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Jardin aux habitants Une oeuvre de Robert Milin Des visuels des jardins sont disponibles en CD-Rom sur demande Contact presse: Marie Messina T + 33 1 4723 5200 mariemessina@palaisdetokyo.com Palais de Tokyo, site de création contemporaine, 13 avenue du Président Wilson F – 75116 Paris Jardin aux habitants Une oeuvre de Robert Milin Dans le cadre de l'aménagement du Palais de Tokyo, il a été proposé à l'artiste Robert Milin de réaliser une oeuvre dans un espace vacant et contigü au Palais de Tokyo, rue de la Manutention. Ce projet a été réalisé dans le cadre d’une Commande publique nationale du Ministère de la culture et de la communication/Délégation aux arts plastiques. En 1996, sur une place située en plein centre centre de Luxembourg, Robert Milin a réalisé avec l'aide de Joao Bento, un retraité rencontré auparavant dans un jardin périphérique de la Ville, une sculpture éphémère. L'oeuvre est une re-création d'un jardin tel qu'aurait pu le faire Joao. Que ce soit sur cette place, dans un hameau de la montagne autrichienne ou encore dans un "hutong" de Pékin, dans un HLM de Shanghai, dans un village breton de St Carré ou au centre du Parc de la Courneuve en région parisienne, Robert Milin construit de nouveaux paysages en provoquant des déplacements de situations. Le rapport que les gens seuls ou les groupes entretiennent avec des lieux, des espaces et des paysages est la matière même du travail de l’artiste. Robert MILIN définit des processus qui se construisent dans la durée aléatoire des relations sociales. La conception de nouvelles oeuvres engage la participation d'individus avec lesquels l'artiste détermine un mode de fonctionnement. Cette participation peut se faire par la gestion d'un tableau, le don de photographies familiales, le témoignage de situations quotidiennes , la création de jardins, comme ici au Palais de Tokyo. Avec Robert Milin, l'espace est une conception globale : le paysage est une totalité constituée par la relation forte entre un lieu et des gens qui y vivent ou y séjournent. Chaque nouveau projet est l'occasion de rencontres avec des gens qui ne feront que passer, d'autres deviendront de véritables correspondants, médiateurs locaux d'une oeuvre. Les modalités de ces contacts ne sont pas préétablies comme elles pourraient l’être dans le cadre d’un travail de sociologue. En tant qu'artiste, Robert Milin ne s'encombre d'aucun protocole sinon celui lié à la nécessité du projet. Dans cette pratique, Robert Milin constitue un corpus local d'histoires collectives et personnelles, d'images, d'installations in situ, de paroles, de textes et de photographies. Au Palais de Tokyo, l'artiste a choisi de transformer les parcelles du terrain situé le long de la rue de la Manutention en autant de lieux de vie, de rencontres et de pratiques individuelles. Pour cela, il a confié des petits espaces de culture à des jardiniers amateurs. Chaque parcelle devient peu à peu un territoire doté de son esthétique propre, reflet de la personnalité de son "habitant". Situés le long de la façade ouest du Palais de Tokyo, le "Jardin aux habitants" est accessible en empruntant l’escalier qui conduit de l’avenue du Président Wilson à la rue de la Manutention. Et pendant le week-end, ils sont très souvent habités... Robert Milin vit et travaille sur les lieux de réalisation de ses projets Les participants à cette oeuvre-jardin vivant tous à Paris ou en région parisienne sont: Monica Ballivian, Denis Liscia, Corinne Bechet et Didier Lalande, Claire Renauldon, Sophie Tessandier, Sally Davies, Aaron Janofsky,Claude Lemoine , Françoise Coste,Donatien et Hélène Guillot,Sophie Coste-Guillen, Carole Blouet, Maurice Manguin, Nguyen Xuan Hao, Stéphane Rouault, Mireille Coquille,Jean Philippe et Joël Pasquette. Projet