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Genèse et histoire du NEA


Le premier conseiller nommé à la Maison Blanche, sous le mandat de Kennedy, plus impliqué que tous ses prédécesseurs dans les arts, y compris son prédécesseur immédiat Eisenhower, s’appelle August Heckscher. Sa mission est de remettre à jour l’étude des relations entre le gouvernement et les arts, initiée par Truman. Il écrira dans ses recommandations au président :

« Trop naturellement on a considéré les arts comme quelque chose de plaisant mais de périphérique. Il est temps de reconnaître qu’ils sont essentiels au bien-être de la nation et que, pour ce faire, on doit encourager leur plein développement ».1 C’est une évolution historique qui marque une rupture dans la place des arts en matière de politique fédérale, avec l’idée que les arts puissent sortir d’une périphérie éloignée pour se diriger vers le centre des prérogatives de l’Etat.

C’est ce même Heckscher qui sera à l’origine de la création du National Endowment for the Arts, deuxième grand projet public de l’Etat fédéral à partir duquel se calque la suite de l’histoire de l’intervention publique fédérale en matière de culture. Le président Johnson signera en 1965 le « P.L. 89-209 Act » relatif à la création de la National Foundation on the Arts and the Humanities, composée du National Endowment for the Arts (NEA) et du National Endowment for the Humanities (NEH).

La mission officielle du NEA est de « soutenir l’excellence dans les arts, nouveaux ou établis ; apporter l’art aux Américains ; stimuler un leadership dans l’éducation des arts. »2

Celle du NEH est de soutenir l’excellence dans les sciences humaines : langues, littérature, histoire, philosophie, archéologie, théologie… Cela comprend la culture, notamment les musées et les bibliothèques, ou les émissions télévisées ayant un lien avec la culture, dans une dimension non pas artistique mais éducative ou scientifique. Les attributions des deux « endowments » sont de ce fait parfois difficiles à dissocier, mais c’est au NEA qu’on attribue officiellement le rôle de soutien aux arts3. Pour être tout-à-fait exact quand on parle de soutien du gouvernement fédéral à la culture, il faudrait aussi étendre son action à l’Institute for Museum and Library Services (IMLS), principale source de soutien fédéral aux 17 500 musées et aux 123 000 bibliothèques américaines, avec un budget de 263,5 millions de dollars en 2008.4

C’est donc le NEA, agence artistique fédérale, qu’on considère traditionnellement comme une sorte de « ministère de la culture à l’américaine » distribuant des fonds votés par le Congrès sous forme de subventions à des organisations culturelles à but non lucratif (pas d’aide aux organismes commerciaux) ; des bourses à des écrivains choisis par des jurys de professionnels5 et des aides directes aux agences culturelles des Etats.

A la différence d’un ministère de la culture, par contre, l’idée est beaucoup plus que de seulement « subventionner ». Inspiré des « Arts Councils » en Grande-Bretagne, il doit d’une part assurer la protection des arts contre toute interférence politique. D’autre part, comme ce fut le cas avec le Kennedy Center, son soutien doit « catalyser » le développement d’un projet culturel, c’est-à-dire aider son financement par d’autres sources en apportant sa caution, servir de levier ou de ferment (« seed money »). Le soutien public n’est en aucun cas l’assistance d’urgence à une organisation qui cherche à combler un déficit budgétaire. C’est tout le contraire. Il stimule une activité de recherche de financement déjà engagée par une organisation en bonne santé financière sûre de la qualité de son projet artistique. Le soutien public doit forcément accompagner une démarche auprès du secteur privé, il ne s’y substitue pas et viendra rarement en aide à une organisation irrémédiablement en déclin.

