du siècle dernier». Il y distingue une jeune fille qui presse le pas, et qu’il appelle soudain Gemma Brondi. Cette élève infirmière sortant de l’hôpital est abordée par un jeune homme qui l’accompagne jusqu’à la maison de sa famille paysanne, située dans le faubourg, contre les remparts de la ville.

Ils sont observés par la sœur aînée de Gemma, Luisa. Et nous apprenons que le jeune homme est le docteur Elia Corcos, qui, ce jour de 1888, embrasse la jeune fille avant de la rejoindre à l’intérieur de la maison.

Au grand étonnement du père, dont il veut épouser la fille, il s’y présente comme «israélite» et comme médecin. Issu d'une famille juive aisée, il allait, en effet, être considéré comme «un grand clinicien» qui allait réussir, mais moins que s’il était allé plutôt à Bologne, la ville voisine et rivale plus chanceuse, et malgré son union avec cette modeste Gemma Brondi. D’où la question : pourquoi avait-il choisi cette voie?

Il avait épousé cette «guia», et ils s’étaient établis dans le ghetto, chez son père, «le vieux marchand de grain Salomone Corcos». Mais, quand il devint «médecin-chef de l’hôpital» et «médecin personnel de la duchesse Costabili», qu’il fut considéré comme une des célébrités locales, ils vinrent habiter dans l’élégante via Ghiara. Les parents de Gemma, qui n’était toujours qu’une modeste ménagère, y venaient en se glissant par la porte du verger, tandis que les parents d’Elia, si élégants et pleins d’assurance, entraient par la porte d’en avant, les deux groupes restant séparés, ainsi le jour de l’enterrement de Ruben, le fis aîné de Gemma et d’Elia, dans le cimetière juif.

Cette séparation était ressentie surtout par Luisa, qui ne s’accordait guère qu’avec le vieux Salomone, qui était venu vivre chez son fils, comme elle allait le faire, elle aussi, quand en 1926, après la mort de Gemma, elle devint la gouvernante d’Elia, restant dans la maison après sa disparition en automne 1943.

Et, pourtant, elle était toujours demeurée timide face à cet homme, qui, chez lui, ne faisait jamais que lire, s’étant, depuis le soir de ses fiançailles, voué à la Science pour considérer «les êtres et les choses de haut et comme hors du temps.»
Commentaire
Dans cette nouvelle, écrite entre 1949 et 1951, Giorgio Bassani immortalisa les figures de ses grands-parents maternels, Cesare Minerbi et Emma Marchi, les évoqua dans leur maison de la via della Ghiara. Il fit se réaliser ce qui avait échoué pour Lida Mantovani (voir la nouvelle dont c’est le titre) : I'union entre un représentant de la bourgeoisie et une fille du peuple. Chacun des deux protagonistes de ce récit vit dans le respect de Ia religion et de la culture sociale de I'autre, mais sans qu'une symbiose véritable s'opère.

Il fallut vingt ans à Giorgio Bassani pour que la nouvelle atteigne sa version définitive.

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En 1953, Giorgio Bassani fut invité par Roberto Longhi et Anna Banti à faire partie de l’équipe de la revue ‘’Paragone’’ (il allait y publier ‘’Gli occhiali d’oro’’ en 1958).

Cette année-là, il écrivit les scénarios de ‘’Senso’’ (adaptation d’une nouvelle de Camillo Boito) pour le film de Luchino Visconti, de ’’La provinciale’’ (‘’La marchande d’amour’’) pour le film de Mario Soldati.

En 1954, il participa aux scénarios des films d’Alessandro Blasetti, ‘’Tempi nostri’’ (‘’Quelques pas dans la vie’’), et de Luigi Zampa, ‘’La romana’’ (‘’La belle Romaine’’, tiré de la nouvelle de Moravia).

En 1955, ce furent les scénarios des films ‘’La donna del fiume’’ (‘’La fille du fleuve’’), ‘’La mano dello straniero’’ (‘’Rapt à Venise’’) et le sketch ‘’Il Ventaglio (dans ‘’Questa è la vita’’), de Mario Soldati, et ’’Il prigioniero della montagna’’ (‘’Le prisonnier de la montagne’’) de Luis Trenker.

Il publia :

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