Dont certaines (surtout ''Les fleurs du mal'' et ''Petits poèmes en prose'') sont ici résumées et commentées







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Morale du joujou

(1853)
Essai
Le texte s'ouvre sur une réminiscence enfantine, et se termine par une théorie de la connaissance et de l'«âme des objets». Le lecteur découvre, en cinq ou six pages seulement, toutes les puissances dialectiques du joujou : féeries bigarrées de cet «immense mundus enfantin», «inextricable fouillis» du magasin de jouets, avec ses «formes bizarres et [ses] couleurs disparates», espace saturé d'une chambre où «le plafond disparaissait sous une floraison de joujoux qui pendaient comme des stalactites merveilleuses», opposition du joujou de luxe et du «joujou du pauvre».

Baudelaire esquisse une anthropologie de ce monde enfantin sous un double aspect : les joujoux, continuellement manipulés, permettent «la première initiation de l'enfant à l'art», autant qu’à la connaissance. Ce phénomène originaire ne produit rien moins qu'une dialectique de l'image. Double régime et double rythme : tout se joue entre l'inanimé de l'objet et l'animation de sa mise en œuvre. Ainsi, il donne l’exemple de «l'éternel drame de la diligence joué avec des chaises : la diligence-chaise, les chevaux-chaises, les voyageurs-chaises ; il n'y a que le postillon de vivant ! L'attelage reste immobile, et cependant il dévore avec une rapidité brûlante des espaces fictifs.» Il évoque le cas extrême du «joujou vivant», un rat véritable manipulé par quelque enfant miséreux mais qui fascine tant l'enfant bourgeois, de l'autre côté de la grille, qu’il en laisse choir son propre «joujou splendide, verni, doré, couvert de plumes et de verroterie».

Mais il y a plus : tout, dans le jouet, se joue aussi entre un temps de la chose démontée et un temps de la connaissance par montage.
Commentaire
Le texte fut réécrit en 1869.

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Baudelaire, qui fréquentait le monde théâtral parce que le théâtre représentait pour lui des rêves de gloire, d’amour et surtout d`argent, traça le plan de plusieurs pièces :

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‘’La fin de don Juan’’

(1853)
Drame
Cet aristocrate «épuisé d’inassouvissement», cet artiste et dandy qu’est Don Juan ne peut que mourir parce que la réalité autour de lui a changé, son domestique étant en train de renverser l’ancienne hiérarchie maître-serviteur.
Commentaire
Ce n’était, écrit à la demande de Nestor Roqueplan, le directeur de l’Opéra, qu’un simple canevas.

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Baudelaire ayant, à un souper, récité son poème ‘’Le vin de l’assassin’’ à Tisserant, acteur au théâtre de la Gaieté, celui-ci lui suggéra d’en faire un mélodrame (genre le plus populaire à cette époque-là) en deux actes où lui, Tisserant, jouerait le principal rôle, tandis que Marie Daubrun serait sa partenaire. Le 28 janvier 1854, il envoya à l’acteur une lettre où il lui proposait le plan de :

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‘’L’ivrogne’’

(1854)
Drame
La femme d’un ouvrier ivrogne s’étant éprise d’un autre homme, il la tue.
Commentaire
Le texte, limité à un canevas sommaire, trop narratif, proche plutôt du cinéma (qui n’existait pas encore), resta inachevé.

Asselineau révéla que Baudelaire aurait voulu que son ivrogne, après avoir tué sa femme, la viole ; et que, alors que, dans un groupe, il décrivait cette situation abominable, et qu’une jeune femme en fut révoltée, il lui répondit : «Eh ! madame, tout le monde en ferait autant. Et ceux qui ne sont pas ainsi sont des originaux !»

Sartre, dans ‘’Baudelaire’’, analysa longuement cette pièce, voyant en l’ivrogne Baudelaire lui-même à qui il attribua «sadisme» et «masochisme», «impuissance» et «stérilité», le voyant poursuivi longtemps par ce «fantasme».

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‘’Le marquis du 1er houzards’’

(1854)
Drame en cinq actes
Wolfgang, le marquis allemand qui, à la suite de la bataille de Wagram, s’est mis au service de Napoléon Ier, étant amoureux d’une jeune veuve, Mme de Timey, qui a été insultée, venge son honneur. Puis il se constitue de lui-même prisonnier des royalistes après la défaite de Waterloo, et se suicide.

