Arômes plus croustillants, plus fins, plus réputés, mais plus secs aussi







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Phraséologie de la perception et créativité linguistique.

(La description des odeurs chez Proust)
Pierre Frath

Professeur émérite de l’Université de Reims Champagne-Ardenne

CIRLEP EA4299

CéLiSo EA7332

Pierre.frath@aliceadsl.fr

http://www.res-per-nomen.org
« Nous possédons en nous toute une réserve de formules, de dénominations, de locutions toutes prêtes, qui sont de pure imitation, qui nous délivrent du soin de penser, et que nous avons tendance à prendre pour des solutions valables et appropriées ».

(Le bilan de l’intelligence – Paul Valéry)
Introduction

On pense souvent que le rôle des mots de la perception est de permettre l’encodage des percepts du locuteur à destination de ses interlocuteurs, et sans doute jouent-ils ce rôle1. Cependant, cela suppose que la pensée des percepts précède leur mise en parole, une hypothèse qui ne va pas sans problèmes. Si elle était toujours vraie, comment pourrions-nous rendre compte de descriptions relativement obscures telles que celle-ci, relevée dans Du côté de chez Swann, de Marcel Proust:

« … à peine goûtés les arômes plus croustillants, plus fins, plus réputés, mais plus secs aussi du placard, de la commode, du papier à ramages, je revenais toujours avec une convoitise inavouée m'engluer dans l'odeur médiane, poisseuse, fade, indigeste et fruitée du couvre-lit à fleurs » ? (Du côté de chez Swann, Marcel Proust)

Que peuvent bien être des arômes de placard, de commode, de papier à ramages qui soient « croustillants », « réputés », « fins » et « secs » ? Que peut bien être une odeur « poisseuse », « médiane » ou « indigeste », surtout émanant d’un couvre-lit ? Le narrateur a-t-il réellement perçu des odeurs avec de telles caractéristiques, qu'il a voulu ensuite communiquer au lecteur en les traduisant en langue ?

Nous pensons quant à nous qu'il n'y a point de hiatus entre la pensée et la parole, suivant en cela un certain nombre d’auteurs. Dans un des textes rassemblés dans les Écrits de linguistique générale, Saussure combat l’idée d’un dualisme linguistique entre le son et l’idée, entre le « phénomène vocal » et le « phénomène mental », car, dit-il, « c’est là la façon facile et pernicieuse de le concevoir ».

« Ce dualisme réside dans la dualité du phénomène vocal COMME TEL, et du phénomène vocal COMME SIGNE – du fait physique (objectif) et du fait physico-mental (subjectif), nullement du fait ‘physique’ du son par opposition au fait ‘mental’ de la signification. Il y a un premier domaine, intérieur, psychique, où existe le signe autant que la signification, l’un indissolublement lié à l’autre ; il y en a un second, extérieur, où n’existe plus que le ‘signe’, mais à cet instant le signe réduit à une succession d’ondes sonores ne mérite pour nous que le nom de figure vocale »2.

Pour Saussure, puisque le signe et la signification mentale sont inextricablement liés, la pensée est faite de signes, et la langue n'est pas essentiellement un code au service des individus pour transmettre aux autres leurs états intérieurs, c’est-à-dire un moyen vers une fin. Elle est avant tout un bien commun dans lequel nous baignons tous, qui nous indique ce qui existe pour nous, qui nous permet de le penser et qui nous dit comment en parler. Le narrateur de Proust a puisé dans des ressources linguistiques communes, que nous comprenons donc aisément. Mais quelles sont-elles, et quels sont les processus à l'œuvre ?

Pour le comprendre, nous allons examiner la phraséologie du mot « odeur » telle qu'elle apparait dans un corpus de textes littéraires contemporains de l'époque où Marcel Proust rédigeait À la recherche du temps perdu, ou antérieurs. Mais l'observation des données brutes, dans quelque science que ce soit, ne peut révéler toute sa richesse sans un cadre théorique qui leur donne sens et les relie les unes aux autres. C'est pourquoi nous commencerons par exposer les conceptions anthropologiques, référentielles et phraséologiques qui constituent l'arrière-plan de nos observations.



  1. Une conception anthropologique et référentielle du langage3

Le langage est un code, cela va de soi. Cette opinion règne en maître aussi bien parmi les linguistes que dans le grand public qui réfléchit aux questions linguistiques. Nous parlons pour communiquer aux autres nos états intérieurs, et pour cela nous assemblons des concepts pour former des pensées complexes que nous encodons en langue pour les transmettre à nos interlocuteurs, qui décodent alors nos paroles pour les transformer en pensées. C’est la syntaxe qui permet cela grâce à un ensemble de règles qui donnent à notre cerveau la possibilité d'engendrer des structures dans lesquelles les mots du lexique viennent s'insérer en fonction de leurs contenus sémantiques et des besoins de la communication.

