Montpellier Notre Ville : Vous avez déclaré votre candidature à la mairie de Montpellier dès 2010. Depuis, vous êtes allé au contact des Montpelliérains. Que vous ont-ils appris ?







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Être toujours en mouvement, comme lors de votre campagne…

Absolument. La victoire gît dans le mouvement. Et surtout dans la dynamique. Il faut profiter de l’énergie latente qui existe à Montpellier, la faire ressurgir, la dynamiser par l’action municipale et la partager, dans l’intérêt général.
Vous dites stop à l’augmentation de la fiscalité, qui grève fortement le budget des Montpelliérains. Est-ce tenable sur tout le mandat?

Oui, à condition de faire mieux avec moins, de faire un audit sur certaines structures et de remettre de la gouvernance à l’intérieur même de la ville.
Sur la Cité du corps humain, vous avez justement émis des réserves pour une question de financement…

Dans la mesure où le budget de la Cité du corps humain (CCH) doit être abondé non seulement par les collectivités mais aussi par des fonds privés, nous devons nous assurer de sa faisabilité financière. Et les circonstances économiques actuelles ne nous y aident pas. Cette Cité doit être conçue, non pas comme un musée, mais comme une vitrine sur les sciences de l’Homme, les sciences de l’environnement, la recherche médicale et qu’elle débouche sur des avancées économiques. Et là, je suis partant. Le Génopole à Evry, par exemple, n’est pas un simple musée, mais un laboratoire avancé à ciel ouvert qui permet de faire de la recherche sur place et de faire connaître ses avancées.
Des projets architecturaux audacieux comme la CCH ne peuvent-ils pas contribuer à l’attractivité de Montpellier?

L’attractivité architecturale de Montpellier provient de tous les quartiers de la ville. Je souhaite l’accroître plus encore en transformant l’ancienne mairie en un centre d’art contemporain. Recycler un édifice public en un autre équipement public va dans le sens d’une ville durable. Ce musée permettrait d’attirer près de 800 000 personnes par an. De quoi conforter les hôtels, bars et restaurants du centre-ville, avec un réel impact sur l’économie de Montpellier.
Avec 4000 agents à la mairie, vous devenez l’un des premiers employeurs de la ville. Comptez-vous changer quelque chose dans le fonctionnement de la mairie?

Dans la façon de gouverner, oui. La mairie connait un certain absentéisme, sans doute lié à de mauvaises conditions ou ambiances de travail. J’ai positionné mon ami Abdi El Kandoussi comme délégué au personnel municipal, afin d’y remédier C’est un homme juste, qui connait bien le personnel et les syndicats. Bien sûr, il ne sera pas tout seul. J’ai d’ailleurs rencontré tous les syndicats au lendemain de mon élection. Cette rencontre a été prometteuse.
On vous sait proche du Premier Ministre, Manuel Valls. Quelles valeurs, quelle vision partagez-vous?

C’est un pragmatique. Il a été maire d’une ville compliquée, Évry, qu’il a su gérer avec efficacité et brio. Mais avant d’être un homme politique, c’est un ami. Nous nous connaissons depuis longtemps. Je partage son discours décomplexé sur la sécurité, qui est une vertu de la République, qui n’est ni de gauche, ni de droite.
D’un point de vue politique, vous faites donc partie de la gauche décomplexée…

Dans ce programme, je n’ai pas eu la sensation de me séparer du socialisme, d’un socialisme tendance Jean Jaurès. Quand je parle notamment de territoire économique renforcé, d’arrêt de l‘augmentation des impôts, de régie publique de l’eau, de sécurité pour les personnes et les biens, de qualité de vie, du tramway pour tous, de réforme des rythmes scolaires, de Montpellier ville propre, d’une ville connectée, d’un centre-ville réparé, de justice sociale, de culture, d’environnement, d’un urbanisme maîtrisé, d’un libre-service des sports, de jeunesse.
On vous a dit rebelle, dissident…

La beauté en politique, c’est d’affirmer la vérité, comme disait Jaurès, et de ne pas céder au mensonge triomphant. Alors si c’est être rebelle, dissident, que de ne pas céder au mensonge, j’accepte ces mots. Je ne suis pas un adepte de la pensée unique (sourires).

