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DOSSIER DE PRESSE Cédric Guillermo Alors ça mord ? Résidence du 9 mai au 2 juillet 2016 Exposition du 1er juillet au 26 août 2016 Vernissage le vendredi 1er juillet à 18h30 Rencontre avec l'artiste le samedi 2 juillet à partir de 15h30 ![]() Cédric Guillermo, série Alors ça mord ?, 2016 Communiqué de presse Diplômé de l’École Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Paris, Cédric Guillermo développe un travail artistique où le monde rural tient une place centrale. Issu du milieu agricole, il joue de ses origines et s’approprie les codes de la ruralité pour construire une œuvre témoignage empreinte d’humour et d’ironie. Trois structures artistiques, L'aparté, 2angles (Flers) et le PHAKT, Centre Culturel Colombier (Rennes) ont invité Cédric Guillermo à présenter un travail inédit. Trois lieux, un thème : l'outil. A L’aparté, situé au bord du Lac de Trémelin, la pêche est à l'honneur. L'artiste réalise des dessins et des sculptures - objets tantôt fragiles et décoratifs, tantôt drôles et absurdes, ou encore robustes et solides. Trois figures de pêcheurs, juchées sur le toit de la salle d’exposition, donnent le ton. A l’intérieur, Cédric Guillermo nous livre sa vision, sculptée et dessinée, de l’univers de la pêche : hameçons, flotteurs, appâts, portraits de pêcheurs et leurs trophées, bottes, combinaison, float tube. Rien ne manque. Visuels disponibles ![]() Cédric Guillermo, série Alors ça mord ?, 2016 ![]() Cédric Guillermo, série Alors ça mord ?, 2016 Textes critiques Cédric Guillermo Devant la ferme de ses parents, accueillant les visiteurs de l’exposition La rurale, organisée avec trois artistes dans les bâtiments de l’exploitation, il a l’allure d’un empereur romain. Il veut continuer de vivre à la campagne, mais peut-il aller ailleurs ? Il expose dans le grenier de la ferme une vache grandeur nature, taillée à la tronçonneuse dans du chêne, sur un tapis, devant un poste de télévision où les images d’un petit train tournent en boucle. Un beau cadeau de mariage que ses séries d’assiettes de porcelaine en coffret au décor de patates ou de machines agricoles, drôle en tous cas. Cédric Guillermo décrit le monde rural avec humour, tel qu’il est devenu, grignoté par la modernité, les soupes en poudre, les cultures intensives mais aussi par Les chiffres et les lettres, l’émission de la télévision. Pour l’heure, il a fait de l’ancienne étable et de la laiterie son atelier. Un bric-à-brac où les œuvres se cachent sous des bâches qui découvrent un silo d’acier rouge cerise, découpé comme une orange pelée dont les volutes s’échappent dans l’espace, et une cuve d’acier jaune et verte présentée en rondelles. Un broyeur à pommes s’est transformé en Broyeur à encres, une pelle, un râteau et une fourche, peints de couleurs vives, accrochés au mur, ont hérité de manches au bois tourné, trois têtes de petits cochons sculptés dans le hêtre surgissent d’une armoire à deux battants. Ils voisinent avec des planches empilées, une vieille bassine, des harnais, des établis, des tours à bois, des scies sauteuses, une machine à coudre le cuir, un buffet de formica, un char à bancs à la capote crevée, des tiroirs pleins de clous, de vieux fauteuils et sa remorque toute neuve, bâchée comme une roulotte pour transporter ses œuvres. L’artiste bavarde, exulte, rit, et m’entraine à l’étage. Sous les combles, une construction de bois, une cabane à la porte de verre coulissante, abrite son bureau, le grand écran de l’ordinateur, les étagères avec ses carnets, le radiateur électrique, la table lumineuse où il reprend ses dessins représentant des sulfateuses, mais aussi des fruits et des légumes, utilisant le traitement numérique pour unifier le trait, les rehaussant d’aquarelle. De là-haut, il dirige les opérations en vrai chef d’orchestre, car toutes ses machines inventées fonctionnent, comme celle à botter les fesses ou à planter les clous, en chef d’entreprise aussi, il imagine alors de fabriquer une usine, avec des silhouettes articulées à leur poste de travail : Guillermo Sa. L’histoire ne dit pas si elle produit ces drôles