télécharger 497.06 Kb.
|
Section III La pensée politique romaine§1 Polybe Il est né vers 210 av JC, il meurt aux alentours de 126 av JC. C’est un penseur romain, même s’il est grec d’origine .C’est un citoyen de Mégapolis en Grèce qui a 16 ans est pris en otage par les Romains lorsqu’ils font la conquête de la Grèce Pendant son séjour en Italie il fit une étude approfondie de la politique et de l'état militaire des Romains et s'acquit l'amitié des deux fils de Paul-Émile, surtout de Scipion l’Africain, qu'il accompagna au siège de Carthage (146) il voyagea ensuite en Afrique, en Espagne, en Gaule, et fut chargé par les Romains de diverses missions près des Grecs en faveur desquels il réussit plus d'une fois à adoucir le vainqueur. II mourut en 124, à 82 ans. Il avait écrit La vie de Philopoemen, la Guerre de Numance, une Tactique, et une Histoire générale de son temps, en 40 livres où il menait de front l'histoire de Rome et celle des États contemporains : cette Histoire ne s'étendait que de l'an 220 à 146 av. J.-C., mais l'auteur présentait dans les 2 premiers livres un tableau des événements antérieurs. Nous possédons seulement les 5 premiers livres de l'Histoire générale et des fragments assez considérables des autres livres. A Rome il fréquente les cercles politiques de l’époque, au début du déclin de la république. Polybe dans son livre « l’histoire » livre qui s’intéresse aux institutions romaines entre 218 et 146 av JC récupère l’idée platonicienne du cercle , cette idée de dégénérescence des régimes politiques. Il va d’ailleurs donner son nom à la théorie de Platon : « Anacyclosis » Il explique qu’il y a d’abord dans toute société une autocratie c’est à dire des hommes qui se regroupent entre eux et suivent le plus fort. Celui qui règne est celui qui à la force pure. C’est a ce moment que se forment les idées du bien et du mal, du juste et de l’injuste. L’autocrate est obligé de renoncer a ne diriger qu’avec la force et pour Polybe ce renoncement c’est la naissance de la royauté .Selon lui les premiers rois sont toujours bons et simples, ceux qui suivent n’ont pas les mêmes vertus, car ils ne sont là que pas hérédité. Ici apparaît alors la tyrannie, un retour à la force pure. Puis le tyran est chassé par un groupe d’hommes vertueux , c’est l’aristocratie, .Puis les meilleurs finissent par se corrompre et on tombe dans l’oligarchie. Les hommes intègres chassent à nouveau les corrompus : c’est le moment de la démocratie. Pour Polybe le moteur de l’histoire c’est la liberté de parole. Mais très vite la division de la société et le désordre, amènent l’autocratie pour rétablir l’ordre. Il reprend Platon, en parlant de dégénérescence au sein de la chaque régime politique ![]() Il admire aussi le modèle de Sparte, il récupère quelques idée d’Aristote notamment la notion d’équilibre. En somme Polybe Grec devenu Romain veut prouver l’excellence de la Constitution de Rome . A cette époque Rome est triomphante. Elle gagne la guerre contre Carthage. Elle règne sur toute la Méditerranée. Mais malgré la conquête la République Romaine est minée par des distorsions internes, des guerres civiles entre riches familles qui convoitent le pouvoir…Et plus tard c’est chefs de tribus familiale auront pour noms Cesar , Pompée, Marc Antoine etc.… Il y a les conservateurs et les modernistes. Ceux qui veulent revenir aux vertus des premiers romains et ceux qui veulent modifier les lois de la République…Caton contre Cesar Caton veut revenir a une cité romaine traditionnelle, retrouver des mœurs sobres .Caton était censeur, il est connu pour avoir fait chassé de l’armée des homosexuels et il a dégradé un sénateur qui avait embrassé sa femme en public… Les modernistes veulent que Rome s ‘épanouisse dans la conquête. Ils sont ouverts aux apports étrangers et même aux cultes étrangers (égyptien) Osiris et Iris sont adorés par de nombreux romains… Polybe déduit que la victoire de Rome sur Carthage est le signe de la vitalité des institutions et que la Constitution Romaine est la meilleure. Pour lui c’est l’accomplissement du régime Mixte. Il explique :
Polybe considère ce pouvoir consulaire comme un pouvoir exécutif.
