Chapitre Préliminaire : introduction épistémologique à la Sociologie Politique







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B - Le cycle Présidentialiste.

Dans ce type de Démocratie Représentative que constitue le Régime Présidentiel est instaurée l'autonomie réciproque du Pouvoir Gouvernemental et des Assemblées délibératives. Le critère principal est négatif, à savoir que le Chef de l'Exécutif ne peut dissoudre le Parlement et celui-ci ne peut renverser le Gouvernement. Encore trop sophistiqué, ce type de Régime va vite évoluer vers le Présidentialisme, sans doute sous l'inspiration au moins partielle de la pratique Gaulliste des Institutions de la Ve République et sous celles encore de beaucoup de Constitutions Sud-Américaines ou Africaines qui consacrant l'élection au Suffrage Universel du Chef de l'Exécutif, l'ont par ailleurs doté de compétences juridiques extrêmement étendues.

Comme notamment le contrôle de l'Ordre du Jour des Assemblées, le Droit de Dissolution, la possibilité de Légiférer par Décret sans véritable restriction politique, et toutes ces mesures vont aboutir à instaurer autant de copies déséquilibrées au détriment du Parlement, du modèle Présidentiel et cela va révéler sous un pluralisme politique de pure façade, le véritable manteau ordinaire qui habille les Régimes de Pouvoir Personnel.

Il faut noter cependant que la confiscation des Pouvoirs par le Président est plus ou moins étendue selon les Etats considérés. Ainsi, en Amérique Latine, sauf exception, le pluripartisme est très vivace et pour être une zone de Régime de Prépondérance Présidentielle, la clause de non rééligibilité immédiate inscrite dans de nombreuses Constitutions, empêche généralement l'organisation de Dynastie Présidentielle, en garantissant le caractère temporaire du Mandat du Président.

Aujourd'hui pratiquement tous les Pays d'Amérique du Sud vivent en Démocratie depuis la fin de la Dictature Stroessner au Paraguay en 1989, et celle du Général Pinochet au Chili en 1990. Mais la qualité même de la Démocratie Sud-Américaine est encore fluctuante et dépend largement des personnalités qui briguent les Suffrages. C'est ainsi qu'au Pérou après les errements et abus de l’ancien Président Alberto Fujimori, le Nouveau Président Valentin Paniagua, et son Chef du Gouvernement l'ancien Secrétaire Général de l'ONU, Javier Pérez de Cuellar se sont engagés depuis novembre 2000, dans une grande entreprise de nettoyage et de restauration Démocratique.

Au Mexique, à la même époque, le Nouveau Président, Vicente Fox, qui a pris ses fonctions le 1er décembre 2000, manifestait clairement de son côté, son intention de transformer un Pays qui en 71 ans avait connu la domination sans partage du Parti Révolutionnaire Institutionnel, et cela grâce notablement à la Fraude Electorale.

En Afrique, en revanche, et spécialement en Afrique Francophone, le Parlementarisme et le Pluripartisme ont été souvent rejetés ensemble, pour laisser généralement la place à une forme accentuée de Présidentialisme dans le cadre d'un Système de Parti Unique. Système plus ou moins dissimulé à partir des années 1990, sous l'apparence d'un Multipartisme.

La Constitution de la Côte d'Ivoire, dès novembre 1960, en a fourni le modèle, suivi par le Dahomey, le Niger, la Haute-Volta, le Congo Brazzaville, la Mauritanie, et par la suite bien d'autres Etats. Cependant ce Présidentialisme renforcé, renforcé notamment par la possibilité qu’à le Président d'être rééligible indéfiniment, n'a jamais empêché loin de là, la survenance de multiples Coups d'Etat. Ce qui a fait dire à un Politologue du nom de Calvez, auteur d’ « Aspects Politiques et Sociaux des Pays en Voie de Développement », que la force et la stabilité des Régimes dépendaient en Afrique étroitement de la personnalité installée à la barre. Aussi peut-on sans trop s'avancer, inclure sauf exception, la quasi-totalité des Régimes Politiques du Tiers-Monde sous le double label de l'Autoritarisme ou du Totalitarisme, suivant l'interprétation que les hommes au Pouvoir font des rédactions Constitutionnelles.

C - Autoritarisme et Totalitarisme.

D'une certaine manière les Régimes du Tiers-Monde marquent la Nationalisation de la non différenciation structurelle et fonctionnelle qui se trouve transposée du plan Local et Tribal, au plan National. Autrement dit, la tradition y porte déjà les dirigeants, à la confusion des Pouvoirs.

