Drame en quatre actes d'Anton tchékhov







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Je suis une mouette», elle repart comme elle est arrivée. Abattu, Tréplev déchire son manuscrit avant de quitter la pièce en silence.

Le groupe des autres rentre, et reprend sa partie de loto. Chamraïev sort d'une armoire le corps de la mouette qu'il a empaillée à la demande de Trigorine auquel il l'offre. Mais il la refuse, disant ne se souvenir ni de son souhait, ni de la signification de ce symbole.

On entend un coup de feu. Le docteur Dorn sort s’enquérir de ce qui s’est passé. Il revient, et attribue le bruit à l'explosion d'une bouteille d'éther dans sa trousse. Mais il demande à Trigorine de faire sortir Arkadina, avant d'annoncer que Tréplev vient de se tuer.
Analyse
Genèse
''La mouette'' fut inspirée à Tchékhov par la mésaventure vécue par une de ses amies, Lidia Stakhievna Mizinova, dite «Lika», qu'il avait rencontrée en 1889, alors qu'elle était une jeune fille de dix-neuf ans, qu'elle était professeuse et voulait devenir cantatrice, et dont les contemporains vantaient la beauté tout à fait exceptionnelle. Elle l'avait aimé, mais il ne s'était pas décidé à lier sa vie à la sienne. Pendant des années, elle allait, dans des lettres, exprimer son amour malheureux. Enfin, elle s'éprit d'un autre, un homme de lettres bien connu à l'époque, Ignati Potapenko, lui aussi un ami de Tchékhov, un homme marié qui allait l'abandonner alors qu'elle avait un enfant de lui, trois ans avant que ne soit écrite la pièce.

D'autre part, le personnage de l'actrice Arkadina présente des ressemblances avec la femme de Potapenko, et avec une artiste du nom de Yavorskaïa. Les paroles, qu'elle prononce, dans la scène où, à genoux devant Trigorine, elle le supplie de ne pas la quitter pour Nina, sont du vocabulaire même de Yavorskaïa, ou plutôt d'un rôle qu'elle jouait, et, ces mots («Mon unique, mon extraordinaire, mon divin»), elle les disait aussi à Tchékhov quand il venait la voir, et qu'elle se jetait à ses pieds.
Il faut ajouter une anecdote qu'on trouve dans la correspondance de Tchékhov. Le 8 avril 1892, à Mélikhovo, lui et Lévitan étaient allés à la chasse. Lévitan avait blessé à l'aile une bécassine qui était tombée à ses pieds. «Un nez très long, de grands yeux noirs, une robe somptueuse. Et ce regard, tout étonné. Qu’est-ce qu’on pouvait faire? Lévitan grimace, il ferme les yeux, et il me demande, d’une voix tremblante : “Mon vieux, flanque-lui un coup de crosse sur le crâne...” Moi, je lui dis : “Je ne peux pas.” Lui, il continue à hausser les épaules d’un air nerveux, d’agiter la tête, et il insiste. Et la bécassine, toujours le même regard étonné. Il a fallu obéir à Lévitan et la tuer. Voilà une charmante créature amoureuse de moins dans l'univers, tandis que deux imbéciles rentraient à la maison et se mettaient à table pour dîner...» Les réactions de Tchékhov et de Lévitan annonçaient celles de Tréplev qui tue l'oiseau, de Nina qui le repousse, de Trigorine qui demande qu'il soit empaillé puis le refuse.

Mais Tchékhov changea l’oiseau des bois en oiseau de l’eau, en mouette, à cause de sa blancheur (qui suggère l'idée de pureté) et de son nom qui est évocateur en russe. On pourrait, en effet, s'étonner qu'il ait choisi cet oiseau côtier qui se manifeste très bruyamment, son cri étant aigu et particulièrement discordant («kouarr, kriièh, kouêk»), et se montre désagréable par son comportement opportuniste qui lui fait poursuivre les bateaux et hanter les plages pour se jeter sur toute nourriture à sa portée. Mais il est désigné en russe par le mot «tchaïka», qui est proche du verbe «tchaïat’», qui signifie «espérer vaguement». La mouette suggèrerait donc en russe les idées d’espoir fragile, d'attente de l'avenir, de besoin d'illusion, avec risque de déception, de désillusion
En juillet 1895, il s'était rendu auprès de Lévitan qui, à la suite d’une aventure amoureuse partagée entre une mère et sa fille, incapable d’une décision, traversant une dépression sévère, s'était tiré une balle dans la tête sans réussir à se tuer, tel Tréplev.
Vers cette époque, lui fut adressé un médaillon anonyme qui contenait ces mots : «Si un jour tu as besoin de ma vie, viens et prends-la». On allait le retrouver dans ''La mouette''.

