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Le rêve de Kepler Afin de nous faire bref, mais encore assez détaillé pour que tout le monde saisisse le message, il est nécessaire de faire un saut un peu en avant. Par exemple, en janvier 1616, Kepler découvrit, par les bureaucrates de Wurtenberg «.qu’il avait aussi été accusé d’arts défendus.»[23] Johannes lui-même ! Et nous parlons de quinze ans après qu’il s’eut emparé de l’œuvre de Tycho Brahe et qu’il fut devenu, d’autre part, Mathématicien et Astronome Impérial du Roi. Il avait écrit des livres, avait sorti quelques-unes de ses «lois» astronomiques, était très proche de Galilée et, de manière générale, était devenu ce qu’on appelle une personne importante. Or, le fait que les bureaucrates de Wurtenberg l’eurent accusé publiquement de pratiquer des «arts défendus», i.e., la magie noire, la sorcellerie, etc., nous révèle bien quelque chose, non ? Il y a davantage de fumée, c’est certain. Et avant cela, vers 1613-1614, il appert que le pasteur luthérien local de Linz, où Kepler s’était installé avec sa seconde épouse, refusa de permettre au scientiste «de participer à la Sainte Communion.»[24] Que savait ce pasteur ? Faisons un retour en arrière, en 1593, quand Kepler, alors étudiant à l’Université de Tübingen et âgé à l’époque de 22 ans, avait, comme nous l’avons noté antérieurement: «.rédigé une dissertation à propos de la lune. Son but fut de démontrer la simultanéité du mouvement de la Terre sur un axe et autour du soleil.»[25] L’église fit arrêter la distribution du livre et fit taire Kepler (ainsi on comprend mieux pourquoi ce pasteur luthérien inventa des accusations «d'arts défendus» contre lui. Cette même pratique est encore très populaire de nos jours parmi les évangéliques). Mais ce dernier ne laissa jamais tomber son manuscrit. Il chercha un moyen de contourner les objections de l’église. Une de ses tactiques fut de «.découvrir des précédents de cette pensée dans la littérature classique grecque qui soient acceptables.»[26] Par exemple, il trouva La face de la lune, de Plutarque, (qu’il plagia librement). Mais les administrateurs de l’église furent convaincus que cette dissertation n’était rien d’autre qu’une ingénieuse et diabolique séduction, sans fondement scientifique et inspiré de l’occulte, destinée à une seule chose, c’est-à-dire «.répandre la parole de la science copernicienne de telle sorte qu’elle ne s’attirerait pas d’ennemis (...) au sein de l’église.»[27] Ces administrateurs perçurent ses visées (débutées bien avant qu’il ne travaille pour Brahe !) et l’empêchèrent de réussir jusqu’à ce que ces parties du livre commencent à filtrer, spécialement après 1611. En 1611, comme nous l’avons vu, Kepler fut accusé de pratiquer les «arts défendus». Le livre s’était ébruité et se répandait, mais l’église n’avait pas changé ses positions en regard du contenu et des visées du livre qui étaient de promouvoir l’idée d’une Terre qui bouge. Est-ce que l’Église luthérienne (dans ce cas-ci, et l’Église catholique en ce qui concerne le cas de Galilée) ne fut constituée que d’un corps réactionnaire d’andouilles contre-intellectuelles et liées aux traditions qui ne cherchaient que leurs propres intérêts et ne pouvaient faire face à une vérité démontrable qui contredisait ce qui leur avait été enseigné ? (C’est ce que nous avons tous appris, n’est-ce pas ?) Ou est-ce que les administrateurs des églises, dans les deux cas, disaient simplement «acceptez ou taisez-vous» parce que ce qui était soumis ne contenait aucune preuve réelle, factuelle et scientifique que la Terre se mouvait ? En fait, lorsque les administrateurs ecclésiastiques virent le livre de Kepler, sa Géographie lunaire (ou, plus populairement, Le rêve de Kepler, qu’y