Commentaire
C’était une adaptation scénique d’une nouvelle de Paul de Molènes, ‘’Les souffrances d’un housard’’, qui occupa Baudelaire pendant de longs mois.

Fidèle à une constante de sa pensée, il conçut un mélodrame qui montre la lutte, dans le même cerveau, entre deux principes : la passion du héros pour une femme habile à jouer de son pouvoir sur lui, et son enthousiasme pour cet Empereur ennemi de sa classe d’origine.

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Baudelaire continuait ses traductions des nouvelles de Poe. Quelques-unes parurent en juillet 1854 en feuilleton dans ‘’Le pays’’, «journal de l’Empire», le premier feuilleton (‘’Une aventure dans les montagnes rugueuses’’, qui allait devenir ‘’Souvenirs de M. Auguste Bedloe’’) s’ouvrant sur une magnifique lettre-dédicace à Maria Clemm, tante et belle-mère d’Edgar Poe, qui, au contraire de sa propre mère, s’était contentée de l’adorer en pleine lucidité pour le meilleur et pour le pire.

Le 5 avril 1855, Baudelaire révéla à sa mère, dans une lettre, que, durant le seul mois de mars, pour échapper à ses créanciers, il avait changé six fois de domicile.

Le 17 avril, le titre ‘’Les fleurs du mal’’ apparut pour la première fois, dans une lettre au secrétaire de ‘’La revue des deux mondes’’. Il lui aurait été suggéré par son ami, le romancier et chroniqueur Hippolyte Babou, lors d'une longue discussion collective au café Lemblin. Il est bien probable que cette discussion ait été guidée par Baudelaire lui-même et par les explications qu'il donnait de son oeuvre. Lui, qui déclara à Poulet-Malassis, dans une lettre du 7 mars : «J’aime les titres mystérieux ou les titres pétards», fut séduit par cette expression qui, en présentant une antithèse séduisante, un oxymoron significatif, un paradoxe étonnant, suggère une fertilité esthétique du mal, qui produit, tout autant que le bien, des fleurs que le poète seul sait voir car il a la capacité d’«extraire la beauté du mal», de la souffrance, de la laideur. Signalons que Balzac avait écrit dans ‘’Splendeurs et misères des courtisanes’’ : «C’est la plante vénéneuse aux riches couleurs qui fascine les enfants dans les bois. C’est la poésie du mal».

En mai, dans le recueil collectif ‘’Fontainebleau - Hommage à C. F. Denecourt’’, qui réunissait des textes d'Asselineau, Banville, Béranger, Brizeux, Champfleury, Dupont, Gautier, Hugo, Janin, Lamartine, Monselet, Murger, Musset, Nerval, Sand, etc., Baudelaire plaça deux poèmes qui allaient figurer dans ‘’Les fleurs du mal’’ (‘’Le crépuscule du soir’’ et ‘’Le crépuscule du matin’’) et deux petits poèmes en prose (‘’Le crépuscule du soir’’ et ‘’La solitude’’), qui n’étaient pas très différents de ce qu’il faisait en vers, étaient aussi divisés en strophes et sensiblement plus courts que dans la version finale qui allait figurer dans ‘’Petits poèmes en prose’’. En introduction à ces quatre textes fut imprimée la lettre que Baudelaire écrivit à leur sujet à Fernand Desnoyers, extraordinaire profession d'amour pour les villes, et de rejet du culte de la nature, «religion nouvelle qui aura toujours, ce me semble, pour tout être spirituel, je ne sais quoi de ‘’shoking’’ [sic]».

Il en était venu à écrire des poèmes en prose après avoir lu ’Gaspard de la nuit’’ d’Aloysius Bertrand, et s’être donné cette œuvre comme modèle. Mais, alors que les tableaux de genre de ce dernier étaient inspirés du passé, il voulut faire de ses textes la forme par excellence de la poésie de la grande ville moderne et urbaine, pour laquelle, depuis quelques années, il avait montré un intérêt particulier, peut-être sous I'effet de ses lectures d'Edgar Poe (qui avait traité le sujet de la solitude au milieu de la foule), davantage sans doute grâce aux oeuvres plastiques de Constantin Guys et surtout de Meryon (dont le thème unique était le paysage parisien, Baudelaire admirant les eaux-fortes de cet artiste «puissant et singulier»).