Ces conceptions, pour dominantes qu'elles soient, ne vont pas sans difficultés. Tout d'abord, elles sont profondément réductionnistes en ce qu'elles ramènent la pensée et le langage à des mécanismes qu'on peut décrire en termes fonctionnels, ce qui mène inéluctablement à un dualisme ontologique, celui de l'homoncule cartésien aux commandes du cerveau, que Gilbert Ryle (1949) appelait par dérision le fantôme dans la machine (« the ghost in the machine »).

Ensuite, et c'est le point que nous allons aborder ici, elles ne permettent pas de comprendre des usages atypiques du langage, « hors code » donc, telle la description des odeurs dans le passage de Proust que nous étudions. En effet, pour les théories sémantiques qui font usage de codes, le sens global de l'énoncé se construit en appariant entre eux les composants sémiques des différents mots qui constituent l'énoncé. Faisons l’hypothèse qu'un couvre-lit soit défini par les propriétés /inanimé/, /objet/, /artefact/, /fait de tissu/, /qui recouvre les lits/, /odorant/, etc.4, et « médiane » par la propriété /qui se trouve au milieu/5. Pour justifier « l'odeur médiane du couvre-lit », une telle sémantique se mettrait en quête de sèmes compatibles entre « odeur », « médiane » et « couvre-lit », n'en trouverait pas, et rejetterait l'expression comme incorrecte. Elle pourrait éventuellement faire l'hypothèse d'un sème /odorant/ dans « médiane », mais ce serait très arbitraire. Ce serait également ingérable puisqu'il faudrait alors accepter que tous les mots d'une langue possèdent tous les types de sèmes possibles et imaginables, pour le cas où une jonction inhabituelle serait faite par un locuteur. Mais dans ce cas, comment distinguer ce qui est « normal » de ce qui ne l’est pas, de ce qui est « hors code » ?

Or nous avons bien le sentiment de comprendre la phrase de Proust. Pour appréhender cette intuition, nous allons considérer la langue comme un milieu naturel qui consiste en quelques milliers de mots, reliés les uns aux autres par l’usage de manière plus ou moins forte, plus ou moins lointaine. Une grande partie de ces mots réfèrent à des éléments de notre expérience commune. Il s'agit des dénominations référentielles (comme fleuve, rivière, gruyère, voiture, intelligence, santé, etc.) qui ne sont pas de simples étiquettes posées sur des objets préexistants : elles participent à l'être des choses dénommées en ce qu'elles leur donnent une existence séparée6. Les francophones peuvent discuter de la différence entre les fleuves et les rivières car leur langue à donné à ces types de cours d'eau une existence séparée en les nommant de deux noms différents selon qu'ils se jettent dans un autre cours d'eau ou dans la mer. Les anglophones ne le peuvent pas car leur langue n'a pas procédé à cette séparation.


  1. Une conception phraséologique du langage

Au niveau collectif, la langue est produite et déterminée par notre usage et elle est contrainte par notre expérience commune, ce qui fait qu'elle évolue et change au fil du temps. Au niveau individuel, c'est l'inverse : c'est la langue qui nous contraint, qui nous dit ce qui existe pour nous et comment en parler, et c'est elle qui détermine notre usage. Un objet non nommé n'existe pas pour nous, mais dès qu'il l'est, nous pouvons en parler. Il s’agrège alors autour de lui un corpus linguistique qui contient les connaissances que nous en avons, ainsi que sa « grammaire », c’est-à-dire la manière d’en parler. Comme tous les mots possèdent des contextes préférentiels, le vocabulaire d’une langue est constitué, non de mots isolés, mais d’unités phraséologiques (UP) dont le voisinage est plus ou moins contraint.

Nous avons distingué trois types d’UP en fonction de ces contraintes de voisinage7. Nous les classons selon trois critères : le degré de lexicalisation, la référence et la possibilité de modification.

  1. Les UP mono-lexicales (thé, danseur, psychanalyse, gendarme) ou poly-lexicales très figées (pomme de terre, chemin de fer).