trouvèrent-ils pour qu’ils refusent, en fin de compte, la Sainte Communion à cet homme et l’accusent de pratiquer les «arts défendus», i.e., la sorcellerie ? Ils y trouvèrent une abondante matière donnant la preuve évidente que M. Kepler n’était qu’un timbré diaboliquement inspiré, se posant en génie scientifique, insistant à dire, par l’intermédiaire d’un médium de science-fiction à peine grossièrement voilé, qu’il prouvait que la Terre bouge. Examinons pourquoi les administrateurs eurent une telle réaction. D’abord «Le personnage principal du livre que Kepler supposa voir dans son prétendu rêve était un jeune homme étudiant l’astronomie avec Tycho Brahe.»[28] Merveilleux ! On se demande qui cela pouvait être !? «Le deuxième personnage en importance dans cette allégorie était la mère du jeune homme qui étudiait avec Brahe. Dans le soi-disant livre du prétendu rêve, la femme sommait les esprits de guider son fils vers la lune.»[29] On se demande bien qui servit de modèle à cette mère ?! Kepler dit clairement que «.L’objectif de mon Rêve était de fabriquer, par l’exemple de la lune, un argument en faveur de la mobilité de la Terre.»[30] Donc, nous savons pourquoi il écrivit ce livre. «Par conséquent, Kepler se fit le raisonnement qu’en amenant par procuration les gens sur la lune et les y faisant prendre place, apparemment, il pouvait leur montrer la Terre en mouvement.»[31] Ainsi, nous avons le portrait de ce que devait accomplir le Rêve de Kepler et le moyen d’y parvenir. En gros, l’illustration nous dit qu’il veut amener des gens sur la lune pour qu’ils puissent s’y camper et voir de leurs propres yeux que la Terre se meut. Mais comment y arriver ? C’était tout un problème ! Voici la solution de Kepler: «La route pour s’y rendre [à la lune] à partir d’ici, ou de la lune à la Terre, nous est rarement ouverte. En fait, lorsqu’elle l’est, c’est facile pour nous, mais pour les hommes, le passage est extrêmement difficile (...) Lorsque le cône de l’ombre touche la lune pendant une éclipse, les démons utilisent le cône d’ombre comme une échelle pour envahir la lune par grandes troupes. Et quand le cône de l’ombre de la lune touche la Terre dans une éclipse totale du soleil, les démons retournent à la Terre par le cône.»[32] Voilà résolu le problème de transport ! Certaines gens s’envolent avec une poignée de démons lors d’une éclipse. No problemo ! Et pourquoi ne pas utiliser le balai d'une sorcière dans un tel cas fantasmagorique. Ensuite, Kepler nous décrit en détails considérables la topographie de la lune et les habitants qui demeurent sur ce globe. En voici quelques exemples: «[Il y a] des cavités et des cavernes continues qui servent de protection aux habitants [de la lune] contre la chaleur et le froid.»[33] «Tout ce qui sort du sol ou qui y marche est d’une dimension prodigieuse. La croissance se fait très rapidement; tout a une vie courte, même si cela atteint une grosseur corporelle si énorme.»[34] «[Ces habitants de la lune] n’ont pas de demeure établie, pas de domicile fixe: ils errent en hordes sur tout le globe en l’espace d’une de leurs journées, certains à pied, par quoi ils surpassent de loin nos chameaux, d’autres par le moyen d’ailes, d’autres par bateaux suivent le cours des eaux, ou, si une pause de plusieurs jours est nécessaire, ils rampent alors dans les cavernes (.) La plupart des créatures peuvent plonger (.) et, par conséquent (.) ils vivent en eaux profondes (...) et tout ce qui flotte à la surface est bouilli par le soleil du midi et devient leur nourriture à l’arrivée des troupes d’habitants errants..»[35] «Une race de serpents prédomine en général. Il est merveilleux de les voir s’exposer au soleil du midi, comme pour notre simple plaisir, mais seulement dans l’ouverture des cavernes qui leur sert de retraite sûre et pratique.»