Le NEA cherche avant tout à accompagner les outils déjà disponibles dans la sphère privée avec le mécénat, les fondations et la philanthropie culturelle. Pour recevoir son soutien, il faut « matcher » le montant attribué avec d’autres financements et conjuguer qualité artistique, compétence de gestion et capacité à solliciter d’autres sources de financement. C’est un soutien financier mais aussi un soutien institutionnel de poids : être subventionné par le NEA, où les décisions sont prises par des jurys de pairs professionnels lors de discussions publiques, laissant peu, voire aucune place, à l’amateurisme et au népotisme, est une caution prestigieuse et recherchée. La recherche de fonds pour « matcher » une subvention du NEA est facilitée par cette même caution.

S’il y a eu plus de financement fédéral dans la culture grâce au NEA, le financement de la part des fondations et des philanthropes a donc aussi considérablement augmenté, puisqu’on considère que l’effet catalyseur d’une subvention du NEA est de puissance huit : pour une subvention de 100 000 dollars, l’organisation culturelle arrive habituellement à collecter 800 000 dollars.6

Dès le départ, pour calmer les craintes des défenseurs de la liberté artistique opposés à toute intervention étatique dans le domaine des arts, les objectifs sont exprimés clairement : il ne s’agit aucunement de dicter une politique culturelle au pays à travers une agence fédérale. Dana Gioia, son président jusqu’en 2008, écrit : « Le NEA n’a jamais eu les ressources pour imposer sa volonté au monde artistique américain. Il ne peut pas commander ou contrôler les politiques des institutions individuelles »7.

Les guerres culturelles


Après des années fastes sous Nixon et dans une moindre mesure sous Carter, pendant le mandat duquel il commence à subir les critiques des milieux ultra conservateurs, hostiles à toute dépense publique dans le domaine des arts, le NEA connait ses premiers signes de déclin à la fin des années 70. Couvant sous Reagan, les fameuses « guerres culturelles » (« cultural wars ») éclatent sous George H. W. Bush et une lutte sans merci sera menée contre lui pendant 10 ans par les traditionalistes et les conservateurs conduits par le Sénateur ultra conservateur Jesse Helms, le révérend Jerry Lamon Falwell, le Pasteur Donald Wildmon ou encore Newt Gingrich8. On dit qu’il ne fait que privilégier une élite, de surcroît avec l’argent des contribuables. Un membre du Congrès, le sénateur Trent Lott, du Mississippi, se plaint de sa dimension élitiste et va même jusqu’à demander à John Frohmayer, président du NEA pendant ces années de guerres culturelles, d’inclure des « rednecks9 » dans les jurys d’attribution des bourses. « Je suis un redneck moi-même et je veux être représenté » dit-il, rappelant pour soutenir ses propos que ce sont les « rednecks » qui ont lancé les bases du rock’n roll aux Etats-Unis, et que donc rien ne justifie leur absence de représentation.10

On l’apparente aussi à un outil digne des régimes communistes, et il est accusé de servir une bureaucratie gouvernementale de manière quasi-dictatoriale. Bref, d’être trop loin de l’esprit des colons et des pionniers américains.

On se servira habilement de quelques exemples ponctuels minoritaires de subventions accordées à des créations controversées pour dépeindre de manière caricaturale l’esprit et le fonctionnement du NEA. Il sera par exemple vivement critiqué pour son soutien à des artistes comme Aram Saroyan et son poème « LIGHGHT »11, Erica Jong et son livre « Fear of Flying »12 ou les expositions de Robert Mapplethorpe13 (photo) et de l’artiste afro-cubain Andres Serrano14. A partir de ces exemples très rares exagérément médiatisés, le NEA devient une cible facile pour les conservateurs, qui affirment alors que le soutien de l’opinion publique au financement des arts par l’Etat fédéral est beaucoup trop faible pour que l’on continue ainsi à dépenser l’argent public15. En fantasmant sur l’importance de ces subventions, les opposants au NEA, durant ces dix années de polémique, l’auront considérablement affaibli.

