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Actuelles, chroniques 1944-1948” (1950) Recueil d’articles En épigraphe, Camus cita Nietzsche : « Il vaut mieux périr que haïr et craindre ; il vaut mieux périr deux fois que se faire haïr et redouter ; telle devra être un jour la suprême maxime de toute société organisée politiquement. » Il n’a pas donné la référence de ce texte qui est : ‘’Le voyageur et son ombre’’, aphorisme 284. Le recueil « résume l'expérience d'un écrivain mêlé pendant quatre ans à la vie publique,de son pays ». Il est principalement composé d'articles de ‘’Combat’’, dont Camus avait été rédacteur en chef de 1944 à 1947. Il n'a cependant pas jugé bon de les recueillir tous. Les éditoriaux consacrés à la libération de Paris témoignent, avec un lyrisme contenu et frémissant, dans une langue superbe, du climat exceptionnel des 24 et 25 août 1944. Celui du 24 août 1944 posait ce qui était déjà le thème des ‘’Lettres à un ami allemand’’ et qui n’allait pas changer tout au long de l'action journalistique ou militante de Camus : «Le Paris qui se bat ce soir veut commander demain. Non pour le pouvoir, mais pour la justice, non pour la politique, mais pour la morale, non pour la domination de leur pays, mais pour sa grandeur. » Si ces éditoriaux disent le combat pour la liberté, ils affirment aussi que la vérité doit l'emporter sur le mensonge, la justice sur le goût du pouvoir, la morale sur la politique ; ils rappellent l'exigence de la justice, de la fraternité, de la fidélité à ceux qui ont payé de leur vie leur engagement dans la résistance ; ils donnent ainsi le ton de l'ensemble du volume. Bientôt se fait jour le besoin d'une presse libre et responsable. Le 8 août 1945, alors que tous les journaux célèbrent l'envoi de la bombe atomique sur Hiroshima et la victoire imminente sur le Japon, Camus entrevoit les « perspectives terrifiantes qui s'ouvrent à l'humanité », et plaide en faveur d'un « nouvel ordre international ». Au fil des jours, il s'émeut du sort des déportés pas encore rapatriés, constate dès le 30 août 1945 que l'épuration est « manquée» et « déconsidérée », réclame la vigilance contre le racisme renaissant dès 1947 et la médiocrité revenue. L'important ensemble « Ni victimes, ni bourreaux » contient sur le terrorisme et l'Histoire, sur le refus de légitimer le meurtre, sur le « socialisme mystifié » ou la « révolution travestie », sur l'impérieuse nécessité de maintenir le dialogue entre les êtres humains, l'essentiel des réflexions qui sous-tendent ‘’La peste’’, ‘’Les justes’’ ou ‘’La chute’’ ; ces textes marquent la rupture de Camus avec le communisme stalinien (il était alors un des rares intellectuels de gauche à en dénoncer les abus), son impossibilité à accepter le fait concentrationnaire, qui auront tant d'échos dans ‘’L'Homme révolté’’. Dans “Deux réponses à Emmanuel d’Astier de La Vigerie” (communiste qui, alors que des Espagnols antifascistes étaient séquestrés à Karanganda en U.R.S.S., prenant prétexte des horreurs du phalangisme, avait voulu excuser Staline), Camus confiait : «Je n'ai pas appris la liberté dans Marx. Il est vrai : je l'ai apprise dans la misère.» - «Il y a l'Histoire et il y a autre chose, le simple bonheur, la passion des êtres, la beauté naturelle. Ce sont là aussi des racines, que l'Histoire ignore, et l'Europe, parce qu'elle les a perdues, est aujourd'hui un désert.» Dans le chapitre “Morale et politique”, composé de onze éditoriaux, on est étonné de voir, dans le troisième, daté du 12 octobre 1944, Camus citer, un peu légèrement, la célèbre formule de Goethe à laquelle il faisait déjà allusion, en 1943, dans son étude sur le roman classique intitulée ‘’L'intelligence et l'échafaud’’ : « Mieux vaut une injustice qu'un désordre. » Dans ce chapitre s'inscrivit aussi le débat entre Camus et Mauriac sur la justice et la charité, sur la peine de mort. Deux tempéraments et deux philosophies s'y opposent. On y retrouve aussi le débat entre Camus et Gabriel Marcel à propos de ‘’L'état de siège’’ : « Vous acceptez de faire silence sur une terreur pour mieux en combattre une autre. Nous sommes quelques-uns qui ne voulons faire silence sur rien." Le dernier texte du chapitre est un éditorial du 8 août 1945. La bombe atomique venait d'exploser sur Hiroshima. Seul de tous les commentateurs, en France, et même en Europe, Camus n'hésita pas à écrire : « La civilisation mécanique vient de parvenir à son dernier degré de sauvagerie. Il va falloir choisir, dans un avenir plus ou moins proche, entre