Mémoires d'une jeune fille rangée







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titreMémoires d'une jeune fille rangée
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Autobiographie


  1. Trois récits de naissance : Rousseau, Stendhal, Beauvoir, Sartre, Gide…

 Textes bruts, sans indication :

  • différenciation stylistique, historique

  • points communs : récit de naissance

  • spécificité de chaque texte, de chaque auteur

  1. Ecriture : raconter sa naissance à partir de l’incipit générique : je suis né le … à …

  2. Groupement de textes : Beauvoir, Colette, Gide…

  3. Œuvre intégrale : La Promesse de l’aube

  4. Cursive : Wright



Trois récits de Naissance :

Texte …. : Georges Perec, W ou le souvenir d’enfance, éd. Denoël, 1975.

Georges Perec (1936-1982) est surtout l’auteur de romans (Les Choses, 1965 ; La Vie mode d’emploi, 1978). Il a beaucoup pratiqué la recherche formelle sur l’écriture (en s’imposant parfois des contraintes difficiles) et a été un témoin sensible de son époque, qui a pu dénoncer le fonctionnement de la société où il vivait. Il a donné à son récit W… le titre d’un roman qu’il avait écrit quand il était enfant. L’ouvrage se compose de deux textes qui alternent : l’un est le roman écrit par l’enfant, l’autre est une autobiographie.

Texte …. : Simone de BEAUVOIR, Mémoires d'une jeune fille rangée, éd. Gallimard, 1958.

Essayiste et romancière, Simone de Beauvoir (1908-1986) a exercé une grande influence après la Seconde Guerre mondiale, notamment en défendant l'émancipation de la femme. Les Mémoires d'une jeune fille rangée (1958) retracent son itinéraire intellectuel et moral à travers le récit de son enfance et de son adolescence.

Texte …. : Marguerite Yourcenar, Souvenirs pieux, éd. Gallimard, 1974.

Marguerite Yourcenar (1903-1987) est surtout connue pour ses romans (Les Mémoires d'Hadrien, 1951; L'Œuvre au noir, 1968), mais elle est également essayiste, poète et traductrice. Le texte qui suit est extrait de l'un de ses ouvrages autobiographiques et pose le problème de la difficulté de l’immersion dans le passé à la recherche d'un moi éloigné du moi présent de l'auteur-narrateur.

Texte …. : André Gide, Si le grain ne meurt, éd. Gallimard, 1926.

André Gide a dépassé la cinquantaine quand il entreprend d’écrire son autobiographie. Dans Si le grain ne meurt, il fait le récit des vingt-six premières années de sa vie, de son enfance à ses fiançailles, portant un regard critique sur le conformisme bourgeois de sa famille.

Texte …. : Georges Perec, W ou le souvenir d’enfance, éd. Denoël, 1975.

Georges Perec (1936-1982) est surtout l’auteur de romans (Les Choses, 1965 ; La Vie mode d’emploi, 1978). Il a beaucoup pratiqué la recherche formelle sur l’écriture (en s’imposant parfois des contraintes difficiles) et a été un témoin sensible de son époque, qui a pu dénoncer le fonctionnement de la société où il vivait. Il a donné à son récit W… le titre d’un roman qu’il avait écrit quand il était enfant. L’ouvrage se compose de deux textes qui alternent : l’un est le roman écrit par l’enfant, l’autre est une autobiographie.

Texte …. : Simone de BEAUVOIR, Mémoires d'une jeune fille rangée, éd. Gallimard, 1958.

Essayiste et romancière, Simone de Beauvoir (1908-1986) a exercé une grande influence après la Seconde Guerre mondiale, notamment en défendant l'émancipation de la femme. Les Mémoires d'une jeune fille rangée (1958) retracent son itinéraire intellectuel et moral à travers le récit de son enfance et de son adolescence.

Texte …. : Marguerite Yourcenar, Souvenirs pieux, éd. Gallimard, 1974.

Marguerite Yourcenar (1903-1987) est surtout connue pour ses romans (Les Mémoires d'Hadrien, 1951; L'Œuvre au noir, 1968), mais elle est également essayiste, poète et traductrice. Le texte qui suit est extrait de l'un de ses ouvrages autobiographiques et pose le problème de la difficulté de l’immersion dans le passé à la recherche d'un moi éloigné du moi présent de l'auteur-narrateur.

Texte …. : André Gide, Si le grain ne meurt, éd. Gallimard, 1926.

André Gide a dépassé la cinquantaine quand il entreprend d’écrire son autobiographie. Dans Si le grain ne meurt, il fait le récit des vingt-six premières années de sa vie, de son enfance à ses fiançailles, portant un regard critique sur le conformisme bourgeois de sa famille.

L’autobiographie : le « topos » de la naissance.