Selon Karen Hopkins, vice-présidente de la Brooklyn Academy of Music à New York et Carolyn Friedman, directrice du fundraising du Musée d’Art Contemporain de Chicago, malgré un budget dérisoire à l’échelle du budget fédéral, les coupures du NEA auront constitué un véritable revers pour les organisations artistiques, beaucoup plus grave qu’une simple perte d’argent. « (...) La diminution d’enthousiasme de la part du gouvernement fédéral pour soutenir les arts a augmenté leur difficulté à se « vendre » auprès du secteur privé et des agences publiques locales. »16 D’où des difficultés supplémentaires pour trouver des sources de financement. L’effet de levier et de ferment était durement touché.

Son budget était de 2,5 millions de dollars l’année de sa création. Il augmentera régulièrement alors pour culminer à 175,95 millions de dollars, en 1992, sous Clinton. Il ne fera que baisser ensuite, avec une chute spectaculaire de 39% en 1996 et un total de 97,6 millions de dollars en 2000.17 Son âge d’or, de Johnson à Reagan, sera sans aucun doute la période où le pouvoir fédéral aura été le plus présent dans la vie culturelle du pays. D’une manière toute relative, cependant, car avec un budget de 124,5 millions de dollars en 2007, il représentait moins de 0,0005 % du budget de l’Etat.18 En comparaison, le film « Titanic » de James Cameron en 1997 a coûté 200 millions de dollars et les revenus du disque « Thriller » de Michael Jackson dépassaient, eux aussi, les dépenses du NEA l’année de sa sortie (1983).19

Le NEA dans l’Amérique contemporaine


Aujourd’hui, sous la houlette du président qui vient d’être nommé par Barack Obama, Rocco Landesman20 (photo), 61 ans, un passionné de théâtre et de musique country, les rapports avec le monde politique s’améliorent. C’est sous George W. Bush que le NEA commencera à se relever de manière très nette avec une augmentation de budget de plus de 20 millions de dollars en 2008, d’une part parce que Laura Bush se sera personnellement investie pour le remettre sur pied, d’autre part parce que malgré tout, les Républicains des régions rurales, parfois membres de conseils d’administrations de musées ou de salles de spectacle permettant une vie culturelle dans des zones désertes, se seront rendus compte que les financements publics aux arts, même s’ils n’étaient pas énormes, leur étaient finalement bien utiles pour faire vivre ces institutions et satisfaire les attentes de leur électorat. Ils ont également pris conscience qu’on ne peut plus négliger un secteur qui emploie 5,7 millions de personnes, contribue annuellement à hauteur de 166,2 milliards de dollars (127,8 milliards d’euros) à l’économie américaine, et dont chaque milliard dépensé entraîne la création de 70 000 emplois à temps plein.21

Le président Obama, quant à lui, a présenté huit actions stratégiques dans sa plateforme culturelle, dont l’augmentation du budget du NEA. Son budget a été porté à 155 millions de dollars en 2009 et à 161 millions de dollars en 2010, plus 50 millions de dollars ajoutés au budget 2009 dans le cadre de son plan de relance (le « stimulus package »).22

Mais aujourd’hui, si la question d’une politique culturelle se pose chez les professionnels du spectacle et dans les conventions qui les réunissent, il semble qu’il n’y ait toujours ni urgence ni besoin d’y trouver une réponse. Obama, quant à lui, a d’autres priorités. On se contente donc d’y réfléchir en se disant que le système actuel ne fonctionne après tout pas si mal.

Les dirigeants du NEA savent que c’est à eux aussi de convaincre l’opinion publique du rôle que jouent les arts dans leur vie et de casser cette image qui veut que le divertissement soit populaire et les arts élitistes.

