Andorre d’après Greg, Petra Heberle séjourne en Andorre en 2008 autriche







télécharger 391.88 Kb.
titreAndorre d’après Greg, Petra Heberle séjourne en Andorre en 2008 autriche
page1/16
date de publication20.02.2017
taille391.88 Kb.
typeDocumentos
a.21-bal.com > loi > Documentos
  1   2   3   4   5   6   7   8   9   ...   16

Les Héberlé dans le Monde

Rest of Europe

Europe excluding France, Germany

ANDORRE



D’après Greg, Petra Heberle séjourne en Andorre en 2008

AUTRICHE



L'Autriche actuelle est composée par les anciennes marches d'Autriche, c'est-à-dire, par des régions de colonisation germanique ou plus exactement bavaroise; aussi la population autrichienne a-t-elle un berceau commun culturel et linguistique (la langue autrichienne est l'allemand mais elle a gardé son individualité propre car elle s'est transformée et enrichie au contact des langues tchèque, hongroise et italienne).
Dans les pays qui ont constitué l'Autriche, comme dans le reste de l'Europe, plusieurs peuples se sont succédé qui y ont fait des établissements plus ou moins durables (Celtes, Germains, Romains, Ostrogoths, Huns). La fin du VII° siècle marque le moment de la plus grande extension des Slaves vers l'Ouest. Leur domaine comprend alors la plus grande partie de ce qui sera plus tard la monarchie autrichienne, et déborde même au-delà. Mais par le double effet de la poussée des Allemands vers l'Est (VIII°), de l'établissement des Magyars en Hongrie (IX°), ce domaine se trouve finalement morcelé. Les peuples slaves qui sont devenus par la suite, les sujets de l'Autriche, se sont trouvés, depuis lors, partagés en deux groupes : au nord, les Tchèques, les Moraves, les Slovaques; au sud, les Serbes, les Croates, les Slovènes.
La marche, ou margraviat d'Autriche (en allemand Oesterreich, littéralement royaume de l'Est) a été créée par Charlemagne à la fin du VIII° s. après la destruction de la domination des Avars. Un moment hongroise, puis bavaroise, le margraviat passe aux mains des Habsbourg en 1273. L'Autriche devient une République le 12 novembre 1918, est annexée par Hitler au Reich (Anschluss) pour retrouver son indépendance le 14 mai 1945.

Le patronyme « Heberle » ne semble guère courant en Autriche.
Antoine HEBERLE naquit en Autriche vers 1780 ; au début du XIX° siècle, il vécut à Vienne où il inventa le « Csaka » instrument de musique à clavier. Il était compositeur de musique, notamment pour la flûte traversière (deux concerti et autres compositions). Son premier concert a été relevé en juillet 1806 (Leipzig) et sa dernière apparition connue date de mai 1816 (Hongrie). Entre ces deux dates, il passa la majeure partie de sa vie à Vienne, où son œuvre fut imprimée (Editions Chemische Druckerey). Il composa entre autres, des oeuvres pour la csaka ou flûte douce, 13 "Ländler" pour flûte à bec, 8 volumes de marches légères, une fantaisie, des sonates. Il écrivit également 2 volumes de petits duos, un concertino (trio de cordes et 2 cors) et quelques variations (quatuor de cordes et 2 cors). Il est possible qu’il ait quitté Vienne vers 1812 pour s’établir en Hongrie. Ses dates et lieux de naissance et de décès sont toujours inconnues. Il excellait à la flûte, au csaka, au flageolet et autres instruments à vent. Sa meilleure biographie est celle que lui consacra Marianne Betz dans « Der Csakan und seine Musik : Wiener Musikleben im frühen 19. Jahrhundert, dargestellt am Beispiel einer Spazierstockblockflöte (Tutzing, Hans Schneider, 1992)

Certaines de ses œuvres telles la « Sonate Brillante » (pour flûte à bec) qui date de 1811, son concerto in G ou le Trio Sine Nomine figurent encore aujourd’hui au programme de nombreux conservatoires français.

