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Communiqué de presse –MONOPOLI Complément d’info sur Yann Sérandour Né en 1974, Yann Sérandour vit et travaille à Rennes. Sa démarche a fait l’objet de 5 expos solos cette année, dont une importante intervention au Musée de l’Objet à Blois, visible dans ses salles tout l’été, sous le titre Bien amicalement, suite à une résidence d’artiste à l’École Nationale Supérieure d’Art de Bourges. Le travail de Yann Sérandour a été présenté lors du prix Fondation d’entreprise Ricard 2006 et a fait l’objet d’une première exposition personnelle début 2007 au Cneai (Centre National de l’Estampe et de l’Art Imprimé de Chatou, France) où il a réalisé divers projets d’édition depuis 2004. Titulaire d’un doctorat en arts plastiques, il a été commissaire de l’exposition Un art de lecteurs, à la Galerie Art & Essai de l’Université de Rennes, en 2005, qui exposait la relation de certains artistes contemporains au livre et à la bibliothèque. Comme l’écrit fort justement le communiqué de Bien amicalement du Musée de l’Objet de Blois: «L’œuvre de Yann Sérandour s’apparente à une pratique de lecture qui s’insinue dans les marges de l’histoire de l’art. Son travail manifeste un intérêt particulier pour le livre, l’édition imprimée et la bibliothèque, supports de la connaissance et lieu de sa transmission. Reprenant les productions d’artistes contemporains historiques tels Edward Ruscha, Raymond Hains, Joseph Kosuth ou Lawrence Weiner, il les revisite et les prolonge en déplaçant leurs enjeux initiaux. Ses propositions interstitielles peuvent prendre la forme d’insertions, d’ajouts ou de prolongations, et recourent mimétiquement à des supports variés. Avec égards et impertinence, humour et érudition, Yann Sérandour établit un «dialogue» avec l’œuvre d’un auteur pour générer d’autres lectures. » Dans MONOPOLI aussi bien qu’à Blois : «Son travail déjoue l’autorité de la signature et la linéarité de l’histoire de l’art pour produire un réseau de correspondances dans lequel les positions d’artiste et de lecteur sont singulièrement retournées. » Le livre, l’humour, le décalage ? La prise de vue systématique d’un patrimoine montréalais, qui touche et séduit par sa fonction même ? Tout pour plaire à MONOPOLI! Et à sa directrice Sophie Gironnay qui vit, un beau jour, entrer ce jeune Français, yeux éberlués et sourire aux lèvres... tout étonné de découvrir qu’une galerie d’architecture se trouvait précisément derrière cette façade de l’ex-caserne 20, qu’il avait tenté, deux ans plus tôt, de prendre en photo pour ne trouver que ruines et chantier. Deux secondes suffirent pour décider d’exposer le fruit de sa recherche ! Thirtysix Fire Stations est une réponse franco-montréalaise – avec 40 ans de distance et quelques marrants décalages – aux lectures nouvelles de l’urbanité qui naissaient, à Los Angeles, dans ces livres fondateurs de notre sensibilité que furent Twentysix Gasoline Stations ou Thirtyfour Parking Lots in Los Angeles, bricolés par Edward Ruscha à partir de 1963. Aussi est-ce avec doublement de plaisir que MONOPOLI vous invite à venir rencontrer le 4 juillet prochain, à 18h, celui qu’un critique a surnommé le «conteur d’art conceptuel». Et cela, autre coïncidence, au moment même où le Musée d’art Contemporain de Montréal nous replonge aux racines de l’art conceptuel, avec une rétrospective Bruce Nauman (celui-là même qui, par exemple brûla les pages du Various Small Fires de Ruscha, pour en tirer son propre livre). Des visites à faire en écho, en somme... 36 FIRE STATIONS – 36 STATIONS DE FEU vernissage 4 juillet 18h Exposition Yann Sérandour - avec une contribution de Joëlle St-Laurent Du 5 juillet au 1er septembre, du mercredi au vendredi de 13h à 18h, samedi de 13h à 17h. (attention : fermeture estivale du 15 juillet au 7 août) MONOPOLI, 181 rue Saint-Antoine O. 514-868-6691, www.galeriemonopoli.com lien Sérandour : www.rearsound.net; ou http://www.rearsound.net/index_news.htm; Ruscha : http://www.fluctuat.net/2832-Ed-Ruscha-photographe; |
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