Surtout ‘’Roman’’, ‘’Le dormeur du val’’, ‘’Ma bohème’’, ‘’Voyelles’’







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Beth-Saïda’’
Cette prose a suscité des interprétations chrétiennes : pour certains commentateurs, elle ne peut signifier autre chose que le retour de Rimbaud à l'Évangile, une conversion ébauchée. Pour d’autres, c’est au contraire un texte foncièrement antichrétien : le Christ ne fait pas de miracle (plus exactement, il n'est pas dit expressément qu’il en fait un), et l'accent est surtout mis sur la première partie, sur la description. On ne voit pas le paralytique dialoguer avec Jésus et aucune conclusion n'est tirée soit en faveur du pouvoir du Christ soit en vue d'une idée morale (comme dans saint Jean). On peut se demander toutefois s'il faut aller jusqu'à penser que le paralytique refuse le Christ, et qu'il représente Rimbaud qui s'évade du christianisme pour entrer «aux splendides villes». Est-ce volontairement qu’il a donné à cette prose une fin aussi ambiguë?

On voit la transformation symbolique du texte : cette piscine, c'est l'enfer, l'endroit où gisent les damnés, accablés par leurs péchés. Du texte de Jean, il tira un symbole et une vision colorée, pittoresque et sinistre : «lueurs d'orages», yeux «bleus», eau «noire», linges «blancs ou bleus».

Ce texte, qui a été connu longtemps avant les précédents présente avec eux beaucoup de similitudes d'inspiration et de ton ; la rédaction paraît cependant plus achevée.

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Cependant, ses «proses évangéliques» ne plaisaient pas à Rimbaud : c’était trop proche du modèle, trop une parodie insipide de l’original. Il abandonna ce projet.

La tension entre lui et Verlaine conduisit à l’écoeurement. Au printemps, ils décidèrent d’une pause. Rimbaud laissa Verlaine en Angleterre, en train de terminer les ‘’Romances sans paroles’’.

D'après le ‘’Journal’’ de sa sœur, Vitalie, le 11 avril 1873, jour du Vendredi Saint, il arriva à l'improviste à Roche. Il y commença un autre livre. En mai, il écrivit à son ami Delahaye qu'il travaillait «assez régulièrement» et qu'il faisait « de petites histoires en prose, titre général : Livre païen, ou Livre nègre. C'est bête et innocent» ; et en post-scriptum : «Mon sort dépend de ce livre pour lequel une demi-douzaine d'histoires atroces sont encore à inventer.» Il avait déjà, dit-il, trois histoires faites. Pourquoi son sort dépendait-il de ce livre? II s'agissait, bien évidemment, de son sort d'homme de lettres. Il ne songeait nullement alors à abandonner la littérature (il se dira «homme de lettres» en juillet devant les juges de Bruxelles) ; il pouvait penser aussi que son sort, s'il arrivait à se faire publier, en serait changé par rapport soit à sa famille, soit à Verlaine (littérateur, lui, déjà «arrivé») qui allaient être forcés de lui accorder considération.

Mais ses projets furent interrompus : le 24 mai, à Bouillon, il revit Verlaine qui était allé chez sa tante, à Géonville, en Belgique. Ils reprirent le train ensemble et allèrent à Anvers s'embarquer pour l'Angleterre, le 26 mai. Ils passèrent toute la nuit en mer (« dix-huit heures de mer, sans compter l'Escaut et la Thames «river», rapporta Verlaine à Lepelletier). À Londres, ils habitèrent College street, reprirent leurs études au British Museum et restèrent jusqu'en juillet. Mais les scènes violentes furent nombreuses.

