Docteur ès lettres, docteur en droit







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Acts spéciaux en 1774, 1791, 1840 et 1867, il y a eu un effort persistant pour les modifier.
À l'heure de la Fédération, des lois établies pour la Province sont devenues fédérales et font partie de la common law. Des lois fédérales ont affecté le droit civil de Québec de la même façon. Le conseil privé et la cour suprême, et certains magistrats de la province faisant un large emploi de précédents, insèrent dans leurs décisions le principe de la loi anglaise. Le Parlement fédéral impose à Québec des lois d'un esprit rigoureusement anglais, parfois textuellement copiées de Westminster. Le grand politicien sir John Macdonald avait vu clairement que le droit du Bas-Canada se rapprochait chaque jour de celui de l'Ontario 3. Une lecture rapide du mémoire de Mr W. J. White, K. C., intitulé ; les Sources et le développement du droit de la province de Québec, convaincra le lecteur que les grands courants de la vie ont produit des lois qui, de plus en plus, tendent à restreindre la sphère du droit dérivé de la législation française.
Tout en admettant la force des choses, les courants et les intérêts irrésistibles qui diminuent les droits constitutionnels des habitants de Québec, il serait vain de dissimuler qu'ils sont envahis dans d'autres directions. On essaie constamment de remettre en cause une question définitivement réglée. Est-ce que le docteur Harper, inspecteur des écoles protestantes, n'a pas pris l'initiative d'une campagne bruyante pour faire fonder à Ottawa un département d'éducation contrôlant toutes les écoles du Canada 1 ? Selon les termes légaux de la fédération, la province de Québec est absolument autonome en cette matière. Plus tard un de ces fougueux envahisseurs, le docteur Roddick, de Montréal, mit en avant un projet de contrôle général de l'éducation en médecine. C'est encore Mr Robbins, le principal de l'École normale de McGill qui, oubliant le pacte par lequel est régie la vie fédérale, insiste pour l'unité des écoles normales d'un océan à l'autre, et de diplômes acceptés par toutes les provinces. Dans les chambres fédérales les deux langues sont sur un pied d'égalité, mais des Anglo-Canadiens - à vrai dire une minorité - prennent plaisir à froisser sur ce point la susceptibilité de leurs compatriotes, Quand l'Université de Toronto honora le Premier Ministre Taschereau en lui conférant le grade de docteur en droit, il fit entendre un avertissement plein de tact, reposant sur une large base juridique dont on devrait tenir compte. Lorsque certains « fédéraux » essayèrent d'intervenir à propos des lois sur les liqueurs, l'éloquent homme d'État sut parler haut et lança un courageux défi : « Ne touchez pas à Québec ! »
Quant aux lois, il est peu de Canadiens cultivés qui ne voient pas que l'on gagnerait à leur unification, mais l'inverse est aussi vrai. Les lois de Québec sont rédigées en français, langue plus concise que la langue anglaise, et, par là, plus scientifique et judiciaire. Quelle que sait la beauté, la poésie, le caractère plus imaginatif, la force et la simplicité de l'anglais, il lui manque la précision puissante du français. Un exemple insigne de cette différence se trouve à la fin d'un accord entre Terre-Neuve et le gouvernement britannique. Dans le glossaire qui le suit, parmi d'autres également vagues, la clause explicative suivante : « Les mots désignant le masculin comprennent les femelles et les mots singuliers comprendront le pluriel, et les mots au pluriel comprendront le singulier 2. » Nous avons ici l'aveu officiel du caractère vague et indéfini de l'anglais. Le français, avec le nombre et le genre de ses noms, de ses articles, de ses adjectifs et de ses pronoms, le magnifique clavier de ses verbes et, par-dessus tout, l'effet magique de son subjonctif, est l'outil linguistique le plus exact des temps modernes, le plus clair et le plus logique.
Les lois canadiennes, plus simples, plus exactes, plus philosophiques, faisant remonter chaque cas à quelque principe fondamental, bien que ne s'opposant pas à recevoir le bénéfice des précédents, sont plus favorables à la justice. Aussi les citoyens ont-ils conscience qu'elles font partie de leur être même, comme leur langue, leur littérature, leur art et leur religion. Ce sont les grands aspects fonctionnels de leur existence comme peuple, et, pour employer la fameuse métaphore de Clemenceau, formant un « bloc ». Aux yeux de beaucoup, ces lois sont comme une larme batavique, qui se pulvérise quand on en rompt la pointe. Nulle part le Canadien n'est plus grand que dans la science du droit. Il accepte les lois fédérales et y adhère loyalement, mais il chérit les lois françaises avec une affection débordante. Elles sont intangibles.