Avez-vous un projet qui vous tient à cœur, que vous seriez heureux d’inaugurer?

Mon seul projet, c’est Montpellier.
La saison culturelle va bientôt commencer. Quels rendez-vous culturels figurent déjà sur votre agenda?

Le 18 avril, j’irai écouter la neuvième symphonie de Beethoven au Corum (NDLR : l’hymne européen). Les 19 et 20 avril, j’irai à la ZAT à Malbosc.
Vous êtes d’ailleurs musicien…

C’est beaucoup dire mais j’ai appris à jouer du violon au Conservatoire de Montpellier. La musique est un art qui me touche. Et si je l’aime sous toutes ses formes, j’ai une prédilection pour les musiques qui viennent de la terre. Pour les musiques traditionnelles de tous les pays du monde, jouées sur des instruments fabriqués à la main, des luths, des percussions, des flûtes… des instruments anciens dans lesquels les sons semblent sortir vraiment de la terre. C’est cette musique à laquelle je suis le plus sensible. Bien sûr, il y a aussi la grande musique symphonique avec Sergueï Rachmaninov ou Gustav Mahler. La musique, c’est à la fois très physique et très subtil. C’est un lien entre l’universel et le particulier. C’est cette rencontre que j’aime.


Exergue

« Revenir à plusde proximité »

« Concilier qualitéde vie et développement »

« Une équipe compétente au servicedes Montpelliérains »

Encadré

Vous avez dit «Anticor»?

Créée en 2002, l’Association Anticor rassemble élus et citoyens de la France entière. Son objectif ? Lutter contre la corruption en politique et réinstaurer rigueur et transparence dans la gestion des affaires publiques. Une cinquantaine de groupes locaux sont répartis sur l’ensemble du territoire, dont Anticor34, l’antenne de l’Hérault.

Dans le cadre des élections municipales 2014, l’association a proposé aux candidats la signature d’une Charte en neuf points : non cumul des mandats et des fonctions exécutrices, bonnes pratiques de gestion, transparence, reconnaissance des droits de l’opposition, participation citoyenne… Cette charte engage légalement les signataires.

Philippe Saurel a signé cette charte le 19 février. L’antenne Anticor34, lui a décerné le Prix Éthique 2014, dans la catégorie « Élu ».

En savoir plus : anticor.org - Facebook.

Encadré

La gestion de l’eau

Pour la gestion de l’eau, il existe 2 principaux modes de gestion :

• La gestion directe ou « régie ». La collectivité assure directement le service de l'eau avec son propre personnel. Elle finance les ouvrages nécessaires et conserve la maîtrise des services et de leur gestion.

• La délégation de service public. La collectivité délègue le service de l'eau à une entreprise spécialisée qui exerce un contrôle sur l'exécution du service, en fixe en partie le prix pour les consommateurs et conserve la propriété des équipements. L’entreprise privée dégage des bénéfices sur la vente de l'eau.

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Dossier : le nouveau conseil municipal
Des Montpelliérains au service des Montpelliérains

Ils sont chefs d’entreprise, médecins, étudiants, artistes, commerçants, sans profession… Les 45 nouveaux élus de la majorité municipale, issus de la société civile, sont des citoyens comme tout le monde. Paroles croisées des quatre premiers adjoints.

Stéphanie Jannin

1re adjointe au Maire, déléguée à l’urbanisme

36 ans

Mariée, 2 enfants

Architecte urbaniste
«Une tâche exaltante»

« Comme des milliers de Montpelliéraines qui ont des enfants et qui travaillent, je vais mettre trois journées en une… ». Stéphanie Jannin, mère de 2 enfants, enceinte de 8 mois, et un travail à temps plein aborde avec confiance sa mission d’élue. « C’est une tâche exaltante ». Son cursus : l’école d’architecture de Paris Belleville et l’école polytechnique de Lausanne. Surviennent ensuite 6 mois décisifs : un séjour à Montpellier pour suivre son conjoint en déplacement professionnel. C’était il y a 12 ans. La famille habite dorénavant le centre historique. « Vu la qualité de vie, je pense qu’on aurait beaucoup de mal à revenir en arrière ».