d’isolateurs de clôture en corne de zébu, des têtes de canard, de loup, ou autres animaux fantastiques qu’il a réalisés pour une exposition dans les champs. Je suis toute étourdie de ma visite, mais lorsqu’il me raccompagne dans la cour, je ne sais pourquoi, il me rappelle l’artiste du tableau Bonjour Monsieur Gauguin, que l’on voit solitaire, devant la barrière, sur le ciel sombre et la lumière d’orage indiquant que nous sommes juste avant la pluie. Dominique Picard, 2015A la soupe Il est des contradictions dans nos campagnes. De celles qui font aimer les boîtes de conserve et les soupes en sachet à certains habitants ruraux âgés, fiers de consommer moderne et productif. Il est des contradictions dans nos villes. De celles qui déculpabilisent de jeunes urbains allant chercher un panier de légumes bio pour y trouver un ersatz de retour à la terre. Notre nourriture est connectée à la terre, au ciel, aux gens, aux machines, à des savoir-faire, mais ses consommateurs en sont parfois déconnectés. C’est l’histoire qu’évoque le travail de Cédric Guillermo. Lorsque l’homme manipule la nature et compose sa nouvelle cuisine un peu folle, l’artiste compose en retour un cabinet de curiosités. Aux côtés d’étranges tubercules et de machines improbables, l’accrochage des dessins forme un cabinet graphique qui se remplit d’objets et d’organismes étonnants, hybrides, parfois monstrueux. Ainsi, une lampe de bureau déploie sous nos yeux son potentiel ludique jusqu’au ridicule. Mêlant sueur du travail physique et outils de production, Cédric Guillermo fait ses dessins à la main et les passe ensuite au traitement numérique pour unifier le trait. Ce traitement graphique redonne aux objets un peu de leur ligne de production industrielle. Les recherches de couleurs ajoutées au pinceau amènent tour à tour de la beauté, de l’étrangeté ou encore du kitsch. Lorsque l’homme se perd dans l’accélération du temps présent, l’artiste prend du recul et cherche du côté des modes de vie paysans passés, à travers la petite histoire, celle des gens, dans leur intimité, leur spécificité. Fils d’agriculteur, Cédric Guillermo sait de quoi il parle, il est pétri des valeurs du monde agricole et les revendique dans une mythologie individuelle* teintée d’humour et d’ironie. La pomme de terre est élevée en « guest star » de cette exposition, comme en témoigne la collection d’assiettes qui vous accueillent à l’entrée. Ingrédient de base de toutes les bonnes soupes qui tiennent au corps, elle fait le lien entre le champ, le tracteur et la cuisine, traversant les générations. Outre que la patate a été ramenée d’un pays exotique paraît-il par Parmentier, elle continue de voyager de la terre à l’assiette, et de nous conter ici un univers coloré. Cédric Guillermo rejoue l’intérieur paysan avec un décalage qui questionne les évolutions qu’il a subit : modernisation, urbanisation, artificialisation. Sans regard passéiste, l’artiste convoque savoir-faire traditionnels et pratiques modernes avec poésie et humour. Parfois, le dessin devient réalité. Cédric Guillermo est suffisamment bricoleur pour donner vie à ses créations. Les objets sont détournés avec ironie. Le visiteur est appelé à participer à cette entreprise folle, en activant les machines. Découpez en cube la simplicité des objets familiers de la cuisine rurale. Ajoutez un soupçon de beauté de l’outil traditionnel. Faites cuire à petit feu la fascination pour l’efficacité, l’énormité et la complexité des machines agricoles. Assaisonnez de valeurs chères à l’artiste. Saupoudrez d’ironie les modes de production industrielle. Passez le tout au mixeur de l’art. Bon appétit ! Priscille Magon, 2013 * Concept développé dans la section « Individuelle Mythologien » de la Documenta 5, commissariat de Harald Szeemann, 1972. J’habite ici. Être au monde, c’est aussi être de quelque part, avec d’autres. Ce principe simple dans nos sociétés soumises aux lois qu’elles s’imposent comme des évidences, qu’elles soient économiques ou sociétales, ne fait plus partie des éléments productifs indispensables. Il serait même un obstacle aux mobilités et servitudes que le monde