Surtout ‘’Roman’’, ‘’Le dormeur du val’’, ‘’Ma bohème’’, ‘’Voyelles’’







télécharger 480.84 Kb.
titreSurtout ‘’Roman’’, ‘’Le dormeur du val’’, ‘’Ma bohème’’, ‘’Voyelles’’
page9/13
date de publication15.12.2016
taille480.84 Kb.
typeDocumentos
a.21-bal.com > loi > Documentos
1   ...   5   6   7   8   9   10   11   12   13
Illuminations’’

(1886)
Recueil de poèmes en prose

---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

‘’Après le déluge’’
Commentaire
Est-ce Rimbaud, est-ce Fénéon qui a placé cette prose en tête du recueil? Nous l'ignorons. Certes, il est permis de penser, comme l'ont souvent fait les critiques, que cette pièce liminaire annonce certains thèmes du recueil, et que la fraîcheur édénique présage la vision neuve et « désencrassée» qui est celle de Rimbaud dans les ‘’Illuminations’’, la fraîcheur d'un monde où pierreries et fleurs vont retrouver vie ; de même que l'ironie et la révolte finales préfigurent la violence anarchique de certains des textes suivants. Il est difficile pourtant d'être tout à fait affirmatif.

Ce poème a suscité un véritable déluge d'interprétations. Delahaye força beaucoup le texte quand il déclara que son sens, précisé au dénouement, est que la douleur est pour l'esprit un stimulant nécessaire ; Goffin y vit les visions édéniques d'un monde embelli par l'amour de Verlaine. Hackett en donna une interprétation psychanalytique, voyant par exemple dans l'arc-en-ciel le symbole du cordon ombilical. Étiemble (ainsi que miss Starkie) y décèle un refus de tout ce qui souille le monde dit civilisé : le commerce, les crimes, les religions, et un appel à un nouveau Déluge. Suzanne Bernard fut surtout frappée par la cristallisation des images autour d'un mot-clef, « Déluge », pris ici dans toute sa complexité d'acception : au sens matériel, il inspire le thème de l'eau, du ruissellement (la mer, le sang et le lait qui coulent, les castors qui bâtissent, comme Rimbaud ne l'ignore pas, au bord de l'eau, les estaminets, la maison « encore ruisselante »...). Quant au sens moral et biblique, on le voit se développer progressivement à mesure que la société et la civilisation se propagent jusque dans la nuit du pôle, jusqu'à ce qu'éclate la grande apostrophe où l'apprenti sorcier, dit Étiemble, « essaie des incantations pour un nouveau « grand nettoyage» : « Sourds, étang...» C’est, en tout cas, un texte étonnant, tant par la nouveauté de l'expression et des images que par la quantité des suggestions qu'il nous offre.

---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
‘’Enfance’’
Les cinq proses de ce texte hermétique forment-elles vraiment en tout? Et le titre, ‘’Enfance’’, nous en donne-t-il la clé? Si vraiment ‘’Enfance II’ contient des réminiscences de paysages vus par Rimbaud lors de ses promenades aux environs de Charleville, peut-on en conclure que les autres textes (III et IV surtout) contiennent aussi des impressions de paysages, transposés par l'imagination du poète? Rimbaud chercha à retrouver l'émerveillement de l'enfance et le pouvoir qu'elle a de créer un monde sans limitation de possibilités ; il faut noter cependant le ton désabusé des phrases finales. Mais que représentent ‘’Enfance l’’ et ‘’Enfance V’’? faut-il y voir des souvenirs de la période de voyance? C'est très possible.

Le premier texte paraît bien avoir été écrit, en tout cas, à un moment où Rimbaud était las de Verlaine : l'heure du « cher corps» et « cher» cœur» fait certainement allusion à ce dernier. Le second s'explique bien plus facilement, si l'on admet que Rimbaud s'y montre lui-même, le petit frère, comme étant aux Indes : il n'aurait alors pu être écrit avant 1876. Cela n'est qu'une présomption, et qui fait difficulté : l'écriture, le papier de ce poème ne présentent dans le manuscrit aucun trait qui le différencie des suivants.

