Esthétique et soins du corps dans les traités médicaux latins a la fin du Moyen Age







titreEsthétique et soins du corps dans les traités médicaux latins a la fin du Moyen Age
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Chirurgia magna ”, dans Le corps à l’épreuve. Poisons, remèdes et chirurgie : aspects des pratiques médicales dans l’Antiquité et au Moyen Âge, F. Collard, E. Samama éd., Langres, 2002, p. 132.

49 É. Nicaise éd., Chirurgie de Maître Henri de Mondeville (1306-1320), Paris, 1893, IIIe traité, 1e doctrine, chapitre XI, p. 581.

50 Ibid., III, 1, XII, p. 584.

51 Ibid., III, 1, XIII, p. 585.

52 Ibid., IIII, 1, XII, p. 584.

53 Cf. Guy de Chauliac, Inventarium, op. cit., p. 312 : “ de allopicia et calvicie et casu capillorum ” ; p. 316 : “ de canicie et pilorum mutatione et tinctura ” ; p. 317 : “ Denigrancia capillos suntFacientia capillos flavos… ” Mundificancia caput sunt lexivia… ; p. 318 : “ Auferencia capillos...”.

54 Ibid., p. 319 : “ cap. Secundum de dipositionibus faciei et partium eius in se continens quatuor partes ” ; “ Ad decorandum et faciendum colorem bonum ” ; “ Ad maculas, lentigines, et pannum removendum ” ; “ Ad sanguinem mortuum et livorem in facie et aliis locis ” ; “ Ad variolas et ad cicatrices ipsarum ” ; p. 322 : “ de gutta rosacea et pustulis quae in facie ”.

55 Ibid., p. 323 : “ pars secunda de egritudinibus oculorum que superius non sunt tractatae ”.

56 Ibid., p. 332 : “ de casu capillorum, de albedine, et pediculis ”.

57 De curis mulierum, M. Green éd., dans The Trotula, op. cit., p. 116-165.

58 J. Vons, “ Un vocabulaire médicalisé pour une ars vivendi ”, loc. cit., p. 342.

59 Guy de Chauliac, Inventarium, op. cit., p. 319 : “ Cap. 2 de dispositionibus faciei et partium eius in se continens quatuor partes ” : “ Disposiciones que in facie apparent quedam sunt naturales, quedam preter naturam. Naturales indigent conservatione si pulcre sunt, et decoracione si turpes, velud esset albedinem custodire et albiorem facere et rubicundiorem si licitum fuerit. Que vero preter naturam indigent correctione, velut est pustulacio, et maculacio et superpilacio, et hoc intendebat Galienus dicere in primo Meamir quando ponebat differenciam inter comaticam et decorativam partem medicinae — non tamen omnia in omnibus, sed certa in certis, ut dicebat Magister Raymundus de Moleriis in Montespessulano ”.

60 Le grec “ kosmetice ” fut traduit par decorativa en latin, et “ commotice ”, que l’on appellera “commatique ”, fut rendu par cosmetica. De fait, au début du Miamir (I.3), Galien faisait cette distinction : “ cosmotice (commatice) quidem intentio est pulchritudinem super acquisibilem operari, decorative (kosmetice) vero partis medicine est omne quod secundum naturam in corpore custodire ad quod eam que secundum naturam sequitur pulchritudo ”.

61 Guy de Chauliac, Inventarium, p. 319 : “ Color enim corporis secundum Galienum dominanciam humorum ostendit […]. Cause etiam extrinsece adiuvant ad mutacionem coloris, ut secundum Avicennam color adhustus et dimissio balnei et usus aceti ”… etc.

62 Ibid. : “ Nam licet decorativa curatio sit licita, comatica vero non est licita nisi gracia honestatis, unde Galienus ubi supra : Quecumque in deliciis existentes decorant se ipsas, nulli earum deprecanti aliquod tale dari sibi farmacum dedi ; quecumque vero honestiores fuerunt, et signa senii et turpiditatis effugiebant, a suorum maritorum molestiis eripi desiderantes, aliquibus consului uti ”.