Elles sont lexicalisées ; elles réfèrent à un seul objet ; les insertions et les modifications sont difficiles, quasiment impossibles. Certains contextes sont plus fréquents que d'autres, ce qui fait que ces UP sont accompagnées de paradigmes préférentiels très ouverts, peu ou pas structurés. Nous verrons que « odeur » appartient à cette catégorie. Le lecteur s'étonnera peut-être que nous considérions les mots isolés comme des UP, mais nous rappelons qu'il y a toujours des contextes, et que dès lors il n'y pas de mots vraiment isolés. Saussure ne dit pas autre dans un de ses textes des Écrits de Linguistique Générale (2002 : 24) :

« Mais d’où prend-on d’abord qu’il y a un mot, lequel devra être considéré ensuite à différents points de vue ? On ne tire cette idée elle-même que d’un certain point de vue, car il m’est impossible de voir que le mot, au milieu de tous les usages qu’on en fait, soit quelque chose de donné, et qui s’impose à moi comme la perception d’une couleur ».


  1. Les UP poly-lexicales semi-figées, qu’elles soient opaques ou non (un cordon bleu, une messe noire, faire un canard)

Comme les précédentes, elles sont lexicalisées et réfèrent à un seul objet. Cependant, elles acceptent des modifications à la condition qu’on puisse reconstituer l'UP d'origine (un cordon vraiment bleu, pour signifier par exemple que la cuisinière, en plus d’être excellente, était habillée de bleu, ou alors qu’elle était une débutante en cuisine). Selon cette définition, les proverbes sont des UP semi-figées. Ils acceptent en effet des modifications si on peut les reconstituer (l’habit ne fait pas le campeur, par exemple pour se moquer d’un campeur qui aurait un attirail de camping sophistiqué mais ne saurait pas s’en servir). Ils sont lexicalisés et réfèrent à un seul objet, mais ils diffèrent des UP précédentes en ce qu’ils n’évoquent pas en eux-mêmes de catégories ou d’objets bien définis, comme le feraient danseur, psychanalyse ou faire un canard. Ils permettent en revanche de faire entrer des situations évoquées en discours dans des pseudo-catégories sans prototype, ce qui a pour effet de leur donner une existence référentielle dans la langue. Si quelqu’un se tient dans une queue et fait la remarque qu’il risque de perdre sa place s’il la quitte pour quelque raison, on lui répondra « Qui va à la chasse perd sa place », lui signalant ainsi que cette situation est connue, et normale, et que d’ailleurs il existe un proverbe ou un dicton dans la langue pour la nommer.


  1. UP ouvertes (cheveux noirs)

Elles sont construites sur un schéma référentiel de type

pivot + [élément séminal : paradigme]

par exemple :

cheveux + [blancs : noirs, roux, blonds, jaunes, châtain, gris, poivre et sel, verts.. ]

L’expression cheveux noirs est très certainement lexicalisée, car nous l’avons déjà entendue et utilisée mille fois. Elle réfère à deux objets, cheveux ET noirs, ensemble. Le paradigme est constitué d’une liste ouverte d’adjectifs évoquant des couleurs ou un aspect, dont le plus fréquent est « blanc ». C’est pourquoi nous l’avons appelé « séminal ». Des modifications sont acceptées et très courantes au sein du paradigme, mais difficiles en dehors : « cheveux fluorescents » sera facilement accepté, mais il faudra un contexte très spécifique pour faire admettre « cheveux hippomobiles ». Une telle association avec un élément hors paradigme produit une figure de style appelée hypallage.
Nous verrons que les adjectifs tels que « médiane », « indigeste » ou « poisseuse » associés à « odeur » par Proust ne constituent pas des hypallages parce que ces associations ne sont pas absolument transgressives, et qu’au contraire elles sont d’une certaine manière prédictibles.

3. «  Y a-t-il des noms d'odeurs ? »

Avant de poursuivre, nous examinons brièvement les points qui semblent acquis en linguistique des odeurs. Pour cela, nous nous référons à l'article de Kleiber (2013), dans lequel l'auteur s'interroge sur l'existence de noms d'odeurs. Il fait le point sur la question et ouvre des perspectives d'analyse qui nous permettront de progresser dans notre propos.

Il semble acquis qu'il n'y a pas de dénominations des odeurs. La plupart des commentateurs sont d'accord pour dire que « le procédé généralement utilisé pour pallier cette absence lexicale consiste à recourir au nom de la source de l'odeur employé dans des syntagmes binomiaux du type Dét. + odeur + de + (dét) + N2 (N de la source), comme une odeur de citron, l'odeur du citron, etc. ».

Qu'en est-il alors de mots comme roussi, brûlé, graillon, fraichin, ou parfum, senteur, fragrance, puanteur, pestilence, arôme, remugle, relent ? Sont-ce des odoronymes ?