Anton Heberle était membre de la loge maçonnique "Illyrian – Les Amis du Roi de Rome et de Napoléon" – Il est cité comme apprenti sur la dernière liste publiée le 26 juin 1813 et conservée aux archives du "Grand Orient de France" à Paris.
Il existe en fait peu de données concernant son existence. D’après les dernières recherches (2010), il aurait vécu à Vienne de 1807 à 1811. Vers 1812 il se serait installé en Hongrie et en 1813 il serait effectivement devenu membre d’une loge maçonnique à Ljubljana. Son dernier concert, en 1816, eut probablement lieu en Hongrie, à Veszprem
A noter également, que la danseuse de ballet Thérèse HEBERLE, décédée le 05.02.1840 à Naples, était née à Vienne le 25.10.1805. Elle a donné des représentations en Autriche, à Londres, Turin (1824) et Naples (1833). Formée par Frederick Horschelt, elle avait fait ses débuts à Vienne entre 1816 et 1821(Horscheltschen Kinderballett) sous la direction de Friedrich Horschelt. Après une saison à l'Opéra Royal Italien puis dans une compagnie basée à Londres, elle passa le reste de sa carrière à la Scala de Milan. Parmi ses rôles : "La Silfide" (Louis Henry 1828), "Le Due Zie" (Jean Aumer 1825), "Danina" (Filippo Taglioni 1826), "Daphnis et Cephise" , " La Statue di Venere  " (Giovanni Coralli 1825). Elle avait souvent commer partenaire Jean Rozier. C’est peut-être une descendante d’Antoine.
voir Therese et Tereza (Italie)
Ci-dessus : affiche annonçant le spectacle "Daphnis et Cephise" avec Thérèse Héberlé – Lithographie de R. Ackermann 1832
Le 1° janvier 1845, décède à Vienne, l'artisan Joseph HEBERLE, né à Langeneck vers 1779, époux d' Anna née Schlager. Johanna Anchenburger, veuve HEBERLE, y meurt le 28 mai 1845.

La même année, toujours dans la capitale de l'Autriche, le 11 septembre, est enregistré le décès de Johann Gottfried HEBERLE, originaire de Suisse et plus précisement de Sanfruer. Encore en 1845, le 5 décembre, décès à Vienne, d' Ernest HEBERLE, époux d' Anna Marnbocher; il était né vers 1813 à Gratzer, Druchtbohann.
La capitale, Vienne, comptait au cours du XIX° siècle d'autres Heberle parmi ses habitants, parmi lesquels on a pu retrouvé la trace de :

Johann HEBERLE, décédé à Vienne le 15.02.1843

Anton HEBERLE, décédé à Vienne le 07.02.1843

Carolina HEBERLE, décédée à Vienne le 02.02.1856

Josef HEBERLE, décédé à Vienne le 21.07.1856

Peter HEBERLE, né vers 1811 et décédé le 13.12.1856 à Vienne

Hermine HEBERLE , décédée le 25.01.1858 à Vienne

Josef HEBERLE, né vers 1784 et décédé à Vienne le 05.11.1858

Michael HEBERLE, tailleur, né vers 1796 et décédé à Vienne le 25.07.1860

Thomas HEBELE, né vers 1836 et décédé à Vienne le 12.02.1861

Johanna HEBERLE, née en 1862, décède en bas-âge en septembre 1863

Josef HEBERLE, né vers 1838, est recensé à Vienne en 1869

Maria Ehrlieh, épouse HEBERLE, décédée à Vienne le 02.07.1859

Marie Lader, épouse HEBERLE, décédée à Vienne le 06.04.1855
Dècès à Vienne, le 20 septembre 1851, de Maria HEBERLE, née en 1849. Elle était la fille d' Antonia HEBERLE

En 1853, le 27 mai, toujours à Vienne, décède Aloisia HEBERLE; décédée en bas âge, il semblerait qu'elle soit née également en 1853

Maria HEBERLE, fille du tailleur HEBERLE décède dans la capitale autrichienne le 29.04.1869, à l'âge de 7 ans. Le 19.04.1870, encore à Vienne, on déplore le décès en bas-âge d' Anna HEBERLE, fille de Crezenz HEBERLE. D'autres décès d'enfants en bas-âge sont encore enregistrés en 1863 ( Johanna HEBERLE, fille de Josef HEBERLE qui est encore cité à Vienne en 1869, en septembre) et 1866 (Heinrich HEBERLE, fils de Georg HEBERLE, le 16 novembre)

Vers 1876/1877, dans la localité de Furnitz, en Carinthie, Klara HEBERLE / HEBEIN épouse Lukas Fatzi. Il semblerait qu'à cette date, son père (prénom inconnu) soit déjà décédé. Sa mère se prénommait Gertrud

