Histoire des missions en Chine des Auxiliatrices
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1934 Plusieurs améliorations continuent à la rentrée : salles de sciences : physique et chimie, et de biologie, etc. sont agrandies. On met des pupitres modernes dans plusieurs classes. Les tables sont cédées à l'école de la Nativité, à l'école externe, à celle de Mère Louise. En Février 1934, le coin de l'ancienne buanderie est transformé en menuiserie. A côté, un grand portail en fer est posé pour remplacer le "li-po" de bambou qui forme le passage entre l'Etoile et Zang-tsé-mou-yeu (Notre-Dame). En Mars, sur les instances du Bureau d'Education, début d'un cinéma éducatif ... Faute de sujets bien préparés, mal éclairés, le zèle diminue, et peu à peu les séances du mercredi cessent. Le premier Mai, visite détaillée de Monsieur Dou, membre influent du Bureau d'Education. Il trouve les écoles catholiques "très bien, mais pas assez de sports"... de relations avec le dehors." Visite au Collège également... on tend à venir le lundi pour faire un petit discours, car Suen-ven est mort un lundi Le 12, visite toute différente... Son Excellence Monseigneur Zanin, Délégué Apostolique, parcourt l'Etoile et dit en terminant : "Quelle belle œuvre de pénétration ! ". Il s'intéresse à tout. En cette même date, le Bureau autorise que le Siao-ye (cours élémentaire) de l'école de la Sainte Famille à Sinia "Zao-teh", soit considéré comme étant celui de Hi-ming, ce qui permet à l'Etoile, école secondaire de n'avoir plus les 4 premières années, selon le désir du Révérend Père Henry, Recteur. Distribution des prix solennelle, présidée par Monseigneur Haouisée et le Maire de Shanghai Ou-té-cheng, lequel fait un discours donnant une appréciation louangeuse sur le concours apporté par l'Eglise Catholique à l'éducation de la jeunesse en Chine. Rafraîchissement au parloir pour les autorités. En Septembre, à la rentrée, on constate une légère diminution du nombre des élèves, mais c'est logique car premièrement nous ne recevons plus le cours élémentaire "tsou-teng" et secondement l'école Hio-ming, de Saint Joseph, acceptant des externes, plusieurs élèves préfèrent y étudier, mais ne sommes- nous pas de la même famille ? En Avril, pour le 50ème anniversaire de Tsang-kia-za, souscription pour lui offrir des avions. L'Etoile a réuni 754 dollars. 1935 Le 9 Avril, réception de Monseigneur Haouisée à l'Etoile. Visite complète... Réception à la grande salle d'étude : adresses en chinois par Yih-fang-su, en français par Tsu-i-tseng (composée par elle-même). Monseigneur très touché, répond par des paroles de feu et les enfants sont enthousiasmées du chinois littéraire et des pensées de Monseigneur, lequel écrit un billet le lendemain, disant toute sa satisfaction des physionomies ouvertes et attentives des élèves. En Juin, grosse difficulté à cause d'élèves non présentées à l'examen public, leurs notes de classe semblant trop inférieures. Réclamations faites au Bureau d'Education... une démarche est nécessaire... la Mère directrice (Mère Sainte Justine) part au Bureau avec deux maîtresses, Yang-zeu-kang et Tsang-i-kou, mais reste dans l'auto pendant que ses deux compagnes montent au Bureau... Une heure et demie d'entretien !... On cède de part et d'autre et tout se calme. Ces examens causant une grande excitation et, pour plusieurs élèves, cette tension intellectuelle est trop forte ; aussi une élève de Kao-tsong III : Mac-koei-tseng, nous inquiète par une folie très douce, et il faut la rendre à sa famille. En Septembre, les armoires, pupitres, etc étant arrivés pour la salle de physique, on fait de grands rangements. Le 19 Décembre, effervescence à l'Aurore et en d'autres écoles, les japonais étant moralement maîtres de Péking. Huit jeunes gens et une jeune étudiante viennent inviter l'Etoile à se joindre à leurs réunions. On leur répond que le Maire recommande le calme et l'étude. Ils se retirent sans trop insister. Le 21 le mouvement des écoles continue et s'accentue. 