réalisé dans le cadre de la Commande Publique Nationale du Ministère de la Culture et de la Communication/Délégation aux Arts Plastiques. Garden Party Inauguration du Jardin aux habitants au Palais de Tokyo, ouvert à tous ! Si le temps vient empêcher le déroulement de cette soirée, report au samedi suivant. Le samedi 14 septembre à partir de 16h Buffet primeur, fromage et vin DJ WHEEL (Chocoflash records) à partir de 18h ![]() 2 rue de la Manutention 75016 Paris Renseignements : 01 4723 3886 Accès : Par l’escalier avenue du Président Wilson ou par l’avenue de New York. Extraits d’un entretien entre Robert Milin, Stephen Wright et Jérôme Sans, réalisé pendant l’été 2002. L’intégralité de cet entretien sera reproduit dans le catalogue consacré au Jardin aux habitants que le Palais de Tokyo publiera à l’automne 2002. On parle à propos de mon oeuvre de "jardin ouvrier" au Palais de Tokyo. "Faire ouvrier", ce n'est pas mon projet du tout. (...) En partant de l'implantation du Palais de Tokyo et du terrain qui m'était proposé dans le 16ème arrondissement, j'ai fait appel à des habitants d'autres arrondissements de Paris et de sa banlieue selon une méthode de « cercles excentriques ». J'avais expédié soixante courriers à partir d'un fichier de candidats à des jardins dans Paris. Trente personnes sont venues à la réunion que j'avais organisée. Il y avait là des personnes de diverses catégories sociales. Finalement, seize ont donné suite. Je me sens impliqué même si mon travail ne délivre a priori aucun message directement militant. Il pose tout de même des problèmes liés à la question du territoire et des gens. Le problème du territoire est un élément clé qui est fondateur du politique. (...) Mais une des raisons qui me sépare vraiment de cette idée des "jardins ouvriers", c'est que mon travail n'est pas destiné à aider les gens. Mon travail part de questions que je m'adresse d'abord à moi-même. Il fait certes appel à la collaboration de gens, mais il ne se donne a priori aucune mission d'aide ou d'entraide. J'ai beaucoup plus d'estime pour les militants qui s'impliquent vraiment dans le secteur social, politique, associatif, humanitaire, pour le vrai service humble, tenace et discret à autrui. (...) Je ne pense pas que le monde puisse changer au niveau macro-économique mais au moins au niveau micro-social. C'est ce que je tente de faire quand je parle de ces sortes de « zones autonomes » que je bricole avec les gens. (...) Je ne cherche pas exactement à refaire l'art à l'image de la vie par un projet d'art réaliste qui postulerait que l'artiste transposerait le réel un peu comme Gustave Courbet ambitionnait de le faire. (...) En ce qui me concerne, je ne retranscris pas le réel, mais je le fantasme en y mettant ma part de fiction et d'utopie. (...) Je ne fais au fond que recycler ce que je trouve ici ou là, en déplaçant légèrement les choses. (...) Mon travail touche donc à ma mémoire et aussi à nos mémoires. Le fait de ne pas faire ce jardin moi-même est une sorte de "transfert". Je n'impose rien de fort aux gens, je leur laisse une grande marge d'initiative mais je définis toujours quelques principes, je fais une esquisse, une aquarelle. On en discute avec les gens qui collaborent avec moi et qui sont très libres d'agir, jusqu'à mettre parfois en danger certaines formes de mon idée première. Et curieusement j'arrive toujours à quelque chose que j'avais pressenti. L’œuvre advient ainsi par un processus long de rencontres, d'actions personnelles et collectives. J'aime me sentir plasticien dans le rapport à autrui, car les hommes, par eux-mêmes et collectivement dans l'espace, constituent une plasticité. L’œuvre évolue alors comme un processus et les gens en infléchissent le devenir tout comme le paysage se construit de manière aléatoire par la pluralité des