Enfin, le personnage de l’instituteur paraissait directement inspiré de son engagement personnel pour l’école de Mélikhovo dont il avait dessiné lui-même les plans.
Ainsi, dans une moindre mesure toutefois que ''Platonov'' et ''Ivanov'', ''La mouette'' est donc une pièce qui est nourrie d'éléments autobiographiques. De ce fait, d'ailleurs, elle n’enthousiasmait pas son entourage qui y reconnaissait trop facilement des faits et des personnages réels.
Mais, surtout, la pièce fut, de la part de ce grand admirateur de Shakespeare, conçue sur le modèle de ''Hamlet'', comme le montra le metteur en scène français et traducteur de la pièce, Antoine Vitez. En effet, dans ''La modernité même'', il indiqua : «Dans cette oeuvre contemporaine des premières découvertes de Freud, les grandes et les petites actions permutent sans cesse, la tragédie peut se tenir dans la cuisine ou entre des meubles ou des préoccupations ordinaires ; et inversement les actions quotidiennes peuvent atteindre à la nudité de la tragédie classique. Il y a une sorte de retournement, un refus de l’ancienne ''noblesse des styles''. Que les grandes figures mythologiques ne sont pas éloignées de nous mais en nous, c’est ce qu’a magnifiquement montré Freud : OEdipe, Hamlet sont à portée de notre main, nous portons en nous-mêmes et au coeur de nos actions les plus banales toute la tragédie du monde. [...] Nous avons l’impression que notre vie quotidienne est minable par rapport aux grands mythes passés. Mais ils sont notre vie même. Les schémas, les figures sont les mêmes, et cela l’oeuvre de Tchékhov le dit : la présence de Shakespeare dans son oeuvre l’atteste, et par exemple ce fait que ''La mouette'' est une vaste paraphrase de Hamlet.» Tréplev n'est-il pas un nouvel Hamlet, Arkadina, une nouvelle Gertrude, Trigorine (qui, sans être marié avec Arkadina, est en quelque sorte le «beau-père» de Tréplev), un nouveau Claudius, Nina (qui est très attirée par l’eau), une nouvelle Ophélie guettée par la folie? La vie de domaine que mènent les personnages de la pièce ne rappelle-t-elle pas étrangement la vie au château d’Elseneur, car, tout autant que dans le royaume de Danemark, il y a «quelque chose de pourri» sur les rives du «lac enchanté» de ''La mouette''?

Il faut signaler qu'en Russie, en ce temps-là, on appelait des Hamlet les anciens romantiques qui s'étaient mués en ratiocineurs stériles et égocentriques, obsédés d’introspection.

Tchékhov ne dissimula pas son inspiration, exhiba même ce sous-texte par un collage de citations :

- Au début de l’acte I, quand Arkadina entre en scène pour assister à la représentation de la pièce de son fils (situation qu'on trouve aussi dans ''Hamlet''), elle l'apostrophe en employant les paroles mêmes de la reine Gertrude : «Mon fils ! Tu m’as fait voir jusqu’au fond de mon âme, et j’y ai vu de si sanglants ulcères, de si mortels, qu’il n’est point de salut

- Tréplev lui répond par la réplique d’Hamlet : «Et pourquoi donc t’être livrée au vice, cherchant l’amour dans le gouffre du crime?», mots qui disent très clairement l’objet de sa souffrance.

- La représentation théâtrale qu'il a organisée et qu'il offre à Trigorine et à Arkadina confirme la parenté de ''La mouette'' avec ''Hamlet'' : si le héros de Shakespeare souhaitait par sa pièce «tendre un piège à la conscience», Tréplev entend bien prouver aux yeux de tous son «talent», sa supériorité artistique sur Trigorine, et ainsi reconquérir l’amour de sa mère. Tout comme Hamlet qui observe attentivement le roi, il guette les réactions de ses spectateurs, et, comme Hamlet, ressent de tout son être leur hostilité. Lorsque, exaspéré, il pousse le cri : «Rideau !», Arkadina comprend enfin que «ce n’est pas pour plaisanter que [son fils] a organisé cette représentation et fait brûler du soufre.» Mais il l'a fait en vain : c’est sur lui que se referme «la souricière», autre emprunt à ''Hamlet'' et qui est une des scènes cruciales de la tragédie.

