Esthétique et soins du corps dans les traités médicaux latins a la fin du Moyen Age







titreEsthétique et soins du corps dans les traités médicaux latins a la fin du Moyen Age
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Un domaine limite



En tout état de cause, les soins de beauté apparaissent comme un domaine posant problème aux praticiens, même s’ils s’en emparent. Ces soins, tout d’abord, sont condamnables à leurs yeux dans une optique morale et surtout chrétienne, car toute volonté d’embellissement n’est que vanité par rapport à l’œuvre du créateur — sans parler de l’intention frauduleuse, et donc répréhensible, que traduisent toutes les méthodes pour feindre une virginité perdue. Aussi Mondeville se protège-t-il par une figure rhétorique, entre l’excuse et la réticence : “ comme cet embellissement est contre Dieu et la justice, et le plus souvent n’est pas le traitement d’une maladie, mais est fait pour tromper et frauder, je passerai rapidement, outre que ce sujet ne me plaît pas ”. Mais cette précaution oratoire ne suffit pas à le disculper auprès de l’un de ses éditeurs du XIXe siècle : “ que dire d’un professeur de l’université de Paris, d’un chirurgien du roi qui, tout en s’excusant, donne des recettes de fards, de dépilatoires, d’onguents mamillaires, de teintures capillaires, de pommades, savons, et drogues, pour réparer des ans l’irréparable outrage ? ”45

Les soins de beauté apparaissent aussi comme un domaine aux contours flous, se définissant souvent par la négative : ainsi le traité III de Mondeville, divisé en 3 doctrines, s’occupe des maladies qui ne sont “ ni des plaies, ni des ulcères, ni des maladies des os ”. Avant lui, Lanfranc de Milan avait défini négativement un des traités de son Art complet de toute chirurgie (1296)46, et quelques décennies plus tard, on trouve le même “ ni… ni ” chez Guy de Chauliac, pour caractériser la doctrina secunda de son VIe livre, portant sur “ toutes les maladies qui ne sont proprement ni des apostumes ni des ulcères ni des affections des os, pour lesquelles on a recours au chirurgien ”47.

Toutefois, le caractère fourre-tout des chapitres consacrés aux soins de beauté, n’empêche pas, voire renforce, une volonté de faire rentrer ce discours dans le moule de la scolastique. La matière est ainsi divisée en traités, doctrines, chapitres — une terminologie héritée de la traduction du Canon d’Avicenne par Gérard de Crémone —, et cet agencement va de pair avec un dénombrement systématique, “ quasi obsessionnel ” chez Guy selon Sylvie Bazin-Tacchella, des parties, des maladies, des membres, des remèdes48.

Chez Mondeville, de telles subdivisions sont à l’œuvre dès la première doctrine de son traité, la doctrina decorationis, qui annonce qu’elle traite des soins du corps pour les hommes comme pour les femmes. Au chapitre onzième apparaît une première bifurcation : “ de l’embellissement des hommes, excepté celui qui est propre à certains membres et celui dont les femmes usent plus que les hommes ”49. C’est seulement au chapitre suivant qu’il en viendra à “ l’embellissement général dont les femmes usent plus que les hommes ”50, puis, encore un chapitre plus tard, à “ l’embellissement des femmes plus particulier à certaines régions et du soin des choses extérieures chez les femmes ”51. Est ainsi palpable ici une volonté d’ordonner, d’aller du général au particulier, ce que traduit également le départ entre soin du corps et soin de parties particulières formulé au chapitre XII : “ le soin du corps est double : A° commun à tout le corps, ainsi les étuves, les frictions, les bains, les onctions et les ablutions, qui concernent le corps entier : c’est de ce sujet seulement que s’occupera le chapitre. B° soin particulier qui ne concerne qu’un membre spécial, ainsi la diminution des seins, etc. dont il sera question dans le chapitre suivant ”52.

Et cette tendance à hiérarchiser se retrouve même à propos des pratiques les plus limites, ainsi le soin des “ parties particulières ” chez les femmes, expression qui s’applique à différentes régions du corps (parties sexuelles, seins, aisselles, cheveux, visage, cou et mains). Les parties sexuelles requérant des soins intérieurs (consistant à feindre la virginité) mais aussi extérieurs, pour être agréables aux hommes, trois moyens sont employés pour se débarrasser des poils pubiens :

— les empêcher de pousser dès la puberté ;

— les enlever s’ils ont déjà poussé ;

— empêcher qu’ils ne repoussent après extraction.

