La rationalisation du travail et donc du taylorisme







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L'usine Berliet selon Georges Navel
Georges Navel est un écrivain et ouvrier, dans ce texte tiré des Travaux , il nous décrit l'usine Berliet de Vénissieux (à côté de Lyon) durant l'entre-deux guerres en adoptant un point de vue ouvrier .L'usine Berliet produit des pièces d'automobiles et produit également des voitures, des camions.
L'usine Berliet est un exemple-type de la rationalisation du travail et donc du taylorisme
a)le processus se fonde sur un chronométrage du travail ouvrier

ces règles consistent à chronométrer le travail de l'ouvrier .Il y a donc un encadrement du travail ouvrier au niveau de son temps de réalisation .L'ouvrier doit se calquer sur le temps de travail de l'ouvrier le plus compétent. Dans ce système le rythme de travail est cadencé, la tâche de l'ouvrier se réduit à un geste répétitif, qu'il doit réaliser en un temps donné.
b) le processus de production se fonde également sur un encadrement spatial du travail de l'ouvrier

Il y a une surveillance de l'ouvrier comme il le souligne :« il y a un nombre excessif de gardiens en casquettes ».Ce qui permet de lutter contre les stratégies d’évitement de l'ouvrier dans l'usine. L'ouvrier doit respecter le règlement de l'usine et ne doit pas fumer.
c ) ce doublement de l'encadrement ouvrier confère a cette usine l'image de « bagne industriel » (cf « Cayenne »)

Georges Navel adopte le point vue d'un ouvrier, ceci est assez révélateur de la lutte ouvrière de l'entre-deux guerres, car ces usines correspondent pour les ouvriers à une dégradation des conditions de travail de l'ouvrier mais aussi à une dévalorisation du savoir-faire ouvrier dans la mesure où le travail de l'ouvrier se résume à des gestes mécaniques et répétitifs.
d) dévalorisation du travail liée à la répétition de gestes et à l'utilisation des machines

l'usine Berliet est avant tout une usine où il y a une forte implantation de machines à l'aide des machines l'ouvrier doit réaliser des taches de manière mécanique L'auteur traite ces ouvriers de « robots » , la tâche se réduit à la surveillance et à l'utilisation de ces machines,l'idée est que l'ouvrier ne fait plus qu’un avec la machine ( NB : cette idée est déjà développée par Michelet dans le Peuple au XIXème siècle »
L'usine Berliet est donc représentative du taylorisme car elle révèle des procédés d'encadrement du travail ouvrier. L'ouvrier utilise également des machines et réalise des gestes répétitifs et aliénants selon Navel . Cela confère à l'usine, l'image de « bagne ». Ce terme est assez représentatif de la vision ouvrière à l'égard de ces usines, où le processus de rationalisation est maximisé ; ce qui provoque une dégradation des conditions de travail selon les syndicats ouvriers.
Mots-clefs :

USINE-OUVRIER-MACHINES-MECANISATION-PROGRES TECHNIQUE-DEQUALIFICATION-CONTROLES-LIEUX

Les usines Citroën
• Paris, le 25 janvier 1919 : l'usine de munitions et de fabrication d'obus d'André Citroën est reconvertie pour produire des voitures en grande quantité. Son objectif de vente était de 100 voitures par an. Elle est situé quai de Javel (Paris XVème)

• Au cours d'un voyage en 1912 : André Citroën a observé l'organisation du travail de Frederick Taylor appliqué dans les usines Ford et veut utiliser la même méthode : le taylorisme; autrement dit le travail a la chaine. Les ouvriers ne bougent pas et on fait circuler les pièces des voitures dans l'espace de l'usine. On voit que l’un des facteurs du progrès technique est la circulation d’information entre pays industrialisés.

• Citroën utilise la publicité (journaux) pour créer un effet d’attente.

• Au mois de septembre, il sort alors la première voiture française : c'est le type A.

• Cependant, à partir de 1934 : la marque est en faillite à cause d'investissements trop couteux. A. Citroën dépose le bilan, Pierre Michelin reprend donc la marque des 1935. Ce dernier décède brutalement et est remplacé par Pierre Jules Boulanger en 1937.

