Docteur ès lettres, docteur en droit







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gobinistes, Français et Anglais seraient les uns vis-à-vis des autres dans un état de dissentiment irréductible pour ne pas dire de mutuelle répulsion, bref fatalement et à jamais séparés, immuables comme des pyrites de fer ou des cristaux infusibles. Erreur profonde !
Le fait que les « Canadiens » 3 proviennent, en général, de l'Ouest de la France, est d'une grande importance. Ainsi que Garneau l'avait déjà fait pressentir 4, M. Walter Riddell dans son ouvrage, The Rise of Ecclesiastical Control of Quebec, maintient que les premiers immigrants qui contribuèrent à la population furent recrutés dans toutes les parties de la France, mais reconnaît pour certain que l'Est et le Midi ne donnèrent que peu de sujets. Le peuple canadien a donc ses racines les plus profondes dans la France de l'Ouest, et ce que la France possédait dans ce terroir de plus énergique et de plus vigoureux a contribué à sa formation. Il n'a ni la bonne humeur du pays des troubadours, ni la « bravade » gasconne. Ses habitants ressemblent plutôt à ceux des campagnes normandes, saintongeaises et picardes, où sont nés la plupart de leurs aïeux. M. le président Poincaré, regardant le colonel A. Mignault, un Canadien, dit qu'il avait « l'air d'un Normand » ; et La Terrière écrivait, il y a près d'un siècle, que pour un œil exercé, la ressemblance entre la demeure d'un paysan normand et celle d'un fermier des bords du Saint-Laurent, est frappante 5. « Dans une paroisse canadienne, dit M. Gustave de Molinari, le célèbre économiste français, on se croirait dans un village riche de Normandie 1. » Une comparaison également frappante pourrait aussi être faite entre le peuple et la classe sociale correspondante des districts ruraux d'Angleterre et d'Écosse. En ce qui concerne l'ethnologie, il n'existe pas de peuple d'ascendance gauloise qui ressemble moins à la France de Louis XIV, et plus à la France contemporaine, que les Canadiens aux points de vue social, politique et religieux. Dans la classe supérieure comme dans la masse populaire, une nationalité nouvelle s'est constituée, mais aussi différente de ses aïeux que les Américains le sont des Anglais. Ce fait est maintenant indiscutable.
Certes, sir A. B. Routhier a dit que « le Canada français est né durant l'âge classique de la France, qui fut l'âge de sa grandeur, de sa puissance et de sa gloire » 2. Chronologiquement, rien de mieux, mais c'est inexact en réalité. Il serait intéressant de savoir dans quelle mesure les premiers colons avaient partagé la vie des classes supérieures de la patrie. L'abbé H.-R. Casgrain a idéalisé la vie canadienne jusqu'à lui faire perdre tout contact historique. « Nous sommes restés un peuple pur d'alliages, homogène, vaillant et prospère 3. » Un peu plus loin, il exalte « la pureté de nos origines » 4. À ceci, on ne peut qu'opposer le fait mentionné par le professeur Charles W. Colby, affirmant que le Canada partagea, dans une certaine mesure, le sort des colonies américaines où l'on reçut cinquante mille émigrants tirés des prisons 5. Il faut ajouter que ces envois de France furent peu nombreux, et composés non de criminels, mais de simples délinquants : braconniers, faux sauniers, etc. C'est ce qu'admet l'historien canadien Alfred-D. de Celles 6. Ces hommes firent âme neuve, et, pendant une certaine période, l'admission des nouveaux arrivants fut soumise aux règles les plus sévères. Tel fut le cas de ce Courville qui, après avoir reçu l'intimation de « cesser la cour » qu'il faisait à Mlle d'Auteuil, contre le gré de cette jeune fille, fut - n'ayant pas obéi - emprisonné jusqu'au temps de son renvoi en France. Un noble, qui obsédait de même une jeune Indienne, fut reconduit à La Rochelle. Parmi les femmes que l'on importait, dans le but de les marier aux colons, deux « indésirables » furent immédiatement rapatriées 7.
