Dont certaines (surtout ''Les fleurs du mal'' et ''Petits poèmes en prose'') sont ici résumées et commentées







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Pauvre Belgique’’

(posthume 1952)
Essai
On ne peut imaginer réquisitoire plus violent et plus injurieux contre la Belgique et contre les Belges que ce «livre satyrique [sic]». Le pays était, à ses yeux, une caricature de la France bourgeoise, les Belges étant traités de «singes des Français», les Bruxellois surtout étant fustigés d’une plume cruelle. Seule exception : les oeuvres d'art sur lesquelles son jugement était parfois influencé par son parti pris, mais restait lucide. Il était particulièrement frappé par le «style du XVIIe siècle, style méconnu, et dont il y a en Belgique des échantillons magnifiques». Il disait aussi avoir voulu se livrer à «la raillerie de tout ce qu’on appelle progrès, ce que j’appelle, moi : le paganisme des imbéciles et la démonstration du gouvernement de Dieu
Commentaire
Cet énorme sottisier est tellement partial qu'il en perd presque toute portée. La lecture en est cependant émouvante en ce qu'elle trahit la détresse morale de son auteur qui ne voyait plus autour de lui que des sujets de fureur et de dégoût.

Aucune firme française n’accepta d’imprimer ces notes, qui ne furent d’ailleurs jamais mises au point, dont il reste un manuscrit de plus de trois cent soixante feuilles qui ne fut publié intégralement pour la première fois qu'en 1952 dans l'édition Conard des ‘’Oeuvres complètes’’.

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À la même époque et dans le même climat moral que ‘’Pauvre Belgique’’, Baudelaire écrivit des vers :

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‘’Amoenitates belgicae’’

(posthume, 1925)
Recueil de poèmes
‘’Vénus belge’’ - ‘’La propreté des demoiselles belges’’ - ‘’Une eau salutaire’’ - ‘’Un nom de bon augure’’ - ‘’Opinion de M. Hetzel sur le faro’’ - ‘’Les Belges et la lune’’ - ‘’Épitapbe pour l’atelier de M. Rops’’ - ‘’L’esprit conforme’’ - ‘’La civilisation belge’’.
Commentaire
La lecture de ces «aménités» humoristiques a quelque chose de pénible non seulement parce que leur goût n’est pas toujours le plus sûr, mais surtout parce qu’on y perçoit les ravages de la maladie dans l’esprit du poète, son intelligence, qui ne se contrôlait plus, se laissant entraîner dans des jugements excessifs, ne pouvant plus voir les choses telles qu’elles sont, son déséquilibre intérieur éclatant dans le grossissement de quelque détail arbitrairement choisi.

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En mars 1864, le peintre Fantin-Latour exposa au Salon son ‘’Hommage à Delacroix’’, où il avait placé Baudelaire au premier plan.

Au cours de l’été 1864, le poète visita plusieurs villes de Belgique, connaissant d’ultimes joies esthétiques à Malines et à Namur.

Le 26 août 1864, il écrivit à sa mère : «Rentrer dans Paris, pour moi, c'est rentrer dans l'Enfer, mais j'irai. Je t'embrasse et jamais une journée ne se passe sans que je rêve à toi. Charles.» Cette page jaunie et déchirée sur le bord, estimée 4 000 euros, fut mise en vente avec 99 autres lots le 27 juin 2010 à Paris.

Le 21 décembre, six de ses poèmes en prose parurent dans ‘’La revue de Paris’’ sous un titre nouveau : ‘’Le spleen de Paris’’, et il céda à Hetzel les droits d’un recueil.

