Le temps a laissié son manteau De vent, de froidure et de pluye Et s’est vestu de de brouderie







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Fonction référentielle de la poésie : poésie de circonstance :engagement politique


Le poète a besoin d’un mécène pour vivre : concernant LA FONTAINE ce sont : le roi , Fouquet :

le songe de vaux


Elégie de Vaux : écrite pour la cause de Fouquet ; texte qui a pour objectif que de dire ce qui lui tient à cœur et de sensibiliser le Roi de la façon la mieux agencée qui soit :

Mais quittons ces pensers. Oronte nous appelle.

Vous dont il a rendu la demeure si belle,

Nymphes, qui lui devez vos plus dignes appas,

Si le longs de vos bords Louis porte ses pas,

Tâchez de l’adoucir, fléchissez son courage.

Il aime ses sujets, il est juste, il est sage,

Du titre de clément rendez-le ambitieux

C’est par là que les rois sont semblables aux Dieux.

Ode au roi : montre discrètement l’ingratitude des Grands envers leurs serviteurs :

L’amour est fils de la Clémence

La Clémence est fille des dieux ;

Sans elle toute leur puissance

Ne serait qu’un titre odieux.

  • FONCTION CONATIVE DE LA POESIE :

Voir le paragraphe ci dessus (poésie de circonstance est poésie conative puisqu’il s’agit d’écrire pour quelqu’un et donc de lui demander quelque chose.)

NICOLAS BOILEAU


POESIE REFERENTIELLE : dire le monde et les chose à un destinataire

  • Poésie référentielle : poésie de circonstance : la poésie satirique :

Reprenant la tradition antique qui avait déjà influencé Régnier au début du XVII°siècle, Boileau s’attaque aux vices et aux ridicules de son temps.

Son expression manque parfois de poésie mais verve et violence qui jouent habilement sur les effets de contraste ; Boileau s’amuse à parodier le style épique en l’appliquant à des sujets prosaïques selon les procédés de l’héroï-comique. Cela dans les Satires qui au fur et à mesure de la rédaction (durée 40 ans) évoluent : de la dénonciation des ridicules des comportements, Boileau passe à une réflexion plus profonde sur l’hommes, pour enfin aborder les problèmes religieux.
Satires : reprend le texte de Juvénal mais aussi celui de Mathurin REGNIER (cf p5)

Voir textes polycopiés
Le genre de la Satire vient de l’Antiquité, en particulier par JUVENAL (60-140) qui est passé maître.(cf textes polycopiés)

Epîtres : prolonge la tonalité satirique. Boileau reprend la tradition des Anciens de la lettre littéraire que les auteurs de la Rome antique utilisaient pour livrer leur avis et leurs impressions sur les sujets les plus divers :

Epître VI : construite toute en opposition : ville / campagne

Oui, Lamoignon, je fuis les chagrins de la ville,

Et contre eux la campagne est mon unique asile.

  • Fonction métalinguitique de la poésie
Domaine de la critique littéraire. Boileau resté comme le législateur du classicisme ; n’a pas inventé les règles mais les a codifiées : il propose un art d’écrire

Satire II : envie le talent de Molière :

Enseigne-moi, Molière, où tu tiens la rime.

L’Art Poétique : construction de cet ouvrage est rigoureuse et symétrique. Les chants I et IV sont consacrés à des considérations générales : le chant I définit les grandes règles de l’écriture tandis que le chant IV analyse le comportement de l’écrivain. Ils encadrent les chants II et III qui contiennent des études particulières :le chants II se penche sur les formes littéraires mineures, comme l’ode ou le sonnet, et le chant III envisage les grands genres : la tragédie, la comédie, l’épopeé.

Chant I :

Ce qui se conçoit bien s’énonce clairement,

Et les mots pour le dire arrivent clairement.

(…)

Hâtez-vous lentement, et, sans perdre courage,

Vingt fois sur le métier remettez votre ouvrage

Polissez-le sans cesse et le repolissez ;

Ajoutez quelquefois, et souvent effacez.

La poésie doit répondre à deux critères principaux : l’ordre et la raison qui imposent la clarté, le naturel, la justesse des termes et la pureté de la langue ; pour tempérer ces données austères, il introduit des données plus plaisantes : la passion dans l’expression, la variété de style, l’harmonie du vers.
DU CLASSICISME AU SIECLE DES LUMIERES (1685-1715)

  • Sclérose de la Monarchie absolue

Isolement de la cour

Les excès de l’unification

Le désenchantement

  • La lente remise en cause du classicisme

Classicisme est souvent tenu mais c’est sa lettre plutôt que son esprit qui est suivi : devient un recueil de « recettes » qu’il faut suivre. Querelle des Anciens et des modernes montre qu’une évolution est en marche : modernes tournés vers l’avenir.