La réponse n'est pas si simple. Pour Kleiber, les premiers (roussi, brûlé, graillon, fraichin) sont plutôt des sources d'odeurs. On peut dire :

  • une odeur de roussi, de brûlé, de graillon, de fraichin

Mais pas

  • un roussi, un brûlé, un graillon, un fraichin de [source]

Quant à la seconde liste, on peut dire :

  • un parfum, une senteur, une fragrance, un arôme de citron

  • une puanteur, une pestilence de charogne

  • un relent, un remugle de vieux draps

Ces mots peuvent ainsi commuter avec odeur. Mais on ne peut pas dire :

  • une odeur de senteur, de fragrance, de puanteur, de pestilence, d'arôme

Ces mots ne sont ainsi pas des sources d'odeurs. En revanche on peut dire :

  • une odeur de parfum, à propos du parfum en tant que produit, et qui dès lors est une source

  • une odeur de remugle, qui peut être considéré comme une source (du moisi, du renfermé).

C'est aussi le cas de relent, dont nous avons trouvé deux occurrences après « odeur de … » dans notre corpus (Capitaine Fracasse, de Théophile Gautier) :

  • Dès le seuil, une odeur de relent, un parfum de moisissure et d'abandon, le froid humide et noir particulier aux lieux sombres, vous montait aux narines comme lorsqu'on lève la pierre d'un caveau et qu'on se penche sur son obscurité glaciale.

  • Des fagots de genévrier et de bois odorant, brûlés à grande flamme dans les cheminées, avaient chassé l'odeur de relent et de moisissure.

Il existe ainsi des « noms généraux » d'odeur, dont le rôle est de permettre au locuteur de porter un jugement positif ou négatif sur l'odeur, et éventuellement sur sa persistance (relent, remugle). Parfum, senteur, fragrance, puanteur, pestilence, arôme n'évoquent pas d'odeur spécifique par eux-mêmes. Quant à roussi, brûlé, graillon, fraichin, ils en évoquent, mais en tant que source. Comme le dit Kleiber (2013), « l'existence de ces noms 'généraux' d'odeurs ne fait que confirmer l'importance, relevée par tous les commentateurs, de l'axe hédonique en matière d'odeurs et le rôle primordial de la subjectivité dans la catégorisation olfactive. Elle met aussi en avant par le nom relent (et peut-être […] un des emplois de remugle) celle, moins connue de la durée ».

Il n'y a donc pas de noms d'odeurs comme il y a des noms de couleur, par exemple le bleu et le rouge, qui peuvent à leur tour se subdiviser en d'autres couleurs, bleu clair, bleu de Prusse, et ainsi de suite, et qu'on peut aisément se représenter à chaque niveau.

On a donc les schémas référentiels suivant :

Dét. + [odeur => bonne odeur, parfum, senteur, fragrance, arôme…] + de + [source]

Dét. + |odeur => mauvaise odeur, puanteur, pestilence, remugle, …] + de + [source]

Kleiber note également que odeur est intrinsèquement comptable, ce qui le distingue d'autres « mots généraux » comme tristesse ou impatience. On peut dire :

  • de la tristesse, de l'impatience,

mais difficilement

  • ?de l'odeur, ?un peu d'odeur

En revanche, odeur « prend […] sans difficulté aucune les déterminants qui impliquent le trait 'dénombrable' comme : une, deux, trois, les, des, quelques, plusieurs, etc. ». Pourtant, il y a une différence entre odeur et d'autres noms comptables, comme on le voit dans les exemples suivants :

  • Il y a trois fruits sur la table, à savoir trois pommes

  • *Trois odeurs règnent dans la maison, à savoir trois odeurs de citrons

En revanche, on peut dire:

  • Trois (sortes d')odeurs règnent dans la maison, à savoir une odeur de citron, une de pommes et une de lait.

Ceci montre que, contrairement à ce qu'on attendrait de la part d'un dénombrable, ce ne sont pas à des occurrences individuelles auxquelles odeur renvoie, mais à des sous-catégories. Odeur de citron désigne, non un fruit particulier, mais une source d'odeur connue, à savoir les citrons, la catégorie des citrons.

Il en résulte ce que Kleiber appelle le « paradoxe ontologico-dénominatif des odeurs ». « Le N odeur renvoie bien à des entités conçues comme ayant des sous-catégories homogènes, des espèces d'odeurs, et de l'autre, il n'y a […] (pratiquement) pas de dénominations disponibles pour elles ». Dès lors, comment faisons-nous pour parler des odeurs ?

Pour le savoir, nous avons étudié la phraséologie d'odeur dans le corpus de textes littéraires que nous avons mentionné plus haut. Nous verrons, comme le suggère Kleiber à la fin de son article, que si les dénominations sont peu nombreuses, c'est que l'expression des odeurs se fait essentiellement par le moyen de désignations8.
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