Surtout ‘’Roman’’, ‘’Le dormeur du val’’, ‘’Ma bohème’’, ‘’Voyelles’’







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Ophélie’’

(1870)
Poème
Commentaire
Ce fut un sujet de vers latins que Rimbaud traita aussi en vers français. Malgré des réminiscences (Shakespeare, Chénier) et des imitations reconnaissables, romantiques ou parnasiennes (Chateaubriand, Hugo, Banville [‘’La voie lactée’’ dans ‘’Les cariatides’’], Leconte de Lisle), le poète, qui connaisaait aussi probablement le tableau du peintre préraphaélite anglais Millais, ‘’Ophélie’’, créa un mythe irréel dans lequel Ophélie se fond et se confond avec la nature car elle a su échapper au réel. Mais sa tentative l’a fait mourir. Elle accède intemporellement à une nature transcendante, aux éléments infinis où l’être humain trouve son achèvement et sa béatitude. Ophélie, magnifiée par l’imagination de Rimbaud, meurt de ses « grandes visions » plus que de sa « douce folie », devient un véritable symbole.

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En août de la même année, Rimbaud réussit à convaincre un hebdomadaire satirique, ‘’La charge’’, de publier, sous le titre ‘’Trois baisers’’, un poème qui eut aussi le titre de ‘’Comédie en trois baisers’’ et devint finalement :

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‘’Première soirée’’

(13 août 1870)
Poème
Commentaire
Rimbaud, s’essayant dans un genre frivole auquel il n’attachait probablement pas plus d’importance qu’il ne convenait, voulait faire la satire de l’amour niais, comme le montre le choix des adjectifs « joli », « petit », « mièvre ».

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Le 19 juillet 1870, la France déclara la guerre à la Prusse. « Je vois encore son haussement d’épaules devant le grand mouvement chauvin qui accueillit la déclaration de guerre en juillet 1870 », confia son ami Delahaye. Des opérations militaires secouèrent bientôt la région de Charleville, qui était proche des champs de bataille. La confusion fut totale, plus rien ne fonctionnait, et Rimbaud, chez qui cela accentua son attitude de révolte et son goût de l’aventure, très vifs depuis l’enfance, dans une lettre à Izambard du 25 août, couvrit de sarcasmes les « notaires » et les « épiciers retraités » de sa ville, « benoîte population » qui, « prud’hommesquement spadassine », « chassepot au cœur, fait du patrouillotisme aux portes de Mézières ; ma patrie se lève !… Moi, j’aime mieux la voir assise ; ne remuez pas les bottes ! c’est mon principe. » Mais son propre frère, Frédéric, se laissa griser par la musique militaire et emboîta le pas aux troupes qui allaient à la rencontre des Prussiens.

Antibonapartiste convaincu, révolté, Arthur s'en prit violemment à la société bourgeoise et cléricale, et à ses valeurs patriotiques :

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‘’À la musique’’

(1870)
Poème
Commentaire
C’est une alerte caricature des « bourgeois poussifs » de Charleville écrite probablement peu avant la déclaration de guerre. On y trouve un emprunt très net à ‘’Promenade d’hiver’’ de Glatigny :

« Sur la place, écoutant les accords

D’un orchestre guerrier, leurs beaux habits dehors,

Mille bourgeois joyeux flânent avec leurs femmes,

Dont les vastes chapeaux ont des couleurs infâmes […]

Moi, je suis doucement les filles aux yeux doux,

À qui le rire met de jolis petits trous

Au visage, et qui vont alertes et discrètes,

Cueillir furtivement la fleur des amourettes. »

Baudelaire avait également évoqué dans ‘’Les petites vieilles’’ les musiques militaires « dont les soldats parfois inondent nos jardins ».

Mais, si Rimbaud a eu des inspirateurs, il faut remarquer l’originalité grandissante du style et le pittoresque des expressions utilisées pour décrire avec verve les « bourgeois poussifs ». Cette alerte caricature de Charleville faisait pendant à la lettre du 25 août.