Le 26 mai s’ouvrit à Paris l’Exposition universelle, qui marqua l’apogée de la puissance française. Baudelaire fut chargé de rendre compte des ‘’Salons’’ de peinture, et il publia d’abord dans ‘’Le pays’’, puis, après une brouille avec ce journal, dans ‘’Le portefeuille’’ :

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‘’L’exposition universelle de 1855’’

(1855)
Recueil de trois études
Ce sont : ‘’Méthode de critique’’, ‘’Ingres’’ et ’Eugène Delacroix’’.

Dans ‘’Méthode de critique’’, Baudelaire avoue ses fluctuations passées : «J’ai essayé plus d’une fois, comme tous mes amis, de m’enfermer dans un système pour y prêcher à mon aise. Mais un système est une espèce de damnation qui nous pousse à une abjuration perpétuelle.» Il affirme sa détermination de s’en tenir désormais à son propre jugement : «Je suis revenu chercher un asile dans I'impeccable naïveté […] C’est là que ma conscience philosophique a trouvé le repos.» - «Je préfère parler au nom du sentiment, de la morale et du plaisir». Aussi critique-t-il les «professeurs d'esthétique», les «doctrinaires du beau» enfermés dans leur système, des barbares «qui ont oublié Ia couleur du ciel, la forme du végétal, le mouvement et l'odeur de I'animalité, et dont les doigts crispés, paralysés par la plume, ne peuvent plus courir avec agilité sur I'immense clavier des correspondances.» Il veut cesser de se fier à des systèmes pour «se contenter de sentir», tandis que, pour les critiques abstraits et systématiques, «tous les types, toutes les idées, toutes les sensations se confondraient dans une vaste unité, monotone et impersonnelle, immense comme l'ennui et le néant.» Il affirme : «Il m'arrivera souvent d'apprécier un tableau uniquement par la somme d'idées ou de rêveries qu'il apportera dans mon esprit.» Il se demande : «Que dirait un Winckelmann moderne […] en face d’un produit chinois, produit étrange, bizarre, contourné dans sa forme, intense par sa couleur, et quelquefois délicat jusqu'à l'évanouissement? Cependant c'est un échantillon de la beauté universelle ; mais il faut, pour qu'il soit compris, que le critique, le spectateur opère en lui-même une transformation qui tient du mystère, et que, par un phénomène de la volonté agissant sur l'imagination, il apprenne de lui-même à participer au milieu qui a donné naissance à cette floraison insolite [...] Que dirait, qu'écrirait, en face de ces phénomènes insolites, un de ces modernes professeurs-jurés d'esthétique, comme les appelle Henri Heine? […] N’en déplaise aux sophistes trop fiers qui ont pris leur science dans les livres, et, quelque délicate et difficile à exprimer que soit mon idée, je ne désespère pas d’y réussir : le beau est toujours bizarre.» Il précise : «Je ne veux pas dire qu'il soit volontairement, froidement bizarre, car dans ce cas il serait un monstre sorti des rails de la vie. Je dis qu'il contient toujours un peu de bizarrerie, bizarrerie naïve, non voulue, inconsciente, et que c'est cette bizarrerie qui le fait être particulièrement le Beau.» Il dénonce dans l’idée de progrès «une erreur fort à la mode», dont il faut se garder «comme de l’enfer», une «idée grotesque qui a fleuri sur le terrain pourri de la fatuité moderne», qui fait que le Français est «américanisé». Pour lui, la foi en la science est le «paganisme des imbéciles», «le progrès indéfini» est «un mode de suicide incessamment renouvelé». Il considère qu’«il ne peut y avoir de progrès (vrai, c’est-à-dire moral) que dans l’individu et par l’individu