« C’est triste à dire, un grand nombre d’Américains n’arrive pas à reconnaître l’incidence directe des arts dans leur vie. (...) Beaucoup d’entre eux voient le « monde des arts » avec suspicion, un monde qui semble alternativement intimidant, incompréhensible, coûteux, étranger, et, à cause du travail de piètre qualité que les médias de masse ont effectué dans la façon dont ils ont couvert les domaines artistiques, souvent peu respectable. »23

Aux Etats-Unis, il est entendu que la culture ne doit pas être bureaucratique et conduite par une intelligentsia décidant tout pour le peuple à partir d’une capitale éloignée des réalités. On préfère voir le gouvernement fonder les arts à partir des ventes « de bière et de chips », autrement dit par un recours au secteur privé, pour réserver l’argent public à d’autres causes auxquelles l’opinion publique est plus sensible : « Un gouvernement qui donne le sentiment de financer les arts sur le dos des paysans haïtiens affamés apparaît moins noble.»24

On pense, de plus, que les subventions publiques au domaine artistique doivent être prudemment accordées afin qu’elles ne découragent pas d’une part la créativité artistique (considérant qu’un artiste, rémunéré quel que soit son travail, est un artiste qui fournit moins d’efforts de créativité), d’autre part le travail de recherche de financements auprès du secteur privé. C’est une tradition fidèle à l’esprit de Paul Gauguin, souvent cité en exemple, selon lequel « ce que l’Etat encourage languit, ce qu’il protège meurt. »25

On peut discuter de ces méthodes et de cet esprit, en chercher les forces et les faiblesses, mais ce n’est pas l’objet de ce rapport.

Nous nous contenterons de remarquer que l’absence de ministère de la culture n’a en rien freiné le développement des arts aux Etats-Unis, et qu’il s’est construit peu à peu un système où on a fait progressivement appel au secteur privé pour favoriser les arts sans que l’Etat fédéral ne s’y oppose. Le système culturel ne s’est pas développé en opposition au marché, mais en relation avec lui. « Le marché commercial n’est pas nécessairement le vilain dans le complot ; pour certains, le marché valide à la fois le groupe souhaitant obtenir un plus large public tout en procurant les revenus nécessaires à sa survie. »26

C’est un système qui a permis au pays d’atteindre un leadership mondial dans beaucoup de domaines artistiques. Il y a aux Etats-Unis la même proportion d’artistes déclarés qu’en France, et les chiffres de fréquentation des lieux culturels sont quasi identiques dans les deux pays.27 Ce système a ainsi prouvé que l’existence d’un ministère de la culture et le recours unique et automatique à l’Etat n’est pas une condition sine qua non du rayonnement des arts dans un pays et qu’on peut gérer une institution culturelle avec des outils du secteur marchand. On est loin de l’idée que s’en faisait Louis de la Rochefoucauld, chargé du département des Beaux-Arts à la Maison du Roi, qui, en 1828, disait à propos de l’Opéra de Paris, que « le système d’entreprise est impossible (…). Les conditions auxquelles ce théâtre remplit son but, c’est-à-dire le prestige des yeux, la magnificence sans cesse renouvelée du spectacle ne s’accorderaient pas avec ce système. »28 

En fait, ceux qui sont en faveur d’une politique culturelle publique et ceux qui s’y opposent ont généralement la même volonté de servir les arts. Il n’y a pas d’un côté ceux qui les aiment et de l’autre ceux qui ne s’en soucient pas. Par contre, écrit Tyler Cowen, « il y a ceux qui pensent que l’intervention de l’Etat est nocive, et ceux qui pensent qu’elle est indispensable. » 29.

Puisque les deux systèmes ont fonctionné jusqu’à présent, le débat ne devrait-il pas porter sur un échange de bonnes pratiques issues de chacun d’entre eux, ne s’agit-il pas de « voir ce qui fonctionne dans le mode de financement des arts et encourager les bonnes recettes et la variété des modes de financement » ?30

1 Presidential Commission on National Goals, Goals for Americans, Englewood Cliffs, NJ, Prentice-Hall, 1960, p.127

2 Site Internet officiel du NEA, Net at a Glance, [25.07.08] http://www.nea.gov/about/facts/AtAGlance.html

3 Ibid

4 Institute of Museum and Library Services (IMLS), [06.07.09] http://www.imls.gov

5  Les seuls à être directement aidés par l’agence aujourd’hui en tant qu’individus. Mais le nouveau président du NEA, nommé par Barack Obama, projette d’étendre à nouveau ces bourses aux artistes, comme c’était le cas au moment de sa création.