le suicide collectif ou l'utilisation intelligente des conquêtes scientifiques. En attendant, il est permis de penser qu'il y a quelque indécence à célébrer ainsi une découverte, qui se met d'abord au service de la plus formidable rage de destruction dont l'homme ait fait preuve depuis des siècles. » Il y écrivit aussi : «Sauver ce qui peut encore être sauvé pour rendre l'avenir seulement possible, voilà le grand mobile, la passion et le sacrifice demandés.» Dans “Défense de l'intelligence”, il y vit «ce goût de l'homme sans quoi le monde ne sera jamais qu'une immense solitude.» Dans “Le témoin de la liberté”, il défendit «ce succédané malheureux et déchaîné de l'amour, qui s'appelle la morale».Il manifesta son refus de l’exécution à la fois comme sanction judiciaire et comme procédé politique. Ailleurs, il définissait la justice : «La justice est à la fois une idée et une chaleur de l'âme. Sachons la prendre dans ce qu'elle a d'humain, sans la transformer en cette terrible passion abstraite qui a mutilé tant d'hommes.» Il affirma : « Le monde où je vis me répugne, mais je me sens solidaire des hommes qui y souffrent. » La multiplicité des thèmes abordés montre l'extrême attention de Camus à tous les problèmes de l'après-guerre. Les textes étaient aussi des interviews, des préfaces, des conférences. Il s'agit de textes portant sur des sujets divers : politique, morale, religion, rôle de l'artiste, toujours en relation avec l'actualité ; ils permettent à la fois de retrouver l'air du temps où ils ont été écrits, et d'éclairer, de façon quelquefois fondamentale et toujours révélatrice, la pensée et l'œuvre de l'auteur à un moment précis. On y constate que Camus journaliste était doué d'un tempérament de polémiste, et que son humour pouvait être corrosif. Mais on découvre aussi qu’il avait le sens du dialogue, qu’il écoutait les arguments de son adversaire, se demandait s'il ne fallait pas s'y ranger, n'étant jamais sûr d'avoir raison. _________________________________________________________________________________ “L’Homme révolté” (1951) Essai en cinq parties I. “L'Homme révolté”. Paradoxalement, la révolte individuelle exprime une solidarité universelle ; elle permet de comprendre que tous les hommes partagent un sentiment d'étrangeté devant le monde : «Dans l'épreuve quotidienne qui est la nôtre, la révolte joue le même rôle que le "cogito" dans l'ordre de la pensée : elle est la première évidence. Mais cette évidence tire l'individu de sa solitude. Elle est un lien commun qui fonde sur tous les hommes la première valeur. Je me révolte, donc nous sommes.» - «Il s'agit de savoir si l'innocence, à partir du moment où elle agit, ne peut s'empêcher de tuer.» Il. “La révolte métaphysique”. Les pensées modernes de la révolte sont vouées à l'échec, car elles ont été dévoyées. Alors que «le génie grec [...] a su donner le modèle de l'insurrection», que l'Occident chrétien a «résolu» le problème du mal et de la mort, Sade puis les romantiques (Vigny), les agnostiques, les poètes (Lautréamont, Rimbaud) et les surréalistes (Breton), se sont insurgés contre le Créateur et la condition humaine tout entière. Mais ces révoltes se révèlent, en définitive, réactionnaires : elles ne visent qu'à substituer un nouvel ordre à l'ordre contesté. III. “La révolte historique”. Toutes les formes de terrorisme, étatique ou individuel, ont emprunté au pouvoir sa tyrannie. La révolte se distingue de la révolution par sa pureté préservée : «Tout révolutionnaire finit en oppresseur ou en hérétique.» L'insurrection de Spartacus, les régicides, ne s'apparentent pas à cette volonté de nouveau «contrat social» qui sacralise le pouvoir. La Révolution a abouti à légitimer le principe de la Terreur érigé par Saint-Just au nom de la vertu. Hegel, en rationalisant par la dialectique les rapports du maître et de l'esclave, posa les jalons de l'idéologie marxiste et du terrorisme stalinien. Or l'échec de la prophétie marxiste démontre l'impossibilité, pour une doctrine, de s'incarner dans l'Histoire. Seul le recours à l'histoire «de l’orgueil européen» permet d'expliquer la démesure de notre temps : «Le fascisme, c'est le mépris [...] Inversement, toute forme de mépris, si elle intervient en politique, prépare ou instaure le fascisme.» IV. “Révolte et art”. Le temps est nié dans l'art, comme le réel qu'il recrée cependant. Les idéologues de la révolution ont rejeté l'art, tandis que «l'artiste refait le monde à son compte». Le genre romanesque en particulier participe d'une révolte