Stéphanie Jannin travaille en agence d’architecture, sur des projets montpelliérains et régionaux. Son intérêt pour la chose publique s’est concrétisé par un engagement citoyen, en 2009. « J’ai contacté Philippe Saurel, alors adjoint à l’urbanisme. Nous avons organisé des groupes de réflexions autour d’un projet urbain. C’est dire notre joie de voir que cette démarche pourra être menée jusqu’au bout ».

Que le nouveau maire la nomme 1re adjointe et lui confie la délégation de l’urbanisme est un geste fort. « Cela montre sa volonté profonde de mettre en place un projet urbain, en lien avec le projet Montpellier 2040. Mais en y apportant une dimension territoriale, dans le cadre d’une métropole douce, partagée et négociée ».

Une seule et même personne s’occupe de l’urbanisme à la Ville et à l’Agglomération, pour plus de cohérence et d’efficacité. Un mode d’organisation neuf. « Je vais m’en saisir en m’interrogeant sur quel Montpellier nous souhaitons dans 10 ou 20 ans. Je pourrais en parler pendant des heures… ».

Max Lévita

Adjoint au Maire, délégué aux finances

76 ans

Marié, 3 enfants, 5 petits-enfants

Professeur d’économie à la retraite
«Être à l’écoute des Montpelliérains»

« Ce n’est pas l’ambition qui me guide », confie Max Lévita avec la sincérité d’un homme qui n’a rien à prouver. Serait-ce donc le secret de la longévité électorale de ce professeur d’économie qui, élu pour la première fois en 1983 derrière Georges Frêche, pensait cette année, mettre en terme à sa carrière politique ? Les circonstances en ont décidé autrement. Quand Philippe Saurel lui a proposé de participer à cette nouvelle aventure collective, il s’est laissé tenter. « J’ai été séduit par sa volonté de vouloir gouverner autrement et, comme tout enseignant, j’ai la faiblesse de penser que je peux apporter mes connaissances si on me le demande ». Une décision qui a amené son exclusion du Parti socialiste, sa famille politique depuis 45 ans. Et a transformé cet homme légitimiste en dissident. « Que le parti puisse exclure quelqu’un comme moi prouve bien que quelque chose ne va plus », tranche cet amateur de poésie qui met un point d’honneur à avoir de la distance en tout, aimant citer l’écrivain italien Antonio Gramsci : « Je suis pessimiste avec l'intelligence, mais optimiste par la volonté ». Grand dévoreur de journaux, Max Lévita jette un regard lucide sur le monde. En acceptant de redevenir adjoint aux finances, il assure ainsi une continuité et veillera, comme le maire le lui a demandé, à ce que les taux d’imposition n’augmentent pas. De son modèle, Pierre Mendès-France, il loue le réalisme et la moralité. Une figure tutélaire qu’il peut donner en exemple à ses collègues qui arrivent aux responsabilités, dont certains ont l’âge de ses petits-enfants. S’il n’a pas l'envie de jouer au patriarche de l’équipe, nul doute que ses avis auront du poids : « Il faut qu’ils soient à l’écoute des Montpelliérains. Qu’ils demeurent attentifs à ce que les citoyens demandent », conseille le grand argentier, en précisant : « et qu’ils ne promettent pas n’importe quoi ! ».