du travail érige comme règles absolues. Cédric Guillermo pose ici avec énergie et sensibilité cette question essentielle : Qu’est-ce qu’être un habitant ? Sa géographie personnelle s’inscrit depuis plusieurs générations au sein du monde rural. Il sait d’où il vient avec lucidité et exigence. Il sait le poids des choses, la dureté des matières, leurs forces aussi, c’est ce qui a fait de lui fondamentalement un constructeur. Ses gestes et ses projets ne s’unissent plus au temps de la terre et des animaux, mais ils en sont aujourd’hui le miroir. Son regard a décrit parfaitement les mouvements souvent heurtés du secteur agricole. Auprès de ses parents et de ses proches, il a vécu au plus près, dans un monde rural en mouvement constant, soumis aux contingences et aux contradictions des formes de production. Ses analyses ne sont pas celles d’un observateur distant et désabusé, mais de quelqu’un qui a aussi choisi de ne pas s’éloigner. Sa position d’artiste aurait pu lui faire accepter par facilité toutes les distances, mais Cédric Guillermo se sait profondément de quelque part, que le sens même de ce qu’il a à exprimer se joue en des lieux essentiels. C’est ce qui donne cette densité toute particulière à son travail. Au cours de cette résidence, il a su interroger des expériences premières qui posent clairement tous ces enjeux. Premières dans plusieurs sens du terme. Tout d’abord sans doute, une expérience de l’enfance, personnelle ou en groupe, de se bâtir une cabane, un lieu où se retrouver et se construire. Premières aussi dans ce qu’elles composent l’essentiel de nos besoins en tant qu’être humain, encore si difficilement équitable dans nos sociétés. Avoir un toit, un chez soi ou se poser, pour être, vivre, regarder et comprendre le monde avec les autres. Les magasins de bricolage n’ont jamais autant été pris d’assaut, par nos besoins d’intérieur. Mais nos maisons et appartements deviennent bien trop souvent les symptômes d’un repli sur soi, plus inquiet qu’accueillant, une enveloppe isolée, isolante, pour le cocon familiale ou communautaire. Tout au contraire les cabanes de Cédric, se refondent en une aventure permanente, ouvrent les horizons, déploient les perspectives, jouent leurs emplacements avec une rigueur plastique affirmant pleinement ses cohérences, surtout sans permis de construire. Tous ces projets sont aussi et sans doute d’abord des moments de partage. Bâtir sans accueillir serait pour lui sans signification. Chaque environnement est conçu pour l’échange et la rencontre. Les lieux qu’il a choisi d’habiter avec son travail, aire de jeux, terrain de football, magasins, rond-point, étang, sont justement des espaces partagés. Il s’y place toujours avec cet humour, comme une politesse pour nous dire des choses plus graves. Machines exposées, objets accrochés parmi les autres, ils n’attendent que l’écho de nos désirs pour libérer leurs « contre sens ». Pour que tous ces outils et ces fenêtres éphémères, le temps d’une cabane, nous redonnent l’envie maintenant et ici, d’être des habitants. Georges Peignard Saint-Jean-Brévelay Population 2 600 hab. (1999) Densité 62 hab./km2 Superficie 41,83 km2 Gentilé Brévelais FICTIONS POP & RUSTIQUES Un trophée de chasse, des animaux mis sous cloche, des sculptures faites à la tronçonneuse et des aquarelles représentant des tracteurs : au-delà de la vie « nature et traditions », que dévoile l’univers de Cédric Guillermo ? MASCARON ARBORICOLE À l’entrée de l’exposition, trône en hauteur une monumentale tête montée en trophée. D’ordinaire réservé aux plus beaux spécimens de grand gibier tué en chasse, ce type d’objet montre en général un animal abattu puis naturalisé. […] Lorsque l’artiste Cédric Guillermo choisit de passer de l’animal au végétal et nous montre une tête d’arbre en guise de trophée, il fait la démonstration pleine d’humour d’une analogie certaine entre les deux règnes. […] BEL OUVRAGE ET DÉCALAGE […] Pour ses Pneus posés au sol, il semble même chercher la difficulté en utilisant du bois inadéquat, et en composant avec cette fragilité, source d’éclatement ou de dislocation éventuelle des sculptures. Réalisés