La province de Québec est fière de son passé et de sa vie. Très attachée à la couronne, elle résiste aux forces qui voudraient la dénationaliser. Dans sa marche ascendante, il est moins probable qu'elle soit entraînée par les « gros intérêts » ou absorbée par les États-Unis, que les autres provinces. Son progrès a été grand en dépit des obstacles qu'elle a rencontrés sur sa route, et le spectacle de ses efforts réalisés ouvre de riantes perspectives. Il est peu de domaines dans lesquels elle n'ait pas marché en avant. On y remarque une grande et constante adaptation aux nouvelles exigences des temps, ainsi qu'une tendance visible à s'éloigner de l'esprit traditionnel de fixité. Peu dominée par des idéals économiques et ploutocratiques, elle l'est plutôt par les règles des valeurs éternelles. Ses classes laborieuses ont été les plus calmes et les plus paisibles du continent, tellement que les troubles ouvriers de l'Ouest du Canada ont créé un puissant mouvement d'opinion anglo-canadienne plus favorable aux Canadiens, maintenant considérés comme le meilleur actif national. The Gazette de Montréal en parlait il n'y a pas longtemps comme d' « un peuple sain » et, commentant un discours de sir Andrew Macphail, dans le même sens, The Star les appelle le « balancier » du Dominion. Quoi qu'il arrive, l'énergie canadienne, avec son évolution lente et sage, est parvenue à constituer d'ores et déjà l'État le plus heureux de l'Amérique auquel tous les espoirs sont permis. La vie est là.


L'évolution du canada français

Chapitre IX
L'oeuvre anglaise et son influence

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On tient généralement pour un fait établi, certain, que les Canadiens sont extrêmement conservateurs et même routiniers, en face des Anglais dont l'esprit est ouvert à toutes les innovations. Ce point fût-il acquis, il faudrait se rappeler que ces enfants de la France furent longtemps pareils à leurs voisins du Sud, et à bien d'autres peuples. L'idée de progrès n'entra que lentement, même dans la Nouvelle-Angleterre. Les Canadiens sont, pourtant, moins retardataires qu'on ne le pense en général. Le collège de Québec est antérieur à celui de Harvard, près de Boston, et Montréal eut le sien vingt ans à peine après New-York. La ville du grand Champlain eut son cercle littéraire vers la dernière moitié du dix-huitième siècle 1 et une Société littéraire dès 1809. À la même époque, deux Canadiens étaient membres de l'Académie des Sciences de Paris 2. On estime qu'en 1765, il y avait 60 000 volumes dans les bibliothèques particulières 3. M. Aegidius Fauteux nous donne la liste d'une collection personnelle de 400 volumes bien sélectionnés. M. Charles Deschenaux, qui mourut en 1832, avait une bibliothèque de plusieurs milliers de volumes 1. Ces faits indiquent bien une réelle activité dans le domaine de la culture et de la pensée.
Le professeur B. Silliman, de Yale, fut très impressionné, en 1819, par ce qu'il avait constaté à cet égard. « Rien, » dit-il, ne m'a plus surpris du Canada que le nombre des institutions, beaucoup d'entre elles de la plus haute importance. On est plus frappé encore, quand on considère que la plupart d'entre elles datent de plus d'un siècle et qu'au temps de la fondation, la colonie était faible et dans un état de guerre à peu près constant 2. » En outre, il remarque que leur vitalité a très peu cédé à l'influence des conquérants. « Vraiment, » dit-il « il est étonnant que soixante années de sujétion à un pouvoir étranger, n'aient pas pu affaiblir davantage les établissements français du Canada. Non seulement ils subsistent pour la plupart ; mais ils semblent avoir gagné en vigueur et l'ensemble garde infiniment plus l'apparence d'un pays français que celle d'un pays anglais 3. »
L'intendant Jean Talon introduisit et encouragea la culture du chanvre et du lin. Il envoya dans toutes les directions des prospecteurs qui découvrirent du minerai de fer aux Trois Rivières, et des mines de cuivre au nord du Lac Supérieur. Dès 1666, des bateaux se construisaient à Québec, et, douze ans plus tard, La Salle avait réussi à faire flotter un navire sur le lac Érié « dont les blanches voiles portaient la consternation dans le cœur des Indiens sur les rives » 4. Cet intendant envoya quelques-uns de ses vaisseaux aux Indes occidentales avec des produits des forêts et des champs canadiens. Il avait fait fabriquer du goudron. Il obtint du fer de très bonne qualité, et, résultat remarquable pour l'époque, occupa 150 hommes à cette industrie 5. Déjà, en 1671, Talon informait le gouvernement de Paris qu'il pourrait, en cas de besoin, s'habiller des pieds à la tête avec des produits canadiens 6.