interactions sociales. Le droit entre dans le processus de l’œuvre. Il prend la forme du contrat et non pas celui du décret qui, lui, appartient au pouvoir réglementaire. Le décret est un acte d'autorité unilatérale alors que le contrat suppose un accord réciproque de deux parties. Le contrat est synallagmatique disent les juristes. (...) Ce travail juridique donne aussi consistance à l’œuvre par une sorte de protocole relationnel, ou encore par la constitution civile d'une petite république de vie et de production de formes en commun. Je pourrais dire que le droit c'est aussi le "cadre" puisque l'on dit souvent : "le cadre juridique". On peut y découvrir toutes les analogies possibles avec le tableau et la peinture qui continuent de marquer mon travail. Cette vie quotidienne des gens est pour moi non pas seulement une source d'inspiration, elle est aussi territoire d'exercice, un matériau, que les visiteurs ou passants peuvent éprouver à leur tour, souvent incidemment, par leur simple déplacement dans l'espace de la campagne ou de la ville. J'opère par les moyens du détournement, du glissement, un " léger déport " du réel selon l'expression de Jean-Marc Huitorel. Ce n'est pas la seule mise en vue qui importe dans mon travail, mais la volonté de faire ressentir physiologiquement l’œuvre, par la surprise, le contact direct. Je cherche à faire éprouver par le visiteur une augmentation de réalité ou un déplacement de réalité. Mon travail est de l'ordre du volume et la vie sociale en est sûrement un. (...) Ce n'est pas le seul régime participatif qui m'intéresse. C'est aussi la question d'un espace élargi, rendant les perceptions multi-sensorielles. Mais bien sûr, mon travail cherche à élargir la notion de portrait en prenant en compte le contexte qui ne jouerait plus comme seul décor. (...) J'aimais jadis les arrière-plans paysagers des portraits dans les peintures classiques. Je m'intéressais beaucoup aux enluminures, aux livres d'heures du Moyen Age. Les images y figurant me faisaient penser à de minuscules tableaux comprenant des personnages se détachant toujours d'un contexte urbain ou rural, avec les saisons, la vie sociale autour d'eux. En réalité, ce que je fais aujourd'hui, c'est presque l'inverse. Je propose un paysage en premier plan ou du moins englobant le personnage mais avec un dispositif permettant qu'un événement se produise. (...) Je cherche à découvrir ce qu'un lieu peut offrir en possibilités plastiques, sociales. Je passe du temps à rechercher en ce domaine mais toujours à travers mon imaginaire et non pas sous l'angle d'une analyse sociologique objective et rigoureuse. (...) Dans mon travail, les gens ne sont pas de simples figurants; ils ne sont pas payés non plus, ils sont participants volontaires et bénévoles. Je passe beaucoup de temps à instaurer cette relation de confiance. C'est donc extrêmement simple et très clair. On pourrait dire que les gens dans mon travail sont les "matériaux" d'une oeuvre mais l'expression ne serait pas correcte et les réduirait à des être manipulés et passifs et cela déclencherait l'hystérie de ceux qui déjà m'accusent de trop les instrumentaliser. Je dirais donc qu'ils sont "médium", chacun en ce qui les concerne, originaux et spécifiques dans un jeu librement consenti avec moi. L'esprit du jeu est très important. Les hommes n'aiment pas trop qu'on les dirige, qu'on les manipule, mais ils aiment généralement beaucoup s'inscrire dans un jeu où ils peuvent trouver leur part de plaisir ou de fantaisie. On sous-estime toujours trop cette part de jubilation que les individus prennent à faire dans les choses, dans un esprit de collaboration librement consentie. (...) Les gens sont participants et non coauteurs. J'assume totalement le statut d'auteur dans la mesure où l'idée fondatrice vient de moi. Je prends tout