[36] «Lorsque commence la comparaison entre les habitants lunaires et les terrestres, l’on peut se faire un jugement identique concernant certaines choses similaires. Puisque nous regardons les parties tachée de la lune comme étant cultivées, nous pouvons supposer que des bandes sauvages et barbares de voleurs habitent les rudes territoires montagneux.»[37] Il est évident que Kepler souffrait des délires d'une psychose très avancée et qu'il s'imaginait qu'il était un sorcier qui détenait certaines puissances, un tel phénomène se voit aussi de nos jours chez les pentecôtistes et les charismatiques et pourtant cette vermine évangélique est considérée comme chrétienne par le restant du monde. Étrange qu'il en soit ainsi, n'est-ce pas! ![]() Le moyen de voyager vers la lune selon Kepler Bon, c’est assez. Cela doit nous faire une idée des concepts de Kepler à propos du terrain de la lune et de ses habitants. Pas mal pour un écrivain de science-fiction d’il y a 400 ans ! Le seul problème, c’est que Kepler fait partie du Temple de la Renommée de la Science, pas du Temple de la Renommée de la Science- FICTION ! Je crois qu’il y a une différence, non ? Moi qui ai toujours cru que le mot «science» (scire: savoir) et le mot «fiction» (imaginaire; ni réel ni connu) étaient opposés. Sans doute seulement dans le dictionnaire ! Dans le monde de l’héliocentrisme et de l’évolutionnisme (qui contrôlent toutes les sciences et connaissances de l’homme dans tous les domaines d’apprentissage), les deux opposés vont toujours ensemble ! De là le fait que le monde fonctionne avec un «savoir» qui ne connaît rien, n’est purement qu’imaginaire et n’est pas supposé connaître quoi que ce soit, mais il est couplé à une «science» que l’on dit tout connaître. Ainsi, la «Science-Fiction» est, en vérité, de la «Fiction-Fiction» se disqualifiant en tant que «Vérité-Fiction». Allons plus loin et tentons de tirer quelque chose de solide du Rêve de Kepler. En fait, laissons tomber la matière hors propos telle que les supposés habitants de la lune, la façon dont les démons se promènent de la Terre à la lune et vice versa, et le reste, et examinons un aperçu du semblant de génie déployé dans la conception de Kepler sur la nature de la lune elle-même, les distances impliquées, etc.. Pour débuter, Kepler dit, dans une note en bas de page: «. la Terre aura 860 milles [1 376 km] de rayon (...) Je déduis que la lune, à son apogée, est dans un rayon de 59 de la Terre: 860 multiplié par 59 égale 50 740 milles [81 184 km].»[38] La Terre, bien sûr, a un rayon de 4 000 milles [6 400 km] et la distance de la lune varie entre 220 000 et 250 000 milles [352 000 et 400 000 km]. Donc, notre prodige scientifique était un peu en dehors des rails, ici. Employant un télescope, en 1623, Kepler nota: «.À partir des taches de ténèbres complètes, je déduis des mers (...) et à partir du noir un peu plus pâle, je déduis des marécages.»[39] Des photographies rapprochées modernes effectuées par la navette couplée à quelques alunissages et explorations lunaires nous ont confirmé, évidemment, que la lune est aussi sèche qu’un sac de pop-corn et qu’en fait, pas même le moindre élément rudimentaire de vie n’y est possible, encore moins de PH2O. Donc, encore une fois, il appert que — même équipé d’un télescope et fort d’une expérience de près d’un quart de siècle derrière lui — notre poids lourd scientifique a gaspillé son temps. L’idée de Kepler à propos de l’extension de l’atmosphère terrestre est également révélatrice de notre génie scientifique. Il dit ceci à ce sujet: «. la portée extérieure de l’air se termine au sommet des plus hautes montagnes et même plus bas.»