« C’est l’équilibre harmonieux entre la monarchie , l’aristocratie et la démocratie. »Polybe En pratique cela n’est pas vrai :
Ainsi la République Romaine n’est pas un régime mixte mais une République aristocratique qui laisse une place au peuple notamment pas le biais des Tribuns de la Plèbe La plèbe , lorsqu’elle est en position de force peut même faire passer des réformes démocratiques. A l’époque de Polybe la République commence a montré des signes de décadence . La famille des Scipions ces chefs militaires prestigieux briguent le pouvoir .Polybe voit bien qu’on est donc en marche vers l’empire. Cicéron aussi observera cette évolution et tentera même de l’infléchir. §2 Cicéron I ![]() Période de violence et d’anarchie juste avant la formation de l’Empire romain. C’est un avocat, il est connu par ses belles plaidoiries écrites en beau latin déclamatoire mais c’est également un homme politique qui deviendra consul. Il va choisir Pompée contre César , (qui l’épargnera) et puis parmi les successeurs de César il va choisir Octave contre Marc Antoine (qui le fera assassiner.) Il est auteur de plusieurs traités « des devoirs » qui est un traité de devoir politique puis de « le de républica » sur l’histoire de la République romaine « les lois »une analyse des Constitutions et « de la République » sur les causes du déclin de la République romaine. Examinons ses idées politiques : Cicéron s’intéresse dans un premier temps à la nature humaine : selon lui :
Il en conclut que la nature humaine est universelle. Lorsque l’individu possède toutes les vertus de la nature humaine il a la vertu de l’onestas : La bonté morale. Il tente de définir l’idée de devoir humain. Parmi les devoirs Cicéron : Le 1er devoir est d’abord la vertu politique : L’intelligence et la prudence . Le grand homme ne s’expose pas à dire un jour « je n’y avais pas pensé ». Le deuxième devoir est la justice, elle crée la communauté de vie. Cicéron estime qu’il y a la justice à proprement parler : « ne nuire a personne si ce n’est pour répondre a une injustice » .C’est par exemple le respect de la propriété. Mais ,La justice repose aussi sur la fides ( la bonne-foi), le respect de la parole donnée dans les contrats. « que soit fait ce qui a été dit ». Il y a à côté de cette justice a proprement parler la Caritas : la bienfaisance. Aider les autres par un acte volontaire mais au delà de ce qu’on leur doit strictement. ![]() La justice est la charité ont donc pour fonction de maintenir la communauté des hommes Cicéron est un des premiers écrivains penseurs a adapter le stoïcisme grec à Rome. Notamment dans l’idée que tout homme possède une nature humaine digne d’être reconnue . Il adapte Aristote en parlant du droit naturel : « La loi véritable est la raison quant elle est conforme à la nature . » Cicéron à écrit « Res Publica et Res populi » La chose publique est l’affaire du peuple. Pour Cicéron, l'homme d'État est un éducateur qui doit donc lui-même recevoir une formation universelle. Il faut éduquer tout homme pour obtenir un personnage politique. Ceci fait de Cicéron le créateur de la notion d'humanisme, au sens où l'on parlait autrefois de "faire ses humanités", au sens de l'importance accordé à la culture de l'esprit. Le premier problème que se pose en effet Cicéron est celui de la culture et l'idéal est celui d'un savoir à la fois universel et approfondi. Premier homme d'État à tenter de concilier les exigences de la pratique politique et les résultats de la spéculation philosophique. Cicéron ne perd jamais de vue ni son expérience concrète d'homme d'État, ni son devoir d'appliquer au cas particulier de Rome les principes qu'il déduit de sa philosophie. Politique et philosophie sont donc deux activités très complémentaires. Il souhaite, sous le nom de consensus universorum, le rassemblement de tous ceux qui, quelle que soit leur origine sociale, s'accordent sur certains principes modérés. L'homme politique ne doit désirer qu'une chose : le repos (otium) c'est-à-dire l'absence de guerres et de lutte, le refus du pouvoir