Dès 1707, il existait une organisation pour la pêche des grands marsouins du Saint-Laurent 7. Beaucoup plus tard on découvrit un procédé pour tanner leurs peaux 8. Québec produisit du cuir de baleine, quoique ce cétacé ait eu la réputation de ne pas avoir de peau 9. Perthuis était autorisé à fabriquer du sel à Kamouraska 10. On ouvrit une carrière d'ardoises. J.-B. Gatien la visita, en 1731, et indiqua des améliorations possibles dans son exploitation 11. Nicolas de Langloiserie reçut, en 1734, la mission d'étudier les mines de plomb du Portage-des-Chats, et eut pendant des années le privilège de construire des moulins à vent sur les bateaux du Saint-Laurent 12. Un demi-siècle plus tard, Julien Dubuque s'établit dans l'Iowa pour extraire le minerai de plomb 1. L'horloger Dubois fit, ou inventa, quelques-uns de ses instruments 2. Champagne, du même métier, construisit une horloge qui, au lieu de frapper l'heure, jouait un air de carillon au moyen de timbres de différentes grosseurs. L'horloge de Doray indiquait l'heure du lever et du coucher du soleil comme de la lune 3.
L'abbé Casgrain nous dit que les habitants de la Rivière Ouelle avaient réussi à améliorer des arbres fruitiers. Quelques-uns furent transportés en France où ils sont encore cultivés ; entre autres, il y a un pommier dont le fruit est populaire sur le marché de Paris, sous le nom de « Reinette du Canada » 4. Personne alors ne prévoyait l'Américain Burbank et l'immense variété de fruits nouveaux qu'il a créés. En Angleterre, l'auteur fut fréquemment interrogé sur « la fameuse » du Canada, qui n'a nulle part ailleurs la beauté de coloris et la finesse de goût qu'elle a dans le voisinage de Montréal.
Après la Cession, les Canadiens furent absolument séparés de leurs anciens foyers d'Europe, forcés de commercer exclusivement avec les colonies anglaises, donnant la préférence à la métropole. Quand même, ils continuèrent beaucoup de leurs entreprises. On les voit envoyer leurs huiles à l'exposition de Londres et des produits divers à celle de Paris, Leurs plantes médicinales et tinctoriales furent très appréciées à Paris comme à Londres. Leurs voitures provoquèrent l'admiration de Napoléon III. Robert Romain exposa sa charrue à vapeur 5. Sous le régime français, les Canadiens n'avaient pas pratiqué le commerce en gros, sauf dans les fourrures. Leurs classes rurales ne différaient guère des classes semblables dans les autres parties du monde. Les entreprises du peuple furent un peu restreintes par la conquête tandis que les Anglais voyaient tous les champs ouverts à leur initiative. Envahissants d'esprit et commerçants agressifs, ceux-là pouvaient nouer des relations importantes avec les établissements américains ainsi qu'avec l'Angleterre. Leurs possibilités commerciales étaient infiniment plus grandes que celles des indigènes et ils en profitèrent au plus haut degré.
Une des nombreuses conséquences du nouvel état de choses fut l'éveil chez eux de l'esprit commercial et la révélation de ce qu'ils pouvaient faire. Eux dont les pères, pendant longtemps, n'avaient pas cru que les céréales pussent mûrir au Canada, n'avaient guère songé à les exporter en Europe, comme le faisaient les Anglais, car déjà, en 1769, 70 navires portaient en Angleterre des cargaisons évaluées à $ 815 525, probablement composées de fourrures, de bois et de froment. Ce dernier article devint tellement important que même en 1776, alors qu'il fallait entretenir une grande armée, on en exportait en Angleterre 6. En 1795, 120 vaisseaux transportèrent 395 000 minots de blé, 18 000 barils de farine et 20 000 quintaux de biscuits. En 1802, 211 vaisseaux descendirent le Saint-Laurent, transportant 1 010 000 minots de blé, 38 000 barils de farine et 32 000 quintaux de biscuits 7, ce qui donna une considérable impulsion à l'agriculture. Lorsque, en 1774, au Parlement britannique, lord North demanda « si l'accroissement de l'agriculture avait été la principale cause de l'augmentation du commerce », le général Carlton répondit : « C'est l'opinion générale 1. » Les fermiers étaient des Canadiens. Les Anglais leur faisaient prendre leur premier contact avec le marché mondial. Il y avait déjà là, inconsciemment, une féconde collaboration des deux peuples.
