Anthropologie culturelleElle a pour objet l’étude de l’homme et des sociétés humaines dans leur versant culturel. La représentation, par la parole ou par l’image, est l’une de ses questions centrales. Ainsi, l’étude de la nature du signe dans la communication humaine est devenue l’un de ses soucis majeurs. Le signe (voir Ferdinand de Saussure), en langage humain ou l'icône, en représentation iconographique (voir Charles Sanders Peirce), est le point de départ pour le développement des disciplines de l’anthropologie orale ou de l’anthropologie visuelle.
TOP Autoroutes de l'informationLe concept d'autoroutes de l'information appartient désormais à l'histoire des réseaux et des technologies de l'information. Une histoire certes récente, mais dont la particularité est d'avoir connu un déroulement rapide qui a vite dépassé les visions stratégiques et politiques élaborées dans la première moitié des années 1990. Celles-ci reposaient sur deux concepts clés : la convergence et les autoroutes de l'information. Tandis que la notion de convergence permettait de résumer les acquis de la numérisation et de la généralisation du protocole IP (à l'origine d'Internet) ainsi que la réunion des industries de l'informatique, des télécommunications et des médias audiovisuels, les autoroutes de l'information représentaient l'objectif d'une politique planétaire de rénovation des infrastructures sur laquelle reposerait, croyait-on, la société de l'information, garantissant l'accès du plus grand nombre à une multiplicité de services, de données et de contenus. L'idée principale qui guidait l'emploi de l'expression autoroutes de l'information consistait dès l'origine à définir une architecture et une infrastructure uniques de réseaux sur le modèle des autoroutes, avec une large capacité de débit, une aptitude au transport de tout service multimédia, une desserte la plus universelle possible, et une technologie unifiée, ce qui n'apparaissait pas possible en l'état des infrastructures de réseaux existantes. Plus qu'un concept donc, le terme d'autoroutes de l'information a donc initié une vaste réflexion sur le développement des réseaux du futur, leur technologie et leur plan de déploiement, ainsi que sur les investissements qui devaient leur être consacrés.
TOP AvatarAvatar, terme français depuis le XIXe siècle, a connu un nouvel élan avec le jargon informatique, où il désigne l'apparence que prend un internaute dans un univers virtuel, voire dans des forums de discussion. Il est, là, bien plus proche de son sens originel. Choisi par l'utilisateur lui-même, l'avatar apparaît à chaque fois que celui-ci se connecte à un univers virtuel ou écrit un message dans un forum, afin qu'on l'identifie visuellement. Dans le langage courant des forums de discussions ou services de dialogue en ligne (chat), le nom avatar désigne également, par abus de langage, l'image que l'on utilise pour se représenter (que ce soit une image de soi-même, de quelqu'un d'autre ou d'une chose que l'on aime ou à laquelle on s'identifie).
TOP Communication (Typologies de la communication)Il y a la communication unilatérale qui s’établit d’un émetteur vers un récepteur sans qu’il y ait réciprocité. (rétroaction = feed-back). Certains auteurs pensent qu’il n’y a communication que lorsqu’il y a feed-back. C’est la communication bilatérale. Elle s’établit lorsque l’émetteur et le récepteur font alterner leurs rôles. C’est ce qui se passe au cours d’une conversation courante, où l’on échange des messages. La communication unilatérale renvoie davantage à la théorie de l’information. Au sens courant du terme, l’information désigne un ensemble de renseignements concernant des faits, des personnes. Certains organismes limités par essence même à la diffusion (journaux, radio, télévision…) tentent, parfois d’établir un échange avec les destinataires, mais cela leur est permis qu’en passant par l’intermédiaire d’un nouveau canal de communication : Courrier, téléphone…
TOPCommunication sociale (ou de masse)La Communication de masse c'est 1 émetteur (ou un ensemble d'émetteurs liés entre eux) s'adressant à tous les récepteurs disponibles. Là, la compréhension est considérée comme la moins bonne, mais les récepteurs bien plus nombreux. Elle dispose rarement d'un feedback.