Rimbaud y a-t-il poursuivi son travail? Peut-être a-t-il mis au point les premiers chapitres d’’’Une saison en enfer’’ et en a-t-il ébauché d'autres : un dessin de Verlaine, qui le montre écrivant dans un «public house», portait, paraît-il, en exergue : «Comment se fit la ‘’Saison en enfer’’.» On peut très bien admettre qu’il avait, dès lors, écrit ‘’Mauvais sang’’, qui figurerait bien dans un « Livre nègre» et «païen» ; peut-être aussi ‘’L'impossible’’ ; peut-être enfin (comme troisième «histoire») ‘’Alchimie du verbe’’. Il est probable qu'il n'a guère travaillé entre mai et juillet car les discussions entre Verlaine et lui devenaient de plus en plus fréquentes, de plus en plus violentes, et l'on peut en croire le témoignage de ‘’Délires l’’ d'après lequel les deux « compagnons d'enfer» se roulaient à terre pour se battre.

Tendu corps et esprit dans son écriture, bientôt Rimbaud n’avait plus vu à Londres que la pluie, le gris, le sale, la poussière du charbon, la misère de tous ces pauvres qu’un libéralisme exacerbé jetait au trottoir. Il devint insouciant du quotidien, de tout travail autre, de toute attention à Verlaine, qui se refusait à se laisser entraîner à devenir « fils du Soleil », sa nature douce, tendre, indécise, molle, étant rétive à ces extrémités mystiques, et qui, le 3 juillet, excédé par cette existence et toujours obsédé par l'idée de se réconcilier avec sa femme, s’évada, rejoignit Bruxelles et écrivit à ses amis qu’il se suiciderait si elle ne le rejoignait pas.

Abandonné à Londres, Rimbaud prit conscience de son amour pour lui. Il lui écrivit : « Est-ce que nous ne devons plus vivre ensemble? Sois courageux. Réponds-moi vite. Je ne peux rester ici plus longtemps. Vite, dis-moi si je dois te rejoindre. N’écoute que ton bon cœur. Vite ! » Et, le 8, il rejoignit Verlaine à l’hôtel ‘’À la ville de Courtrai’’. Dans la petite chambre, les retrouvailles furent tendues, d’autant plus que se trouvait là la mère de Verlaine qui devait l’acompagner à Paris pour une tentative de réconciliation avec Mathilde. Rimbaud déclara que lui aussi irait à Paris. Verlaine prétendit vouloir l’en empêcher, et Rimbaud rétorqua que personne n’avait d’ordre à lui donner ! Le 10 juillet 1873, Verlaine sortit à six heures du matin pour faire les cent pas devant une armurerie qu’il avait repérée la veille et où il acheta un revolver de calibre 7mm. Puis il alla ensuite dans un café pour y faire le plein d’alcool et de courage. De retour dans la chambre où Rimbaud reposait, il tira sur lui deux coups de revolver, le blessa au poignet gauche. Mme Verlaine qui attendait son fils à l’extérieur, accourut, découvrit Rimbaud la main en sang et Paul, hébété sur le lit. Elle prit les choses en main, conduisit tout le monde à l’hôpital Saint-Jean où les médecins acceptèrent sans sourciller la version de l’accident lors d’un nettoyage de l’arme, et le pansèrent. Mme Verlaine lui donna l’argent du voyage pour qu’il rentre chez sa mère. On le conduisit à la gare du Midi. Sur le chemin, à un geste incontrôlé de Verlaine, il prit peur et lui, qui était un rebelle, un anarchiste, un ancien « communard », appela un policier et porta plainte ! Il retourna à l’hôpital pour qu’on extraie la balle. À peine opéré, il voulut partir, mais son corps défaillit. Il dut rester quelques jours à lutter pour sa vie, chez une Mme Pincemaille, marchande de tabac.

En dépit de l’acte de désistement signé par Rimbaud à l’hôpital, commença pour Verlaine l’engrenage infernal de la justice car, si Rimbaud retira sa plainte, elle condamna celui qui avait été un sympathisant de la Commune et qui était un homosexuel : il fut condamné à dix-huit mois de prison à Bruxelles d’abord, puis à Mons.