Reste que, selon que la Gestion Monocratique concerne le seul Etat où toute la Société, il s'agira d'Autoritarisme ou de Totalitarisme. C'est-à-dire, de la prise en charge totale des Citoyens, par un contrôle de tous les moyens de pouvoir et de persuasion, et par la mise en place d'un Système Policier et Concentrationnaire. Dès lors il suffit de remarquer que sous l'une ou l'autre forme, les Dictatures se multiplient en Asie et au Proche-Orient, en Afrique.

Certaines étant Révolutionnaires, d'autres Réactionnaires, les unes Civiles, d’autres Militaires, des Régimes installés Progressistes, d'autres Tyranniques, et que toutes ces Dictatures sont ponctuées d'innombrables Coups d'Etat en plus, certains qui réussissent, Roger Gérard Schwartzenberg en a dénombré ainsi 19 en 13 ans, concernant l'Amérique Latine de 1963 à 1976, et 28 en Afrique, sur la même période.

D'autres Coups d'Etat qui échouent, comme celui tenté en mai 2001, pour tenter de rétablir au Pouvoir l'Ancien Président des Philippines, Estrada, écarté pour corruption.

C'est donc la marque que dans les Sociétés en Voie de Développement, le Pouvoir tend à s'unifier et à se concentrer, comme s'il existait une relation étroite entre le Sous-développement et Sur-pouvoir. Il reste à présent à rechercher l'explication de ce phénomène dans la vie politique même de ces Etats.

Paragraphe II

Les deux caractéristiques majeures de la vie politique réelle des Pays du Tiers-Monde.

Il s'agit d'une part, de l'Institutionnalisation proclamée ou déguisée du Système de Parti Unique, très différent de l'exemple Soviétique, et d'autre part de l'apparition quasi générale de manifestations de personnalisation du Pouvoir, quand il ne s'agit pas de Pouvoirs Personnels Institutionnalisés tout court. Ces deux traits se conjuguant pour asseoir sur une durée plus ou moins longue, la Dictature pure et simple d'une oligarchie restreinte.

A - Le rôle instrumental du Parti Unique.

Que ce soit sous la forme d'un Parti Dominant comme en Inde ou à Madagascar, de Parti Unifié comme dans l'Ouest Africain, ou de Parti Unique comme dans l'Algérie du FLN ou encore dans une grande partie de l'Afrique Noire Francophone, l'évolution s'est faite rapidement, qui a conduit du Multipartisme ou du Bipartisme des lendemains des Indépendances, au Parti Unique, dans les cas où celui-ci n'était pas institutionnalisé dès le départ.

En ce qui concerne principalement l'Afrique Francophone, les choses ont en apparence évolué depuis les exhortations du Président Mitterrand au sommet Franco-Africain de La Baule, mais la tendance générale n'a pas été inversée pour autant.

Trois raisons sont avancées pour rendre compte de cet Etat de choses et du synchronisme constaté entre l'apparition du Parti Unique et celle du Présidentialisme.

1) La première est que le Parti Unique, fédérant ethnies et religions, apparaît comme un instrument idéal d'Intégration Nationale

2) La seconde est qu'il supplée l'absence de Classe Moyenne, relais pour mobiliser les masses afin qu'elles s'engagent dans la planification Economique.

3) Enfin troisième raison, il camoufle dans une certaine mesure le fossé qui sépare l'élite dirigeante de la base. Dans et hors de l'Administration de l'Armée, voire dans certains Pays de la Hiérarchie Religieuse, autre pilier de son Pouvoir, le Parti du Président sert donc de courroie de transmission pour faire passer ses mots d'ordre. Et par ailleurs sorte d’Administration Bis, ayant recueillie avant toutes autres structures les prérogatives de l'Ancien Colonisateur, il apparaît souvent comme une pyramide aux mains d'une élite restreinte, à la dévotion du Président qui en occupe le sommet.

B - Seconde caractéristique Politique dans les Pays du Tiers-Monde,

la Personnalisation du Pouvoir.

Tous les Etats modernes la connaissent, dans les Systèmes en Développement cependant, elle a une dimension tout autre, en ce sens qu'elle correspond toujours à un pouvoir charismatique incarné d'abord dans un Leader Indépendantiste, puis dans l'un de ses émules qui va cristalliser sur sa personne les symboles de l'Identité Nationale.