- À l'acte II, à la vue de Trigorine qui s’avance en lisant, Tréplev déclare : «Voici un vrai talent. Il a une démarche à la Hamlet et, comme lui, il tient un livre.» Puis il se moque de lui en citant Shakespeare : «Des mots… des mots… des mots…»

- La fin de l’acte III est calquée sur la scène 3 de l’acte IV de ''Hamlet'' : Tréplev adresse à sa mère les mêmes reproches qu'Hamlet, considérant que Trigorine est bien l’usurpateur qui lui vole à la fois sa mère, la femme qu’il aime (Nina) et la reconnaissance artistique. En amour comme en art, Trigorine, parce qu’Arkadina l’a mis dans son lit, est celui qui le castre.

- La même pointe empoisonnée qui a fait mourir Hamlet fait mourir Tréplev. De même qu'aucune issue n’existait à Elseneur pour qu’Hamlet pût échapper à la tragique ambiance du château danois, aucune issue ne s’offrait à Tréplev, qui lui aurait permis de s’arracher à «la nuit russe».
Ainsi Tchékhov invitait indirectement à chercher dans ''La mouette'' un aspect plus profond que ce que présente à première vue son réalisme élémentaire.
Intérêt de l'action
Tchékhov sous-titra sa pièce «comédie», mais elle apparaît, au fur et à mesure de son déroulement, comme une comédie vraiment atypique, une triste comédie de mœurs, où les répliques sont tantôt tristes, tantôt comiques, où le mélange des deux registres est constant. Finalement, elle apparaît bien être un drame. Et on peut même considérer que c'est sous un éclairage tragique qu'il présenta cette histoire cruelle. En effet, il noua, comme Racine dans ''Andromaque'', une chaîne d'amours contrariées (Medvédenko aime Macha, qui aime Tréplev, qui aime Nina, qui aime Trigorine, lui-même aimé par Arkadina, elle-même adulée par Dorn, lui-même aimé par Paulina qui se détache de Chamraïev) ; voulut que les deux âmes soeurs que sont Tréplev et Nina se perdent douloureusement ; conduisit Tréplev, qui est dominé par le sentiment d’être condamné, à déclencher, au bout de sa solitude, le pur éclat de la violence ; montra l'agonie à la fois d'un amour, d'une maison, d'une société.
Tchékhov y consomma sa rupture avec une construction dramatique traditionnelle. Dans une lettre à son ami Souvorine, du 21 octobre 1895, il indiqua : «Je suis en train de rédiger une pièce […] Cela me procure un certain plaisir, bien que j'y maltraite affreusement les règles de la scène. C’est une comédie avec trois rôles féminins, six rôles masculins, quelques événements, quatre actes, un paysage (vue sur le lac), beaucoup de discussions sur la littérature, peu d’action et des tonnes d’amour.» Dans une autre lettre au même Souvorine, du 21 novembre 1895, il ajouta : «Au rebours de toutes les règles de I'art dramatique, j'ai commencé ma pièce forte et l'ai achevée pianissimo [...] J'en suis plus mécontent que satisfait. L’ayant lue d’un bout à l’autre, je dois me rendre à l’évidence : je ne suis pas un auteur dramatique

En effet, sa troisième grande pièce n'est pas très «scénique», même si les décors sont très importants (le lac, le petit théâtre..., Stanislavski allant d'ailleurs s'inspirer de toiles de Lévitan), même s'il prit bien soin de les décrire en détail au début de chacun des quatre actes. Cependant, si, dès le début, tout est en place (le conflit des générations, I'amour du théâtre et de la littérature, les inclinaisons et les tensions qui vont nouer I'action et le drame), s'il établit un jeu des doubles (l'écrivain pur et l'écrivain arrivé, la jeune actrice amoureuse et la grande actrice narcissique, le jeune homme délaissé et la jeune fille qui aime en silence), il n'établit pas vraiment de lien entre les rencontres, qui se succèdent comme des numéros de cirque ; il s'y abandonna à d'interminables répliques, à de longs monologues ; il n'y ménagea pas de véritable montée dramatique, la tension émanant de l'opposition des visions, des ambitions et des pulsions des personnages, dont la plupart sont des êtres voués à la médiocrité, un peu ridicules et conscients de l'être, qui passent leur temps à manger, boire, priser du tabac, jouer au loto, parler (argent, littérature, théâtre), des gens désoeuvrés dont les drames sont de faux drames même s'ils prennent des proportions tragiques. Et Tréplev meurt presque sans bruit.

Mais Tchékhov multiplia les didascalies, ce qui prouve sa préoccupation pour des détails précis de mise en scène. Il conféra aux silences et aux sous-entendus d’un dialogue apparemment chargé de banalités une profondeur psychologique nouvelle.