• compléter avec le croquis vu en cours.
MOTS CLEFS : GUERRE- USINES-MACHINES-PROGRES TECHNIQUES-LIEUX
Les ateliers sociaux. ( Louis Blanc)
Louis Jean Joseph Blanc (1811 - 1882) est un journaliste et historien français, qui fut membre du gouvernement provisoire de 1848 et député sous la Troisième République. Socialiste et républicain, il propose la création des ateliers sociaux afin de rendre effectif le droit au travail.
• Il ne faut pas confondre les ateliers sociaux et les ateliers nationaux même si les deux participent d’une idée commune de droit au travail.
• Les ateliers sociaux prévoient le regroupement d’ouvriers qualifiés dans le même domaine et qui travailleraient dans leur spécialité. Ce serait une forme de coopérative. Les ateliers sociaux (qui avaient autrefois été développés sous la monarchie de Juillet sous le nom d’ « ateliers de charité ») sont des regroupements de chômeurs d’origines diverses employés en dehors de toute spécialité à des gros travaux (type terrassement). Le but est d’agir dans l’urgence pour réduire le taux de chômage et non de promouvoir un modèle viable d’économie.
• Cette formule a finalement été retenue par le gouvernement en 1848 mais peu durablement. Les ateleirs nationaux furent fermés ce qui entraîna les émeutes de juin 1848 et en réaction le passage à une république plus conservatrice.
MOTS CLEFS : DROIT AU TRAVAIL- ROLE DE L’ETAT.
Les grands types d’associations ouvrières dans le Nord.
• Dans le Nord les associations d’ouvriers sont des sociétés de divertissements (Lille en 1862):

Festives : société de chants

Jeux : cartes, jeux traditionnels du nord (beigneau), boules

Colombophiles (couloneux, oiseleurs)

Culturelle (lecture)

On trouve une forte importance des traditions locales (loisirs anciens) et rurales, un rôle dans la préparation des fêtes (chants, jeux d’adresses qui peuvent donner lieu à des tournois), et une importance de la lecture.

On citera ici Michelle Perrot : « culture des pauvres n’est pas pauvre culture ».
MOTS CLEFS : SOCIABILITE- OUVRIER.
La mine vue par Zola
Dans son livre Germinal, Emile Zola décrit les horribles conditions de travail des ouvriers plus précisément des mineurs.

Il évoque les accidents professionnels fréquents et les salaires dérisoires des mineurs, laperte de dignité humaine qu’engendre la misère (perte de repères moraux). Les mineurs sont comme prisonniers incapables d’échapper à un monstre puissant qui les dépasse: la mine.

L’auteur dénonce aussi l’égoïsme des capitalistes et des profiteurs (l’épicier) qui exploitent la misère des travailleurs.

Le moment fort du roman est une grève qui échoue et la destruction de la mine par un anarchiste.

Si l’organisation des mineurs se montre impuissante face au capital, la solidarité des hommes face à la catastrophe permet à l’auteur d’avancer l’idée que les mineurs et les travailleurs (l’ingénieur participe à la tentative de sauvetage des mineurs enfouis sous les décombres de la mine) sont quand même capable de vivre des valeurs de solidarité, tissée par l’effort commun, ce qui permet d’espèrer des victoires pour les luttes futures.

MOTS CLEFS : REPRESENTATION DU MONDE DU TRAVAIL-OUVRIER-LIEUX

Yves Lequin « Une naissance difficile : la formation de la classe ouvrière lyonnaise », Annales, Economie, Sociétés, Civilisations, 33e année, N.4 ?, 1978. Pp.830-837
•Cet ouvrage d’Yves Lequin décrit l’émergence de la classe ouvrière lyonnaise. Il montre notamment comment les ouvriers ont pu passer d’une appartenance au monde rural à la création d’une conscience collective urbaine. La naissance de la classe ouvrière passe tout d’abord par une résistance à l’industrialisation et une volonté d’autonomie par rapport aux patrons dans la proto-industrialisation. Les ouvriers restent attachés à leur mode de vie rural et préfèrent garder leurs structures archaïques. L’arrivée des grandes usines permet de fixer les ouvriers mais les initiatives paternalistes des patrons engendrent de véritables oppositions chez les ouvriers qui veulent maintenir leur indépendance. L’industrie lyonnaise est surtout composée d’ouvriers de métiers et les structures professionnelles restent relativement fermées et caractérisés par une hérédité et des mariages à l’intérieur du même milieu. C’est avec la Grande dépression que se révèlent les limites de l’archaïsme des structures et que se perdent les communautés traditionnelles. C’est la destruction des ces anciennes formes de travail et l’accentuation de l’hérédité sociale qui vont constituer la base de la classe ouvrière. La conscience de groupe des métiers s’explique notamment par le développement de l’anarchisme et du syndicalisme et l’habitude de la grève.