excessif dans le respect des droits de tous. Le meilleur modèle de constitution est la constitution mixte offrant à la fois des traits monarchiques, aristocratiques et démocratiques, à condition que tous les éléments de la Cité collaborent harmonieusement. Cicéron rêve d'une République où quelques hommes d'élite sauront collaborer en intervenant en cas de crise grâce à leur vertu et leur autorité. Il faut donc une République, certes aristocratique, mais ouverte aux talents, fondée sur le respect du droit, de la raison et de la justice, gouvernée par des philosophes éloquents et dirigée par le meilleur des citoyens le princeps Pour Cicéron la République est un rassemblement d’individus associés en vertu d’un accord sur le droit et en vertu d’une communauté d’intérêt. Cette multitude d’individus va devenir une communauté de citoyens partageant une loi commune. Ainsi il rejette la tyrannie car entre le tyran et le peuple il n’y a pas de droit commun. Cicéron explique que l’état est fondé sur le droit Il classifie les régimes politiques :
Il va également expliquer que Rome est un régime mixte . Cicéron comprend que l’immensité territoriale de la République Romaine va amener un changement de régime politique , il préssent que l’on va passer à l’Empire . Le problème est qu’il est passionnément républicain. Il va donc imaginer une théorie qui permettrait de préserver la république . C’est le régime du Princeps, c’est le premier citoyen, l’homme a qui la République va se confier. Il assure la plénitude des pouvoirs au nom de la république. Le problème est qu’il n’a pas trouvé de son vivant le Princeps. Ce rôle sera assumé par Octave , le futur Auguste. Ainsi les idées de Cicéron seront en quelque sorte appliquées au moment de l’empire Romain. §3 Les idées politiques sous l’Empire Romain. 27 av JC – 476 ap JC ( chute de l’Empire Romain d’occident) Il y a deux phases :
Chaque année cet empereur se fait attribuer les différents titre ( tribun….)
Déjà sous le principat l’empereur était considéré comme un demi dieu soit le fils des dieux ( fils de Jupiter). Cette divinisation de l’empereur est encore plus forte sous le dominat
cette philosophie postule que chaque être humain a un double (son génie) .Plutôt que de vouer un culte à l’être humain on idole son génie ( être surnaturel) : c’est une influence du pythagorisme .Pythagore aménagea un ordre politique et social surplombé par un être « supérieur »;il y a aussi une influence du stoïcisme.
cette philosophie est née en Grèce : c’est l’exaltation d’un ordre universel. Les stoïciens croient en l’existence de personnes humaines de qualité mais ils croient aussi en une égalité .C’est une égalité de la personne humaine, mais pas une égalité sociale, économique et politique. Il y a aussi une influence progressive du christianisme.
En 313 Constantin se convertit au christianisme (par l’Edit de Milan autorise le christianisme) en 380 le christianisme devient la religion d’état de l’empire. C’est la fin du monisme (c'est-à-dire que la Cité antique est à la fois une entité politique et une entité religieuse.) Le christianisme installe le triomphe du dualisme , c’est a dire , qu’il y a d’un côté un pouvoir temporel (l’état) distinct d’un pouvoir spirituel (l’église) , il n’y a pas de confusion possible. « rendez à dieu ce qui est a dieu , et à césar ce qui est à césar » disait Jésus CHAPITRE II : LE MOYEN-AGE CHRETIENSection I : La pensée chrétienne Il y a donc un dualisme : mais en plus deux héritages sont importants :*
le christ qui était juif récupère ici l’idée de transcendance divine . Jusque là ont avait un naturalisme (les dieux étaient dans la nature), le judaïsme et le christ estiment que les dieux sont en dehors de la nature plus exactement au dessus de la nature. On retrouve aussi l’idée , fondamentale du judaïsme , l’idée d’une nature bonne à l’origine mais pervertie par le péché ( on le retrouvera chez Rousseau)