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Dans une lettre du 10 juin 1871, Rimbaud demanda à Demeny de détruire le manuscrit d'un futur recueil qui lui semblait participer d'un romantisme attardé : « Brûlez, je le veux, [...] brûlez tous les vers que je fus assez sot pour vous donner lors de mon séjour à Douai [...]» Demeny ne s'exécuta point, et les vingt-deux poèmes (tous antérieurs à la mi-octobre 1870, poèmes en alexandrins, parfois empreints de sentimentalisme) ainsi conservés par lui constituent le « recueil Demeny ».

Désormais, il voulait refuser tout romantisme, toute subjectivité, tout culte de la forme. Il courait déjà ailleurs, lisant les philosophes et les poètes modernes, découvrant que sa poésie pouvait devenir une arme pour se défendre, pour attaquer, lui trouvant donc une nouvelle mission. L’espace d’une saison, son rire assassin et ses ironies acérèrent sa plume. Il dénonça toute hypocrisie, tout égoïsme, tout ordre qui étouffe toute liberté. Les curés, les bourgeois, les politiciens, les douaniers, les bibliothécaires, furent cloués, nus et ridicules, au pilori de ses vengeances (dans le journal ‘’La charge’’).

Le 29 août, au lieu de se présenter au baccalauréat, sans autorisation et sans argent, il se rendit en train à Paris, où il comptait assister à la chute du gouvernement impérial. Mais, à son arrivée en gare du Nord, on l’arrêta pour avoir effectué une partie du trajet sans billet, et « devoir treize francs de chemin de fer », précisa-t-il dans une lettre à Izambard, du 5 septembre, qu’il lui envoya pour qu’il le libère de la prison de Mazas, la plus brutalement moderne des prisons de l’Empire. Il n’y resta que huit jours, mais eut le temps d’y être couvert de vermine. C’est dans cet état que le 8 septembre, il arriva à Douai, rue de l’Abbaye-des-Prés, chez les demoiselles Gindre, les tantes de son professeur.

Le 24 septembre 1870, une lettre impérieuse de la « mère Rimb’» rappela « le petit drôle ». Izambard le reconduisit à Charleville.

Le 25 septembre, Rimbaud fit insérer dans ‘’Le libéral du Nord’’ un article qui, selon Izambard, était suprêmement ironique sous sa « platitude professionnelle».

Mais il ne songeait encore qu'à fuir : « Je meurs, je me décompose dans la platitude, dans la mauvaiseté, dans la grisaille ». Le 7 octobre, il fugua à nouveau, partant à pied, vers la Belgique, sur les routes ardennaises qui longent la Meuse, puis par Fumay, Charleroi, Bruxelles, avant de se réfugier à Douai, chez les demoiselles Gindre. À l'attention de Paul Demeny, jeune poète et ami d'Izambard, il recopia un recueil de vingt-deux poèmes :

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‘’Bal des pendus’’

(1870)
Poème
Commentaire
Rimbaud s’y est souvenu de la ‘’Ballade des pendus’’ de Villon, de deux pièces d’’Émaux et camées’’ de Gautier (‘’Bûchers et tombeaux’’ et ‘’Le souper des armures’’) et peut-être aussi de ‘’L’homme qui rit‘’ de Hugo, pour l’intervention des corbeaux. Mais le poème n’est pas dépourvu d’une certaine veine caustique, renforcée par le choix des rythmes et les recherches d’allitérations.

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‘’Le châtiment de Tartufe’’

(1870)
Poème
Commentaire
C’est un poème satirique où l’inspiration anticléricale est vigoureuse, Rimbaud montrant son dégoût de la bonté fade, du cœur sentimental, de la médiocrité en général.

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‘’Vénus Anadyomène’’

(27 juillet 1870)
Poème
Commentaire
Le titre est une sardonique antiphrase, Rimbaud y manifestant son émancipation dans le sens d’un réalisme impitoyable, voulant inspirer un sentiment de répulsion. Le poème aurait sa source dans le poème intitulé ‘’Les antres malsains’’ du recueil ‘’Les vignes folles’’ de Glatigny, où il décrivit une fille de joie avec des détails analogues (cheveux « fortement pommadés », « calme idiot », rondeurs énormes, inscription au poinçon) destinés aussi à inspirer un sentiment de répulsion. Cette « poésie de la laideur » inaugurait une nouvelle manière dans la poésie de Rimbaud et annonçait ‘’Mes petites amoureuses’’.