Texte 1

Je suis née à quatre heures du matin, le 9 janvier 1908, dans une chambre aux meubles laqués de blanc, qui donnait sur le boulevard Raspail. Sur les photos de famille prises l'été suivant, on voit de jeunes dames en robes longues, aux chapeaux empanachés de plumes d'autruche, des messieurs coiffés de canotiers1 et de panamas2 qui sourient à un bébé : ce sont mes parents, mon grand-père, des oncles, des tantes, et c'est moi. Mon père avait trente ans, ma mère vingt et un, et j'étais leur premier enfant. Je tour­ne une page de l'album ; maman tient dans ses bras un bébé qui n'est pas moi ; je porte une jupe plissée, un béret, j'ai deux ans et demi, et ma soeur3 vient de naître. J'en fus, paraît-il, jalouse, mais pendant peu de temps. Aussi loin que je m'en souvienne, j'étais fière d'être l'aînée : la première. Déguisée en chaperon rouge, portant dans mon panier galette et pot de beurre, je me sentais plus intéressante qu'un nourrisson cloué dans son berceau. J'avais une petite sœur : ce poupon ne m'avait pas.

De mes premières années, je ne retrouve guère qu'une impression confuse : quelque chose de rouge, et de noir, et de chaud. L'appartement était rouge, rouges la moquette, la salle à manger Henri II, la soie gaufrée4 qui masquait les portes vitrées, et dans le cabinet de papa les rideaux de velours ; les meubles de cet antre5 sacré étaient en poirier noirci ; je me blottissais dans la niche creusée sous le bureau, je m'enroulais dans les ténèbres ; il faisait sombre, il faisait chaud et le rouge de la moquette criait dans mes yeux. Ainsi se passa ma toute petite enfance. Je regardais, je palpais, j'apprenais le monde, à l'abri.

1 - Canotiers : chapeaux de paille.

2 - Panamas : chapeaux de paille importés de Panama.

3 - Hélène, surnommée Poupette.

4 - Soie gaufrée : tissu de soie décoré de motifs en relief.

5 - Antre : caverne, refuge.

Texte 2

Je naquis le 22 novembre 1869. Mes parents occupaient alors, rue de Médicis, un appartement au quatrième ou cinquième étage, qu'ils quittèrent quelques années plus tard, et dont je n'ai pas gardé souvenir. Je revois pourtant le balcon ; ou plutôt ce qu'on voyait du balcon : la place à vol d'oiseau et le jet d'eau de son bassin — ou, plus précisément encore, je revois les dragons de papier, découpés par mon père, que nous lancions du haut de ce balcon, et qu'emportait le vent, par-dessus le bassin de la place, jusqu'au jardin du Luxembourg où les hautes branches des marronniers les accrochaient.

Je revois aussi une assez grande table, celle de la salle à manger sans doute, recouverte d'un tapis bas tombant ; au-dessous de quoi je me glissais avec le fils de la concierge, un bambin de mon âge qui venait parfois me retrouver.

  • Qu'est-ce que vous fabriquez là-dessous ? criait ma bonne.

  • Rien. Nous jouons.

Et l'on agitait bruyamment quelques jouets qu'on avait emportés pour la frime. En vérité nous nous amusions autrement : l'un près de l'autre, mais non l'un avec l'autre pourtant, nous avions ce que j'ai su plus tard qu'on appelait « de mauvaises habitudes ».

Qui de nous deux en avait instruit l'autre ? et de qui le premier les tenait-il ? Je ne sais. Il faut bien admettre qu'un enfant parfois à nouveau les invente. Pour moi je ne puis dire si quelqu'un m'enseigna ou comment je découvris le plaisir ; mais, aussi loin que ma mémoire remonte en arrière, il est là.

Je sais de reste le tort que je me fais en racontant ceci et ce qui va suivre ; je pressens le parti qu'on en pourra tirer contre moi. Mais mon récit n'a raison d'être que véridique. Mettons que c'est par pénitence que je l'écris.

A cet âge innocent où l'on voudrait que toute l'âme ne soit que transparence, tendresse et pureté, je ne revois en moi, qu'ombre, laideur, sournoiserie.

On m'emmenait au Luxembourg; mais je me refusais à jouer avec les autres enfants ; je restais à l'écart, maussadement, près de ma bonne; je considérais les jeux des autres enfants. Ils faisaient, à l'aide de seaux, des rangées de jolis pâtés de sable... Soudain, à un moment que ma bonne tournait la tête, je m'élançais et piétinais tous les pâtés.

L'autre fait que je veux relater est plus bizarre, et c'est pourquoi sans doute j'en suis moins honteux. Ma mère me l'a souvent raconté par la suite, et son récit aide mon souvenir.