D'autres écrivains, allant peut-être inconsciemment contre leurs propres intentions, ont représenté le Canada comme une parcelle de la France du grand monarque, et qui en aurait conservé les traits caractéristiques. Le prince de Beauvau-Craon nous peint les Canadiens comme la survivance de l'ancienne société française, à peine modifiée, et cela n'est peut-être pas l'éloge qu'il voulait leur faire 8. Jean Lionnet, un des nombreux Français qui partagent cette façon de voir, insiste sur le fait « qu'ils ressemblent... plus que nous à nos aïeux » 9. De quels aïeux parle-t-il ? Et de quelle période et de quelle province de la France ? Le docteur George Monro Grant, observateur aussi pénétrant que juste, soutient que « l'expérience a permis aux Canadiens de développer, sur le vieux fonds français, des qualités nouvelles, bonnes et mauvaises, mais parmi lesquelles les bonnes sont prédominantes » 1. Cette opinion est aussi partagée par M. de Molinari 2. Ils ont fait davantage et créé une nouvelle nationalité. Un milieu nouveau a déterminé une vie correspondante. Les Canadiens ne ressemblent à leurs aïeux que par certains côtés. Au commencement du dix-septième siècle, l'histoire et la vie des deux pays étaient bien différentes. Au point de vue ethnique, la France était, et reste même aujourd'hui, plus variée. Sa population avait moins de cohésion et d'unité religieuse que celle du Canada, où les colons s'efforçaient de mettre en relief leurs traits nationaux plutôt que leurs particularités provinciales. Ils furent non seulement liés mais fondus en un tout. Ceci contribua beaucoup à l'unité dans leur développement intellectuel, moral et religieux. Leur attachement au sol agit dans le même sens. Pendant les règnes de Louis XIII et de Louis XIV, la France eut des penseurs profonds et variés qui produisirent une grande effervescence, une animation intellectuelle, choses parfaitement impossibles au Canada.
Procédant par voie d'élimination, reconstruisez par la pensée une Nouvelle France telle que certains écrivains l'ont conçue, sans philosophes, ni moralistes, pour agiter et vivifier l'immobilité de la pensée religieuse, - une France dont l'esprit fut façonné par le clergé ultramontain et non par l'Église gallicane, -une France sans Descartes et sans Bayle, sans Fontenelle ni Montesquieu, sans les Encyclopédistes pour faire opposition à la théocratie du Nouveau Monde - une France, séparée de la mère patrie, et n'ayant pas subi la tragique mais vivifiante Révolution, ni ce que Victor Hugo a appelé « les brutalités du progrès » -une France dont les fils n'auraient ni visité l'Angleterre, ni étudié la langue ni les idées de ce pays, comme le faisaient tant de Français 3 ; une France éloignée des grands courants de la civilisation, harcelée par les Indiens, en butte aux attaques des Anglais, sans argent, sans presse, sans littérature, et ne possédant d'ailleurs qu'un nombre restreint de livres, éloignée des grandes concurrences et des intenses rivalités professionnelles ; une France dont le climat, au lieu d'être bienfaisant et doux comme celui de la mère patrie, laissant l'homme comparativement libre, est un adversaire sans indulgence qui le subjugue et l'accable ; faites masse de ces faits, et vous aurez une vue d'ensemble du Canada tel qu'il était, il y a soixante ou quatre-vingts ans, lorsque commencèrent à se manifester les puissantes influences qui devaient le transformer.
Tout en relevant les profondes divergences intellectuelles entre les ancêtres et leurs descendants, il faut se rappeler que les immigrants venus de France, poussés par des fins religieuses et politiques, étaient d'une valeur morale peu ordinaire. Les éléments inférieurs furent glorieusement relevés. Sur six cent soixante-quatre enfants baptisés de 1621 à 1690, les archives de la colonie ne font mention que de deux enfants illégitimes 4. Le divorce était inconnu ; il l'est encore, du reste. L'accroissement de la population était vivement encouragé. L'opinion populaire et les institutions favorisaient les familles nombreuses 1. Les permis d'exercer la traite des pelleteries et les autres situations privilégiées étaient refusées aux célibataires.
Les idées morales étaient sévères, pour ne pas dire ascétiques. Le premier bal, donné au Canada, eut lieu le 4 février 1667, chez Chartier de Lotbinière. Le lendemain, le supérieur des Jésuites note le fait dans le Journal des Jésuites 2, et ajoute : « Dieu veuille que cela ne tire point à conséquence ! » Un autre bal, donné par les officiers du régiment de Carignan, fut loin d'être bien vu du clergé 3. Le comte de Frontenac, désirant faire jouer le Tartufe de Molière, eut un aigre démêlé avec Mgr de Saint-Vallier. Cette pièce était considérée comme immorale 4 par le clergé, et fut condamnée. Pendant assez longtemps, l'excellent évêque interdit aux Jésuites de donner des représentations ou des séances littéraires dans leurs écoles 5. Les licences pour la vente des liqueurs étaient sous la juridiction immédiate des intendants. On ne pouvait jouer aux cartes ni fumer dans les auberges 6. Enfin, les jeux de société étaient peu nombreux. On aurait pu rendre des points aux puritains de la Nouvelle-Angleterre.