MOTS CLEFS : OUVRIER-LUTTES-DEQUALIFICATION
Les Ateliers nationaux
A l’issue de la révolution de Février 1848, la Seconde République est établie, mettant fin à la Monarchie de Juillet (1830-1848). Alimenté par une crise économique et sociale, le mécontentement des classes populaires de Paris (qui a joué un rôle déterminant dans les événements de Février) est l’une des premières préoccupations du Gouvernement provisoire.
• Les 26 et 27 février ouverture des ateliers nationaux. L’Etat entend fournir, organiser et financer le travail, et payer, voire soigner les ouvriers, et artisans des grandes villes en chômage forcé. Le nombre de demandeurs ne cesse de croître. Dès le mois d’avril, plus de 100 000 inscrits sont ainsi entretenus, alors que le nombre de chantiers ne suffit plus.
•La victoire des Républicains conservateurs ou modérés aux élections de l’Assemblée constituante du 23 avril précipite la dissolution des ateliers nationaux, jugés inefficaces, coûteux et dangereux. Celle-ci est prononcée le 21 juin, entraînant à Paris les révoltes ouvrières et populaires du 23 au 26 Juin, réprimées dans le sang (4 000 morts et 4 000 prisonniers) par le général Cavaignac.
MOTS CLEFS : OUVRIER-LUTTES-DROIT AU TRAVAIL-LIEUX-DEQUALIFICATION
Dates de réduction du temps de travail.
1841 : le travail des enfants de moins de 12 ans est limité à 8 heures par jour et à 12 heures pour les enfants de moins de 16 ans.

1848: la durée maximale de la journée de travail est fixée à 12 heures. La durée hebdomadaire est donc de 84 heures.

1892 : limitation de la durée quotidienne du travail à 11 heures pour les femmes et les enfants, assortie de l'interdiction du travail de nuit dans l'industrie.

1900 : la journée de travail est ramenée à 10 heures dans l'industrie, soit 70 heures par semaine.

1906 : la loi institue pour la première fois un jour de repos hebdomadaire obligatoire, le dimanche.

1919 : la durée légale du travail est fixée à 8 heures par jour à raison de 6 jours par semaine, soit 48 heures hebdomadaire.

1936 : le gouvernement du Front populaire ramène la durée hebdomadaire du travail à 40 heures et accorde deux semaines de congés payés.

1946 : chaque branche de l'industrie définit ses horaires de référence, souvent supérieurs à la durée légale du travail. L'âge de la retraite est fixé à 65 ans.

• Notez le côté tardif et timide de la limitation du temps de travail (sauf pour les catégories les plus vulnérables). Les limitations les plus importantes commencent à la Belle Époque avec le parti radical (participe à tous les gouvernements depuis 1898 et les dirige à partir de 1902)
MOTS CLEFS : ETAT
Un exemple de travail à la chaîne.
Définitions
Travail à la chaîne: travail sur une chaîne d'assemblage.. Il s'agit de décomposer le travail en différente tache précise effectuée les une à la suite des autres par des individus différents.
Taylorisme : Organisation scientifique du travail théorisé pas Taylor. Il s'agit d'une méthode visant à améliorer le rendement des usines. Cela repose sur divers aspects des techniques de production : gestes, rythmes, cadences ; sur la définition des tâches ; et du passage du salaire à la tache au salaire à l'heure.

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Fordisme : le fordisme est un principe d'organisation du travail reprenant les principes du taylorisme et de l'organisation scientifique du travail. Le principe repose globalement sur trois points :

  • division du travail : conception, réalisation, parcellisation des tâches et travail effectué à la chaîne (montage en ligne)

  • la standardisation du modèle produit avec des pièces interchangeables

  • l'augmentation des salaire afin de stimuler le pouvoir d'achat des ouvrier et par extension augmenter la demande des biens.