Aspiration aux réformes : annoncent la littérature d’idée et la philosophie des lumières (avec Fontenelle et Bayle).

La poésie, trop raisonnable, trop didactique, est en pleine décadence.

LA QUERELLE DES ANCIENS ET DES MODERNES

Elle éclate en 1687 lorsque C. Perrault lit à l’Académie un poème, le siècle de Louis le Grand dans lequel il met en doute la supériorité des poètes antiques sur les poètes modernes. Fontenelle, en 1688, dans sa Digression sur les Anciens et les Modernes, récuse lui aussi l’idéal classique en affirmant : « rien n’arrête tant le progrès des choses, rien ne borne tant les esprit que l’admiration excessive des Anciens ». Accusés de sacrilège par les partisans de la tradition (Boileau, La Fontaine, La Bruyère), les Modernes ouvrent la voie à une nouvelle esthétique et à une sensibilité qui mêlent le naturel et la préciosité.

Les partisans Anciens partent du principe que la perfection a été atteinte en art : La Bruyère, les Caractères :

« Tout est dit, et l’on vient trop tard depuis plus de sept mile ans qu’il y a des hommes, et qui pensent. Sur ce qui concerne les mœurs, le plus beau et le meilleur, est enlevé ; l’on ne fait que glaner après les Anciens et les habiles d’entre les Modernes. »

Pour les Modernes, comme Perrault, il y a, au contraire, beaucoup à trouver, à améliorer, ce qui donne aux modernes une supériorité sur leur prédécesseurs :

Parallèle des Anciens et des Modernes :

[…] tous les arts ont été portés dans notre siècle à un plus haut degré de perfection que celui qui où ils étaient parmi les Ancien, parce que le temps a découvert plusieurs secrets dans tous les arts, qui, joints à ceux que les Anciens nous ont laissés, les ont rendus plus accomplis. »
LA CRISE DES GENRES LITTERAIRES : PERRAULT (CHALLE, REGNARD)


  • L’usure du temps :

Décadence des genres littéraires après qu’ils aient connu la gloire. Ils s’achèvent sur une transition périlleuse. La littérature peut alors se figer, refuser les évolutions nécessaires, se réfugier dans l’académisme pour échapper aux coups des contestataires. Mais c’est aussi le temps des remises en cause, de l’expérimentation où se prépare la prochaine littérature. La querelles des Anciens et des Modernes est représentative de ce double mouvement : avancée / stagnation.

  • La décadence de la poésie.

Durant la période classique, la place de la raison mettait en danger la poésie. Dans ces années 1685-1715, la décadence ne fait que s’accentuer : la volonté d’instruire, de démontrer l’emporte sur le désir de toucher, d’émouvoir : LE LYRISME CEDE AU PROSAÏSME. Le réveil sera long : timide amorce avec HOUDAR DE LA MOTTE qui dans Discours sur la poésie développe une idée révolutionnaire : la poésie ne dépend pas uniquement de la versification mais également de l’inspiration et des thèmes abordés. (à nuancer : voir XVIII°siècle p21).

CHARLES PERRAULT

Chef de file des Modernes

Auteur des Contes de ma mère l’oie : ont une double signification :

  • En mettant en scène des princesse (Cendrillon), des personnages étranges (Barbe Bleue), des ogres (Le Petit Poucet), des chats doué de la parole (Le Chat Botté), ces contes s’adressent aux enfants.

  • Mais ils ont une signification beaucoup plus profonde : en fait les personnages qui y évoluent évoquent les pulsions qui sont au centre de l’être humain, qui sont tapies dans son inconscient.



LES LUMIERES


L’ESSOR DES LUMIERES (1715-1750)
Siècle des idées qui occulte la poésie ; c’est une activité de salon. Il s’agit d’en faire un exercice de la raison : c’est ce que pensent Fontenelle et Houdar de La Motte ; mais faire de la poésie « un enthousiasme réglé », lui fait perdre son élan créatif et la spontanéité d’où naît l’inspiration (beaucoup de poésie de Circonstance). Il faut attendre la 2ème moitié du siècle pour qu’elle se renouvelle avec Delille et Chénier : essor qui laisse libre cours à l’expression des émotions et du sentiment de la nature. Nous sommes en route vers le romantisme
HISTOIRE ET POLITIQUE : UN NOUVEAU REGARD
VOLTAIRE :

FONCTION REFERENTIELLE DE LA POESIE

  • Fonction référentielle de la poésie : poésie de circonstances

Mécène Frédéric II

poèmes satiriques : Le Mondain : mêlant sentences épicuriennes et scènes burlesques, Voltaire illustre les raffinements de la civilisation qui augmentent le bonheur des hommes. S’oppose à Pascal qui pense que l’homme est un « monstre » incompréhensible. C’est une satire grotesque de la Génèse : apologie au luxe, aux plaisirs, et à l’action.