Cela dit, si très vite ce Pouvoir Personnifié a tendance à conduire à une Dictature aussi dure qu'inefficace, c'est que le Chef, seul Juge de ses Actes en l'absence de contre-pouvoirs efficaces, en vient à se décharger rapidement, pour son information, sur une Bureaucratie Clientéliste et sur un petit cénacle de courtisans affairistes. Au point que faute d'échange entre le sommet et la base, la politique en arrive à se limiter à l'attribution de prébendes et au seul désir farouche de la Conservation du Pouvoir.

De la sorte le jeu politique balance entre la crispation des équipes en place, et la violence de celles qui cherchent immanquablement un jour ou l'autre à les supplanter.

Sur-développement

et Sous-Pouvoirs

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Titre II

Chapitre III

Sur-développement et Sous-Pouvoir.

C'est l'autre versant de la vérification empirique des Théories Développementalistes. Après l'étude des Etats du Tiers-Monde, il importe en effet d'analyser aussi les Systèmes Economiques et Sociaux et Politiques des Sociétés avancées. Géographiquement, il s'agit de ce qu'on appelle assez improprement les Etats du Nord, dans la mesure où l'on y trouve les pays de l'Europe de l'Ouest et ceux de l'Amérique du Nord, mais aussi la Nouvelle-Zélande et l'Australie dans le Pacifique, et le Japon en Asie, pour ne citer que les plus marquants. On pourrait rattacher également à ce groupe d’ailleurs, Singapour, ou encore Israël.

Politiquement, ce sont des Démocraties Libérales Pluralistes, c'est-à-dire qu'elles admettent le débat politique, la diversité des opinions politiques et que l'on n'y respecte généralement les Forces d'Opposition à qui l'on reconnaît une place plus ou moins grande jusque dans les rouages du Gouvernement.

Leur Régime Politique sous des modalités différentes, respecte ce schéma d'ensemble dans la Théorie sous la plume d'un Montesquieu par exemple remonte au XVIIIe siècle. Et depuis, toutes les Constitutions s'y conforme en faisant de l'élection et de la Séparation des Pouvoirs, les principes cardinaux de l'aménagement du Pouvoir. Du point de vue Economique, les Nations dont on parle sortent ou sont déjà sorties de l’Ere Industrielle, c'est-à-dire d'une époque de leur développement, qui va en gros de la fin du XVIIIe siècle au milieu du XXe siècle, pour laquelle le Modèle Démocratique Classique de direction de l'Etat, avait été créé, ce Modèle qui est toujours celui des Lois Fondamentales.

Or, notre Société actuelle n'est plus la Société Industrielle d'hier, qui avait sa logique de développement et les structures Sociales qui correspondaient à l'Etat des Techniques, et au niveau de production d'alors. L'on constate en effet désormais un changement des règles Economiques par rapport à un passé qui n'est pas si lointain.

Autrement dit, les Sociétés des Nations avancées d'aujourd'hui ont largement perdu la maîtrise de leur propre développement, par le fait, que pris dans une spirale de Croissance Technique ou Economique incontrôlable, qui n'est plus endiguée par une volonté externe, la pliant aux aspirations collectives, l'essor autonome de la Technique et de l'Economie suit désormais une logique propre de Sur-développement, lequel exerce une forte pression sur les relations Sociales.

Dans ce contexte, l'individualisme prend le pas sur le consensus. La pression du Sur-développement Economique et la réaction de la Société au Sur-développement, dynamite les anciens clivages Sociaux qui servent de base à nos Démocraties et en conséquence celles-ci s'avèrent de plus en plus inadaptées. C'est pour tenter précisément de comprendre la politique dans les Civilisations Industrielles précisément, que seront examinées en deux sections, d'abord les caractéristiques particulières des Sociétés dites Post-industrielles, et les réactions qu'elles suscitent, ensuite nous verrons leur répercussion sur leurs Organisations Politiques.

SECTION I

Les traits communs aux Sociétés Post-industrielles.

Il est relativement aisé de repérer les données principales inhérentes au Système Sur-développé, mais il est sans doute un peu plus compliqué d'en donner une définition univoque. Pour Rostov par exemple, c'est l'Ere de la Consommation de Masse, la cinquième et dernière étape de la croissance, qu’il décrit ainsi dans son ouvrage de 1958 intitulé « les Etapes de la Croissance Economique ». Je le cite, « Nous en venons maintenant y écrivait-il à l'Ere de la Consommation de Masse, où la production de biens de consommation durable et les services deviennent progressivement les principaux secteurs de l'économie. C'est la période dont les Etats-Unis commencent à sortir, dont l'Europe Occidentale et le Japon commencent à goûter les bienfaits incontestables, et à laquelle la Société Soviétique aspire non sans remords », fin de citation.