Le travail à la chaîne au État unis au début du XXème siècle et se repend en Europe dans la fin des années 1910. Ce travail à la chaîne est développé par Henry Ford. En France le taylorisme et le fordisme sont appliqués principalement dans l'automobile. C'est l'un des premier pays d'Europe a adopter cette organisation scientifique du travail. Ainsi Louis Renault se rend régulièrement aux État Unis et André Citroën aimait à dire : « comme les peintres et les sculpteur vont à Rome les ingénieurs doivent aller en Amérique. ». Les usines emploient donc une mains d'oeuvre abondante, essentiellement des femmes pendants la guerre. Le travail ne nécessite pas de qualification car il y a une standardisation des modèles ainsi que de nombreuses machines outil qui simplifie l'élaboration. Le rythme de réalisation est cependant très important et on a des cas où les ouvriers réitèrent les mêmes gestes toutes les 10 ou 12 secondes environ. Ce système permet à Renault durant la guerre d'effectuer une production de masse à hauteur de 5050 moteurs d'avions fournis en une année. C'est par ailleurs l'urgence et les demandes que génère ce conflit qui contribuent à développer ces principes de travail en France. Le travail à la chaîne est cependant perçu comme étant déshumanisant à cause de cette réalisation machinale des tâches. Il est donc contesté. Dès 1913, l'Union Corporative des Ouvriers Mécaniciens dénonce la réduction de l'ouvrier « à l'état de brute, à qui il est interdit de penser, de réfléchir ; à l'état de machine sans âme. ».
MOTS CLEFS : OUVRIER- USINE-MACHINE-LIEUX-DEQUALIFICATION
« Le mécanicien » de Fernand Léger - 1920

• sur toile 116 x 88,cm

•Fernand léger : 1881/1955 , peintre français, pionnier du cubisme, voue intérêt au dynamisme et « reflet du monde moderne ».

• Représente le mécanicien, ouvrier type du début du XXe.

• L’arrière plan composé de lignes géométriques, ce qui représente les machines et l’ère industrielle mécanisée qui organise le XXe.

• Les lignes mettent en valeur l’ouvrier au premier plan, contraste des tracés géométriques et de l’ouvrier en relief, corps mis en valeurs par des jeux d’ombres pour montrer les muscles

• La scène se passe au moment de la pause: temps de relaxation pour l’ouvrier et de plaisir: fume sa cigarette et montre que l’ouvrier a de plus en plus besoin de s’émanciper de son travail, besoin de détente.

• Les éléments types de l’ouvrier sont représentés: marcel, muscles, cigarette, moustache, tatouage.

• Le personnage est viril: rappelé par corpulence, moustache, cigarette tenue de façon nonchalante qui montrent la confiance en soi.

•Son corps est son outil de travail, sa « carte de visite »: on reconnait son statut grâce à son corps.

• Plus qu’un personnage représente une époque et l’idée même de l’ouvrier, le français moyen du début du XXe s.
Ce tableaux contraste avec d’autres représentations des ouvriers harassés par le travail : celui-ci n’est pas une « extension de la machine », il a son individualité propre, sa fierté professionnelle
MOTS CLEFS : OUVRIER-MACHINE- REPRESENTATION DU MONDE DU TRAVAIL

LA GREVE DE COURRIERES 10 mars 1906
• Elle tient son nom de la compagnie des mines de charbon de Courrieres, dans le Nord pas de Calais entre Courrieres et Lens.

• Elle est due à une explosion dans la mine violente, accident. La crise est mal gérée, des mineurs sont pris au piège à l’intérieur et la mine est condamnée pour éviter les incendies et sauver le reste de la production. Pas accepté et mal vécu par les familles des victimes.

• 1099 morts officiellement sur les 1800 descendus à la mine.

• La manifestation rassemble 2000 mineurs point de départ de la grève qui dure deux mois, augmentation de 60% de mineurs = 40 000 mineurs. Les élus locaux (socialistes) soutiennent la grève. Concurrence entre le vieux syndicat des mineurs et la jeune CGT plus offensive qui développe des revendications qui dépassent les enjeux locaux (journée de huit heures, avancement de l’âge de la retraite, etc.). Aucun soutien n’est obtenu ni du président de la république ni du président du conseil (Clemenceau). La grève pourtant reste pacifique.

• 13 mineurs sortent vivants de la mine après avoir survécu en pendant vingt jours en mangeant leur cheval et buvant leur urine relance la dynamique de grève : état insurrectionnel dans le Nord pas de Calais,

• Arrivée de 26000 soldats sur place (il ya des sabotages et des arrestations mais pas de morts)

• C’est l’échec de la grève car elle s’essouffle et certains mineurs veulent reprendre le travail (des augmentations de salaire ont été accordées), cependant c’est une victoire pour la CGT qui s’impose: elle est soutenue par les mineurs et ceux-ci rejoignent donc le syndicat
MOTS CLEFS : OUVRIER-GREVE-ETAT.
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