5 000 élèves vont à Kiang-van pour protester, ils veulent aller à Nanking... Nos élèves restent calmes. Le 26, lendemain de Noël, bien qu'il y ait grèves, etc au dehors, les élèves restent calmes, joyeuses. Bon esprit. 1936 Le 4 Janvier, baptême de Tsi-i-tseng. Très nombreuse assistance. Trois générations : arrière grand'mère, grand'mère et mère de la néophyte sont présentes. Le 5 première communion de I-tseng, chants français. Plusieurs membres de la famille Li communient entre autres, le fiancé de I-tseng. Déjeuner au parloir de l'Etoile. Une table pour le Révérend Père Joseph Zi et les 4 messieurs de la famille. Le 2 Avril, une cinquantaine d'élèves va au cinéma avec réduction de 20 %. Voir le film de Pasteur. Trois jours après, le 5, une compagnie française représente le film "Golgotha" très beau. Avec grande diminution de prix pour les écoles : 10 cents par personne. Environ 170 élèves vont le voir et sont très intéressées et très touchées. Le 18 Avril, baptême de Tsu-i-fen à l'église de Zi-ka-wei, et le lendemain, sa première communion à Saint Pierre, sans solennité. Le 24 Mai, grande nouvelle : on annonce qu'en Septembre il y aura sortie hebdomadaire le dimanche, de 10 heures à 6 heures du soir. Le 3 Juillet, baptême de Lieu-zu-ping à Saint Pierre, et sa première communion le lendemain au Seng-mou-yeu. Toute la famille du fiancé est présente et communie. (Gabriel Lieu, fils de Stanislas Lieu-tao). Pendant les vacances, transformation de la cuisine : pavé etc. En Décembre, appel pour secourir les soldats du nord. Il y a deux jours par semaine privation d'un plat ; goûter supprimée, etc... On réalise 348 dollars. 1937 En Janvier, l'arrière grand'mère de Tsu-i-tseng accepte le baptême à l'article de la mort. Le 5 Avril, fête de l'Annonciation, promesses de trois Agrégées, dont Sœur Immaculata. Ses élèves vont à la messe, elles ont offert plusieurs cadeaux utiles (thermos, vaisselle, etc.) très joliment enrubannés. Pas de classes de langues. Sœur Immaculata vient remercier vers 11 heures ; on lui offre encore des fleurs et un reliquat d'argent pour la bibliothèque des Agrégées. Le 11 Avril, dix élèves du Kao-tsong III vont à Zo-sé à leurs risques et périls. Beaucoup de péripéties, de moyens de locomotion : train, bateau-poste, auto, etc. Une heure seulement à passer à Zo-sé ! Les 10 voyageuses, de retour à 8 heures ½, sont fatiguées mais contentes. Elles ont même eu une idée de l'Observatoire. Le 24 Avril, mariage de Tsu-i-tseng. Les deux époux communient à leur messe de mariage. Le 26 Mai, baptême de Louisette Hia et de Seng-zao-woh, par le Révérend Père Henry, Recteur. Le 27, leur première communion avec le Pensionnat. Le 29, confirmation idem, avec Marie Eugénie venue de Sainte Marie. Fin Juin, examen de Vé-koh à l'Etoile. Le tsou-tsong au promenoir, surveillé par Mère Saint Aidan, Mère Marie André et Sœur Thérèse.