Ce type de communication a été conceptualisé avec l'apparition des notions de standardisation, le Fordisme, le taylorisme et la publicité...
On parle de médias de masse ou « MassMedia ». Il y a notamment la radiocommunication, la radiodiffusion et la télévision. Community (communauté virtuelle)
Il s’agit d’un groupe de personnes qui communiquent par l’intermédiaire de mails, internet, courrier, téléphone, pour des raisons professionnelles, sociales, éducatives ou autres. Le mot virtuel est employé pour signifier qu’il ne s’agit pas de communication face à face.
Certaines communautés sont purement virtuelles, d’autres se prolongent dans la réalité : le Web permet de gérer des plannings, organiser des réunions, passer des informations.
TOP Community (communauté virtuelle)Il s’agit d’un groupe de personnes qui communiquent par l’intermédiaire de mails, internet, courrier, téléphone, pour des raisons professionnelles, sociales, éducatives ou autres. Le mot virtuel est employé pour signifier qu’il ne s’agit pas de communication face à face.
Certaines communautés sont purement virtuelles, d’autres se prolongent dans la réalité : le Web permet de gérer des plannings, organiser des réunions, passer des informations.
TOP Computer-Mediated Communication (Communication par l’intermédiaire de l’ordinateur)Toute forme d’interaction humaine entre deux ou plusieurs ordinateurs en réseau. Le terme se refait traditionnellement aux communications qui se font par ordinateur (messages instantanés, e-mails, chats), mais il est aussi appliqué à d’autres formes de textes comme le texte message. La recherche sur le CMC s’intéresse largement à l’effet social des supports des nouvelles technologies de la communication. Plusieurs études récentes visent l’Internet et le réseau social.
TOP Concentration culturelleAfin de comprendre la régulation de la concentration médiatique, en Europe ou ailleurs, il faut se représenter les deux fonctions fondamentales des médias. D'un côté, les médias et les services qui y sont liés constituent des biens économiques importants, dont la signification croît dans l'ensemble pour le marché. Certes, l'utilisation des journaux comme support médiatique classique est en recul. Mais en même temps, l'utilisation de nouveaux supports augmente, au premier rang l'utilisation de l'Internet. Cela vaut notamment pour les jeunes qui passent déjà plus de temps chaque jour sur l'Internet que devant la télévision. A travers les nouveaux médias et les nouveaux modèles commerciaux diversifiés qui y sont liés s'est développé un marché des médias rapide, dynamique, avec des potentiels de bénéfice élevés. Afin de comprendre la régulation de la concentration médiatique en Europe, il faut se représenter les deux fonctions fondamentales des médias. D'un côté, les médias et les services qui y sont liés constituent des biens économiques importants, dont la signification croît dans l'ensemble pour le marché. A travers les nouveaux médias et les nouveaux modèles commerciaux diversifiés qui y sont liés s'est développé un marché des médias rapide, dynamique, avec des potentiels de bénéfice élevés.
En dehors de leur fonction de bien économique, les médias prennent aussi une part essentielle dans la vie culturelle, en particulier dans leur fonction comme facteur de prise de conscience politique. De cette dualité des médias entre « art et commerce » résultent deux fonctions différentes du contrôle de la concentration des médias qui entraînent une double orientation de ce contrôle : le contrôle de la concentration doit garantir le contrôle de la puissance économique.
TOP Convergence digitaleIl s’agit d’une série d’évolutions qui font que nous allons pouvoir accéder partout à l’ensemble de nos données numériques. Ce mouvement de fond est très largement entamé, selon un processus assez simple à décrire.
Tout d’abord, l’ordinateur à l’origine mono tâche, est devenu adaptable. Aujourd’hui, on peut presque tout faire avec un ordinateur, dès lors que les données sont numérisées ou numériques. Stocker et traiter des textes, des images, des sons, des vidéos, les publier, les envoyer….