esthétique contre l'incomplétude de l'existence. «L'homme [...] cherche en vain cette forme qui lui donnerait les limites entre lesquelles il serait roi. Qu'une seule chose vivante ait sa forme en ce monde et il sera réconcilié !» Le romancier cherche à «saisir enfin la vie comme destin». Face à nos actes qui «fuient comme l'eau de Tantale vers une embouchure encore ignorée», nous prêtons tous à la vie des autres «une cohérence et une unité qu'elles ne peuvent avoir... Nous faisons alors de l'art sur ces existences. De façon élémentaire, nous les romançons». C'est ainsi que, «religion ou crime, tout effort humain obéit, finalement, à ce désir déraisonnable [de durée, de cohérence] et prétend donner à la vie une forme qu'elle n'a pas. Le même mouvement mène aussi bien à la création romanesque... Le roman fabrique du destin sur mesure » - « L'art est une exigence d'impossible mise en forme. Lorsque le cri le plus déchirant trouve son langage le plus ferme, la révolte satisfait à sa vraie exigence et tire de cette fidélité à elle-même une force de création. Bien que cela heurte les préjugés du temps, le plus grand style en art est l'expression de la plus haute révolte. Comme le vrai classicisme n'est qu'un romantisme dompté, le génie est une révolte qui a créé sa propre mesure. C'est pourquoi il n'y a pas de génie, contrairement à ce qu'on enseigne aujourd'hui, dans la négation et le pur désespoir.» V. “La pensée de midi”. Pour échapper à l'enchaînement meurtrier des révolutions, l'homme révolté doit retrouver sa dimension humaine ; loin de s'ériger en nouveau Dieu justifiant l'horreur révolutionnaire, il doit faire sienne la mesure antique des Grecs : «La mesure n'est pas le contraire de la révolte. C'est la révolte qui est la mesure, qui l'ordonne, la défend et la recrée à travers l'histoire et ses désordres.» - «L'absolutisme historique, malgré ses triomphes, n'a jamais cessé de se heurter à une exigence invincible de la nature humaine, dont la Méditerranée, où l'intelligence est sœur de la dure lumière, garde le secret.» Contre la tentation du nihilisme, la révolte, expression lucide de la condition tragiquement solitaire et solidaire de l'être humain, est un combat permanent qui impose de vivre «pour créer ce que nous sommes». «La vraie générosité envers l'avenir consiste à tout donner au présent.» Commentaire “L'Homme révolté”, essai contemporain du “Mythe de Sisyphe”, visait à prolonger, en l'amplifiant, la réflexion engagée sur l'absurde et le suicide et qui totalisait une expérience et une recherche puisant leurs sources dans la philosophie de l'Histoire et la littérature. Ce livre, quelque peu encombré de références, Camus ayant réuni une très importante documentation, ayant mobilisé toute sa culture, avec l'idée de faire un panorama complet de la révolte, de ses déviances, appuyant son argumentation sur des textes, cherchait donc moins à définir une théorie nouvelle qu'à synthétiser les courants de la pensée contemporaine. C'est néanmoins en un point de convergence entre la pensée grecque et la pensée chrétienne que Camus tentait de se placer. Pour déjouer le tragique de l'exil qui définit la condition humaine selon le christianisme, il préconisait un équilibre entre la raison, le «logos» grec, et l'irrationnel dans l'être humain. Ce n'est donc pas une philosophie de l'absurde, selon un contresens courant, que prôna Camus. Le véritable sujet, celui qui resurgit à chaque page, est le fait que l'être humain, au nom de la révolte, s'accommode du meurtre, le fait que la révolution a eu pour aboutissement les États policiers et concentrationnaires de notre siècle. Comment l'orgueil humain a-t-il pu dévier? Camus cherchait à définir une morale collective qui exaltât la solidarité humaine face au mal. Il proposait une généalogie intellectuelle des totalitarismes, où figuraient Sade, Saint-Just et de nombreux auteurs allemands, dont Hegel et Marx. Il mettait en cause la notion même de révolution : «Une révolution qu'on sépare de l'honneur trahit ses origines qui sont du règne de l'honneur.» - «Tout révolutionnaire finit en oppresseur ou en hérétique.» En distinguant la révolution de la révolte, il cherchait à montrer que cette dernière ne peut découler de la pensée seule, mais de l'expérience, et qu'elle doit se résoudre par des actes. Ainsi la réflexion engagée dans “L'Homme révolté” prit-elle sa source dans le constat d'un échec de l'idéologie marxiste et de l'horreur engendrée par les totalitarismes. Livre politique, il s'insurge contre la défaite