à là à Le Kao-tsong dans la classe du fond, surveillé par deux membres du Bureau et Mère Saint Basile. Examen des autres classes tous les derniers jours du mois. Le 1er Juillet, distribution des prix à 3 heurs ½ présidée par Monseigneur Haouisée assisté du Révérend Père Joseph Zi. Il y a dix Pères : Révérend Père Supérieur : Révérend Père Lefebvre, Révérend Père Henry, Recteur, Révérend Père Brellinger, Révérend Père Mac Greal, Révérend Père Groodjans, un jeune père américain de Gonzags Collège, le Révérend Père Gautier de l'Aurore, les Révérends Pères Joseph et Louis Tsang. Programme varié et réussi. Tout est terminé vers 5 heures ¼. Les appréciations de Monseigneur, des Révérends Pères, de la Révérende Mère Vicaire surtout, sont excellentes surtout modestie, dignité de nos enfants, leur genre distingué, et aussi l'ordre, le décors de la salle etc. L'intermède des avions avec des patins à roulettes, composé par Mère Sainte Lydie, est très admiré, et en effet il n'y a pas d'accrocs. Beaucoup d'inscriptions en cette fin Juillet : 72 nouvelles, 792 anciennes. Le dernier jour du mois nous apprenons que toutes nos élèves de Kao-tsong, 12, sont reçues pour le certificat. Au tsou-tsong, sur les 37 présentées, 6 seulement ont un sujet à repasser. Résultat béni ! Les inscriptions avaient été nombreuses, mais les bruits de guerre Sino-japonaise vont probablement diminuer le nombre des élèves à la rentrée. Le lundi 9 août, cérémonie des vœux perpétuels de Mère Saint Aidan. 14 élèves viennent, et, selon la recommandation, ont revêtu l'uniforme, 4 anciennes et deux maîtresses sont là aussi. Elles se rendent ensuite au nouveau parloir où les rafraîchissements sont préparés. Mère Saint Aidan vient les voir ver 10 heures. Le 13 Août, les premiers coups de feu de la guerre retentissent à Shanghai. Le 15, la guerre devient violente, sans être déclarée. Nos élèves de Sumatra sont rappelées par leurs familles. Plusieurs partent à Hong-kong. Le 21 Août 1937, status : Mère Saint Aidan devient directrice de l'Etoile, Mère Sainte Martine préfète des études de chinois, Mère Marie André préfète des études de français, Mère Saint Basile, reste chargée des affaires du Bureau d'Education Dans la matinée, Mère Supérieure visite l'Etoile avec la Révérende Mère Vicaire et fait ensuite préparer une partie de l'établissement pour recevoir des blessés : promenoir, parloir, 4 classes. Le 24, Mère Saint Aidan vient coucher à l'Etoile et Mère Sainte Justine à la communauté. Le 26, une vingtaine d'infirmes arrivent. Ce sont des évacués de l'hôpital du Sacré Coeur de Yang-zu-pou qui étaient à l'Aurore depuis deux jours. Ils sont installés dans deux classes du Tsou-tsang, à l'extrémité de l'Etoile. Le passage sert de pharmacie. Mère de la Bienheureuse Louise de Savoie dirige. Ce même jour, Mère Saint Aidan entre en fonction... Beaucoup de lettres pour savoir si la rentrée aura lieu, par où entrer, etc. car le pont est fermé. 26 Août, trois Franciscaines de la Congrégation Chinoise du Hou-pé, qui étaient en expériment chez les Franciscaines Missionnaires de Marie, viennent habiter à l'Etoile et vont s'occuper des infirmes réfugiés, mais sous la direction Mère Louise. Mère Saint Aidan, Mère Marie André et Mère Saint Joannes s'en occupent aussi, Mère Sainte Martine est chargée des repas. Les jours suivants, le Révérend Père Germain de l'Aurore, envoie quelques malades ou blessés par les avions, 22 autres arrivées en une seconde expédition. En tout, 49 malades ou infirmes. Les mourants sont installés dans la chambre derrière le promenoir. En Septembre, les classes commencent, bien qu'il n'y ait que 38 élèves. Deux baptêmes d'hommes malades à l'hôpital de l’Etoile. Un ancien catéchiste de l'hôpital du Sacré Coeur, infirme, aide beaucoup pour les leçons et par son bon exemple. Installation, parmi nos élèves d'un groupe de la Croix Rouge. Elles sont contentes et un comité se forme, plein de zèle. Les derniers mois de 1937 sont mouvementés, à cause des terribles bombardements aux environs de Shanghai et dans la ville chinoise. La présence des élèves est très intermittente, car les