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VITEBSK - VILLE DE MARC CHAGALLVitebsk. Panorama de la villeV ![]() Chagall a reproduit les coins de sa ville natale dans ses plusieurs ouvrages. Les motifs de Vitebsk sont présents dans les cathédrales de Mayence, Rheims, Saint-Etienne, dans les théâtres de Chicago, de Francfort-sur-le-Maine, Londres, aux universités de Nice, de Jérusalem, au centre des Beaux-Arts Lincoln à New York, dans la Galerie d'art de Saint-Paul-de-Vence, au plafond de l'Opéra de Paris, dans le Metropolitan-Opéra de New-York, dans le bâtiment de l'ONU à Washington. «J'aime infiniment mon Vitebsk natal non parce que là je suis né, mais, en premier lieu, parce que j'y ai trouvé une couleur de mon art pour toute ma vie …» Le sort a voulu que Chagall ait passé la plus grande partie de sa vie en France. Mais, comme Rachmaninov, Chaliapine, Bounine, il restait le phénomène de la culture d'art russe. Chagall n'imitait personne, et personne, d'ailleurs, ne faisait pas des efforts pour le suivre. Il devait sa rare originalité de son œuvre à la fidélité étonnamment inaltérable aux origines et ses racines: aux simples rites de la vie journalière de Vitebsk natal, de la nature qui l'entourait dans l'enfance, des propres sources de l'œuvre nationale. Chagall a vécu une longue vie. Presque huits décennies il a crée son monde - mythe, où des images bibliques et de mentalité folklorique, des personnages du cirque et des contes, des objets de la vie quotidienne se sont entrelacés. Maintenant nous nous posons une question, comment cela est arrivé que la patrie du peintre s'est trouvée seule des pays civilisés où le nom de Chagall et ses œuvres ont été absurdement interdits au cours de longues années. Le monde entier connaît Vitebsk grâce aux tableaux de Chagall et qu'il y est né, mais dans sa ville natale au cours de toute une période soviétique il n'y avait ni musée, ni rue portant son nom. «Ses importantes toiles ont été empâtées, coupées et distribuées aux étudiants de l'école d'art pour des exercices d'essai», - se souvient le professeur Olga Ivanovna Dolinskaïa. Les yeux se sont dessillés à la fin des années 80. Le nom de Chagall s'est allumé sur notre horizon comme un éclair. Une réaction commune était une surprise. Maison des Chagall à Liozno« ![]() ![]() Maison des Chagall à VitebskDzerjinski, mais à partir 1991 elle s'appelle de nouveau rue Pokrovskaïa. Sa longueur est 600 mètres. Ici il «est né la deuxième fois», ici il a fait ses études et a connu son premier amour. «Je n'ai aucun tableau où vous ne verrez pas de fragments de ma rue Pokrovskaïa. C'est peut-être un défaut, mais pas du tout non de mon point de vue», - ce sont les mots de Marc Chagall dits dans l'interview accordée au "Journal Littéraire» le 20 juin 1973. Le retour définitif de Chagall dans sa ville natale a eu lieu en 1992, le jour de l'anniversaire du M ![]() La jeunesse, l'amour, la hauteur des sentiments, le feu de l'imagination - tout cela est associé durant toute la vie du peintre à une seule image, tendre et chère - sa bien-aimée, son ange - gardien et la muse qui l'inspirait pour des vols au-dessus de l'existence terrestre, banale et ordinaire. Elle s'appelait Bella (Berthe), une création tendre, fragile, presque céleste, avec qui il était tellement facile de planer dans le ciel au-dessus des toits de la ville natale. |
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