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‘’Les reparties de Nina’’

(15 août 1870)
Poème
Commentaire
Le début est assez mièvre (comme dans ‘’Première soirée’’), mais la promenade dans la campagne a inspiré Rimbaud plus heureusement que les galanteries dans un boudoir, et la description réaliste d’un intérieur paysans ne manque pas de virtuosité. L’idée et la disposition des rimes peuvent devoir quelque chose au poème de Banville, ‘’Chère, voici le mois de mai’’ (dans ‘’Les satellites’’).

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‘’Les chercheuses de poux’’

(septembre 1870)
Poème
Commentaire
Ce poème est un souvenir de l’arrivée de Rimbaud à Douai, en septembre 1870, où les deux tantes d’Izambard le débarrassèrent de ses poux. Il s’est plu à traiter un sujet qui paraissait réaliste de la façon la plus poétique, en insistant sur les effets musicaux.

C’est le seul poème de Rimbaud qui ait trouvé grâce aux yeux de Paul Léautaud : « Je suis arrivé très tôt à considérer qu'il y a plus d'effets que de véritable profondeur dans ‘’Le bateau ivre’’. Pour moi, il n'y a qu'une chose qui m'a plu : ‘’Les chercheuses de poux’’. » (‘’Entretiens avec Robert Mallet’’, 1951).

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‘’Le forgeron’’

(septembre 1870)
Poème
Commentaire
Dans cette évocation de la journée du 20 juin 1792, où Louis XVI, pressé par la foule qui avait envahi les Tuileries et pris à partie par le boucher Legendre, se coiffa d’un bonnet rouge qui lui était présenté au bout d’une pique, Rimbaud remplaça Legendre par un forgeron (s’inspirant probablement de la gravure qui illustre l’’’Histoire de la Révolution française’’ par Thiers) qui exprime le rêve égalitaire et libertaire du peuple avec, malheureusement, beaucoup de jactance et de rhétorique verbeuse dans ce poème au ton hugolien par ses images, ses exagérations, sa phraséologie. Il est visible qu’il avait lu ‘’La légende des siècles’’ (il s’inspira des virulentes apostrophes qu’adressent aux rois le Cid [dans ‘’Le romancero du Cid’’], Elciis [‘’Les quatre jours d’Elciis’’], ou un voleur [dans ‘’Le cercle des tyrans’’]) ; mais il avait lu aussi ‘’Les châtiments’’ (dans l’édition clandestine imprimée en Belgique) et sa colère républicaine atteignait par ricochet Napoléon III. Comme Hugo, il prit le parti de la « crapule » (ça allait bientôt être l’époque où il dirait à Izambard : « Je m’encrapule le plus possible. »), de ceux qui peinaient et récoltaient le mépris des puissants.

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‘’Morts de quatre-vingt-douze…’’

(septembre 1870)
Poème
Commentaire
Le texte cité en épigraphe est résumé d’un article du 16 juillet du journal bonapartiste ‘’Le pays’’ où les républicains étaient invités à se souvenir qu’« à pareille époque, en 1792, les Prussiens entraient en Lorraine » ; où il était proclamé : « Vous fûtes grands et nobles, souvenez-vous ! » - « Que c’est beau, la guerre, quand elle plane au-dessus des intérêts particuliers […] C’est pour le passé, pour le présent, pour l’avenir que nous allons lutter. » Ces effusions verbeuses durent profondément irriter Rimbaud qui était indigné du fait que, pour justifier la guerre de 1870, on ait recours aux morts de 1792 qui avaient déjà été célébrés par Hugo (dans la pièce liminaire des ‘’Châtiments’’, ‘’Nox’’, il salua le « Titan de 93 »).