Tandis qu’il se débattait vainement en Belgique contre son «guignon», à Paris, des poètes de la jeune génération se tournaient vers lui. Ainsi, le 1er février 1865, parut dans ‘’L’artiste’’ ‘’La symphonie littéraire’’ de Stéphane Mallarmé (vingt-trois ans), poème en prose dont la seconde partie est une méditation poétique sur le recueil de Baudelaire, où il parla du «paysage surprenant» que lui ouvrit ce livre. Du 16 novembre au 23 décembre, Paul Verlaine (vingt et un ans) publia dans ‘’L’art’’, en trois articles, une étude enthousiaste sur le même sujet : «La profonde originalité de Charles Baudelaire, c'est, à mon sens, de représenter puissamment et essentiellement I'homme modeme [...] tel que I'ont fait les raffinements d'une civilisation excessive : l'homme moderne avec ses sens aiguisés et vibrants, son esprit douloureusement subtil, son cerveau saturé de tabac, son sang brûlé d'alcool, en un mot, le bilio-nerveux par excellence, comme dirait Hippolyte Taine. Cette individualité de sensitive, pour ainsi dire, Charles Baudelaire la représente à l'état de type, de héros, si vous voulez bien.» ; il souligna la «grandeur éminente» des ‘’Fleurs du mal’’, étant assez perspicace pour récuser l'image d'un Baudelaire charognard, pour réduire à sa juste valeur son «satanisme», mais méconnaissant cependant toute la part d’expérience authentique, et, par conséquent, la signification tragique de l’œuvre. Catulle Mendès (vingt-deux ans), qui préparait ‘’Le Parnasse contemporain’’ de 1866, lui demanda en décembre son patronage et sa collaboration. Mais, le 5 mars, il écrivit à J. Troubat (secrétaire de Sainte-Beuve) : «Ces jeunes gens ne manquent certes pas de talent, mais que de folies, que d’inexactitudes. Quelles exagérations ! Quel manque de précision ! Pour dire la vérité, ils me font une peur de chien. Je n’aime rien tant que d’être seul.»

Le 16 mars 1865, furent publiées les traductions de textes de Poe que Baudelaire avait en réserve, ensemble auquel il donna le titre d’"Histoires grotesques et sérieuses", qui, lui non plus, n’était pas celui de Poe. À ce moment, il était l'auteur de cinq volumes de traductions de l’écrivain américain, qu'il comptait carrément parmi ses "Œuvres complètes" à lui, et qui lui permirent de signer des contrats, d'empocher pas mal d'argent.

Ayant tout de même de graves soucis financiers, en juillet, il revendit à l’éditeur Hetzel des droits d'auteur qui appartenaient à Poulet-Malassis. Celui-ci fut désintéressé par les soins d’Ancelle.

Encore pour se libérer de ses obligations financières fort embrouillées, du 4 au 15 juillet, il séjourna à Honfleur, chez sa vieille mère toujours aimée et torturée, sa seule joie et son remords quotidien. Il s’y lia au peintre hollandais Jongkind dont il appréciait les calmes horizons maritimes, nostalgiques et propices à la rêverie, notant le trait à la manière de «gribouillage» et la touche brève de ce précurseur véritable des impressionnistes. Il y rencontra aussi le peintre Boudin, le décrivit au travail sur les plages de la Manche, faisant, car il était déjà un impressionniste, des «instantanés de lumière», et s’efforçant de saisir au vol la mobililité des nuages.

En février 1866, dans une lettre à J. Troubat, il déclara vouloir trouver un nouveau mode d’expression poétique, dans le prolongement des ‘’Fleurs du mal’’, «mais avec beaucoup plus de liberté».

À la fin février, à Bruxelles, hors de la juridiction française, avec l’accord de Baudelaire (qui, cependant, demandait «surtout que cela ait l’air d’être fait sans mon aveu»), Poulet-Malassis réussit à publier à deux cent soixante exemplaires :

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‘’Les épaves de Charles Baudelaire’’

(1866)
Recueil de vingt-trois poèmes
On y trouve les ‘’Pièces condamnées, tirées des ‘’Fleurs du mal’’ et des poèmes «auxquels M. Charles Baudelaire n’a pas cru devoir faire place dans l’édition définitive des ‘’Fleurs du mal’’». Parmi eux, sous le titre ‘’Galanteries’’, deux, ‘’Les promesses d’un visage’’ et ‘’Le monstre’’, sont d’une extrême crudité de ton. D’autres sont des pièces de circonstances, en l’honneur de Daumier ou de Lola de Valence, ou de simples «bouffonneries».
Commentaire
Le livre, du fait de sa couverture, une eau-forte de Félicien Rops qui avait représenté ce squelette arborescent «traité d’une manière ultra-romantique» que Baudelaire avait demandé pour la deuxième édition des ‘’Fleurs du mal’’, et son éditeur furent, le 6 mai 1866, condamnés par le tribunal correctionnel de Lille à un an de prison. Mais Poulet-Malassis étant alors hors d’atteinte, la décision judiciaire ne put guère être suivie d’effet.