[40] Peut-être sommes-nous un peu biaisés, ici. Sans doute pouvons-nous nous faire une meilleure idée du don de Kepler pour la pensée scientifique en examinant son idée du type de propulsion qui offrait le transport aux démons et aux gens qui allaient et venaient de la lune: «Bien qu’il [Kepler] dise comment les forces de propulsion opéreront dans son allégorie, le rêve de Kepler, celui- ci ne dit jamais quelle forme prendra cette propulsion. Tout est établi en terme d’action par le Démon ou Spécialiste en connaissance lunaire.»[41] Kepler incorpora un concept de gravité dans ses considérations caricaturées. Les corps des voyageurs lunaires humains sont lourds et pas très aérodynamiques. Les gros Allemands n’y arriveraient pas, écrit Kepler, mais «. nous ne dédaignerions pas les corps durs et efflanqués des Espagnols.»[42] La seule manière d’échapper à l’attraction terrestre aurait été «.une poussée violente et rapide (...) à la vitesse de 12 000 milles à l’heure [19 200 k/h] (...) [par laquelle le voyageur] est tordu et tourne sur lui-même comme lancé d’un canon.»[43] C’est un rude voyage, mais le chef Démon prescrit «.des narcotiques et des opiacés» [pour adoucir un peu les choses].[44] Oui, et je parierais que le même démon conseillait la même prescription à notre copain Kepler pendant qu’il rédigeait son cauchemar sur papier ! Décoller du sol à 12 000 milles à l’heure, rien de moins ! J’ai déjà des sensations désagréables en montant dans un ascenseur. À en juger l’expérience, nous pourrions calculer que les voyageurs vers la lune raccourciraient immédiatement de soixante centimètres ! Six fois la vitesse d’une balle de carabine départ arrêté ! Si Kepler ne touchait pas lui-même aux narcotiques, c’est tout comme ! De toute manière, admettons que l’expédition se déplace et arrive «.à la jonction de l’espace où l’attraction de la gravité terrestre égalise exactement l’attraction gravitationnelle de la lune, de telle sorte que les voyageurs étaient comme s’ils ne dérivaient vers aucune direction.»[45] (Nous verrons plus loin, dans un prochain chapitre, cette question de la «gravité-zéro».) Maintenant, les voyageurs de Kepler sont dans de beaux draps. Ils sont suspendus dans une zone neutre de gravité et le problème de la propulsion se pose à nouveau. Mais ne vous en faites pas. Kepler le résout comme un pro. Pendant cette pause, les voyageurs «.rassemblent leurs membres étendus, comme des araignées, et se mettent en boule. Alors, l’esprit d’apprentissage [hein ?] les pousse à l’orée de la gravité lunaire, “presqu’au moyen de notre seule volonté”.»[46] Wow ! Ils ne peuvent même pas faire ça dans Star Trek ! La Propulsion-démon ! Arrêtons-nous ici en ce qui a trait à ce que le cerveau de Kepler pouvait sortir à propos des voyages vers la lune, sinon la tête va commencer à nous tourner. Jetons plutôt un coup d’œil sur la réaction de ce même cerveau face à la grande question de l’origine de la vie sur Terre. Un biographe nous dit ceci: «.la question de l’origine de la vie sur Terre fascinait Kepler.»[47] Il croyait que la vie fut spontanément générée de la matière morte (en violation de la Loi de la Biogenèse, i.e., la vie ne provient que de la vie) et postulat que les habitants de la lune avaient émergé «.de débris solaires charriés sur la lune dans la fraîcheur du soir (...) L’adaptation des espèces (...) semblait aussi logique à Kepler qu’elle le fut pour Charles Darwin quelques centaines d’années plus tard, lorsque Darwin commença à monter sa théorie de l’évolution.»