---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
‘’Conte’’
De ce poème difficile, le seul dans ‘’IIIuminations’’ qui se présente sous forme d'un apologue, on a donné des interprétations très diverses. «Le Prince» serait Verlaine, qui n'a pu supporter le « bonheur indicible» que lui apportait «le Génie», Rimbaud. Cette interprétation ne rend malheureusement pas compte des difficultés essentielles. On peut rappeler un texte de ‘’L'histoire de la magie’’ où Christian relate l'histoire de Julien l'Apostat (que Rimbaud aurait assimilé à Verlaine) : Julien en effet aurait vu lui apparaître le Génie de l'Empire, sous l'inspiration duquel il massacra les chrétiens, entre autres les femmes (voir «Quel saccage du jardin de la beauté !»). Mais finalement ses armées furent vaincues, et le Génie réapparut pour lui demander de mourir avec dignité (il avait trente-trois ans à peine) : avec lui périssaient les dieux de l'antiquité. Mais alors pourquoi le Prince, dans ‘’Conte’’, décède-t-il « à un âge ordinaire»? L'interprétation la plus satisfaisante est que Rimbaud raconte dans ‘’Conte’’ sa propre expérience, et l'échec de celle-ci. S'étant révolté contre la vie et la beauté, s'étant ingénié à détruire, il a enfin cru rencontrer le « Génie» qui le mènerait à « l'inconnu» (comme dans la “lettre du voyant”) ; mais il s'est aperçu qu'il n'avait fait que rêver son aventure : son Génie n'était autre que lui-même, plus exactement la partie idéale, « géniale» de lui-même, vouée à l'anéantissement. On ne peut pas « changer la vie ». Ce poème a donc probablement été écrit, soit tout de suite avant ‘’Une saison en enfer’’, soit peu après.

Les «étonnantes révolutions de l’amour» rappellent le désir, plusieurs fois exprimé par Rimbaud, de transformer l'amour («L'amour est à réinventer», dit l'Époux infernal dans “Délires I”). Ce désir doit sans doute être mis en liaison avec, d'une part, les idées de Michelet qui croyait lui aussi que les femmes peuvent plus et mieux que «cette complaisance agrémentée de ciel et de luxe» (la satire de la religion semble évidente) ; et, d'autre part, les idées des communards, qui réclamaient à la fois l'émancipation de la femme, la disparition du luxe et l'amour libre.

«Quel saccage du jardin de la beauté !» est à rapprocher de la phrase du début d'”Une saison en enfer”, «Un soir, j'ai assis la Beauté sur mes genoux. - Et je l'ai injuriée.» Violence, évidemment, à la fois contre les femmes et contre un certain type de beauté, à base de luxe et d'élégance.

Ces phrases mystérieuses, et assurément symboliques : «Il s’amusa à égorger les bêtes de luxe. Il fit flamber les palais. Il se ruait sur les gens et les taillait en pièces. - La foule, les toits d’or, les belles bêtes existaient encore», ont été commentées ainsi par Antoine Adam : «Le Prince a voulu tout détruire autour de lui, et tout a continué d'exister. L'effort de liberté et d'absolu est voué à l'échec. La réalité ne s'élude pas.» Toutes ces violences conviennent assez bien à Rimbaud, «l'enfant de colère», et à la frénésie de destruction que manifeste par exemple le poème «Qu'est-ce pour nous, mon coeur...» Toutefois, cette destruction est ici despotique, et peut faire songer aux vers de Baudelaire dans “Spleen” :

«Rien ne peut l'égayer, ni gibier, ni faucon,

Ni son peuple mourant en face du balcon.»

Le «Génie» qui apparaît, c'est le double idéalisé de Rimbaud, qui fait penser, nota Antoine Adam, au Satan de «Crimen Amoris» :

«Or le plus beau d'entre tous ces mauvais anges

Avait seize ans sous sa couronne de fleurs.»