familles craignent ; mais en général l'esprit est bon, les enfants calmes. Elles travaillent beaucoup pour la Croix Rouge et pour les réfugiés. Les 27 et 28 Octobre, départ momentané décidé, car on craint l'occupation de Zi-ka-wei. Au début de Novembre un groupe de soldats français, une vingtaine, viennent coucher et demeurer à l'Etoile comme en 1927. Après la nuit angoissée du 9 au 10 Novembre, où l'on craint de se trouver en plein champ de bataille, les chinois s'étant retirés, les Supérieurs de la Mission et les autorités consulaires et militaires obtiennent la préservation de Zi-ka-wei "centre de plusieurs nationalités". L'Université Né-yang, elle-même, fut préservée des bombes grâce au Révérend Père Jacquinot qui aida l'évacuation des soldats qui s'y trouvaient et y installa plus de 2 000 réfugiés. Les Mères y allèrent régulièrement, même Mère Saint Aidan et Mère Marie André, les classes étant peu nombreuses. Bientôt l' "Armée du Salut" vint aider, mais les relations furent bonnes, et le Révérend Père de Bascher s'occupe activement des réfugiés, nos Présentandines faisant classes et catéchisme. L'autorité militaire, après avoir fait poser de grands drapeaux français à plat sur nos toits ou d'autres flottant au dessus des maisons, crut pouvoir retirer les Coloniaux protecteurs, mais bientôt, sous divers prétextes, des soldats occupants escaladèrent les murs de l'Etoile. La fermeté de Mère Supérieure leur en imposa et ils partirent, mais les Coloniaux nous furent rendus jusqu'au 9 Décembre. Leur séjour à l'Etoile procura une grande faveur : la petite salle de broderie fut, le dimanche 29 Novembre convertie en chapelle, et la Sainte Messe y fut célébrée. Fin Décembre, les esprits se calmant à Shanghai, les 37 et 40 élèves fidèles firent leurs examens sérieusement. Elles s'occupèrent elles-mêmes de préparer un dîner pour l'orphelinat et firent des lainages pour nos réfugiés de l'Etoile. 1938 Le premier Janvier, Loh-pa-hong, le Président de notre comité d'enregistrement à l'Etoile, le bienfaiteur de toutes les œuvres de charité de Shanghai, est assassiné. Ses funérailles ont lieu le 5 et un groupe d'élèves va à Saint Pierre avec la Mère Directrice et une autre mère pour représenter l'Etoile ? Une lettre de condoléances est écrite par une autre élève. 6 Janvier. La fête de l'Epiphanie devient surtout une fête de charité cette année, à cause des circonstances. Les élèves, l'après-midi, se divisent en trois groupes pour distribue des gâteaux et mandarines à Seng-zasé-yeu, le Sen-mou-yeu (réfugiés) et l'orphelinat. Grand goûter à 3 heures ½. Comme il reste des morceaux, les élèves demandent elles-mêmes de les distribuer aux sourdes muettes et aux réfugiés de l'Etoile. En Février, examen de rentrée. Quelques modifications pour l'ordre général : 1) Etudes désormais en silence, c'est à dire sans étudier à haute voix même le chinois, 2) Installation d'une sonnerie électrique pour remplacer en partie la cloche, 3) Formation d'un chœur de chant : le "Glu-Club". En Mars, le 5 l'hôpital de l'Etoile est fermé. Les hommes s'en vont dans une maison chrétienne du village, les femmes en divers lieux, les enfants, avec les infirmes de l'orphelinat. Cours de catéchisme en anglais par Mère Saint Aidan. ... Visite du musée Heude. Des cours d'anglais et de français sont en projet pour les vacances du 4 Juillet au 13 Août. En Juin, visite du Révérend Père Germain, Recteur de l'Aurore. Il prévient la Mère Supérieure et la Mère Directrice que l'Aurore devant dorénavant recevoir des jeunes filles, il demande que l'Etoile et le Pensionnat soient considérés comme "Ecoles préparatoires à l'Aurore". Il demande aussi de donner