Admirez-vous pour cela nos aïeux ?

Ils leur manquait l’industrie19 et l’aisance :

Est-ce vertu ? c’était pure ignorance. […]

Le paradis terrestre est où je suis.

  • Fonction référentielle de la poésie : la poésie épique

La Henriade : à la gloire d’Henry IV : échec
FONCTIONS REFERENTIELLE ET CONATIVE DE LA POESIE :

  • Fonctions conative et référentielle : la poésie de circonstance ici engagée :

Poème sur le désastre de Lisbonne :

Prise de position de Voltaire ; montrer le désastre et en sous bassement polémique : contre l’idée que le monde ne peut pas être mieux qu’il n’est (LEIBNIZ d’après la théorie de THEODICEE, doctrine de la justice de Dieu : tout est au « mieux »). Voltaire s’érige contre cette théorie qui semble justifier la souffrance. Il prend parti dans son poème sur les question qui suscitèrent les plus vives controverses à l’époques des Lumières : l’origine du mal, la Providence, la liberté de l’homme :

Un jour tout sera bien, voilà notre espérance ;

Tout est bien aujourd’hui, voilà l’illusion

Polémique sera ravivé avec Candide

APOGEE DES LUMIERES ET SENSIBILITES PREROMANTIQUES (1750-1778)
LA LITTERATURE POPULAIRE


  • Fonction référentielle de la poésie : poésie de circonstance, satirique :

Pas beaucoup de poèmes au XVIII° siècle ; par contre beaucoup de chansons nées avec la révolution :ex : la carmagnole, le Bon roi Dagobert qui représente Louis XVI et St Eloi qui représenterait Necker.

C’est un mode d’expression spontané commun à tous impossible à censurer (à la cour, à la ville, dans les campagnes), sa fonction : donner la parole à une population qui en est institutionnellement privée.

Dans la chanson se déchaînent les rancœurs mais aussi la verve du peuple, avec violence et audace
L’ERE DES BOULEVERSEMENTS (1778-1802)
CRISE ET RENOUVEAU DE LA POESIE :DELILLE, CHENIER

Genre devenu un peu 2aire au XVIII° siècle. Il faut attendre la 2ème partie du siècle pour que le genre retrouve, avec Delille et Chénier, un essor qui laisse libre cours à l’expression des émotions et du sentiments de la nature. On marche alors vers le romantisme.

  • Un genre en question :

Elle souffre d’une image intellectuelle qui contribue à son déclin :

Certains veulent faire de la création poétique un exercice de la raison : Fontenelle qui s’oppose à l’idée que la poésie puisse être le résultat d’un élan créatif mettant en jeu l’imagination, l’affectivité et non plus la raison. Houdar de la Motte considère que la poésie ne doit pas « s’affranchir de la raison » et pense en outre que le poète ne doit pas se laisser, la création poétique devant être un « enthousiasme réglé » : de là la poésie perd de son enthousiasme créatif.

Chez les mondain :poésie = jeu de salon. Abandon du « parnasse » c'est-à-dire séjour des muses inspiratrice pour descendre dans les salons où elle se plie à des règles conventionnelles de la rhétorique mondaine. C’est surtout une poésie de circonstances. Diderot déplore l’état de la poésie dans poésie dramatique : « plus un peuple est civilisé, poli, moins ses mœurs sont poétiques ».il souhaite le retours des temps bouleversés par les orages de la passion. Annonce en cela la poésie nouvelle qui ne naîtra qu’après la Révolution. Mais notons qu’entre ces 2 tendances, il y a une sensibilité préromantique comme dans les textes de Delille et Chénier :

  • Renouveau qui annonce le romantisme.

Prend sa source dans la sensibilité :privilégie l’épanchement lyrique, le rêve, l’imagination. Le sentiment de la nature, l’expression élégiaque de la fuite du temps, la nostalgie du passé et l’aspiration au bonheur d’une vie en harmonie avec l’environnement constituent les thèmes récurrents.