Justement parce que sa beauté est trop grande pour cette terre, parce qu'elle promet un bonheur «indicible, insupportable même», elle porte en soi un germe de mort : le Prince et le Génie s'anéantiront «dans la santé essentielle». Mais si le Génie du poète s'est «anéanti» (voir la “lettre du voyant” : «Qu'il crève dans son bondissement par Ies choses inouïes et innommables», phrase où les adjectifs négatifs rappellent étrangement les adjectifs qui, dans “Conte”, s'appliquent au Génie), l'homme Rimbaud, le Prince, lui, survit. Il va poursuivre son existence ordinaire et mourir de mort naturelle dans son palais. Il «était» le Génie, mais il a cessé de l'être.

La conclusion est sibylline. «Le Prince n'avait d'autre ressource, contre l'imperfection et la monotonie, que celle d'un rêve impuissant», commenta Étiemble. On peut rapprocher cette phrase de celle où, dans “Vies II”, Rimbaud se représente comme «un musicien» qui a trouvé «quelque chose comme la clef de l'amour».

On remarque des éléments traditionnels du conte : un prince, un génie, des femmes qui sont assassinées. Rimbaud donc s'amuse à faire un pastiche des "Mille et une nuits". Ce qui n'est pas conforme aux contes traditionnels, c'est que tout ce qui est détruit dans cette rage de destruction subsiste ; de même le prince et le génie font l'amour («anéantissement dans la santé essentielle») et en meurent, mais, en fait, le prince meurt réellement à un âge ordinaire : c'est que la mort dans l'amour n'est que «la petite mort», nom qu'on donnait à l'orgasme.

Le caractère énigmatique du poème est résolu par l'explication donnée par Étiemble : le prince est Rimbaud et le génie est le génie de Rimbaud ; ils se rencontrent à un certain moment (peut-être veut-il dire que ce fut quand il a découvert cette poésie nouvelle qui se manifeste justement dans "Une saison en enfer" et dans les ‘’Illuminations’’) ; chaque création de poème est cet «anéantissement dans la santé essentielle», cet orgasme. La «musique savante manque à notre désir» peut donc s'interpréter comme la poésie raffinée, supérieure, qui satisferait le désir du poète.

---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
‘’Parade’’
Voir RIMBAUD - ‘’Parade’’

---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
‘’Antique’’

Selon Delahaye, Rimbaud aurait découvert dans un parc, la nuit probablement, et s'animant sous les clartés lunaires, une statue ancienne, et aurait cru voir les yeux qui remuent, les joues creusées, la poitrine ressemblant à une cithare. Arnoult pense avec plus de précision à un Centaure que Rimbaud aurait vu en traversant la Galerie du Louvre, où nous savons qu'il est parfois allé en compagnie de Forain. D'où le «double sexe» : mais Rimbaud n'aurait-il pas en ce cas parlé plutôt de double nature (Ovide parle de centaure « biformis »)? D'où, aussi, la lyre idéale formée par les bras dressés du Centaure. En fait, cette description paraît bien s'appliquer plutôt à un faune ou à un satyre plutôt qu'à un centaure : l'expression « gracieux fils de Pan », les taches de vin, les crocs, évoquent bien un faune, encore que le double sexe fasse ensuite songer à un hermaphrodite. Non seulement les statues, mais la littérature antique fournissaient à Rimbaud suffisamment de modèles. Mais il faut remarquer combien, à la différence des parnassiens, il évitait de figer ce qu'il décrivait, douant de mouvement même une statue « antique ».