Le stoïcisme a introduit la très belle idée de l’existence d’une personne humaine inaltérable et inaliénable (ce qui fait que chaque être est unique, précieux et possédant des droits inaliénables ) . Rappelons que le stoïcisme est historiquement contemporain de Jésus qui a exprimé à peu prés la même idée mais en y ajoutant la notion d’amour du prochain. Le christ affirme l’autonomie de la vie spirituelle de chaque être humain mais aussi le caractère individuel du salut. (chaque homme possède une valeur absolue) et donc aucun être humain ne peut être réduit à l’état de simple serviteur de la communauté politique . C’est l’égalité des âmes devant dieu (mais pas encore l’égalité dans la société.) Le Christ n’est pas Marxiste ! On retrouve aussi , la primauté de la loi naturelle et d’un droit universel englobant, planant en quelque sorte sur les destinées humaines. Cependant il n’y a pas d’émancipation ni pour les femmes , ni pour les esclaves. §1 Saint Augustin ![]() Né en 354 mort en 430 à Hippone en Algérie. Il a mal commencé car il a connu une jeunesse dissolue (c’était un voyou) puis il a été baptisé, ordonné prêtre, puis évêque en 392. Saint Augustin écrit une œuvre en rupture par rapport a ses précédents chrétiens. Jusqu'à lui les auteurs chrétiens présentaient l’Empire Romain comme un instrument de la volonté divine ayant pour but de diffuser la chrétienté. Le christ est l’empire étaient liés. Saint Augustin est la grande figure qui a fait la gloire de l'Eglise du Maghreb et plus particulièrement de l'Algérie. Né à Taghaste (l'actuelle Souk Ahras) en 354, il fit une bonne partie de ses études à Madaure à l'Est de Constantine, puis à Carthage. Sous l'influence de sa mère Sainte Monique, après une vie passablement dissolue, il se convertit à la foi chrétienne en 387 et devint par la suite évêque d'Hippone de 397 à 430, date de sa mort. Il a laissé une œuvre écrite considérable de sermons, de commentaires de l'Ecriture et de méditations. Le livre des "Confessions" en est le plus connu. De lui, le Cardinal Newman a écrit qu'il a formé l'intelligence de l'Europe. A cette époque, l'Empire romain se disloque. Les barbares Vandales, passent d'Espagne, au Maghreb après avoir traversé l'Europe. Leur domination durera de 428 à 534. Ils mettent à sac de nombreuses villes et persécutent l'Eglise catholique en répandant l'hérésie arienne. Près de 5000 clercs ou laïcs catholiques sont persécutés, déportés et certains, dont plusieurs évêques, martyrisés. Au VI° siècle, l'empire romain d'Orient, dit byzantin, ayant Constantinople comme capitale, réinvestit une partie du Maghreb, notamment les régions côtières. L'Eglise catholique récupère une partie de ses biens et de son influence. Mais l'autorité de l'empereur de Byzance, contestée, se disloque progressivement. En 410 donc Rome est prise par les barbares et la ville est pillée. Les païens attribuent la responsabilité de la chute de Rome au Christ. « Si l’on a été vaincu c’est parce que l’on a abandonné nos anciens dieux ! » St Augustin répond dans un ouvrage « la cité de dieu » ouvrage qui se situe entre l’Histoire et la réflexion politique. Saint Augustin explique qu’il existe deux mondes : d’un côté la cité terrestre avec ses institutions politiques, sa morale , son histoire et d’un autre côté la cité céleste . La communauté des chrétiens est de passage sur terre. Elle doit s’adapter entre ces deux exigences : la cité des hommes et la future cité de Dieu. On retrouve ici la formation manichéenne de St Augustin ( distinction BIEN/ MAL) Saint Augustin reprend l’idée de St Paul « Tout pouvoir vient de dieu » mais il va expliquer que l’autorité est indispensable , par contre l’indication du titulaire de ce pouvoir et le style de régime résulte de l’action humaine c’est l’immanence des hommes (leurs actions imparfaites mais nécessaires sur Terre).Mais au dessus il y a la foi en une force transcendante (la cité de Dieu, en quelque sorte le futur Paradis des croyants). Saint Augustin cite comme seul cas de relation direct entre dieu et le peuple :le destin d’Israël le peuple élu qui a reçu l’alliance entre le dieu unique et lui. Ainsi selon Saint Augustin c’est aux hommes de décider du