L'élite sociale était constituée par la petite noblesse. La plupart de ses membres, selon l'honorable Rodolphe Lemieux, « étaient ruinés, sans ressources, et, étant militaires, en dehors des aventures de la guerre, ils restaient inoccupés » 7. Quelques-uns abandonnèrent les traditions de leur rang, et se livrèrent au commerce des pelleteries 8 ; dédaignant le nom de « négociants », ils se faisaient appeler « commandeurs ». Suivant M. le professeur Colby, aucun noble de haut rang, quant à la richesse ou aux prérogatives, n'est venu s'établir au Canada 9. Si leur fortune leur eût permis d'habiter Versailles, ils ne l'auraient jamais quitté. Du reste le pays n'en comptait que cent cinquante à l'époque de la conquête anglaise 10. La liste de Carleton en mentionne cent vingt-six dans la colonie, et soixante-dix-neuf domiciliés en France 11. M. le magistrat Baby donne à peu près les mêmes chiffres 12 et les archives de l'année 1787 indiquent seulement trente-sept familles seigneuriales 13.
Il faut se rappeler que les seigneurs étaient bien loin d'appartenir à la noblesse, et d'être doués des attributs qui caractérisaient cette classe de la métropole. Un officier allemand, accoutumé aux idées nobiliaires continentales, écrit « que le seigneur n'avait pas honte d'épouser la jolie fille d'un de ses tenanciers » 1. En réalité, ils n'étaient ni plus ni moins que des agents fonciers 2, et, si l'on veut voir là une tentative d'établissement féodal, ce n'en fut qu'une de ses formes les plus anodines. En France, les nobles étaient propriétaires de leurs fiefs, mais les seigneurs du Canada étaient forcés de donner les terres à bail, tout en imposant des obligations de vasselage. Là, les corvées étaient de douze jours par an, et souvent davantage ; dans le Nouveau Monde, elles se prolongeaient rarement au-delà de six. Il était dans la nature des choses que ces hommes fussent jaloux de leurs privilèges et même portés à les agrandir. Magnanimes, en paroles, plusieurs d'entre eux ne s'en montraient pas moins d'une vénalité déplorable. Enfin, ils étaient portés à donner une importance exagérée aux petites choses ; les questions de préséance leur paraissaient capitales : ainsi, la place que devaient occuper à l'église le gouverneur et l'intendant 3. Au commencement du dix-neuvième siècle, Mme Taché fut fort irritée, parce qu'un de ses tenanciers l'avait dépassée sur la route 4.
Quelle que fût la distinction de leurs meilleurs représentants, les nobles étaient incapables de cet esprit d'initiative qui fait réussir les entreprises coloniales. Quand la dernière crise survint, ils ne surent pas se mettre à la tête de leurs compatriotes 5. Quoi qu'il en soit, leurs traditions et leurs usages tendaient à établir, dans le pays, une société choisie dont le charme et les bonnes manières eurent une influence durable 6. Avec le clergé, il faut les féliciter d'avoir introduit dans la colonie le nombre considérable - pour l'époque - de volumes que possèdent actuellement les bibliothèques de Laval, à Québec, et de Saint-Sulpice, à Montréal 7. Un des avantages du système, même avec ses droits exorbitants, d'un douzième du prix de la vente d'une propriété, fut qu'il constituait un frein aux fréquentes volte-face de la mobile nature des colons, et aussi de les fixer au sol. Un autre point important, c'est que les lois leur enlevaient les terres qu'ils ne défrichaient pas.
Ce système était en harmonie avec le besoin des temps. Lord Durham le considère comme « modéré, équitable et favorable au peuplement d'un pays neuf » 8. Le 2 juillet 1771, le roi d'Angleterre recommande « que les octrois de terre soient faits selon ce système » 9. En 1775, l'autorité coloniale exige « que toutes les concessions faites dans la province de Québec -comprenant alors le Haut et le Bas Canada - soient sous forme de fief et de seigneurie », même celles promises en 1786, aux loyalistes, aux officiers et aux soldats des régiments coloniaux, devaient être faites d'après les mêmes principes 10.
