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La « réforme » de Rousseau. Ce que va faire Rousseau à partir de 1755-1756, c’est faire sa « réforme » : il va vouloir mettre sa vie en conformité avec sa pensée. C’est à partir de là aussi qu’émerge cette idée de complot dont Rousseau se sent victime. Au départ, Rousseau est une sorte d’homme civil dénaturé. Puis il bascule. La réforme de Rousseau est une de ses qualités. La première chose qu’il fait, c’est quitter la ville au monde qui est la plus dénaturée : Paris. Car si Paris est la ville-lumière, elle est aussi la ville la plus corrompue (presque autant que Venise à l’époque). Mme d’Épinay possède un château à Montmorency, et elle va offrir à Rousseau un logis, une petite maison de campagne. Cette maison a un pigeonnier, que Rousseau appelle son « donjon », et où il va écrire toute la suite de son œuvre. Rousseau se retire donc dans la nature, il quitte le lieu de la dénaturation — ce qui le coupe de ses collègues et amis philosophes. Selon Rousseau, il faut s’habiller le plus simplement possible (l’amour de soi passe par là). Il s’habille donc avec une simple robe de bure (selon Voltaire, c’est parce qu’il aurait des « incontinences d’urine » !), et il fait rire, il est ridicule. Rousseau fait jaser. Cela ne se fait pas à l’époque de se couper du monde : les philosophes ne le comprennent pas, au siècle le plus sociable. Rousseau prend pour lui la phrase « Il n’y a que le méchant qui soit malheureux »... Il va falloir travailler, gagner sa vie. Rousseau copie de la musique. Dans cette semi-solitude (on vient le voir de Paris), il va écrire ses œuvres les plus importantes. Avant de s’enfuir en 1762 après avoir été décrété de prise de corps, il écrit Le Contrat social, l’Émile, et La Nouvelle Héloïse (entre autres !). Cette œuvre, c’est la tentative chez Rousseau pour répondre à l’angoissante découverte des deux discours selon laquelle l’humanité va à sa perte. Le Contrat social est une réponse au constat : l’homme va à sa perte, l’Histoire ne peut jamais faire machine arrière (on ne reviendra pas à l’état de nature). Il faut trouver un type de société dans laquelle l’homme civil se rapprochera le plus qu’il est possible de l’homme naturel. Il faut donc trouver le moyen d’être le plus libre qu’il est possible de l’être dans l’état civil. La réponse, c’est la théorie de la volonté générale (qui fera condamner le Contrat social en 1762). Une autre question se pose alors, car si la volonté générale ne peut se tromper, elle est fragile. Si certains citoyens se retirent ou contrent la volonté générale, celle-ci se retire. Si on met les contemporains dans la cité du contrat social, cette dernière disparaîtra. Il faut donc concevoir le citoyen de la cité du contrat social : ce sera Émile, le « sauvage des villes ». L’Émile n’est pas un traité de pédagogie, comme on pourrait le croire. C’est un traité de philosophie politique (il indique les traits caractéristiques du citoyen devant vivre dans la cité du contrat social). En 1762, Rousseau fuit. Il est prévenu que l’Émile (surtout à cause du livre IV, « La profession de foi du vicaire savoyard », l’exposé de ses conceptions religieuses) et le Contrat social sont interdits (ils sont brûlés sur les marches de la Sorbonne, la faculté de théologie). Le complot On va s’interroger à partir des Rêveries sur la nature du complot dont il se sent victime. Ce complot n’est pas totalement le fruit de la paranoïa de Rousseau, il a aussi des raisons objectives. Après tout, il a été obligé de fuir ! À Genève, Voltaire (qui a d’abord habité à Genève, aux Délices) écrit Le Sentiment des citoyens, un libelle où il affirme que Rousseau est un mauvais écrivain, et qu’en plus, il a abandonné ses enfants, lui, l’auteur de l’Émile. Rousseau apprend aussi que le Haut Conseil a condamné l’Émile et le Contrat social (qui gênent les catholiques, mais aussi les protestants). Rousseau quitte donc Genève pour le canton de Neuchâtel, au lac de Bienne (cf. le livre XII des Confessions). Il redécouvre là le paradis des Charmettes. Mais sa maison est lapidée par des paysans, et il est encore obligé de fuir en Angleterre. Il a commencé à écrire ses Confessions, et tous ont peur de ce qu’il va y dire (on écrit même des contre-Confessions pour essayer de répondre à l’avance à ce que l’on pense trouver dans les Confessions). Chez Hume, Rousseau finit par se persuader qu’il est espionné par le philosophe, et que Hume veut lui voler les documents des Confessions. Rousseau est au bord de la folie... LES TROIS ŒUVRES AUTOBIOGRAPHIQUES : UN TOUT COHÉRENT Tout se tient chez Rousseau. Le but de Rousseau en écrivant les Confessions (qu’il ne pourra ni lire, ni publier de son vivant) est un but apologétique. Il s’agit en effet pour lui de se justifier aux yeux de ses contemporains (cf. la préface et le début des Confessions). Il s’agit aussi de