à fait en compte aussi la marge de manœuvre que me procure le capital symbolique dont je dispose en tant qu'artiste vis-à-vis de ceux qui ne le sont pas et qui parfois même ne comprennent pas trop bien ce que je fais artistiquement, du moins au début de notre collaboration. Ce serait démagogue de penser autrement. Donc j'assume totalement l'autorité que je peux avoir dans mon propre champ : celui de l'art. Tout cela ne me gène aucunement car je pense avoir des relations claires avec les personnes qui collaborent avec moi, même si elles sont, ici ou là, de condition sociale moins valorisée que celle d'artiste. C'est l'attitude que l'on a ensuite avec les gens qui peut emporter ou non leur adhésion. Il ne faut pas négliger non plus le bien-être que l'on peut avoir à échanger chacun pour ce que nous sommes. Il faut constater aussi le plaisir que certains trouvent à collaborer dans ce travail artistique parce que cela les « change du quotidien » comme ils disent, même si le quotidien se trouve justement être la matière même de mon travail ! Cependant je ne cherche pas à en rajouter dans le domaine de la figure de l'artiste. Le capital symbolique dont je dispose me sert en fait à trouver ma propre place dans le champ social et non pas comme on pourrait l'imaginer, à exercer une force sur autrui ou à en profiter. (...) Nous ne sommes pas ici dans la vie économique réelle, mais dans une scénographie un peu ludique. Il faut prendre l'art comme un jeu, non pas certes une distraction légère et superficielle, mais un jeu qui « rendrait la vie plus intéressante que l'art » pour reprendre la merveilleuse phrase de Filliou. Voilà le pouvoir transformateur de l'art ! Mais, je ne le sais que trop, les antagonismes sociaux existent et les tensions sont réelles, non pas entre moi et les gens qui collaborent, mais dans les lieux de vie où j'interviens. Pour autant, moi je ne demande pas à l'art de réaliser une amitié illusoire entre les classes sociales. Mon but n'est pas non plus « d'appuyer souvent là où cela fait mal » alors que cela serait parfaitement possible et parfois même salutaire. Je l'ai fait à Grenoble et un peu à Luxembourg. Cela m'apparaissait évident de ne pas me dérober à ces situations antagoniques. Mais généralement non, je n'aime pas trop l'idée d'un art de la dénonciation. Si la ville est un texte, je préfère y ouvrir des espaces, comme l'on peut ouvrir des parenthèses dans une phrase. Elles seraient non pas fuyantes, distractives, mais interrogatives. (...) L'association a été créée par les jardiniers et moi afin de gérer au quotidien la vie du jardin mais aussi pour définir les droits et les devoirs de chacun, envisager la venue de nouveaux jardiniers dans le cas où des parcelles seraient disponibles; il y en a seize à ce jour et toutes sont occupées. J'ai eu à cour de rédiger personnellement les statuts en m'inspirant certes de statuts-types conformément à la loi de 1901, mais aussi pour donner un cadre juridique à ce qu'est l’œuvre. Les statuts ont été approuvés par les jardiniers; je ne suis pas Président de l'association, je suis membre de droit du bureau ou mes ayants droits en cas d'empêchement. Ce travail a donc désormais une autonomie puisque les principes de fonctionnement du jardin ayant été définis ( voir dans le présent catalogue un extrait des statuts et des principes ) ainsi que mes exigences en tant qu 'artiste, rien ne s'oppose à ce que l’œuvre fasse son chemin par elle-même. Je compte beaucoup sur cette vie autonome de l’œuvre et je me réserve bien sûr ça et là, des possibilités de réactivation du projet comme je l'ai fait dans d'autres interventions antérieures. Robert Milin Vit en Bretagne et sur les lieux de réalisation de ses projets Principales expositions, installations, et projets réalisés 1991: « St-Carré » intervention dans le paysage (installation dans un petit hameau traditionnel frappé par une agriculture industrielle) dans « Escales », commissaires Jérôme Sans et Danièle Yvergniaux-Quéau. 