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‘’Les effarés’’

(20 septembre 1870)
Poème
Commentaire
Ce poème inspiré par les petits mendiants de Charleville accroupis un soir d'hiver devant le soupirail d'une boulangerie est un tableau de genre, croqué, dira plus tard Verlaine, avec le crayon de Goya ou de Murillo, quelque chose à la fois de « gentiment caricatural et de si cordial », une scène réaliste mais où semble passer aussi un lointain regret de la chaleur du sein, de la tendresse du foyer que Rimbaud enfant n’avait guère connue. Il y a mis une part vraie de lui-même.

Le mot « effaré » lui était cher : il l’employa dans ‘’Ophélie’’, dans ‘’Accroupissements’’, dans ‘’Tête de faune’’, etc. ; il était employé aussi par Banville et était un des maîtres mots de Hugo

Ce fut le seul poème qu’il a excepté de sa condamnation des autres poèmes de 1870 qu’il avait signifiée à Demeny ; il le fit recopier par Delahaye pour l’envoyer à Verlaine.

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Roman

(23 septembre 1870)
Poème
Pour une analyse, voir RIMBAUD - ‘’Roman’’

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‘’Le mal’’

(octobre 1870)
Poème
Commentaire
Le poème semble présenter un double sens, et a du reste été différemment compris. Pour certains commentateurs, Rimbaud veut opposer le dédain de Dieu pour les riches présents, les rites somptuaires, et son affection pour les petits, les pauvres qui n’ont qu’ « un gros sou » à lui donner, pour les mères affligées. Pour d’autres, l’intention est satirique : ce Dieu qui dort pendant que les êtres humains s’entretuent, qui « rit » de satisfaction devant la somptuosité de son culte, qui s’endort pendant les « hosannah », ne peut être réveillé que par le bruit de l’argent. Cette dernière interprétation est plus probable si l’on tient compte de l’attitude assez vivement anticléricale prise par Rimbaud à partir de l’été de 1870.

«Le mal» était déjà évoqué dans ‘’Le forgeron’’ : «Oh ! splendides lueurs des forges ! Plus de mal…» et Delahaye rapporta que son ami disait « bien connaître les préjugés, les ridicules, les erreurs, enfin le mal, pour en hâter la destruction », en parlant de la littérature réaliste. Mais le titre ne se rapporte pas très clairement au texte : s’agit-il seulement de «la folie épouvantable » qu’est la guerre? ou de la conception fausse de la religion, qui fait que Dieu est indifférent aux massacres? «Dieu, c’est le mal», avait dit Proudhon.

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‘’Rages de Césars’’

(1870)
Poème
Commentaire
Ce poème fut inspiré par l’actualité : Napoléon III était, depuis Sedan, prisonnier des Allemands. Mais le titre au pluriel montre bien que le personnage devient un symbole, représente tous les oppresseurs.

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‘’Rêvé pour l’hiver’’

(7 octobre 1870)
Poème
Commentaire
Le poème aurait été écrit « en wagon ». Rimbaud y a-t-il fait la rencontre de cette « Elle » à qui le poème fut dédicacé. Mais ce pourrait être une figure imaginaire, un pur prétexte littéraire. La source pourrait être dans le poème des ‘’Cariatides’’ de Banville, ‘’À une muse folle’’ : on y retrouve l’« hiver », les « coussins », le lit recouvert d’une « étoffe moelleuse ». « Que fait cette glace », dit Banville,

« Et ce vieil ouragan au blasphème hagard?

Au lieu d’user nos voix à chanter des poèmes,

Nous en ferons sous les rideaux. »

Il faut savoir que les impressions des voyages en train avaient encore le charme de la nouveauté. Villiers de l’Isle-Adam avait donné au ‘’Parnasse’’ de 1866 un poème ‘’Sur le chemin de fer’’ ; Mérat écrivit dans ‘’Les chimères’’ un poème sur le même sujet, ‘’En wagon’’ ; Verlaine en fit figurer un dans les ‘’Romances sans paroles’’.

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