Le lecteur est ensuite mis en présence d’une autre classification, avec la présentation des six manières dont se fait l’ablation des poils (1° ciseaux ; 2° rasoir ; 3° pinces ou doigts enduits de poix navale ou de résine, etc.). Guy de Chauliac n’en retiendra que cinq mais, tout en citant abondamment son prédécesseur, il va plus loin que lui dans la systématisation — et il faut rappeler ici que la Chirurgie de Mondeville resta inachevée. Guy range ainsi les choses un peu différemment, en faisant intervenir les teintures pour cheveux dans le chapitre sur les maladies de la tête, après l’alopécie et la calvitie et avant les épilatoires53. À ce premier chapitre sur les affections de la tête succède un chapitre consacré aux maladies de la peau, lui-même subdivisé en quatre parties54 — mais ce bel ordre a des failles, et, dans une pars secunda dédiée aux maladies des yeux qui n’ont pas été traitées plus haut55, les problèmes capillaires tels que chute des cheveux, canitie ou poux font leur réapparition56 !
La cosmétique a par ailleurs des frontières poreuses, et des points de contact étroits d’une part avec la gynécologie ou l’obstétrique, ce qui est manifeste dès le De curis mulierum57 — un traité de gynécologie, d’obstétrique et de cosmétique écrit à Salerne par Trota ou d’après sa matière au milieu du XIIe siècle et vite intégré au Trotula, comme le De ornatu mulierum —, mais aussi, dans les chapitres relatifs à la peau, avec ce que nous appelons dermatologie : les soins du visage sont en effet envisagés tantôt du point de vue de l’esthétique, tantôt de celui des maladies. Comme l’a souligné Jacqueline Vons à propos de l’Histoire naturelle de Pline, “ l’expression soins de beauté a une sémantique aussi complexe que celle du latin cura : le soin consiste à réparer un état défectueux, mais il désigne aussi une occupation, un souci ”, et ainsi “ l’art de guérir les défauts de la peau reste-t-il un domaine aux contours mal définis ”58. Ainsi, chez Mondeville aussi, l’embellissement se rattache étroitement à l’étude de plusieurs maladies de peau, bien qu’il ait à cœur de faire le départ entre des choses différentes à propos du visage des femmes : “ dans la 3e doctrine..., on a décrit 25 affections du visage […]. En dehors de ces maladies, il convient de donner encore certains soins au visage ”. Et d’énumérer, dans l’ordre, 1° le soin général “ parce qu’il n’y a pas de femme, si belle qu’elle soit, qui soit contente de sa beauté ” ; 2° la correction des taches qui ne sont ni lentilles ni pannus ; 3° l’aplanissement des aspérités de la peau ; 4° le soin contre la puanteur des narines ; 5° le soin contre la puanteur de la bouche ; et 6° l’apparence feinte de la jeunesse.
La cosmétique enfin, semble n’avoir guère de fondement théorique, d’où les précautions, voire le relatif malaise exprimé par les auteurs qui s’y intéressent. Guy de Chauliac, en particulier, fait des efforts pour se justifier en citant Galien, au chapitre 2 de sa doctrina secunda59. Il pose ainsi un distinguo entre des soins “ commatiques ”, illicites car animés par la recherche d’une beauté supplémentaire, et des soins “ décoratifs ”, licites car ayant pour seul but de conserver au corps sa beauté. Et il désapprouve les premiers, car seuls les seconds ont trait à la santé et donc aux médecins60. En posant d’emblée cette séparation, Guy écarte donc concupiscence et luxure, et la morale est sauve. Mais l’éthique n’est pas le seul moteur de ses efforts théoriques : lorsqu’il recourt, ailleurs, à Galien et à d’autres autorités médicales, comme Jean de Saint-Amand, à propos de la couleur du visage, il manifeste bien sa conscience que la cosmétologie manque de substrat théorique comme d’une thérapeutique élaborée61.
Les femmes : alibi ou public ?
Ainsi peut s’expliquer que nos auteurs semblent parfois invoquer les femmes comme un alibi, y compris Guy de Chauliac marchant sur les traces de Galien et expliquant que dans certains cas, “ aux femmes honnêtes voulant fuir les marques de vieillesse ou de laideur leur attirant les fâcheries de leur mari ”, le praticien a pu conseiller quelque remède purement “ commatique ”62. Une manière d’excuse peut en effet se lire dans l’insistance des auteurs à citer les femmes, ou plutôt à s’abriter derrière elles, et ce dès le Trotula, avec le De ornatu mulierum évoquant les pratiques des “ femmes sarrasines ” — manière déguisée de reconnaître une influence des auteurs arabes — mais aussi celles des “ Salernitaines ”63.