Le livre allait être réimprimé à deux reprises, en 1868 et en 1874, sans autre réaction de la justice.

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Baudelaire publia :

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‘’L’art philosophique’’

(1866)
Essai de critique d’art
Baudelaire demande : «Qu’est-ce que l’art philosophique suivant la conception de Chenavard et de l’école allemande? C’est un art plastique qui a la prétention de remplacer le livre, c’est-à-dire de rivaliser avec l’imprimerie pour enseigner l’histoire, la morale et la philosophie». L’«art philosophique», qui renvoie à la philosophie de l’art, fleurit pour lui principalement en Allemagne, terre de toutes les abstractions, où les systèmes, souvent contradictoires, s’érigent en principes absolus. Mais il considère que «l’art philosophique n’est pas aussi étranger à la nature française qu’on le croirait. La France aime le mythe, la morale, le rébus ou pour mieux dire, pays de raisonnement, elle aime l’effort de l’esprit». Il s’en prend aux artistes tombés «dans l’erreur de l’art philosophique […], monstruosité où se sont montrés de beaux talents» ; il dit qu’ils «subordonnent I'art au raisonnement», qu’ils conçoivent la peinture comme le support imagé des vertus édifiantes de la raison. Et, comme Chenavard et Janmot, un autre peintre qu’il critique, étaient lyonnais, il blâme la ville de Lyon («ville singulière, bigote et marchande, catholique et protestante, pleine de brumes et de charbons, les idées s’y débrouillent difficilement. Tout ce qui vient de Lyon est minutieux, lentement élaboré […]. On dirait que les cerveaux y sont enchifrenés») parce que, à ses yeux, elle personnifie toutes les tares intellectuelles et artistiques de son temps.

Il oppose à l’«art philosophique» «l’art pur» : «Qu’est-ce que l’art pur suivant la conception moderne? C’est créer une magie suggestive contenant à la fois l’objet et le sujet, le monde extérieur à l’artiste et l’artiste lui-même». Il affirme : «Toute bonne sculpture, toute bonne peinture, toute bonne musique, suggère les sentiments et les rêveries qu’elle veut suggérer. Mais le raisonnement, la déduction appartiennent au livre».

Commentaire
Pour Baudelaire, la notion d’artiste engagé était une contradiction viscérale, l’artiste n’engageant que lui-même, ce qui était déjà beaucoup lorsqu’il s’agit de Delacroix ou Félicien Rops…

L’essai resta inachevé (une douzaine de pages) et inédit.

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Le 14 mars 1866, lors d'une visite de l'église Saint-Loup de Namur, «le chef-d’œuvre des chefs-d’œuvre des jésuites», «merveille sinistre et galante», alors qu’il était accompagné de Félicien Rops et de Poulet-Malassis, et qu’il contemplait une sculpture, Baudelaire éprouva, premier signe public de la crise grave qui s'annonçait depuis un mois, un étourdissement, chancela, tomba sur les dalles, et perdit connaissance. Le lendemain, des troubles cérébraux se manifestèrent. Vers le 20 mars, il fut hospitalisé chez les religieuses de l’Institut Saint-Jean et Sainte-Élisabeth de Bruxelles. Sa mère, qui l'avait toujours combattu (il avait pu lui écrire : «Ma chère mère, vous ignorez tellement ce qu’est une existence de poète»), mais commençait à comprendre son génie, accourut aussitôt. Le vendredi 30, il fut frappé d'un ictus hémiplégique et d'une aphasie qui, d'abord intermittente, devint bientôt à peu près complète, le seul mot qu’il grommelait et répétait rageusement étant : «Crénom !» (juron qui est la réduction de «sacré nom » [de Dieu]»). Mais il était encore lucide, avait un regard chargé de mystère, restait sensible à la musique, à la beauté des fleurs, d'un coucher de soleil.