Evocation aux paysages mouvementés (lacs, montagnes, torrents impétueux)ou au contraire paisibles (images champêtres d’une nature amie qui suscite la confidence). Prédominance de l’émotion constitue le renouveau.
DELILLE :

  • Fonction lyrique et émotive de la poésie : la poésie préromantique

L’Imagination : Ne cache pas l’intérêt qu’il porte aux création de l’imagination. C’est d’ailleurs le titre de l’un de ses recueils. Il y montre la place qu’il accorde à la rêverie et aux sentiments en demi teintes (qui caractériseront le XIX° siècle).

La mélancolie est présentée comme un accord profond entre le cœur solitaire et la nature (avec des accents qui annoncent Lamartine)

Elle évite la foule, elle redoute le bruit ;

Sauvage et se cachant à la foule indiscrète,

Le demi-jour suffit à sa douce retraite ;

De loin, avec plaisir elle écoute les vents,

Le murmure des mers, la chute des torrents.

Les descriptions des paysages peuvent devenir de véritables miroirs de l’âme :

Jardins :

Ce mouvement, ce bruit, cette mer turbulente

Roulant, montant, tombant en montagne écumante

Enivrait mon esprit, mon oreille et mes yeux.
André CHENIER

Donne à ses vers un élan épique sans totalement abandonner la tradition classique d’une poésie très marquée par la mythologie.

  • Fonction lyrique et émotive de la poésie : la poésie préromantique

probablement le premier poète maudit. « romantique parmi les classique » HUGO ; Dans ses bucoliques, compose des poèmes d’amour et de mort dans la tradition des idylles et élégies grecques et latines. Il préfigure les élans lyriques du siècle suivant. Tantôt analyse les sentiments les plus secrets, tantôt au contraire est un visionnaire exprimant ses espoirs pour l’avenir, il imagine le moment où l’homme « libre de ses fers » pourra exercer sa liberté créatrice et imposer sa voix à l’univers. En prenant en charge l’expression poétique de certaines idées des Lumières, Chénier assure le lien entre le siècle de Voltaire et celui de Hugo.

Les bucoliques : reprises de modèles antiques

Les Iambes composées alors qu’il attendait son exécution à la prison Saint-Lazare (sera exécuté le 25/07/1794). Le Iambes : dénonciation de ses bourreaux, de la barbarie du tribunal révolutionnaire.

Au pied de l’échafaud j’essaye encor ma lyre.

Peut-être est-ce bientôt mon tour.

[…]

Pour cracher sur leurs noms, pour chanter leur supplice ?

Allons, étouffe tes clameurs ;

Souffre, ô cœur gros de haine, affamé de justice.

Toi, Vertu, pleurs si je meurs.
LE XIXè SIECLE

LE ROMANTISME



Mal de siècle :marqué par incertitude, inquiétude, conscience des imperfections de la modernité.

Méditations sur les ruines d’un monde qui a vécu, le 1er romantisme inscrit sa condamnation du monde moderne et corrompu dans le mouvement critique que fut celui du XVIII°siècle. Ce sont souvent d’anciens aristocrates déchus par la révolution : ils sont ruinés et acceptent mal leur condition : préfèrent s’exiler volontairement ; leur existence = voyages (ex : CHATEAUBRIAND)

Leur mal de vivre : l’indécision, l’ennui, la nostalgie du passé, l’angoisse du présent Mal redoutable parce qu’il résiste à l’analyse de soi et persiste malgré les tentatives de le chasser : Il y a en moi une inquiétude qui ne me quittera pas : c’est un besoin que je ne connaît pas, que je ne conçoit pas, qui me commande, qui m’absorbe, qui m’emporte au-delà des êtres périssables (SENACOUR, Oberman). Cette soif d’absolu se traduit souvent par une angoisse majeure liée au temps : les héros du premier romantisme  ont souvent le sentiment d’un vieillissement précoce ; tentation du suicide : forme extrême de leur mélancolie. « chaque heure dans la société ouvre un tombeau » CHATEAUBRIAND, René.

Autre versant du 1er romantisme : le « développement des grandes passions » : recherche d’émotions. Le MOI devient un point d’ancrage rassurant dans la tourmente de l’Histoire. Très présent dans les écrits romanesques à la 1ère personne.

Le lyrisme poétique cherche un souffle rénovateur d’énergie qui sera présente chez la 2ème génération : Hugo, Vigny, Lamartine, Musset.

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