choix de leurs dirigeants, par contre il proclame la nécessité absolue de l’obéissance puisque l’origine du pouvoir est divine. ![]() Concernant la conception de l’Histoire : Saint Augustin énonce une histoire linéaire en perpétuelle évolution depuis le péché initial jusqu'à la rédemption finale. Ainsi les nations ont en main leur destin. Ce qui permet d’expliquer et de justifier la prise de Rome par les barbares. Rome est tombée non pas à cause de la nouvelle religion du Christ mais par la faute des romains et des pouvoirs publics incapables de défendre Rome Saint Augustin estime que « sans la Justice les royaumes ,empires , états ne sont que de vastes associations de bandits » .De plus il pense que le christianisme n’est pas lié à l’Empire de Rome, qui est une forme politique transitoire et non pas éternelle . C’est une pensée intéressante mais elle s’inspire d’idées déjà existantes. C’est cependant la première fois que l’on pose la question des rapports entre l’Eglise et l’Etat . La conclusion qu’en tire Saint Augustin est que ces deux puissances doivent rester autonomes : Il ne peut pas y avoir ingérence de l’une dans l’autre. ![]() §2 Thomas d’Aquin 1228- 1274 ![]() Il a des surnoms célèbres : « le docteur angélique » ou « l’aquinac » : il sera canonisé au XV° siècle : Il appartient a une famille noble italienne du Moyen Age car c’est le petit neveu de l’empereur germanique Barberousse. Il est né a Aquino en Italie du Sud. Il sera professeur à Paris puis en Allemagne et enfin en Italie : Il s’intéresse à la théologie et la philosophie et à l’Histoire politique il écrit « la Somme théologique ». Ses idées politiques sont condensées dans deux opuscules :
On va trouver une partie politique concentrée sur un commentaire des idées d’aristote. Il redécouvre Aristote : Il part du principe que la cité est une œuvre de nature et de raison .La société politique est naturelle à l’homme . Avec Aristote il proclame que« l’homme est un animal politique » .Pour se développer l’homme a besoin d’une sécurité contre ses ennemis. Pour cette sécurité, il faut un ordre légal, qui rend à chacun ce qui lui est dû et qui permet l’abondance des ressources matérielles et spirituelles . Pour Saint Thomas d’Aquin il y a dans l’existence des cités une part de volonté humaine. La société englobe les citoyens mais ils ne sont pas absorbés entièrement par la société politique. La conception thomiste de la cité est organique et non pas mécanique . ![]() Pour Saint Thomas les individus et les société humaines forment un organisme social ou chaque élément possède une activité propre. A l’inverse, la conception mécanique ne reconnaît pas l’idée de l’activité propre des hommes. Pour Saint Thomas le pouvoir politique est naturel, on retrouve ici l’idée que dieu est à l’origine du pouvoir car dieu est à l’origine de la nature . Saint Thomas utilise le syllogisme pour convaincre de ses démonstrations. Deux de ces syllogismes sont restés célèbres :
Pour vivre en société il faut une autorité supérieure
L’autorité est naturelle
|
![]() | ![]() | «champions» dans un domaine précis, de s’inspirer de leurs idées et de leur expérience pour se rapprocher de l’excellence. Les résultats... | |
![]() | «officiel» des peintres d'histoire, inspiré par les Italiens, mérite ce nom. Juste avant la fin du | ![]() | «système solaire» clos sur lui-même, mais «traversé par ces différentes lignes relevant de l’histoire des idées et qui définissent... |
![]() | ![]() | «politiques», ou ressenties comme telles, alors que nous étions, tout autant dans la vie, mais au théâtre, dans une petite salle... | |
![]() | «résistance» et sa critique des modes et idées «d’époque». Son parcours est celui d’un «combattant», a-t-on pu écrire. «Le cas Bouveresse... | ![]() | «avant-gardes» nous éclairent sur les préoccupations de l'homme face à la nécessité de l'expression comme accoucheur des névroses... |
![]() | «l'abrutissement du Peuple, par le Peuple et pour le Peuple.» De toutes les morales qui eurent cours dans l'histoire de l'humanité,... | ![]() |