Marie-Hélène Santarelli

Adjointe au Maire, déléguée à la sécurité

55 ans

Mariée, 2 enfants

Médecin radiologue
«Me rendre disponible»

« Une Montpelliéraine pur jus ! », c’est ainsi que se définit Marie Hélène Santarelli, pourtant née à Mostaganem et arrivée en France à trois ans à peine, au tout début de la Guerre d’Algérie. C’est à Montpellier qu’elle a décidé de rester. Elle y a fait ses études, rencontré son mari, élevé ses enfants et ouvert sur le tard - en 2004 - son cabinet de radiologie. « J’aime tellement cette ville que j’ai du mal à la voir être critiquée par mes enfants, les amis, les personnes de mon entourage, des patients. Notamment sur la propreté, la sécurité. Une ville qui, ces dernières années, a perdu en qualité de vie ce qu’elle a gagné en développement et en essor démographique. » Son engagement dans la vie publique ? Une première « à un moment où les enfants ayant grandi, j’ai un peu plus de temps ». « Je connais Philippe Saurel depuis l’adolescence, s’il me fait confiance pour un poste aussi important que la sécurité, c’est parce qu’il sait ce que je pense de la ville. » Sous des airs doux et plutôt calmes, la nouvelle adjointe s’affirme déterminée et capable d’un travail acharné. « Je prends cette fonction comme un véritable travail. Je mesure l’importance d’une telle délégation dans la 8e ville de France et vais tout faire pour me rendre le plus disponible possible. Quitte à réduire mon activité ­professionnelle si c’est nécessaire ». Ses loisirs ? « Des plaisirs simples, le jardinage, un peu de vélo, la plage, des balades en nature… ». Et un jardin secret : la Corse. « Mon père est originaire de Viggianello, un petit village au-dessus de Propriano… J’y allais régulièrement ces dernières années. J’irai moins ! ».


Abdi El Kandoussi

Adjoint au Maire, délégué au personnel

40 ans

Marié, une fille de 12 ans

Architecte
«Avoir un discours clair»

Élu délégué de classe dès la troisième, cet enfant du Béarn au large sourire et aux yeux pétillants s'est engagé très tôt dans la chose publique. À l’École d’architecture de Toulouse où il fait ses études, les débats politiques sont multiples avec ses copains de promo. Il entre au Mouvement des jeunes socialistes en 1999, puis au PS en 2000. Il est élu conseiller municipal de Mourenx, sa ville natale, puis conseiller régional en Aquitaine. En 2004, il arrive à Montpellier. Demande un rendez-vous à Philippe Saurel, à l’époque adjoint en charge du quartier Hôpitaux-Facultés. « Je me suis présenté à sa secrétaire comme un simple Montpelliérain. J’ai été reçu dans l’heure ». Depuis, il suit le maire de Montpellier, qu’il présente comme un de ses mentors. « J’aime le militantisme de terrain. Être à l’écoute et au contact des Montpelliérains ». En politique, ses principes sont : « ne pas mentir et ne pas faire de promesse que l’on ne peut pas tenir. Il faut un capitaine pour gérer les affaires de la cité. Il faut savoir trancher et avoir un discours clair ». Les valeurs qu’il défend : le travail et la fidélité.

À Montpellier, Abdi El Kandoussi affectionne le dynamisme de la ville, le soleil, les petites rues de l’Écusson, les rives du Lez et les nouveaux quartiers. Surtout le quartier Antigone. « C’est un cas d'école que j’ai étudié lors de mes études d’architecture. Il transcrit la volonté d’un seul homme de vouloir faire évoluer sa ville ». L’adjoint au maire se réveille… sans réveil, fait du sport et préserve l’intimité de sa vie de famille. Il aime Oscar Wilde, le « street art », Salvador Dali et Barcelone. Écoute avec autant de plaisir Mozart, du jazz ou du R’n’B. Et cet adepte des réseaux sociaux ne se sépare jamais de son portable.
NDLR : « En attendant la constitution des groupes politiques au sein de la nouvelle assemblée municipale, ainsi que le vote de son règlement intérieur, les tribunes politiques ne figurent pas ce mois-ci dans Montpellier Notre Ville ».
Le prochain conseil municipal aura lieu le jeudi 24 avril à 18h, dans la salle des rencontres de l’Hôtel de Ville de Montpellier.

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