des cours intensifs de français aux jeunes filles qui, ayant terminé les études secondaires en d'autres écoles, ne sachant pas le français et voulant cependant entrer à l'Aurore La Mère Supérieure et Mère Saint Aidan se rendent trois jours plus tard chez le Révérend Père Recteur. On arrange un programme d'études pour ces jeunes filles, se rapprochant du cours qui sera donné aussi pour les jeunes gens à l'Aurore. Le 30, dans l'après-midi, le Révérend Père Germain, accompagné du Frère Wang, scholastique, et ancien élève de l'Aurore, où il a trouvé la conversion au christianisme et la vocation S.J., vient parler aux élèves du Kao-tsong III et du Tsou-tsong. Il se rend d'abord au pensionnat chrétien, puis vient à l'Etoile où ces deux classes sont réunies aussi, dans le nouveau parloir. Le Révérend Père annonce que maintenant l'Aurore est ouverte aux jeunes filles qui veulent entrer dans une des trois facultés : Droit, Médecine, Science. Le Frère Wang entre dans le détail des études. Les élèves écoutent attentivement mais ne manifestent par leurs impressions. Juillet 1938. Dans les derniers jours de Juillet, le journal français et plusieurs autres journaux de Shanghai préviennent les lecteurs de la décision prise par le gouvernement de l'Aurore. Les élèves qui préféreraient la faculté des lettres, etc; seraient reçues à l'Aurore, soit en sortant directement de l'Etoile ou du pensionnat, soit en venant du"Cours Spécial" de français de l'Etoile, et qui ne désirent pas être externes, logeront aussi au Sacré-Coeur, rue Bourgeat où un bâtiment exprès sera construit. Plusieurs inscriptions se font à l'Etoile durant les vacances on en compte une quinzaine, mais à la rentrée du cours spécial, le 7 Septembre, il y a seulement cinq élèves ; deux chrétiennes et trois païennes (deux de Ming-li et une de Péking). Après la rencontre avec le Révérend Père Recteur de l'Aurore, il y a un grand goûter d'adieux au grand parloir que les élèves ont décoré elles-mêmes. Cette réunion remplace, cette année, la distribution des prix qui n'aura pas lieu, les élèves ayant été forcément irrégulières à cause de la guerre. Il y a seulement des examens et le Ve-koh à l'intérieur de l'Ecole. Une fois les vacances commencées, les cours projetés pour le français et l'anglais ont lieu de 7 heures 30 à 9 heures 30. Les classes alternent et sont faites par la Mère Directrice, Mère Marie André et deux Soeurs agrégées. 26 élèves y prennent part. Le30 Août 1938, examens d'entrée pour le Cours Spécial préparatoire à l'Aurore. Les jeunes filles logeront dans deux chambres de Maîtresses et la salle commune des maîtresses leur est laissée pour les classes, elles y étudieront si elles la préfèrent à leurs chambres. Elles ont 2 heures de classes spéciales partagées avec les classes de français des élèves de l'Etoile. En Septembre 1938, quelques modifications importantes sont faites. Pendant les vacances une porte avait été pratiquée dans une palissade entourant le jardin de la Maison Notre Dame, et permettant aux familles des élèves de l'Etoile de se rendre à l'école par la Concession française, sans se joindre aux élèves du Pensionnat chrétien qui passent par la porterie de la Maison du Sacré Coeur. Un arrangement est fait pour que cette porte serve dorénavant tout le temps que durera la guerre. Le 5 Septembre, la rentrée a donc lieu par cette porte, et plus tard les petits parloirs extérieurs serviront aux familles des élèves de l'Etoile. Des bancs sont mis dans la grande allée du jardin, seul passage permis aux élèves. Nous comptons 168 élèves. Les heures de classe pour l'Etoile sont ainsi modifiées : il y a plus de temps de travail personnel |