Cela se passait à Uzès où nous allions une fois par an revoir la mère de mon père et quelques autres parents : les cousins de Flaux entre autres, qui possédaient, au cœur de la ville, une vieille maison avec jardin. Cela se passait dans cette maison des de Flaux. Ma cousine était très belle et le savait. Ses cheveux très noirs, qu'elle portait en bandeaux, faisaient valoir un profil de camée (j'ai revu sa photographie) et une peau éblouissante. De l'éclat de cette peau, je me souviens très bien ; je m'en souviens d'autant mieux que, ce jour où je lui fus présenté, elle portait une robe largement échancrée.

Va vite embrasser ta cousine, me dit ma mère lorsque j'entrai dans le salon. ( Je ne devais avoir guère plus de quatre ans; cinq peut-être.) Je m'avançai. La cousine, de Flaux m'attira contre elle en se baissant, ce qui découvrit son épaule. Devant l'éclat de cette chair, je ne sais quel vertige me prit : au lieu de poser mes lèvres sur la joue qu'elle me tendait, fasciné par l'épaule éblouissante, j'y allai d'un grand coup de dents. La cousine fit un cri de douleur ; j'en fis un d'horreur ; puis je crachai, plein de dégoût. On m'emmena bien vite, et je crois qu'on était si stupéfait qu'on oublia de me punir.

Une photographie de ce temps, que je retrouve, me représente, blotti dans les jupes de ma mère, affublé d'une ridicule petite robe à carreaux, l'air maladif et méchant, le regard biais.

Texte 3

L'être que j'appelle moi vint au monde un certain lundi 8 juin 1903, vers les 8 heures du matin, à Bruxelles, et naissait d'un Français appartenant à une vieille famille du Nord, et d'une Belge dont les ascendants avaient été durant quelques siècles établis à Liège, puis s'étaient fixés dans te Hainaut1. La maison où se passait cet événement, puisque toute naissance en est un pour le père et la mère et quelques personnes qui leur tiennent de près, se trouvait située au numéro 193 de l'avenue Louise, et a disparu il y a une quinzaine d'années, dévorée par un building.

Ayant ainsi consigné ces quelques faits qui ne signifient rien par eux-mêmes, et qui, cependant, et pour chacun de nous, mènent plus loin que notre propre histoire et même que l'histoire tout court, je m'arrête, prise de vertige devant l'inextricable enchevêtrement d'incidents et de circonstances qui plus ou moins nous déterminent tous. Cet enfant du sexe féminin, déjà pris dans les coordonnées de l'ère chrétienne et de l'Europe du XXe siècle, ce bout de chair rose pleurant dans un berceau bleu, m'oblige à me poser une série de questions d'autant plus redoutables qu'elles paraissent banales, et qu'un littérateur2 qui sait son métier se garde bien de formuler. Que cet enfant soit moi, je n'en puis douter sans douter de tout. Néanmoins, pour triompher en partie du sentiment d'irréalité que me donne cette identification, je suis forcée, tout comme je le serais pour un personnage historique que j'aurais tenté de recréer, de m'accrocher à des bribes de souvenirs reçus de seconde ou de dixième main, à des informations tirées de bouts de lettres ou de feuillets de calepins qu'on a négligé de jeter au panier, et que notre avidité de savoir pressure3 au-delà de ce qu'ils peuvent donner, ou d'aller compulser dans des mairies ou chez des notaires des pièces authentiques dont le jargon administratif et légal élimine tout contenu humain. Je n'ignore pas que tout cela est faux ou vague comme tout ce qui a été réinterprété par la mémoire de trop d'individus différents, plat comme ce qu'on écrit sur la ligne pointillée d'une demande de passeport, niais comme les anecdotes qu'on se transmet en famille, rongé par ce qui entre-temps s'est amassé en nous comme une pierre par le lichen ou du métal par la rouille. Ces bribes de faits crus connus sont cependant entre cet enfant et moi la seule passerelle viable ; ils sont aussi la seule bouée qui nous soutient tous les deux sur la mer du temps. C'est avec curiosité que je me mets ici à les rejointoyer pour voir ce que va donner leur assemblage : l'image d'une personne et de quelques autres, d'un milieu, d'un site, ou, çà et là, une échappée momentanée sur ce qui est sans nom et sans forme.

1. Hainaut région située de part et d'autre de la frontière franco-belge.

2. littérateur : écrivain (connotation souvent péjorative).

3. pressure : exploite.
Texte 4 :
Je suis né le samedi 7 mars 1936, vers neuf heures du soir, dans une maternité sise 19, rue de l'Atlas, à Paris, 19e arrondissement. C'est mon père, je crois, qui alla me déclarer à la mairie. Il me donna un unique prénom — Georges — et déclara que j'étais français1. Lui-même et ma mère étaient polonais. Mon père n'avait pas tout à fait vingt-sept ans, ma mère n'en avait pas vingt-trois. Ils étaient mariés depuis un an et demi. En dehors du fait qu'ils habitaient à quelques mètres l'un de l'autre, je ne pas exactement dans quelles circonstances ils s'étaient rencontrés. J'étais leur premier enfant. Ils en eurent un second, en 1938 ou 1939, une petite fille qu'ils prénommèrent Irène, mais qui ne vécut que quelques jours2.