6 How the United States Funds the Arts, National Endowment for the Arts, Office of Research and Analysis, Second Edition, Washington, DC, 2007, p. vii

7 Ibid., p. viii

8 L’un des principaux acteurs du « MonicaGate » sous Clinton

9 « Redneck » : plouc, beauf

10 COWEN Tyler, Good & Plenty, The Creative Successes of American Arts Funding, Princeton, New Jersey, USA, Princeton University Press, 2006, p. 94

11 Le NEA versa 500 dollars à Saroyan pour un poème intitulé « LIGHGHT » composé de ce seul mot au milieu d’une page blanche (1965).

12 Roman abordant le thème de la sexualité des femmes et le féminisme, écrit en 1973.

13 Photographe dont l’exposition “Le moment parfait”, subventionnée par le NEA, incluait des nus d’enfants, des œuvres homo-érotiques dont un homme urinant dans la bouche d’un autre.

14 Photographe également subventionné par le NEA dont l’œuvre « Piss Christ », représentant un crucifix immergé dans de l’urine, fut vivement critiquée car « encourageant l’art obscène ».

15 DIMAGGIO P et PETTIT B. Public Opinion and Political Vulnerability : Why Has the National Endowment for the Arts Been Such An Attractive Target ?, Center for Arts and Cultural Policy Studies, Working Paper, Princeton University, 1999, Working Paper #7

16 HOPKINS Karen & FRIEDMAN Carolyn, Successful Fundraising for Arts and Cultural Organizations, Phoenix, Arizona, USA, The Oryx Press, 1997. p. xiii ; xiv ; xv

17 The National Endowment for the Arts 1965 - 2000: A Brief Chronology of Federal Support for the Arts, Office of Communications National Endowment for the Arts, Washington, DC 2000, p. 62

18 National Endowment for the Arts, Appropriations History, [12.07.08] http://www.nea.gov/about/Budget/AppropriationsHistory.html

19 COWEN Tyler, op. cit., p.81

20 Rocco LANDESMAN est l’un des principaux producteurs de spectacles à Broadway, où il possède cinq théâtres

21 National Endowment for the Arts, [16.06.09] http://www.nea.gov

22 Comme on l’a dit plus haut, pour être tout-à-fait exact, il faudrait rajouter à ce montant le budget du NEH (171,3 millions de dollars en 2010 ou 131,77 milions d’euros), ainsi que celui de l’IMLS (265 millions de dollars en 2010 ou 203,85 millions d’euros), les allocations des autres ministères, comme les aides du Ministère de l’Intérieur pour réhabiliter les monuments historiques par exemple, afin d’avoir une idée réelle du budget fédéral alloué à la culture.

23 LARSON Gary O., American Canvas, Washington, DC, National Endowment for the Arts, 1997, p. 19

24 COWEN Tyler, op. cit., p. 27

25 GAUGUIN Paul, The Writings of a Savage, Traduction d’ Oviri Ecrits d’un sauvage par Eleanor Levieux, New York, Da Capo Press, Inc., 1996, p. 32

26 JEFFRI Joan, ArtsMoney, Raising it, Saving it, and Earning it, Minneapolis, Minnesota, USA, First University of Minnesota Press Printing, 1989, p. 3

27 Comparaisons tirées de MARTEL Frédéric, De la culture en Amérique, Paris, Gallimard, 2006, 620 p.

28 AGID Philippe, TARONDEAU Jean-Claude, L’Opéra de Paris, Gouverner une grande institution culturelle, Paris, Vuibert, 2006, p. 31.

29 COWEN Tyler, op. cit., p. 34

30 Ibid., p. 34

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