Mihaly HEBERLE, né vers 1885 dans ce qui était alors l'Autriche-Hongrie (.partie hongroise), compte parmi les victimes de la 1° Guerre Mondiale; il est tombé le 06.10.1914 à Kosice en Slovaquie. Parmi les émigrés vers les Etats Unis (entre 1893 et 1903) figurent également des Héberlé d'Autriche-Hongrie. Josefa Katharina Häberle, fille de Linhard Heberle et de Katharina Drs est baptisée à Vienne le 05.08.1885. Son père, originaire de Wolleen (Tchéquie) décède à Vienne en 1937
Joseph et Marie Heberle, nés respectivement en 1894 et 1888, quelque part en Autriche, émigrent aux Etats Unis entre 1907 et 1909. Ils sont recensés en 1920 dans le Wisconsin, à Milwaukee. Zäzilia/Caecilia Heberle, en religion Sœur Gertrudis, originaire d’Altusried, faisait partie de la communauté religieuse du couvent de Gars am Kamp , dans les environs de Horn. Egalement originaire d'Altusried, Barbara Heberle est religieuse dans un couvent à Zams vers 1900.
En 1911, six membres d’une famille Héberlé , originaire de Sotschize, dans le Tyrol, quittent l’Autriche pour s’installer en Slovénie, à Jereko. Louis HEBERLE (Dambach la Ville) figure parmi les nombreuses victimes de la 2° Guerre Mondiale. Il meurt au champ d’Honneur près de Goetzendorf.

C’est dans le tristement célèbre camp de Mauthausen /Gusen que meurt Johann HEBERLE, le 04.03.1945 ; il était né le 24.12.1893 à Mlina.

Paul HEBERLE (* 15.05.1898) vécut dans les environs d’Innsbruck vers 1914
Pendant la 2° Guerre Mondiale, Emil HEBERLE (* 22.08.1884) est arrêté à Vienne en 1940. Son lieu de naissance et le motif de son arrestation ne sont pas connus)
Parmi nos contemporains, relevons : Engelbert HEBERLE (et son épouse Margarete ?), demeurant à 1010 Vienne, Mexikokopf 25/1 (puis Holbeing 8, 1100 Vienne) ainsi que Heinz HEBERLE, auteur d’un mémoire sur l’emploi, publié à Vienne en 1960. Frank HEBERLE habitait quant à lui, à Ellmau (Au 3) en 1996 alors qu’un Walter HEBERLE (& Herta) était enregistré dans la ville de Linz (Gluckstrasse 5, A 4020 Linz) dans la même année. U HEBERLE co-édite,en 1995, avec d’autres membres de l’Univeristé de Vienne, un article relatif aux traitements donnés aux patients atteints du cancer du sein. Michaela HEBERLE représente l’Autriche aux Jeux Gay d’Amsterdam en 1997/98 (Arts martiaux, ceinture noire, féminines 35-40 ans). Hermann HEBERLE habite à Schwoich (Dorf 53, 6330 Schwoich) et Zlatko HEBERLE demeure Verdag 17 à Klagenfurt. Jennifer HEBERLE, née le 1° janvier 1987, joueuse de volley-ball, habite dansla cité de Hallein en 2007.


Depuis environ 1970, le Dr Erwin Heberle-Bors, né en Allemagne, vit et travaille à Vienne (Voir Hunsrück, Rhénanie Palatinat). En 2001, Le clergé autrichien compterait parmi ses membres, Bruno Vicente Heberle, né vers 1953 en Argentine, qui fait partie de l’une des branches brésiliennes. Bruno, missionnaire, membre des "Misioneros del Verbo Divino" d'Argentine habite à St Lorenzen im Murztal (A-8642), Steuler Missionare, Pfarrhof, Hauptstrasse 3.

Alexander HEBERLE est repéré sur Internet en Autriche en 2010
En 2011, Klaus Peter Heberle (Altusried) travaille pour Micronas Villach Halbleiterungsentwicklung Gmbh à St Magdalen dont il est l’un des directeurs.