Longtemps j'ai cru que c'était le 7 mars 1936 qu'Hitler était entré en Pologne. Je me trompais, de date ou de pays, mais au fond ça n'avait pas une grande importance. Hitler était déjà au pouvoir et les camps fonctionnaient très bien. Ce n'était pas dans Varsovie qu'Hitler entrait, mais ça aurait très bien pu l'être, ou bien dans le cou­loir de Dantzig, ou bien en Autriche, ou en Sarre, ou en Tchécoslovaquie. Ce qui était sûr, c'est qu'avait déjà commencé une histoire qui, pour moi et tous les miens, allait bientôt devenir vitale, c'est-à-dire, le plus souvent, mortelle3.

  1. En fait, cette déclaration, répondant aux dispositions de l'article 3 de la loi du 10 août 1927, fut souscrite par mon père quelques mois plus tard, très exactement le 17 août 1936, devant le juge de paix du 20e arrondissement. Je possède une copie certifiée conforme de cette déclaration, dactylographiée en violet sur une carte de correspondance datée du 23 septembre 1942 et expédiée le lendemain par ma mère à sa belle-sœur Esther, et qui constitue l'ultime témoignage que j'aie de l'existence de ma mère.

  2. Selon ma tante Esther, qui est à ma connaissance la seule personne se souvenant aujourd'hui de l'existence de cette seule nièce qu'elle ait eue — son frère Léon a eu trois garçons —, Irène serait née en 1937 et serait morte au bout de quelques semaines, atteinte d'une malformation de l'estomac.

  3. Par acquit de conscience, j'ai regardé dans des journaux de l'époque (principalement des numéros du Temps des 7 et 8 mars 1936) ce qui s'était précisément passé ce jour-là :

Coup de théâtre à Berlin ! Le pacte de Locarno est dénoncé par le Reich ! Les troupes allemandes entrent dans la zone rhénane démilitarisée. Dans un journal américain, Staline dénonce l'Allemagne comme foyer belliqueux.

Grève des employés d'immeubles new-yorkais. Conflit italo-éthiopien. Ouverture éventuelle de négociations pour la cessation des hostilités. Crise au Japon.

Réforme électorale en France.

Négociations germano-lituaniennes.

Procès en Bulgarie à la suite de séditions dans l'armée.

Carlos Prestès arrêté au Brésil ; il aurait été dénoncé par un communiste américain qui s'est suicidé.

Avance des troupes communistes au nord de la Chine.

Bombardement d'ambulances par les Italiens en Ethiopie.

En Pologne, interdiction de l'abattage des bêtes selon le rite talmudique.

En Autriche. condamnation de nazis accusés de préparer des attentats.

Attentat contre le président du Conseil yougoslave : le député Arnaoutovitch tire sans l'atteindre sur le président Stojadinovitch. Incidents à la faculté de droit de Paris. Le cours de M. Jèze est interrompu à l'aide de boules puantes.

Contre-manifestation de l'Union fédérale des Etudiants et des Etudiants neutralistes. Renault fabrique la Nerva grand sport. Intégrale de Tristan und Isolde à l'Opéra. Election de Florent Schmitt à l'Institut. Commémoration du centenaire d'Ampère.

La demi-finale de la Coupe de France de football opposera Charleville au Red Star, d'une part, et les vainqueurs des matches Sochaux-Fives et Racing-Lille, d'autre part.

Projet de Maison de la Radio.

Gibbs recommande, pour les peaux grasses, la crème de savon Gibbs ; pour les épidermes secs, la crème rapide sans savon Gibbs.

Scarface aux Ursulines.

Tchapaïev au Panthéon.

Samson au Paramount.

La Guerre de Troie n'aura pas lieu à l'Athénée. Anne-Marie, de Raymond Bernard, scénario d'Antoine de Saint-Exupéry, avec Annabella et Pierre-Richard Wilm, à la Madeleine. On annonce pour le vendredi 13 mars la première des Temps modernes, de Charlie Chaplin.

Rédaction : En vous inspirant du modèle qui vous a le plus frappé (Beauvoir, Gide, Yourcenar, Perec), rédigez le récit de votre naissance en une page (environ trente lignes).

Langue

Orthographe lexicale et grammaticale

/2




Syntaxe

/1

Vocabulaire

/1

Utilisation des temps

/1

Organisation

Mise en forme (soin, paragraphage)

/1




Cohérence et cohésion du texte

/2

Progression du texte

/2

Invention

Eléments du récit de la naissance

/3




Vraisemblance

/3

Imagination

/4
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