[48] Ce cher Kepler était donc en avant de son temps là-dessus, n’est-ce pas ? Eh bien, oui et non. Oui, parce qu’il fallut 250 ans et plus pour que Darwin lance le mouvement de l’évolution (même s’il rejetait l’absurde génération spontanée à la faveur de l’absurde «sélection naturelle»). Et non, parce que le concept de l’évolution, sous une forme ou une autre, est vieux comme le monde. Par exemple, il apparaît dans les citations du Rabbin Maimonides, écrites dans le Talmud babylonien, quelques trois cent ans auparavant. C’est une information qui a une importance colossale pour la bonne compréhension de la trame qu’a ourdie Satan depuis de nombreux siècles. Néanmoins, il serait tout à fait incorrect d’indiquer que Kepler n’apporta pas une contribution extraordinaire à la «science» moderne. Elle fut extraordinaire ! C’est le mot ! La «science» moderne doit plus à Kepler que Copernic, Galilée et Newton réunis ! Or, la question n’est pas tant de savoir s’il apporta une extraordinaire contribution à la «science» moderne, comme de savoir si cette contribution est, en fait, composée d’une partie de vérité pour neuf parties de folies ! Jetons un œil sur certaines contributions spécifiques à la «science» de la part du célèbre Herr Kepler: La contribution de Kepler à la science Nous venons de voir que Kepler était plus de deux cents ans en avant de son temps concernant ses notions sur l’origine évolutive de la vie, mais il y a peu de gens qui réalisent que ce fut Kepler, et non Newton, qui conçut le concept de la gravitation universelle. Moins nombreux encore ceux qui réalisent que c’est lui, et non Newton, qui formula une théorie voulant que les marées soient causées par l’attraction gravitationnelle de la lune, en premier lieu, et celle du soleil ensuite. Voilà deux des énormités prônées par la physique moderne et Newton, non Kepler, en tire tout le crédit dans les livres. Ce pour quoi l’on se rappelle de Kepler d’abord et avant tout, c’est sa découverte des orbites elliptiques. Notez la confirmation de cette déclaration: «.de manière générale, les historiens attribuent la formulation de la loi universelle de la gravité à Newton (...) La formulation de Newton est variablement datée de 1666 à 1686.»[49] Toutefois: «Dans la Géographie lunaire de Kepler, datée de 1609, nous trouvons pour la première fois l’attraction de la lune s’exerçant sur les eaux de la Terre pour créer les marées (...) Cela est certainement une adaptation de la nature universelle de la gravité, un demi siècle avant Newton.»[50] Pour ce qui est des conclusions de Kepler au sujet des orbites elliptiques, nous lisons ceci: «En 1609, il [Kepler] annonça deux importantes conclusions et, en 1618, il découvrit la troisième. Nous les connaissons sous le nom de Lois de Kepler: “1) Les planètes décrivent autour du soleil des ellipses dont le soleil lui-même occupe l’un des foyers (c’est le plan de cette ellipse que l’on nomme l’orbite); 2) Les aires décrites successivement par le rayon vecteur allant du centre de la planète au centre du soleil sont proportionnelles au temps employé à les parcourir; 3) Les carrés des temps de révolution des planètes autour du soleil sont proportionnels au cube des grands axes de leurs orbites. De cette troisième loi nous tirons cette conclusion que c’est la même force qui sollicite toutes les planètes, force que nous appelons pesanteur à la surface de la Terre.” Ici prenaient fin les tentatives de représenter le mouvement des planètes par déplacement circulaire uniforme dont la Terre était le centre. Il n’y avait TOUJOURS PAS DE PREUVE, toutefois, QUE LA TERRE ELLE-MÊME TOURNAIT AUTOUR DU SOLEIL.»[51] Le Dr Kepler ne vous a pas trop perdu avec ses Lois ? Pour l’instant, laissons un peu de côté la matière concernant les marées et la gravité universelle (nous y reviendrons plus en détail dans un autre chapitre), et examinons de plus près ce que disent réellement ces trois «lois» au langage lourd. |
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