Notes : Vers la fin du XVIII° siècle, alors que l'intérêt pour la flûte à bec déclinait, un nouvel instrument, le Csakan, originaire de Hongrie, qui avait à l'origine la forme d'une canne, se démocratisait peu à peu. Comme son prédécesseur, il possédait sept trous à l'avant ainsi qu'un trou pour le pouce et était tout d'abord sans languettes. La note de base était (presque) toujours l' As, sa gamme s'étendait sur deux octaves.
Le csakan, en fait un instrument à touches, est apparu vers 1807 et a probablement été créé par Anton Heberle. A l'origine, cet instrument comprenait une touche en d# (comme sur la flûte traversière) et possédait une gamme de 2 octaves et une cinquième transmission à la notation c'-g" mais dont le son correspondait à ab'-eb". Vers 1815, on lui ajouta jusqu'à 13 touches, ainsi qu'un dispositif pour rétrécir le trou du pouce. Aux environs de 1820, les fabricants fournirent des caskans construits sur le modèle d'autres instruments à vent comme le haut-bois et la clarinette. Ces csakans avaient des touches eng#, f, f#, bb, a, b/c (trille) , basse d# et c#.
Les principaux constructeurs de csakans étaient à l'époque les maisons Hell, Kämpffe, Stephans Koch, Franz Schöllnast, Johann Ziegler et Julius Heinrich Zimmermann. Koehler, Koch, Krähmer et Barth étaient, quant à eux, les principaux éditeurs des œuvres et notices d'emploi.
Le csakan continua à être joué jusqu'au début du XX° siècle comme le prouvent Koehler (1880) et Barth (1910). A cette époque, c'éatit devenu un instrument en C, avec ou sans touches. L'édition 1899 du cataloque du fabricant d'instrul=ments de musique de Leipzig, Julius Heinrich Zimmermann, mentionne des csakans sans touches, à 1 ou 6 touches. Leur catalogue 1905 comprend toute une gamme de flûtes à bec SATB dans différentes versions : soprano, alto, ténor ou basse. Ainsi, il existait déjà une tradition pour la construction de ces instruments bien avant leur redécouverte supposée.
La redécouverte du Csakan eut lieu en 1969 grâce à une œuvre d'Antoine Heberle, la "Sonate brillante". En 1974, Hermann Moeck y apportait de plus amples informations dans sa publication "Spazierstockinstrumente, Czakan und Flageolette". Un autre ouvrage important a été publié par Marianna Betz en 1992 "Der csakan und seine Musik". A ce jour, on a découvert quelques 400 morceaux pour csakan solo, duo ou orchestres ; il ne s'agit pas toujours d'œuvres de maîtres. L'instrument idéal pour exécuter ces opus reste naturellement la csakan lui-même, mais comme il ne se trouve que très difficilement en bon état, la solution de remplacement est tout simplement une flûte à bec, en As.
30 ans après sa remise au goût du jour, force est de constater que les œuvres pour csakan ne représentent qu'une faible partie du répertoire dédié aux instruments apparentés à la flûte à bec. L'opinion publique considère d'ailleurs généralement que les œuvres pour le csakan sont de qualité inférieure.
Voir aussi l'anecdote figurant à la fin de la branche du Brésil

  1   2   3   4   5   6   7   8   9   ...   16

similaire:

Andorre d’après Greg, Petra Heberle séjourne en Andorre en 2008 autriche iconProgramme : Spectacle en deux parties avec entracte, suivit d’un cocktail
«Voisinages» ou encore en 2008, «u turn» co-signée avec Jérôme Marchand; en 2010 «Rossignols»; en 2012, «Ichi Ni San» et «Kodama»....

Andorre d’après Greg, Petra Heberle séjourne en Andorre en 2008 autriche iconTalents du luxe et de la creation 2008

Andorre d’après Greg, Petra Heberle séjourne en Andorre en 2008 autriche iconResultats de la vente du patrimoine artistique lu du 11 novembre 2007 Ordre
«La tradition du futur» Poster d'après une aquarelle de Jean-Michel Folon représentant un «Petit Beurre» sous forme de fenêtre ouvrant...

Andorre d’après Greg, Petra Heberle séjourne en Andorre en 2008 autriche iconPrintemps des arts et de la Culture 2008-09

Andorre d’après Greg, Petra Heberle séjourne en Andorre en 2008 autriche icon2008 : “ Recherche nouveaux marchés… Désespérément ! ”

Andorre d’après Greg, Petra Heberle séjourne en Andorre en 2008 autriche iconCompétences du socle commun : Programmes de 2008

Andorre d’après Greg, Petra Heberle séjourne en Andorre en 2008 autriche iconSection : mart 1 Année : 2007/2008

Andorre d’après Greg, Petra Heberle séjourne en Andorre en 2008 autriche icon2008-09 Enseignante niveau débutant, élémentaire, intermédiaire et adulte

Andorre d’après Greg, Petra Heberle séjourne en Andorre en 2008 autriche icon2008 Le Reve de Kemov, Galerie Eric Mircher, Paris 2007

Andorre d’après Greg, Petra Heberle séjourne en Andorre en 2008 autriche iconBessan (34) 1er 9 Février 2008 1° Setmana Occitana
«Vie de Jacques le Conquérant, Seigneur de Montpellier» par la troupe «Les Baladins de l’Histoire»







Tous droits réservés. Copyright © 2016
contacts
a.21-bal.com