Mondeville fait de même, en se “ défaussant ” sur les femmes (“ elles procèdent de la façon suivante... ”64) à propos des soins intérieurs des parties sexuelles dont ont besoin “ les vieilles courtisanes ” et “ les filles non mariées, par malheur déflorées ”, et ce sont encore les courtisanes qui justifient la mention de tel soin du visage : “ les vieilles femmes, surtout les courtisanes, s’efforcent de feindre la jeunesse, ce à quoi conviennent d’après les médecins des purgations, un bon régime et l’usage merveilleux des préparations et du médicament “ altivoli ” qu’a composé maître Bernard de Gordon à la fin du petit traité qu’il a écrit sur la thériaque ”65. Mais il est vrai que c’est la source même de Mondeville, s’il a bien disposé du Trotula, comme nous le supposons, qui évoquait ces courtisanes66, dans le cadre d’une recette à base de verre pulvérisé et de sangsues vouée à une étonnante longévité (Brantôme, mort en 1614, la consigne encore dans ses Vies des dames galantes67).

La caution ne va toutefois pas sans misogynie, et Mondeville semble en avoir après les Montpelliéraines : “ d’autres, comme les femmes de Montpellier, serrent leurs seins avec des tuniques étroites et des lacets, tandis qu’elles ne serrent pas leurs parties sexuelles, bien qu’il y ait là un grand danger ”68. Il est même capable de cynisme quand, après avoir protesté que ce sujet ne lui plaît pas, il précise : “ cependant un chirurgien qui demeurerait dans des provinces ou dans des cités où il y aurait beaucoup de riches et de femmes de cour, et qui serait renommé pour savoir bien opérer dans cet art, pourrait en remporter un avantage considérable et la faveur des dames, ce qui n’est pas peu de chose aujourd’hui ”69. Et les deux attitudes se combinent à propos d’un épilatoire auquel il reproche un certain nombre d’inconvénients : “ cependant l’artiste prudent, en faisant valoir la beauté et en vantant son ouvrage, peut en retirer grand profit, parce que plus un procédé est laborieux dans ces sortes de choses, plus il est jugé utile par les femmes ”70.

Si Guy de Chauliac n’adopte pas le même ton misogyne à propos des usages des femmes de Montpellier, de Bologne ou de Paris71, il ne peut s’empêcher d’introduire une référence féminine (en l’occurrence une dame de Pise) là où sa source, Théodoric (III. 53) n’en donnait pas et parlait simplement d’expertum72. Rejeter ainsi certaines recettes du côté des femmes, n’est-ce pas, en un sens, ne pas avoir l’air de toucher à une matière tendancieuse ?
Il est plus difficile pour nous de saisir ce qui précéda, de l’offre ou de la demande, et de relier ces pratiques avec ce qu’on sait de la mode à cette époque et des canons de beauté, que d’esquisser une sociologie : du Trotula à Mondeville, en effet, il ressort clairement que seuls les riches paraissent pouvoir satisfaire leur soif de beauté. À propos du souci qu’ont certaines femmes de diminuer leur poitrine, Mondeville livre ainsi une intéressante notation, qui rejoint d’une part le Roman de la Rose sur l’art de soutenir la gorge73, mais surtout met en cause aussi bien la pudeur des femmes que le coût des soins : “ certaines femmes, ne pouvant ou n’osant recourir à un chirurgien, ou ne voulant pas révéler cet état disgracieux, font à leur chemise deux sacs proportionnés aux seins mais étroits”74. Aspect économique du problème qui est plus longuement développé ailleurs, à propos de “ laideurs du visage ” telles la rougeur excessive ou la brûlure par le soleil : “ il faut savoir que sur la face des hommes il se produit parfois chez les riches et chez les nobles citoyens lascifs des laideurs guérissables lucratives, dont les cultivateurs ou paysans ne s’inquiètent guère “75 .