Le 31 mars 1866, Catulle Mendès fit paraître dans ‘’Le Parnasse contemporain’’ un ensemble de poèmes de Baudelaire auquel il donna le titre de :

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‘’Les nouvelles ‘’Fleurs du mal’’’’

(1866)
Recueil de seize poèmes
S’y trouvent en particulier : ‘’Épigraphe pour un livre condamné’’, ‘’L’examen de minuit’’, ‘’Madrigal triste’’, ‘’À une Malabaraise’’, ‘’Le jet d’eau’’, ‘’Recueillement’’, ‘’Le gouffre’’.
Commentaire
Y furent ajoutés un ‘’Complément aux ‘’Fleurs du mal’’ de Charles Baudelaire’’ qui était les six pièces condamnées.

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En avril 1866, le bruit de la mort de Baudelaire ayant couru, Swinburne composa un très beau chant funèbre : ‘’Ave atque vale. In memory of Charles Baudelaire’’ qui allait paraître en janvier 1868, où on lit : «O sleepless heart and sombre soul unsleeping».

Le 1er juin, deux poèmes en prose de Baudelaire parurent dans ‘’La revue du XIXe siècle’’ sous le titre de ‘’Petits poèmes lycanthropes’’.

Le 4 juillet, Baudelaire fut, par sa mère et le peintre Alfred Stevens, ramené à Paris, parce que les religieuses, scandalisées par le juron qui était le seul mot qu’il prononçait, avaient demandé à être débarrassées du blasphémateur ! Il fut admis à la maison de santé du docteur Duval, rue du Dôme, près de l'Étoile. Sa mère, accompagnée d'une servante, s'installa près de lui, et prit soin de lui avec un dévouement absolu. Il reçut la visite d’amis : Mme Sabatier, Léon Cladel, Champfleury, Nadar, Sainte-Beuve, Banville, Leconte de Lisle, Asselineau, Édouard Manet. Il les reconnaissait, mais demeurait muré dans son silence, figé dans la pose de celui qui «regarde passer les têtes de mort», dit alors l'un de ses rares amis. Comme il paraissait rester sensible aux choses qu’il aimait, Mmes Édouard Manet et Paul Meurice lui jouèrent au piano du Wagner, et il les remercia d’un «Crénom !» Il allait connaître une agonie d’un an, son état physique et mental s'affaiblissant peu à peu.

Le 31 août 1867, jour où ‘’La revue nationale’’, qui avait reçu onze de ses poèmes en prose, n’en publia que six, il fut victime d’un accident vasculaire cérébral, et, enfin délivré de «la vie, I'insupportable, l’implacable vie» (‘’La chambre double’’), mourut, à l’âge de quarante-six ans, dans les bras de sa mère, et, comme l’indiqua le faire-part, «muni des sacrements de l’Église», qu’il avait demandés et reçus en pleine lucidité. Le dernier mot qu’il put faire entendre fut «Manet».

Le 2 septembre, le service funèbre fut célébré à Saint-Honoré-d'Eylau. Ni le gouvernement, ni I'Académie, ni même la Société des gens de lettres ne s'étaient fait représenter. Ses amis les plus anciens et les plus récents étaient là : «Rien ne fait plus l'éloge du pauvre poète que d'inspirer de telles amitiés», écrivit un obscur chroniqueur. Une centaine de personnes l’accompagnèrent quand il fut inhumé au cimetière Montparnasse, à la sixième division dans la même tombe que son beau-père, le général Aupick, et où allait aussi être placée sa mère, qui mourut le 16 août 1871, à Honfleur. Asselineau et Banville prononcèrent des allocutions belles et déchirantes, le second revendiquant pour Baudelaire sa véritable place : «En effet, et I'avenir prochain le dira d'une manière définitive, I'auteur des ‘’Fleurs du mal’’ est non pas un poète de talent, mais un poète de génie». C'était enfin, et à titre posthume, hélas ! le premier rayon de la gloire. On vit, dans le fiacre qui le ramenait, le notaire Ancelle éclater en sanglots.
Le 4 décembre, à la vente publique ordonnée par une décision judiciaire pour le règlement de la succession, la propriété littéraire de Baudelaire fut mise à prix à mille francs, et Michel Lévy, seul éditeur enchérisseur qui avait obstinément repoussé les offres de I'auteur, l’acheta pour mille sept cent cinquante francs. Ainsi furent publiées en sept volumes, avec une préface de Théophile Gautier, ‘
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