---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
‘’Being beauteous’’
Voici encore un poème extrêmement hermétique et qui a suscité toutes sortes d'interprétations. Antoine Adam y vit l’évocation d'une danseuse asiatique, exécutant sa danse à la fois rituelle et sensuelle au son des « rauques musiques» de l'orchestre. Pour miss Starkie, il y aurait ici une réminiscence de l'apparition surnaturelle, d'une blancheur neigeuse, qu'aperçoivent les marins à la fin des ‘’Aventures d'Arthur Gordon Pym’’ de Poe ; rapprochement en effet particulièrement séduisant, d'autant plus que le titre anglais en serait justifié (il est vrai que ces titres anglais sont fréquents chez Rimbaud comme chez Verlaine). Signalons aussi que dans ‘’L'artiste’’, que Rimbaud lisait chez Charles Cros lors de son séjour à Paris, a paru en octobre 1871 un « croquis de siège» de Théophile Gautier, décrivant les colossales statues de neige que s'étaient divertis à faire, pendant le siège de Paris, Falguière et Moulin, un jour où ils étaient de garde (‘’Le musée de neige’’). Mais quel qu'ait été le point de départ de Rimbaud, il faut reconnaître qu’il a opéré une telle métamorphose que cet Être de Beauté devient sa création propre. Lui a-t-il donné une valeur symbolique? On peut remarquer que l'Être de Beauté, la Vision et «notre mère de beauté» ne font qu'un : faut-il penser que Rimbaud, ici encore, évoque la Beauté inconnue que le poète voyant aperçut comme une vision lorsqu'il laissa loin derrière lui le monde et ses rumeurs? Mais l'idée de mort, de guerre, de destruction est plus frappante encore dans ce texte : «sifflements de mort», «blessures», «sifflements mortels», «canon»… mêlent sans cesse leurs suggestions de violences et de massacre à celles qui émanent des mots évoquant musique et couleurs. En définitive, il faut admettre qu'aucune interprétation ne peut expliquer de façon cohérente toutes les images (que ce soit la guerre, ou la Beauté, ou l'Art...), et que nous devons abandonner, devant les ‘’Illuminations’’, toutes nos habitudes d'esprit, et nous laisser guider par Rimbaud lui-même : Cet «Être de Beauté» est une vision qui peu à peu se précise, un «corps merveilleux» que le poète aperçoit à mesure qu'il le crée, et qui finalement, devenu vivant, se dresse devant lui qui est saisi d'amour et d'admiration : «Oh l nos os sont revêtus d'un nouveau corps amoureux».

---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
‘’Vies’’
Ces trois textes décrivent quelques-unes des « vies» que Rimbaud a voulu assumer. Une fois encore, il faut rappeler ‘’Alchimie du verbe’’ : «À chaque être, plusieurs autres vies me semblaient dues.» Mais dans quelle mesure s'agit-il ici d'existences imaginaires, dans quelle mesure Rimbaud transposa-t-il des souvenirs personnels et revit-il ses différentes « vies» passées? Le second poème, en tout cas, paraît bien contenir des allusions assez directes à l'enfance du poète. Les trois fins de ces textes dressent avec une sorte de sombre amertume le bilan d'un passé plus ou moins éloigné ; elles sont saisissantes, par les idées comme par le rythme.

---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
‘’Départ’’
Écrit sur la même feuille et de la même écriture que la troisième partie de ‘’Vies’’, ce texte développe le même thème et probablement date de la même époque : adieu à tout un passé mort, liquidation des souvenirs encombrants. Mais il se termine par un salut à une vie nouvelle. On peut y voir l'annonce du départ avec Germain Nouveau, à cause de l'optimisme de la phrase finale : «Départ dans l'affection et le bruit neufs !»