à la tronçonneuse puis arrosés d’huile de moteur et brûlés pour obtenir un noir charbonneux, ces pneus de petits tracteurs sont assez réalistes : ils renvoient aux pneus de silos des exploitations agricoles, mais aussi aux pneus recyclés en puits décoratifs ou jardinières de fortune sur certains bords de route, sans parler des pneus utilisés pour les départs de feu. […] Aucune délégation du geste, mais un travail fait-main revendiqué dans sa précision, son imprécision, ses accidents : l’artiste propose ici une vraie performance artisanale, qu’il décline aussi dans un Bidon, un Seau ou une paire de bottes (En avoir plein les bottes, 2014). […] INDUSTRIEL VERSUS PITTORESQUE Car dans le parcours d’exposition émerge l’image d’une campagne composite, entre urbanité et monde rural, entre modèle industriel et méthodes empiriques. Cet univers, abordé par l’artiste avec une tendresse non feinte doublée d’un regard critique, donne naissance à des objets chimères : le bas-relief Ensemble agroalimentaire sculpté à la tronçonneuse et à la gouge dans une grande planche de tilleul reprend les traditionnels meubles rustiques et leurs décors sculptés, scènes paysannes et vie de famille à la ferme. […] CONTEXTE HALLUCINATOIRE Il faut dire que Pontmain constitue un environnement plutôt inspirant : au petit matin, la laiterie dégage de la chaleur et répand sa fumée sur le village qui semble lui-même devenir le fruit d’un mirage. Est-ce cette vision qui a donné à Cédric Guillermo l’idée de dessiner le Faucon millenium à l’endroit précis où les enfants ont vu l’apparition mariale à Pontmain ? Mis en scène dans un cadre ovale aux connotations désuètes, la scène mêle ainsi Star Wars et iconographie religieuse : elle est présentée en pendant, dialoguant avec une relecture graphique de la boîte du camembert Le Bon Mayennais, où le couple de vieux paysans figurant sur l’étiquette mute en Dark Vador et Princesse Leia. À nouveau, l’imagerie pop s’allie au langage vernaculaire, la science-fiction irradie le folklore religieux et rural. Cette source d’inspiration régionaliste côtoie d’autres références propres à la culture générationnelle de l’artiste […] TRACTOR PULLING Non loin, Cédric Guillermo orchestre une autre collision visuelle surprenante : sur des plateaux de porcelaine blanche, en lieu et place de fleurs décoratives ou scènes champêtres, l’artiste peint des spécimens de tracteurs transformés pour suivre des compétitions de tractor pulling. […] Les traits et la palette chromatique sont délicats, l’approche distanciée et humoristique : l’artiste continue d’explorer les vertus du décalage. CHIMÈRES ÉLECTRIQUES Enfin, la grande installation intitulée Les Gueules nous entraînent dans l’univers des cabinets de curiosités, ces petits studiolo ancêtres des musées et des muséums […] Sous chaque globe, un petit animal taillé dans une corne de zébu, miniature gracieuse montée elle aussi sur tige et…prolongée d’une vis qui surgit à l’arrière de sa tête ! En effet, ces oiseaux et mammifères sont des isolateurs pour clôture électrique, précédemment installés in situ, sur les clôtures d’un champ, avant de rejoindre leur contexte actuel, précieux et muséifié. […] De l’objet d’usage le moins considéré à l’œuvre finement sculptée, Cédric Guillermo confirme son intérêt pour le décor, toujours pensé dans une esthétique du télescopage. Et revendique, comme dans l’ensemble de son œuvre, les détours arbitraires d’un imaginaire débridé. Extraits du texte d’Eva Prouteau pour le centre d’art contemporain de Pontmain, 2015 Biographie Cédric Guillermo est né en 1986 à Vannes. Il vit et travaille dans le Morbihan. www.cedricguillermo.com FORMATION 2010 Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Paris 2008 DNAP à l’Ecole Supérieure d’Arts de Lorient EXPOSITIONS PERSONNELLES 2016 Alors ça mord ?, L’aparté, lieu d’art contemporain, Iffendic La boutique, PHAKT - Centre culturel Colombier, Rennes Passe-moi la clef de treize !, 2Angles, Flers 2015 Tiens, voilà le charretier qui s’en va !, Les Moyens du Bord, Morlaix 2014 Les trois cochons, La Borne, Le pays où le ciel est toujours bleu, Aubigny-sur-Nère