Le clergé et les survivants de la classe dirigeante française approuvaient ces dispositions 1. En 1830, Pierre de Sales La Terrière le jeune mentionne un rapport devant l'Assemblée législative de Québec, fait en 1821, où l'on affirme que ce système, établissant une égale répartition des terres, était « favorable au bonheur du peuple, à la morale, aux bonnes habitudes de travail, à la stabilisation des lois, du gouvernement et de l'armée » 2. Pourtant l'auteur admet que « l'un et l'autre systèmes avaient leurs mérites et leurs défauts » 3. De leur côté les colons voyaient la question d'un autre œil. Quand, durant une période de grande détresse, les habitants de la région du Saguenay demandèrent des terres, ils consentirent à les prendre aux conditions faites, mais ils prièrent, avec insistance « que la concession ne fût pas accordée selon la tenure féodale » 4. C'était « pour mettre un terme à cette institution, nous dit le docteur Robert Nelson, que les paysans, en 1837, s'étaient battus à Saint-Denis et à Saint-Charles » 5. Il est probable que ce régime, qui n'était ni asservissant ni dégradant, n'était pas aussi funeste qu'on s'est plu à l'affirmer, puisque lors de son abolition, les fermiers restaient libres de mettre fin à leurs obligations, en versant une somme modique ; or, beaucoup n'eurent jamais recours à cet affranchissement facile 6. Plusieurs seigneurs jouirent de la plupart de leurs privilèges jusqu'à la fin de leurs jours 7.
Le nombre des « seigneuries » lors de la cession du Canada à l'Angleterre était de deux cent dix-huit 8. Il y a eu assez souvent une tendance à déprécier outre mesure les seigneurs canadiens. Francis Masères, peu sympathique aux habitants de la colonie, répète avec insistance qu'il n'y avait que « huit ou dix seigneurs, ou peut-être douze, qui fussent de la noblesse telle qu'on l'entend en France » 9. Néanmoins, quelques-uns d'entre eux, autant que les fonctionnaires, étaient fort cultivés et enthousiastes des belles-lettres 10. On retrouve les traces de leur influence dans l'esprit et les manières du clergé, dans la classe supérieure, et chez « l'habitant ». Une monographie admirable, intitulée Education in the Province of Quebec  11, due au docteur G.-W. Parmelee, directeur de l'enseignement anglais et protestant dans la province, homme d'une grande culture et d'une impartialité rare, semble attribuer cette élégance naturelle à l'enseignement. On pourrait se demander s'il n'a pas pris l'effet pour la cause. Les écrivains américains et anglais qui parcoururent le pays, il y a un siècle, et même plus tôt encore, nous parlent de l'absence d'éducation populaire, mais presque tous ont été frappés par les gracieuses manières des habitants. À la campagne, s'ils sont plus rudes, ils sont rarement grossiers. Ils ont les qualités et les défauts d'un peuple nativement sociable.
Sir Wilfrid Laurier citait un jour à l'auteur le cas d'un Canadien illettré, dont les manières avaient toute la grâce et tout le charme de celles du plus grand seigneur. M. A, G. Bradley, qui écrit de si belles pages sur les Canadiens, disait que « la politesse est dans le sang même de l'habitant. Sa façon de saluer un étranger en lui souhaitant le bonjour stupéfierait l'Américain accoutumé à la désinvolture des grand'routes de l'Ouest 1. Il est de la dernière évidence que les habitudes raffinées des prêtres, des seigneurs, ont laissé des traces profondes, et que leur civilité jaillit de leur éthique chrétienne. Dans sa description des aventures du Révérend John Williams, ecclésiastique de la Nouvelle-Angleterre, prisonnier de Deerfield chez les Indiens, le docteur James Douglas rapporte que le récit de ce pasteur protestant « confirme nombre d'autres témoignages, montrant que les colons de la Nouvelle-France, du haut en bas de l'échelle sociale, étaient courtois et généreux » 2. Ils ont même payé aux Indiens la rançon de captifs de la Nouvelle-Angleterre 3.
Le curé, le seigneur et le capitaine 4 de la milice étaient d'importants fonctionnaires dans chaque paroisse 5, modérant, plutôt qu'encourageant, l'initiative féconde des habitants. Un esclavage restreint 6 existait, mais il ne restait que fort peu d'esclaves lors de la cession 7 ; leur nombre se releva, alors, pour décroître et disparaître ensuite ; trois cent quatre de ces malheureux figurent au recensement de 1804 8 ; mais possédés pour la plupart par des marchands anglais. Un service postal fonctionnait déjà en 1721 9. L'administration de la justice était compliquée, comme en France, mais raisonnablement prompte et peu dispendieuse 10 ; toutefois les rapports des juristes britanniques en signalent l'abandon. En lisant les débats du Parlement anglais sur
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