C'est encore ce que Galbraith nomme dans « The Affluent Society » qui est un livre majeur traduit en Français en 1961 sous le titre « l'Ere de l'opulence », ce qu'il nomme donc la Société d'abondance, et que Herbert Marcuse dans « L'homme unidimensionnel », traduction Française de 1968, critique sous l'expression de Société Industrielle Avancée.

Un peu plus précis, Daniel Bell, dont on peut trouver l'ouvrage « Vers la Société Post-industrielle » dans une adaptation Française de 1976, en définit ainsi les cinq dimensions, à savoir :

1) il s'agit du développement d'une Economie de Services,

2) de la prédominance de la Classe des Spécialistes et des Techniciens,

3) de l'importance du Savoir Théorique comme source d'innovation

et d’élaboration politique dans la Société,

4) il s'agit également de la possibilité d'une Croissance Technologique Autonome,

5) et enfin, de la création dans cette Société Industrielle Avancée

d'une nouvelle Technologie Intellectuelle.

Pour Zbigniew Brezinski auteur de «Between two Ages » en 1970, traduction Française de 1971 « La Révolution Technetronique », c'est l'âge de la Technologie et de sa pointe avancée l'Electronique, d'ou par contraction, le néologisme Technetronique.

Brezinski détecte dans la Société Post-industrielle, les mêmes traits dominants que ne l'avait fait Bell, et notamment la Croissance des Secteurs Tertiaire des services, la montée des Classes Moyennes ou encore, le développement des Etudes Universitaires. Fin connaisseur de l'Amérique, il a été conseillé à la Présidence de la République des Etats-Unis, Brezinski analyse l'entrée douloureuse de ce pays dans l'Ere Technetronique, sous la forme d'une véritable Crise de Civilisation. Mais plutôt que de multiplier les approches, dont celles encore du professeur Schwartzenberg, intéressantes, parce qu'il y décèle la naissance d'une Civilisation des Loisirs, il est temps de recenser les traits marquants de la Société Post-industrielle, tout à la fois Technicienne, Dénaturé, et Réactionnaire.

Paragraphe I

une Société Technicienne

A - La Technostructure

De cette Société l'Economiste Galbraith dans un livre de 1967, traduit en 1968, « Le Nouvel Age Industriel - Essai sur le Système Economique Américain », cet auteur donc, en fait une description saisissante sous le concept de Technostructure. Dans une sorte de conciliation des Ecoles Marxistes et Elitistes, il émet deux propositions. A savoir que les Grandes Firmes Industrielles ont désormais un nouveau mode de direction que le Capitalisme d'une part, et que d'autre part ce changement a occasionné des attitudes nouvelles des consommateurs, nouvelles au point de rendre la Société Moderne irrationnelle et d'influer sur son Gouvernement.

Pour Galbraith en effet, le Pouvoir dans les grandes Sociétés, n'est plus dans les mains des propriétaires du Capital, mais dans celle des Directions Collégiales, ce qu'il appelle la Technostructure. Ces Directions comprennent ingénieur, savant, directeur, chef de marketing et de publicité, juriste, comptable, le lobbyiste etc.. Au point dit-il que les Assemblées Générales d'Actionnaires ne sont que les Chambres d'Enregistrement des rapports qui sont préparés par la Technostructure.

Cette nouvelle oligarchie qui s'est constituée au sein de l'économie, qui ne repose plus par conséquent sur l'hérédité des Titres de Propriété mais sur la cooptation, est plus mobile, moins assurée du lendemain, mais plus Démocratique que par le passé, car elle est ouverte aux non Capitalistes, et aussi pour se maintenir, elle doit à tout prix assurer la Croissance de l'Entreprise fût-ce au détriment des Actionnaires.

En ce sens, dans la défense de ses intérêts, la Technostructure inverse la filière de la demande. Ce n'est plus le Consommateur qui exprime ses préférence pour tel produit ou tel service, c'est l’offre, c'est-à-dire la production qui par la publicité notamment va manipuler et modeler le comportement du Consommateur avec la complicité de certaines Bureaucraties Administratives. Ultérieurement nous verrons que cette analyse peut également être transposée à la gestion de l'Etat, et donner un aspect particulier à tous les Régimes Politiques Occidentaux, mais d'ores et déjà l’on peut procéder à deux remarques.
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