Le système de tenures néo-féodales de la terre écartait beaucoup de colons anglais, et les Canadiens n'étaient guère portés à modifier ce régime, qui constituait pour eux une protection contre une immigration d'hommes disposés à les déposséder de leur réelle autonomie. Cela, et l'émigration des Loyalistes venus des États-Unis, ouvrit le Haut-Canada à la population anglo-saxonne, dans un pays dont le climat était moins rigoureux et le sol plus fertile. Le grand problème était celui des transports. Les voies navigables étaient incomparables, malgré les rapides que les Anglais eurent à surmonter. Les Canadiens rendirent alors de grands services en traversant ces passages périlleux et en payant leur lourd tribut à la mort 2. Déjà aux premiers jours de la domination anglaise, Dollier de Casson, supérieur des Sulpiciens, avait conçu l'idée d'utiliser la rivière Saint-Pierre et le lac du même nom, situés parallèlement au Saint-Laurent, pour éviter les rapides de Lachine. Les Anglo-Canadiens creusèrent les canaux de Lachine, de Beauharnois, de Cornwall, de Williamsburgh et de Welland 3. Le canal Rideau, qui unit le Lac Ontario à la rivière Ottawa, fut créé par eux pour des raisons militaires 4. Sous la direction de sir John Kennedy, ils améliorèrent le Saint-Laurent, le creusant à une profondeur telle que les plus grands steamers peuvent aborder au quai de Montréal. À ces hommes d'une énergie indomptable, nous devons la construction du Royal William, le premier steamer du Canada qui ait traversé l'Atlantique, et ce fut un habitant de la Nouvelle-Écosse, du nom de Cunard, qui fonda, en 1839, la fameuse ligne Cunard. Comparativement à ceux de l'Angleterre, de la France et des États-Unis, les essais de chemins de fer au Canada vinrent tard. La première petite ligne fut construite vers 1835. En 1850, il n'y avait que 55 milles de rails dans le pays entier 5. Le « Grand Tronc » construisit une ligne de Montréal à Toronto, et ensuite de Québec à la Rivière-du-Loup. En 1860, cette Compagnie détenait un ensemble de lignes de 1 092 milles de longueur 6. En 1862, le gouvernement impérial donna sa garantie financière pour la construction du « Chemin de fer inter-colonial » qui assurait la liaison des provinces de l'époque 7 ; son but était à la fois économique et militaire. On pensait alors à la possibilité d'une guerre avec les États-Unis. C'était l'union des centres importants de population par le rail.
De grands projets se discutaient partout. Dès 1842, sir Edward W. Watkins voulait pousser le Grand Tronc jusqu'aux rives du Pacifique 8. Le plus remarquable homme d'État de la Nouvelle-Écosse, Joseph Howe, étonna ses auditeurs lorsque, en 1851, il leur dit que parmi. ceux qui l'écoutaient, il y en avait qui entendraient l'appel du sifflet des locomotives dans les défilés des Montagnes Rocheuses 1. Un projet pratique d'un chemin de fer interocéanique fut présenté à John A. Macdonald en 1858 2. Bientôt après, pour rattacher la Colombie anglaise à la Fédération, l'audacieux homme d'État promit la construction du fameux chemin de fer que nous désignerons sous le nom de « Pacifique ». Le travail fut fait, et maintenant une double voie court d'un océan à l'autre. Tous les exploits d'entreprises semblables furent dépassés, des difficultés incroyables surmontées dans les Montagnes Rocheuses, et sur 3 243 milles, l'œuvre fut dotée d'un luxe étonnant d'accessoires de voyage et de toutes sortes de moyens en vue des contingences de l'avenir. Aucune histoire de construction ferroviaire n'est comparable à celle-ci. Pour la rapidité, dans les plaines, on atteignit jusqu'à six milles par jour 3. La voie fut finie six ans avant la date fixée par les contrats. Les anticipations des plus grands visionnaires étaient dépassées.
Sir Adolphe Routhier parle de cette belle voie, comme de l'artère principale du Canada, portant aux extrémités de l'organisme national le sang qui le fait vivre 4. Elle est, selon lui, l'organe essentiel de la vie non seulement du Canada, mais de tout l'Empire britannique. S'il eût écrit plus récemment, il eût pu mentionner plusieurs liens artériels nouveaux entre l'est et l'ouest, bien que le « Pacifique » soit prépondérant. On ne saurait surestimer l'importance du « Grand Tronc Pacifique », extension prodigieuse de cette compagnie qui fut si longtemps un pionnier patient et mal récompensé, parmi les chemins de fer du pays. Cette voie relie avec ses rails les parties les plus importantes des terres les plus septentrionales du Nord-Ouest, et, avec son système de navigation, raccourcira d'une façon importante la route de l'Angleterre à l'Orient. Le
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