---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
‘’Royauté’’
Encore un poème d'allure franchement symbolique, et qui a suscité des interprétations diverses. Pour Delahaye, il s'agit du «poète» et de «son âme», qui veut être reine ; cette royauté, c'est celle que le poète conquiert par les pouvoirs de son esprit, royauté rêvée, du reste, et fictive plutôt que réelle. On peut évoquer un passage des ‘’Paradis artificiels’’ de Baudelaire, qui figure précisément dans le chapitre intitulé ‘’L'Homme-Dieu’’ : « Tu as maintenant le droit de te considérer comme supérieur à tous les hommes [...] Tu es un roi que les passants méconnaissent. » Il faut bien avouer toutefois que cette évocation d'un couple reste difficile à expliquer. On peut penser qu'il s'agit de Rimbaud et de Verlaine, et de l'état de «fils du Soleil» auquel Rimbaud voulait amener son compagnon ; mais, là encore, des difficultés se présentent : Verlaine, «Vierge folle» ou «pitoyable frère», peut-il être figuré comme «une femme superbe»? et de quelle révélation s'agirait-il? Le texte, dans l'état de nos connaissances, reste obscur : il faut ajouter que la transposition poétique est probablement telle que nous ne devons pas chercher à l'expliquer dans tous ses détails.

---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
‘’
1   ...   5   6   7   8   9   10   11   12   13

similaire:

Surtout ‘’Roman’’, ‘’Le dormeur du val’’, ‘’Ma bohème’’, ‘’Voyelles’’ iconSurtout ‘’Les Chouans’’, ‘’Le colonel Chabert’’, ‘’Le lys dans la...
«petites opérations de littérature marchande», des «cochonneries littéraires», un roman médiéval, ‘’Agathise’’ qui deviendra ‘’Falthurne’’,...

Surtout ‘’Roman’’, ‘’Le dormeur du val’’, ‘’Ma bohème’’, ‘’Voyelles’’ iconDÉpartement du val-de-marne république française
«Le travail au féminin singulier», réalisée pour le Conseil général du Val-de-Marne par Lily Franey à l'occasion du 8 mars 2005

Surtout ‘’Roman’’, ‘’Le dormeur du val’’, ‘’Ma bohème’’, ‘’Voyelles’’ iconThèse : la littérature romanesque doit se démarquer des œuvres du...
«appellation commode englobant tous ceux qui cherchent de nouvelles formes romanesques […] et qui sont décidés à inventer le roman»....

Surtout ‘’Roman’’, ‘’Le dormeur du val’’, ‘’Ma bohème’’, ‘’Voyelles’’ icon«Le roman»
«Le plus grand défaut de cette œuvre, c’est qu’elle n’est pas un roman à proprement parler.»

Surtout ‘’Roman’’, ‘’Le dormeur du val’’, ‘’Ma bohème’’, ‘’Voyelles’’ iconParcours de Roman des origines, origines du roman de Marthe Robert
«sérieux» à propos de ces ouvrages «faux», «voué[s] à la fadeur et à la sensiblerie» quand on connaît l’importance du phénomène romanesque...

Surtout ‘’Roman’’, ‘’Le dormeur du val’’, ‘’Ma bohème’’, ‘’Voyelles’’ icon«Mémoires», Archeoparc, Val Senales, Italie

Surtout ‘’Roman’’, ‘’Le dormeur du val’’, ‘’Ma bohème’’, ‘’Voyelles’’ iconDÉpartement du val-de-marne république française

Surtout ‘’Roman’’, ‘’Le dormeur du val’’, ‘’Ma bohème’’, ‘’Voyelles’’ iconQuelles réflexions vous suggèrent ces considérations de Soljenitsyne résumées par Marthe Robert
«Mégalomanie du roman», jugement qu’elle justifie en rapportant les conceptions de Soljenitsyne Celui-ci ne considère pas seulement...

Surtout ‘’Roman’’, ‘’Le dormeur du val’’, ‘’Ma bohème’’, ‘’Voyelles’’ iconCapes de lettres modernes
«une tranche de vie». Mais la vérité dans le roman est autre que la vérité en dehors du roman. En définitive, le réalisme apparaît...

Surtout ‘’Roman’’, ‘’Le dormeur du val’’, ‘’Ma bohème’’, ‘’Voyelles’’ iconAtelier de fonderie expérimentale avec André Fournelle et Pierrre Leblanc à Val-David







Tous droits réservés. Copyright © 2016
contacts
a.21-bal.com