63 Cf. The Trotula, op. cit., § 167, p. 134 : “ quod faciunt mulieres salernitanae ”, et “ Illud est unguentum quo Salernitane mulieres se ungunt ” ; § 245, p. 168 : “ Unguentum pro nobilibus… Hoc psilotro nobiles salernitane uti consueverunt ” ; § 249, p. 170 : “ Nobiles etiam mulieres ferant muscum in capillis… ; § 251, p. 170 : “ Experimentum sarracenicum ” ; § 289, p. 182 : “ Mulieres Salernitane ponunt radicem viticelle… ” ; § 296, p. 184 : “ Hoc modo intingunt mulieres sarracenum facies suas ” ; § 305, p. 188 : “ Ego vidi quamdam sarracenam cum hac medicina multos liberare ”.

64 Mondeville, Chirurgie, op. cit., III, 1, 13, p. 588.

65 Ibid., III, 1, 13, p. 593.

66 Cf. The Trotula, op. cit., § 193, p. 146 : “ Item quedam sunt immunde et corrupte meretrices… vitrum pulverizatum et vulve imponunt ”.

67 Voir Brantôme, Vies des dames galantes, discours IV, cité dans Ce sont les Secres des dames deffendus à révéler, publiés pour la première fois d’après des manuscrits du XVe siècle, par les Drs Al. C***** & Ch.-Ed. C*****, Paris, 1880, p. 94.

68 Mondeville, Chirurgie, op. cit., III, 1, 13, p. 590.

69 Ibid., III, 1, 11, p. 582.

70 Ibid., III, 1, 13, p. 587.

71 Guy de Chauliac, Inventarium, op. cit., p. 317 : “ Facientia capillos flavos. Mulieres Montispessulani ponunt in lexivia flores sticados et geneste ; Bononienses, rasuram buxi et corticem citri ; Parisienses, radicem gencianae et radicem berberis et florem cardamomi ”.

72 Ibid., p. 292 : “ Thedericus dicit quod quedam domina Pisana curabat omnes morpheas per istum modum ”.

73 Cf. D. Jacquart, C. Thomasset, Sexualité et savoir médical…, op. cit., p. 155.

74 Mondeville, Chirurgie, op. cit., III, 1, 13, p. 590.

75 Ibid., III, 1, 11, p. 582.

76 Voir F. Collard, “ Perfidus physicus ou inexpertus medicus. Le cas Jean de Grandville, médecin du comte Amédée VII de Savoie ”, à paraître dans Mires, physiciens, barbiers et charlatans, Université de Reims, 24 janvier 2003. Je remercie vivement l’auteur de m’avoir permis de lire ce vénéneux texte avant sa parution. 

77 M. Green, “ The Possibilities of Literacy and the Limits of Reading : Women and Gendering of Medical Literacy ”, dans Ead., Women’s Health Care in the Medieval West, texts and contexts, Ashgate, 2000, p. 1-76.

78 Mondeville, Chirurgie, op. cit., III, 1, 12, p. 584.

79 Ibid., III, 1, 12, p. 585.

80 Ibid., III, 1, 13, p. 587 : “ Le premier inconvénient se corrige en ajoutant à cet épilatoire des poudres aromatiques, roses, cumin, camphre, encens... ”.

81 Guy de Chauliac, Inventarium, op. cit., p. 318.

82 Ibid. : “ Auferencia capillos… ”, puis “ Prohibencia pilos renasci radicitus evulsos ”.

83 Cf. J.-Cl. Schmitt, Prêcher d’exemples. Récits de prédicateurs du Moyen Âge, Paris, 1985, p. 179-185 ; voir aussi M.A. Polo de Beaulieu, “ La condamnation des soins ”, loc. cit., p. 309.

84 J. Rovinski, “ La cosmétologie de Guy de Chauliac ”, dans Les soins de beauté, op. cit., p. 171-182, p. 177.

85 J. Shatzmiller, “ Soigner le corps souffrant : pratiques médicales au tournant du XIVe siècle ”, dans C. Duhamel-Amado, G. Lobrichon dir., Georges Duby. L’écriture de l’Histoire, Bruxelles, 1996, p. 285-292, 290.
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