de l'Histoire. En refusant le destin qui implique l'idée du tragique dans l'Histoire, Camus inscrit sa volonté de pas interpréter les malheurs qu'elle charrie comme l'effet d'une répétition fatale. Elle fonde au contraire la nécessité de s'inventer un «destin sur mesure». Le révolutionnaire reproduit la logique de l'oppresseur, tandis que le révolté ne cède pas à la tentation d'ériger la protestation en système et introduit le «soupçon qu'il existe une nature humaine». L'univers romanesque effectue «la correction de ce monde-ci selon le désir profond de l'homme». Ainsi “L'Homme révolté” éclaire-t-il l'énigme des romans de Camus, comme la conclusion de “L'étranger” sur la quête d'un sens de la vie à travers la révolte, la caricature des totalitarismes dans “La chute”, ou encore cette nécessité de résister au sentiment de l'absurde, auquel font face les personnages dans “La peste”. Publié au temps de la guerre froide, cet essai long et touffu suscita de vives polémiques, car les contemporains de Camus n'étaient pas mûrs pour admettre ces vérités qui se sont imposées depuis. Breton s'insurgea contre la juste «mesure» préconisée par Camus, suspecte à ses yeux d'affaiblir la signification de la révolte, sans relever le tragique du dilemme posé par la recherche d'un équilibre. La critique des totalitarismes (Camus fut l'un des tout premiers intellectuels à dénoncer indistinctement nazisme et stalinisme), l’incrimination de l'auteur du “Capital” furent interprétées par l’équipe des ‘’Temps modernes’’ (numéros de mai et d'août 1952), alors prééminente dans la vie intellectuelle française, comme une trahison des idéaux révolutionnaires, firent scandale en un temps où l'idéologie progressiste était toute-puissante. Francis Jeanson exécuta sommairement Camus pour lèse-communisme et lèse-marxisme. Sartre écrivit : « Camus n’est ni de droite ni de gauche, il est en l’air ! » Cela tenait du procès en sorcellerie : l'époque était manichéenne, le citoyen Camus ne l'était pas. La conséquence fut la rupture et la brouille définitive avec Sartre qui dénonçait son idéalisme, son supposé moralisme et sa critique du stalinisme. Camus a alors rédigé un texte resté inédit, intitulé ‘’Le nihilisme contre la révolte’’, où il justifiait ‘’L’homme révolté’’ et prônait la mesure : « Je n’aurais pas écrit ce livre si je ne m’étais pas trouvé en face d’hommes dont je ne pouvais m’expliquer le système et dont je ne comprenais pas les actes. Pour dire les choses brièvement, je ne comprenais pas que des hommes puissent en torturer d’autres sans cesser de les regarder. » Dans cette polémique, le bourgeois normalien qui se piquait de révolution a gagné, parce qu'il était le plus méchant et que Camus, conservant une hauteur aristocratique, était incapable de dire des choses offensantes sur quelqu'un. Peu d’intellectuels furent aussi moqués qu’il l’a alors été, victime de l’ostracisme de ses anciens compagnons communistes. Cependant, même s’il fut cruellement harcelé, il continua à considérer “L'Homme révolté” comme son livre le plus important. Dans “Défense de “L’Homme révolté”” (1951), il répondit : «La seule question qu'on puisse poser à la révolution, la révolte seule est fondée à la poser comme la révolution est seule fondée à questionner la révolte». La postérité a fait justice à “L'Homme révolté”, qui s'est imposé, y compris dans les ex-pays de l'Est, comme un essai emblématique des grands combats antitotalitaires du XXe siècle. La critique antitotalitaire du communisme réel apparaît aujourd'hui comme le point fort de l'ouvrage. _________________________________________________________________________________ En 1952, Camus fit un voyage en Asie. Il démissionna de son poste à l’U.N.E.S.C.O. pour manifester sa réprobation devant l’admission de l’Espagne franquiste. Depuis la création de ‘’Révolte dans les Asturies’’ en 1936, il avait toujours manifesté sa solidarité avec les forces populaires espagnoles. Il écrivit une préface à ‘’De profundis’’ d’Oscar Wilde : ‘’L’artiste en prison’’. En 1953, il prit parti en faveur des émeutiers de Belin-Est. Il adapta ‘’Les esprits’’ de Pierre de Larivey, traduisit et adapta ‘’La dévotion à la croix’’ de Calderon de la Barca qu'il présenta au festival d'Angers (14 et 16 juin). En octobre, projetant de mettre en scène ‘’Les possédés’’, le grand roman de Dostoïevski, il travailla à l'adaptation. Il publia : _________________________________________________________________________________ “ |
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