Bottes !, La galerie virtuelle, Petit Lieu d'art contemporain, Toulon SUPERTANKER !, Université Bretagne Sud, Lorient 2013 ECHO-MUSEE #2, Le Village - Site d’expérimentation artistique, Bazouges-La-Pérouse A la Soupe !, Galerie Premier Regard, Paris 2008 GUILLERMO SA, L’Atelier de la Gare - Lieu d’expression contemporaine, Locminé EXPOSITIONS COLLECTIVES 2016 La chambre d'amis#1, La Manicle, Satellite Brindeau, Le Havre 2015 Art is Hope, LINK, Piasa, Paris Nuit Blanche, Le Kiosque, Mayenne Vivant végétal, Musée des Beaux-Arts, La Cohue, Vannes L’Art chemin faisant, L'Atelier d'Estienne, Pont Scorff Centre d’art contemporain - avec Laure Forêt, Pontmain 2014 Paysage peint - nature rêvée, Musée des Beaux-Arts, La Cohue, Vannes Salon de la petite édition – Multiples, Les Moyens du bord, Morlaix La nouvelle Manufacture, Saint Marin de Valamas 2012 La rurale, Atelier d’expérimentations plastiques, L’écurie, Saint Jean-Brévelay L’Endroit et L’Envers, Le 104, Paris 2011 HORS BORDS 2, Galerie du Faouëdic, Lorient 2009 Être un lieu de lumière, Paris Olla Valotila, Teaik, Helsinki, Finlande RESIDENCES 2016 L’aparté pour le projet Alors ça mord ?, Iffendic 2Angles pour le projet Passe-moi la clef de treize, Flers PHAKT - Centre culturel Colombier pour le projet La Boutique, Rennes PHAKT - Centre culturel Colombier pour la résidence pédagogique J’ai 10 ans aux Champs Libres 2015 Centre d’art contemporain - avec Laure Forêt, Pontmain Lycée horticole de Talhouët, Totem, résidence pédagogique, Hennebont 2014 Usine Utopik pour le projet Cuves,Tessy-sur-Vire La Fourmi-e pour le projet Clôture, Lescouët-Gouarec 2012 Collège Mathurin Martin, Lit-Clos, résidence pédagogique organisée dans le cadre de L’art dans les Chapelles, Pontivy Saint-Jean communauté pour le projet Souffle, souffle le loup !, Saint Jean-Brévelay Lycée horticole Le Sullio, Pot !, résidence pédagogique, Saint Jean-Brévelay ACQUISTIONS, COLLECTIONS 2015 Collection Musée des Beaux-Arts de Vannes Artothèque, Les Moyens du Bord, Morlaix Laiterie Sofivo, Pontmain Mairie de Pontmain 2014 Collection Davis Lisboa Mini-Museum of Contemporary Art, Barcelone Artothèque, Usine Utopik, Tessy-sur-Vire L’atelier de la Gare, Locminé Université de Bretagne Sud, Lorient Saint Jean Communauté, Saint Jean-Brévelay AIDES, PRIX 2011 Aide à l’installation, DRAC Bretagne 2009 Lauréat – Fondation Odon Vallet PUBLICATIONS 2015 Vivant Végétal/ Musée des Beaux-Arts/ la Cohue/ Vannes Résidence/ Catalogue d'exposition/ Centre d'art contemporain/ Pontmain 2014 Clôture/ Catalogue d'exposition/ Champs d'expression Cuves/ Catalogue d'exposition/ Usine Utopik 2013 Pommes! Patates! Pierres!/ Livre d’artiste sérigraphié par L’Atelier du Bourg à 50 exemplaires 2012 Carnet de résidence : Souffle, souffle le loup!/ édité à 200 exemplaires 2011 Hors Bords 2/ Catalogue d'exposition 2010 Relativité de la lumière et des lieux/ Dispositifs visuels/ Catalogue d’exposition Informations pratiques DATES A RETENIR
L’APARTE Situé à 40 km de Rennes, L’aparté (service de Montfort Communauté) est un lieu de résidence et de création qui accueille chaque année cinq artistes confirmés ou émergents. Pendant une durée de six à huit semaines, L’aparté offre des moyens financiers et techniques aux artistes pour développer un nouveau projet, pensé en lien avec les spécificités du lieu. Une exposition personnelle et une édition clôturent ce temps d’expérimentation. Lieu de soutien à la création artistique, L’aparté est également un lieu de diffusion et d’ouverture sur l’art contemporain. Le service des publics propose toute l’année un programme d’actions pédagogiques à destination des scolaires. Rencontres, ateliers, voyages culturels, temps forts hors les murs sont autant de rendez-vous qui nourrissent les échanges entre L’aparté et ses publics.
L’aparté, lieu d’art contemporain – Dossier de presse – juin 2016 L'aparté est un service de Montfort Communauté qui reçoit le soutien du Département d’Ille-et-Vilaine, du Conseil régional de Bretagne et du ministère de la Culture et de la Communication - Drac Bretagne. |
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