Rimbaud regagna Charleville et arriva à Roche le 20 juillet. À peine entré dans la ferme familiale, sans répondre aux paroles de bienvenue, il alla s'effondrer sur une chaise. Une crise affreuse de sanglots le secoua. Il murmura : «Ô Verlaine, Verlaine !» Bientôt, sa famille le vit monter au grenier, où il s'enferma avec sa rancoeur et ses déceptions. Sa sœur, Isabelle, dira avoir entendu, à travers le plancher, aux heures de travail, des sanglots convulsifs, coupés, tour à tour, de gémissements, de ricanements, de cris de colère, de malédictions, de larmes.

Dans l’urgence (avait-il eu si peur de mourir?), en quelques semaines, il acheva son livre et lui donna son titre définitif. :

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Une saison en enfer

(octobre 1873)
Recueil de textes de prose

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Prologue sans titre
«Jadis, si je me souviens bien, ma vie était un festin où s'ouvraient tous les cœurs, où tous les vins coulaient. Un soir, j'ai assis la Beauté sur mes genoux. - Et je l'ai trouvée amère. - Et je l'ai injuriée
Commentaire

Ce texte a, de toute évidence, été composé après le drame de Bruxelles pour servir d'introduction à ‘’Une saison en enfer’’ : «M'étant trouvé sur le point de faire le dernier couac» fait allusion au coup de revolver et au danger couru alors par Rimbaud. Dans ce texte capital, il retraça les étapes essentielles de son passé moral et littéraire, avant de faire allusion à sa récente crise intérieure et à sa « fausse conversion» : c’est bien d'un « carnet de damné» que seront extraits les feuillets d'’’Une saison en enfer’’.

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Mauvais sang
On est d'accord, en général, pour admettre que ce texte a été écrit avant le drame de Bruxelles, et que les premiers titres adoptés par Rimbaud en mai, ‘’Livre païen’’ ou ‘’Livre nègre’’, lui conviennent, aussi bien que l'expression d'« histoires atroces» qu'il employa dans sa lettre à Delahaye. Mais il déclara, en mai, avoir déjà écrit trois histoires : quelles sont-elles? On peut croire que primitivement elles formaient ‘’Mauvais sang’’, car à aucun autre texte d’‘’Une saison en enfer’’ ne convient la dénomination de « Livre nègre ». Si l'on observe que le texte actuel (en huit parties) a été très remanié par Rimbaud (comme le prouve le brouillon), on peut très bien admettre qu’il avait écrit trois textes, qu'il compléta et remania par la suite : le brouillon serait l'un d'eux.

En tout cas, plusieurs thèmes d'inspiration se mêlent dans ‘’Mauvais sang’’ : thème de la « race inférieure », dans les deux premiers morceaux ; thème de la lutte entre christianisme et paganisme, lié au précédent (« J'attends Dieu avec gourmandise. Je suis de race inférieure de toute éternité. »), et qui engendre le thème du « nègre» qui crie son horreur à la civilisation et aux croyances occidentales ; thèmes plus personnels de l'enfance, de la solitude, du vice accablant.

Ce texte chaotique, qui se termine sur cette constatation ironique et désespérée pour celui qui s'apprêtait à emboîter le pas à la marche du monde : «Ce serait la vie francaise. le sentier de l’honneur.», traduit un état de crise. À travers les phrases hachées et les images saisissantes, se poursuivit la lutte entre les aspirations au « calme céleste, aérien », à la prière, et sa haine du christianisme tel que le pratiquent les Occidentaux : il se proclama nègre et païen pour mieux crier son innocence. Et, sans doute, au terme de la lutte, il refusait l'« amour divin» dont l'idée l'obsédait pourtant ; mais il ne faut pas s’étonner de le voir, à Bruxelles, quelques mois plus tard, être près de revenir à la foi de son enfance.