1992: « Sentinelle » à Bertheaume (installation de photographies empruntées à un régiment de soldats), DRAC Bretagne, commissaire Jean-Michel Jagot. 1993: intervention à Fiumara d'Arte - Castel di Tusa - Sicile - Sélection AFAA (Exposition collective à Pettinéo , Sicile), commissaire Bruno Cora. Exposition au Künstlerhaus de Dortmund (Allemagne).Organisation Uwe Fleckner. “ L’atelier de l’Office ”(œuvre réalisée dans un atelier d'ouvriers à Paris-Ivry) (Galerie Fernand Léger-Credac d’Ivry, Fondation de France). 1994: « La Villeneuve » intervention dans le paysage urbain ( oeuvre réalisée dans un espace public dégradé), Centre National d'Art Contemporain Le Magasin à Grenoble et Fondation de France. 1995: « Orstbebilderung » (installation dans un village de montagne), intervention dans le paysage, Galerie 5020 Salzbourg, AFAA, Centre Culturel Français Salzbourg (Commissaire Ulrich Mellitzer ). 1996: « O meu Jardim », sculpture éphémère dans le paysage urbain à Luxembourg (réalisée avec un ouvrier Portugais) Organisation : « Le Casino », Forum d’Art Contemporain - Luxembourg (Commissaire Enrico Lunghi) « Pensées de Saïda d’Amélie et d’Al Sola », œuvre publique réalisée à l’Eglise St Eustache (Paris) (projet réalisé avec le concours de malades du SIDA) et exposition à la Galerie du Forum St Eustache, organisation: Forum St Eustache (Gérard Bénéteau) et Jérôme Sans et Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris. « Le Chant de la Terre et les Sentinelles » dans « Résidence pour un paysage », Atelier « Zadkine » des Arques (Lot): organisation Marc Charpin. 1997: « La Falgalarié », projet dans le paysage urbain du Tarn, dans « In situ/ in visu », Commissaire Guy Tortosa, Centre d’Art Contemporain de Castres et Scène Nationale Albi. 1998 : « Cleunay Ses gens », commande publique de La Ville de Rennes (Commissaire Odile Le Mée). 1999: Commande publique (dans une résidence médicalisée pour 3ème âge) à Linz, ( Autriche). Commissaire: Stella Rollig, Exposition à Lödz (Pologne) Alliance Française de Lödz et Uniwersytecie Lodzkim. 2000 : « Les Cyclistes », intervention chez des particuliers par réalisations de 6 peintures-portraits d’habitants de Nantes et exposition « Entre Deux » (Jacques Rivet et Marie Laure Viale) et le Lieu Unique, Scène Nationale Nantes. Biennale Art Grandeur Nature, Parc de la Courneuve Paris « Jardins au Mandala », commissaires Jeanne Van de Portal et Morten Salling Conseil général de Seine Saint Denis. Participation à l’expo collective Destinations Terres « Tud an Douar », Domaine Départemental de Trévarez (Finistère) commissaire Jean Charles Agboton-Jumeau. 2002 : Biennale numérique de Sri Lanka (Colombo), Galerie du Dourven, commissaire Didier Lamandé (22) , Frac Bretagne (35). Palais de Tokyo Paris « Jardins aux habitants » (commande publique). Musée de Shanghai et AFAA. Paroles* Claire "Depuis tant de temps je rêve d'avoir un jardin qui soit proche de moi." Corine "Pour moi c'est tellement important de manger des légumes qui viennent de la terre." Didier "J'ai planté du maïs, du lin, de la luzerne, du sorgho." Carole "Je suis venue ici pour toucher la terre." Sophie "Retrouver ici un petit village." Stéphane "Marre des pots, j'aime tant jardiner en pleine terre." Hao "Un coin de jardin pour un coin de paradis." Maurice "Ensemencer, voir pousser, récolter, c'est bien pour soi-même." Donatien “Pour préparer la terre dans notre champs de pommes de terres, quelque fois, le soir, on reste le nez en l’air à regarder les étoiles et les lumières de la tour Eiffel.” * Paroles de jardiniers réunies par Robert Milin. |
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