Surtout, il plaça du théâtre dans le théâtre, avec la pièce de Tréplev dont des extraits sont joués à trois reprises (à l’acte I devant l’ensemble des pensionnaires du domaine de Sorine ; à l’acte II à la demande de Macha puis à l’acte IV), dans laquelle on peut voir une mise en abyme car le jeune auteur y énonce les thèmes essentiels de la pièce de Tchékhov mais sans qu'on puisse bien s’en rendre compte, car elle n'est pas claire, et est un échec. On trouve aussi le théâtre dans le théâtre dans la manière dont certains personnages, surtout Arkadina, sont en permanente représentation.
D'autre part, si, dans un texte plus littéraire que théâtral, qui comporte de longs monologues, les mêmes éclats verbaux, les mêmes paroxysmes passionnels que dans ''Ivanov'' (ils allaient disparaître tout à fait d'''Oncle Vania’’ et surtout des ''Trois soeurs'' et de ''La cerisaie''), il exalta la vie quotidienne sous son aspect le plus humain, il amalgama cependant au réalisme du symbolisme, en donnant à Nina le nom de Zaretchnaïa qui veut dire «celle qui vit au-delà de la rivière», tandis que Tréplev signifie «celui qui frémit comme une feuille» ; en faisant se détacher sur la tristesse polyphonique le symbole qu'est la mouette, qui est évoqué à plusieurs reprises, mais avec une telle fluidité que personne n'a jamais reproché à Tchékhov d'avoir ainsi souligné le sens de sa pièce.
Intérêt documentaire
Les personnages de ''La mouette'' sont typiques d'une certaine société russe de la fin du XIXe siècle, dont ils représentent différentes classes.
En effet, on trouve :

- deux domestiques ;

- un intendant, Ilia Afanasiévitch Chamraïev, lieutenant à la retraite, homme despotique et intransigeant ; sa femme, Paulina, et sa fille, Macha ;

- l'instituteur Sémion Sémionovitch Medvédenko, qui est un membre de l'«intelligentsia» [«la classe des intellectuels dans la Russie tsariste»] quelque peu pédant (il ne dit pas à Macha ; «Je ne trouve en vous qu'indifférence» [mot qui serait «ravnodouchié»], mais «Je ne trouve en vous qu'indifférentisme» [«indiferentism», mot calqué sur le français), qui, se sentant dévalorisé du fait de sa situation sociale, insiste sur son faible salaire, et se montre d'autant plus gauche, lourdaud, emprunté (son nom évoque l'ours) ;

- l'habituel médecin des pièces de Tchékhov qui est ici Evguéni Serguéévitch Dorn, qui, même s'il est à la retraite, veille sur la santé des membres de cette petite société ;

- des artistes, les uns jouissant du succès (Arkadina, Trigorine), les autres végétant (Nina et même Tréplev, qui appartient à la bourgeoisie mais est victime de l'avarice de sa mère, qui appartient aussi à cette fraction de l'«intelligentsia» qui stagnait dans une incertitude découragée, et approchait de son inéluctable fin) ;

- un ancien haut fonctionnaire (il fut conseiller d'État), Piotr Nikolaïevitch Sorine, le propriétaire du domaine.
On remarque aussi que Tchékhov présenta quatre personnages féminins. Trois de ces femmes sont malheureuses, mariées à des hommes qu'elles n'aiment pas, et / ou vivent des amours impossibles. L'une d'elles, Nina, est tout d'abord épaulée par la complicité d’un homme qui permet son départ. Puis elle se voit refuser l’entrée dans la propriété de ses parents défendue par des gardes parce qu’elle a eu pour amant Trigorine et qu’elle a eu un enfant hors mariage, le concept de femme déchue étant très prégnant à l'époque en Europe. Si le code de la famille punissait les relations adultérines, la société restait très bienveillante à l’égard des hommes, les juges fermant bien souvent les yeux dès qu’il s’agissait d’incartades qui n’entraînaient en rien la bienséance. Mais elle ne tenait pas le même langage dès qu’il s’agissait des femmes ou des jeunes filles très vite mises à son ban en de tels cas. Cette injustice de la société choquait au plus haut point Tchékhov qui mit souvent en scène des femmes adultères sans émettre l’ombre d’un reproche à leur égard. Au contraire de tous les autres écrivains, il avançait que l’adultère, qu’il ne considérait pas cependant comme une thérapie sociale, est un moyen de se libérer de liens devenus soudain trop lourds, de faire une prise de conscience qui mène à la connaissance, et permet de tourner le dos à un monde de mensonges pour atteindre sa vérité. L’adultère était pour lui la manifestation de la lutte d’un être contre une logique d’enfermement, synonyme de mort psychologique, une bataille pour essayer d’exister et, par là même, vivre.

Il a donc très bien représenté les conditions de vie de la majorité des femmes à cette époque.
Il avait annoncé que, dans sa pièce, «
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