Puis, l’ordinateur est devenu transportable. Et il ne faut pas penser ici qu’à l’acception restreinte du terme ordinateur. Nos téléphones mobiles, nos PDA, nos baladeurs numériques sont autant de formes différentes d’un ordinateur. Certains vont donc appeler leur appareil « qui se connecte » un ordinateur, d’autre un téléphone mobile, d’autres encore un PDA ou une télévision portable. Mais au fond, on parle plus ou moins de la même chose. En ce sens, la convergence est déjà là !
Ensuite, ou parallèlement, il est devenu connectable. On a de plus en plus coupé les fils qui nous reliaient au réseau, pour nous permettre un accès simple et bientôt permanent à un réseau. Que ce soit via Bluetooth ou infrarouge, via le réseau de téléphonie mobile, via WiFi ou WiMax, il nous est de plus en plus facile de nous connecter, via « l’ordinateur », quel qu’il soit.
TOP Cracker (Hacker)Un cracker est une sorte de pirate informatique spécialisé dans le cassage des protections dites de sécurité des logiciels, notamment les partagiciels (qui nécessitent des clés d'enregistrement). On trouve parfois le terme de craqueur, casseur. Le cracker a de bonnes-voire de grandes-connaissances en assembleur. Ses principaux outils sont généralement un désassembleur, un débogueur, un éditeur hexadécimal et un éditeur de texte permettant au minimum la création de macro-définition. Ces outils lui permettent de comprendre le code envoyé au processeur et par conséquent le fonctionnement de la partie du programme observée. Un cracker ayant un bon niveau écrira aussi ses propres programmes pour s'en servir comme outils dans son activité. Ces outils peuvent être génériques ou spécifiques au programme à cracker, généralement, ce sont les patchs, des programmes qui « crackent » automatiquement un programme. Les créateurs de logiciel utilisent diverses techniques pour empêcher les cracks. Dans la pratique, il n'y a pas de techniques miracles, l'éditeur de logiciel peut seulement rendre plus difficile le travail du cracker.
TOP Cyber anthropologieLes nouvelles technologies de l'information et de la communication (NTIC) apportent au débat épistémologique ou éthique sur la question de l'homme un renouveau considérable. Elles étendent le réel à de nouvelles entités (ordinateurs, traitement d'image, robots..) qui ouvrent l'homme à un dialogue avec une nouvelle réalité, avec tous les problèmes épistémologiques ou moraux que cela entraîne, tout en ancrant fortement le réel dans autre chose que la nature. Les relations entre l'Homme, la Nature et les artifices (la technologie du complexe) doivent donc être complètement repensées. De l'autre côté, les NTIC permettent une nouvelle approche de l'imaginaire et du virtuel et placent l'homme d'aujourd'hui face à un défi technologique entièrement nouveau, la présence de réalités virtuelles à côté des réalités physiques traditionnelles et qui risquent de modifier à terme son mode d'être. Les conséquences du développement de ces entités virtuelles doivent, elles aussi, être pesées par rapport à l'activité cérébrale de l'homme, à ses activités sociales et à son comportement moral.
TOP CybercultureApparu au début des années 1990, le terme cyberculture désigne à la fois un certain nombre de productions culturelles et un nouveau rapport à la culture en général, notamment par les internautes. La cyberculture succède à un certain nombre d'autres cyber termes dont elle est censée faire l'addition, tels que cyberpunk, cyberespace ou même cybernétique. Du point de vue de la production culturelle, la cyberculture englobe des œuvres très diverses présentant un lien avec les technologies de l'information: informatique et réseaux.
TOP CybernauteCelui qui navigue sur Internet.
TOP Cyber society (Cyber société)Il s’agit de la maille (Espace ou réalité virtuelle) de communications créées par le World Wide Network par les usagers de l’ordinateur. D’une part, le terme s’applique à tout programme d’informatique, tel qu’il se trouve dans le cas du bureau d’automation, et d’autre part, indique les technologies de télécommunications (par exemple fax ou vidéo conférence), l’intégration multimédia de presque toutes les technologies de la communication.
TOP CyberspaceDésigne le monde cybernétique ou virtuel, dans lequel on se plonge lorsqu'on touche à Internet.
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