La demande semble en tout cas émaner des deux sexes, si l’on en croit aussi bien Mondeville, que Roger Bacon ou les prédicateurs fustigeant le culte des apparences. Et en 1391, n’est-ce pas le désir d’épaissir sa chevelure qui poussa Amédée VII de Savoie à accepter du prétendu médecin Jean de Grandville un onguent qui lui fut fatal76 ? Certes, la part des recettes concernant les femmes reste bien supérieure. Mais si ce domaine largement non théorique leur est volontiers associé, bien souvent les hommes étaient le premier public pour ces textes, et les femmes le public secondaire : si l’on se penche, comme l’a fait Monica Green, sur les traités cosmétologiques du Moyen Âge, à première vue adressés aux femmes voire inspirés par leur savoir, on ne connaît pas un seul possesseur qui fût une femme77 ! Auraient-elles été ainsi peu à peu exclues d’un domaine qui passait pour leur et de ce fait n’a pas laissé de trace écrite, au début du Moyen Âge ? Mondeville leur reconnaît tout de même cette compétence : “ sur le soin des ornements extérieurs, nous n’avons pas à donner de doctrine… Cette science, les femmes la possèdent par art ou par industrie naturelle dès l’Antiquité, comme il ressort de l’autorité d’Ovide ”. Mais dans les traités médicaux, l’auto-traitement n’est ni attendu ni encouragé, et le praticien s’impose comme un tiers indispensable, désormais principal agent non seulement du soin médical mais aussi du soin de beauté : la part croissante de la cosmétique dans traités médicaux semble tout sauf une féminisation d’une certaine culture médicale.
Conclusion
Les soins de beauté, devenus, semble-t-il, un passage obligé des traités chirurgicaux, sont aussi le lieu d’une certaine liberté, voire d’innovation : pensons entre autres aux correctifs que propose Mondeville pour lutter contre la puanteur et la brûlure du dépilatoire d’Avicenne, ou encore au sixième mode d’épilation qu’il mentionne: “ l’ablation des poils se fait… avec un épilatoire très distingué expérimenté et inventé récemment, qui déracine admirablement… et qui jusqu’ici, que je sache, n’a été décrit dans aucun auteur et aucune pratique ”. ça et là, on trouve d’autres conseils personnels du maître, ainsi à propos d’une recette héritée de Pline via Albert le Grand sur le lait d’ânesse pour se blanchir — “ comme on n’a pas d’assez grandes quantités de ce lait, je conseille de se baigner dans l’eau de décoction d’un poisson marin nommé Raie ou Echinus ”78 —, mais aussi des avis négatifs, émis au nom de son expérience, ainsi à propos des onctions : “ certains ajoutent du camphre, ce que je réprouve parce que son odeur diminue le désir du coït ”79. Guy de Chauliac aussi modifie certaines recettes, ainsi quand, prenant pour base une recette tirée du Canon, il suggère, comme Mondeville80, d’y ajouter des poudres aromatiques pour en corriger l’odeur81, ou quand, se fondant sur le Miamir en matière d’épilation82, il introduit deux substances non mentionnées par Galien, le sang de chauve-souris et les œufs de fourmi. Cette relative liberté s’accompagne, on l’a vu également, d’une volonté de totaliser le savoir : la découverte de nouveaux textes a élargi encore champ de l’art médical, et la volonté poussée de tout ordonner, hiérarchiser, subdiviser, traduit cette même intention.

Enfin, l’insertion de la cosmétologie dans, ou sa récupération par le discours des praticiens apparaît à son tour comme un des aspects de cette fameuse médicalisation de la société. Le praticien est celui qui connaît les ingrédients et leur dangerosité, et la prise en compte de la cosmétique est peut-être avant tout liée à la volonté de contrôler les risques liés à l’emploi de substances telles la céruse, l’arsenic, la chaux vive, le mercure, etc., dont la toxicité, même si elle ne fut établie scientifiquement que plus tard, devait être déjà bien visible, si l’on en croit par exemple le prédicateur siennois Fra Filippo degli Agazzari (†1422) évoquant la fin d’une coquette le visage noirci et rongé par la céruse83. Comme le dit Guy de Chauliac, cité par J. Rovinski dans une traduction française : “ à raison des indoctes noircissements des cheveux avec medicamens communs, on voit non seulement choir en danger plusieurs femmes, ains aussi mourir ”84. Déjà, de manière normale, la médecine autorisée pouvait être le cadre de traitements manqués, voire de tortures du patient : Joseph Shatzmiller rapporte ainsi le triste sort d’un dénommé Aycardet André que le médecin Abraham Bondavin aurait traité d’une maladie de la peau en lui appliquant un onguent “ à base d’aulx et d’orties ”, tout en lui demandant de supporter la brûlure...85. A fortiori des soins à base de toxiques administrés par des non-praticiens étaient-ils à redouter !

Si l’on en revient pour finir à la traditionnelle idée d’une rivalité entre médecin et chirurgien, faut-il voir des enjeux corporatistes dans la prise en compte de la cosmétique ? Peut-être qu’en s’appropriant aussi ce domaine bâtard, entre médecine et recettes de mulierculae, la stature du chirurgien et l’extension de ses connaissances s’étoffent encore : en s’arrogeant le domaine des soins de beauté, les chirurgiens revendiquaient une prise en charge totale de la vie.
Laurence Moulinier-Brogi, Département d’Histoire, Université de Paris-VIII, 2 rue de la LIberté, F-93526 Saint-Denis cedex 02.

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