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Nuit de l’enfer
Un brouillon de ce texte a été conservé ; il porte le titre ‘’Conversion’’ et se trouve au dos de ‘’Beth-Saïda’’. Selon toute apparence, il a été écrit au retour de Bruxelles, après les jours d'hôpital où Rimbaud a failli revenir à la foi ; il relate le « combat avec l'ange» de Rimbaud, ses visions paradisiaques, et sa retombée au plus profond de l'enfer. Il y a un fossé entre ce texte et le précédent : alors que le païen, le nègre, ne pouvait être damné, puisque « l'enfer ne peut attaquer les païens », Rimbaud ici est hanté par l'idée qu'il est damné, voué à l'enfer de par son baptême ; et il se voit déjà en enfer : « Je me crois en enfer, donc j'y suis. »

Ce texte saisissant, où alternent les élans d'orgueil et les cris de désespoir, rappelle la tentative luciférienne du « mauvais ange» pour rivaliser avec Dieu, pour devenir « maître en fantasmagories », pour être Dieu ; mais Rimbaud n'a pas pu supprimer la notion de Bien et de Mal, pas plus que celle de paradis et d'enfer : il savait qu'il avait mérité l'enfer, et même « un concert d'enfers» ; et il voua à une même exécration, semble-t-il, Satan et Verlaine.

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Délires I. Vierge folle
Il ne fait de doute pour personne à l'heure actuelle que la « Vierge folle» est Verlaine, et que l'« Époux infernal» n'est autre que Rimbaud, qui est ainsi présenté par lui-même tel qu'il apparaissait à Verlaine. Ce serait nier l'évidence que de ne pas reconnaître le faible époux de Mathilde dans des phrases aussi claires que : « Je suis veuve [...] J'étais veuve [...] Lui était presque un enfant […] J'ai oublié tout mon devoir humain pour le suivre. Quelle vie ! La vraie vie est absente. Nous ne sommes pas au monde. Je vais où il va, il le faut. Et souvent il s'emporte contre moi, moi, la pauvre âme. Le Démon ! - C'est un Démon, vous savez, ce n'est pas un homme. [...] - Il a peut-être des secrets pour changer la vie? Non, il ne fait qu'en chercher, me répliquais-je. » Ce texte essentiel nous fait donc le double portrait de Verlaine et de Rimbaud, et nous permet de comprendre ce qu'a été leur vie commune en Angleterre. La faiblesse de Verlaine, que ses lettres attestent d'autre part (« Aime-moi, protège et donne confiance. Étant très faible, j'ai très besoin de bontés », écrivit-il à Rimbaud en avril), le mépris d'Arthur pour son compagnon d'enfer, ses alternatives de rudoiement et de tendresse, et aussi l'existence épuisante du « drôle de ménage », coupée de luttes violentes et de « reprises» attendries, tout cela est mis en lumière dans ce texte qui a, bien évidemment, été écrit après la rupture. C'est un document de première importance, même si l'on tient compte du fait que cette « confession» de Verlaine fut en réalité rédigée par Rimbaud. Il est frappant de voir en particulier combien il s'estima incompris par Verlaine, combien il s'isola dans sa tentative forcenée pour se créer un monde à lui, pour essayer de changer la vie.

On y remarque la prédilection que, dans ses vers comme dans ses proses (y compris ses lettres), Rimbaud manifesta pour l'italique et pour les différenciations typographiques (capitales, petites capitales, tirets de retrait, etc.).

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Délires II. Alchimie du verbe
Pour une analyse, voir RIMBAUD - ‘’Alchimie du verbe’’

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L’impossible
Les thèmes figurant dans ce texte sont peu précisés : il est surtout question de la « sagesse première et éternelle» de l'Orient, la «patrie primitive», par opposition à la dégradation occidentale. Il n'en est pas moins vrai que cette nostalgie de l'Orient a été assez ancrée en Rimbaud pour le conduire, finalement, jusqu'aux rivages d'Arabie. Ce texte peut paraître justifier les allégations d'après lesquelles il serait un «initié», instruit de la kabbale et des livres sacrés de l'Orient. À dire vrai, la bibliothèque de Charleville ne paraît guère avoir pu lui fournir des livres traitant des sciences hermétiques de l'Inde (d'après les déclarations du bibliothécaire qu'ont consulté plusieurs biographes). C'est plutôt à travers les poèmes hindous de Leconte de Lisle qu’il a pris connaissance du ‘’Bhagavadgitâ’’.

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