Dans ‘’Ingres’’, il porte un jugement réservé sur ce peintre, ce «génie hétéroclite» dont il dénonce l'éclectisme et l'archaïsme. S'il lui reconnaît du talent ou des talents, s’il est sensible au «charme bizarre» de son œuvre, s’il note ses réussites : le primat du dessin et l'art du portrait, «un genre dans lequel il a trouvé ses plus grands et légitimes succès», il lui paraît, et à la différence de Delacroix, dénué d’inventivité, d’imagination, ce qui l’aurait poussé à se référer à la tradition raphaëlesque mais aussi à des sources variées (les primitifs allemands, Poussin et Carrache, les antiques). Ses tableaux lui donnent I'impression étrange d'«un ordre quasi maladif». Il éreinte sa ‘’Jeanne d’Arc’’ : «absence totale de sentiment et de surnaturalisme». Globalement, il le considère «dénué de ce tempérament énergique qui fait la fatalité du génie». Il voit juste quand il met l’accent sur le goût du style qui poussa le peintre à introduire dans ses œuvres des déformations anatomiques pour mieux «amender la nature». À ce peintre, qu'au demeurant il admire presque malgré lui (plus que lui-même, c'est son influence qu'il condamne), il oppose Courbet qui sacrifie, lui, à l’idée non moins abstraite d’une «nature extérieure, positive, immédiate». Mais il repousse le beau idéal du premier comme le naturalisme du second pour préférer ce qu’il appelle le «surnaturalisme».

Dans ’’Eugène Delacroix’’, dont il était un fervent admirateur, il défend ses «chevaux roses», ses «paysans lilas» et ses «fumées rouges». Mais la liberté qu'il lui accorde largement dans le maniement de la couleur, qu'il tient pour le vrai medium de I'imagination, il la lui mesure dans le maniement du dessin, qui ne doit pas «tricher» avec la nature, reproche qu’il fait à Ingres. Il fait encore l’éloge de Delacroix en prenant un grand détour : «Edgar Poe dit, je ne sais plus où, que le résultat de l’opium pour les sens est de revêtir la nature entière d’un intérêt surnaturel qui donne à chaque objet un sens plus profond, plus volontaire, plus despotique. Sans avoir recours à l’opium, qui n’a connu ces admirables heures, véritables fêtes du cerveau, où les sens plus attentifs perçoivent des sensations plus retentissantes, où le ciel d’un azur plus transparent s’enfonce comme dans un abîme plus infini, où les sons tintent musicalement, où les couleurs parlent, où les parfums racontent des mondes d’idées? Eh bien, la peinture de Delacroix me paraît la traduction de ces beaux jours de l’esprit. Elle est revêtue d’intensité, et sa splendeur est privilégiée. Comme la nature perçue par des nerfs ultra-sensibles, elle révèle le surnaturalisme
Commentaire
Ces études attestent la puissance, la profondeur, l’acuité, des jugements de celui qui ne se trompa jamais dans le choix des valeurs durables, ni sur la caducité de tout art entaché d’une préoccupation utilitaire.

On y remarque le retour du mot «surnaturalisme» ; l’évocation de «ces fleurs mystérieuses dont la couleur profonde entre dans l'oeil despotiquement», de ces fruits «dont le goût trompe et déplace les sens, et révèle au palais des idées qui appartiennent à I'odorat», de tout ce monde d'harmonies nouvelles, qui entrera dans I’homme intelligent, le pénétrera lentement «comme la vapeur d'une étuve aromatisée» ; la mention de «I'insolite», mot que Baudelaire fut le premier à employer, dans le sens qu’allait lui donner la poésie moderne, du symbolisme au surréalisme.

Il se montra «courant sans cesse après le beau multiforme et versicolore qui se meut dans les spirales infinies de la vie».

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Baudelaire fit paraître, le 1er juin 1855, dans ‘’La revue des deux mondes’’, dix-huit poèmes, sous le titre, imprimé pour la première fois, ‘’Les fleurs du mal’’ qu’il explicita dans un projet de préface : «Des poètes illustres s'étaient partagé depuis longtemps les provinces les plus fleuries du domaine poétique. ll m'a paru plus plaisant, et d'autant plus agréable que la tâche était plus difficile, d'extraire la beauté du Mal.» Ces poèmes appartenaient à toutes ses manières. La direction de la revue dégagea sa responsabilité dans une petite note («paternelle», selon Baudelaire).

‘’Le Figaro’’ manifesta à l’égard de ces poèmes une hostilité telle que l’éditeur Michel Lévy renonça à publier le recueil entier. Un autre éditeur, Victor Lecou, accepta de le publier. Mais Baudelaire, harcelé par ses créanciers, chassé par sa logeuse faute de paiement du loyer (dans la période 1855-1856, il changea huit fois de domicile !), égara son manuscrit, et fut contraint de recommencer sa besogne.

Le 8 juillet, il fit paraître dans ‘’Le portefeuille’’ :

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