montrer un homme « selon la nature ». Rousseau fait le don de lui-même aux autres (il est persuadé que l’humanité va à sa perte, que l’homme est dénaturé. À partir du moment où il se retire à montmorency, après sa réforme, il est persuadé d’avoir mis sa nature en conformité avec ses idées, de s’être « renaturé », et donc d’être libre. En se montrant aux autres, il leur fait don de sa personne). Il y a eu un double échec des Confessions. D’une part elles ne sont pas publiées ; d’autre part, plus on avance dans les Confessions (dont la deuxième partie, tranchant d’une manière nette avec la première, a commencé à être rédigée chez Hume), moins Rousseau va bien. Il n’arrive plus à faire l’apologie de lui-même, il règle ses comptes. Il est à noter que de ce point de vue, le livre XII des Confessions est le pendant de la cinquième promenade des Rêveries. Rousseau va essayer de réparer ce double échec en rédigeant les Dialogues, ou Rousseau juge de Jean-Jacques, qui se présente sous la forme d’un dialogue de Rousseau avec Jean-Jacques et un Français. Beaucoup de critiques ont parlé de schizophrénie en interprétant le titre complet de cet ouvrage. Lorsque Rousseau écrit ces Dialogues, il faut le reconnaître, il est vraiment malade. Il se sent rejeté par les hommes, puis par Dieu lui-même (cf. l’épisode de Notre-Dame de Paris). Les Confessions étaient une apologie, une tentative de justification (ce qui est juste en ce qui concerne les six premiers livres). Les Dialogues sont l’œuvre du déchirement. Arrive alors la troisième œuvre autobiographie, les Rêveries du promeneur solitaire. Elles s’ouvrent sur ces phrases : « Me voici donc seul sur la terre, n’ayant plus de frère, de prochain, d’ami, de société que moi-même. Le plus sociable et le plus aimant des humains en a été proscrit par un accord unanime. » Rousseau se sent rejeté. Le titre de son ouvrage n’est-il d’ailleurs pas les Rêveries du promeneur solitaire ? Dans les premières lignes de l’œuvre, Rousseau nous donne le but recherché de ces Rêveries. Au fond, puisqu’il a été proscrit, c’est pour lui-même — et seulement pour lui-même — qu’il va écrire. Selon de nombreuses personnes, les Rêveries, que Rousseau prétend n’écrire que pour lui, seraient ainsi l’œuvre de la sérénité retrouvée. LE GENRE AUTOBIOGRAPHIQUE Rousseau apparaît comme le père de l’autobiographie moderne (se reporter à l’ouvrage de Philippe LEJEUNE consacré à l’autobiographie, Le pacte autobiographique, dont la première partie est une partie théorique où il essaie de définir le genre autobiographique, et la seconde une partie consacrée aux Confessions de Rousseau). Avant Lejeune, on a glosé sur les Confessions. Mais lui a défini à travers cet ouvrage les caractéristiques de l’autobiographie. Selon lui, le récit autobiographique est un récit rétrospectif, écrit en prose, qui comprend la plupart du temps le récit d’enfance, et qui est un récit dans lequel le scripteur (celui qui écrit) s’interroge sur sa propre identité. En outre, dans le récit autobiographique, l’auteur, le narrateur et le personnage sont une seule et même personne. L’autobiographie concrétise le célèbre adage de Delphes « Connais-toi toi-même ». Elle est l’ultime tentative pour Rousseau de comprendre sa vie... Pourquoi dit-on souvent que Rousseau est le père de l’autobiographie moderne ? En effet, il y avait déjà eu des « confessions » avant Rousseau (ex : St Augustin), des récits à la première personne... Mais regardons ces « confessions » de plus près. Les Confessions de Saint Augustin (un berbère, fils d’une femme appelée Monique — qui deviendra plus tard Sainte Monique — et qui était fort débauché avant de se convertir). On y trouve bien un récit d’enfance et d’adolescence — le récit de la vie dissolue d’Augustin avant sa conversion. Mais dans la suite du livre, il ne s’agit plus d’un récit autobiographique : il s’agit presque de catéchiser, de se montrer en exemple pour les autres, de leur montrer le chemin de la conversion. Les Essais de Montaigne. Rousseau s’est interrogé sur la convergence entre Montaigne et lui : « Quel sot projet que de peindre de biais », déclare-t-il en parlant de Montaigne. Les Essais, même en comportant des traces d’autobiographie, sont avant tout une réflexion philosophique. Or, ce que veut Rousseau, c’est montrer « un homme selon la nature », qui se montre dans sa totalité, c’est-à-dire sous le meilleur jour, mais aussi sous le moins bon. Il déclare dans le deuxième livre des Confessions : « J’entre maintenant dans le labyrinthe fangeux de mes confessions » ; c’est là la modernité de Rousseau, il veut tout montrer (il sera notamment le premier à nous parler de sa propre sexualité). C’est ce qui fait de Rousseau le père de l’autobiographie moderne. Il faut aussi distinguer les œuvres autobiographiques des formes de récit contiguës, proches. Par exemple, les chroniques (où ce qui intéresse, c’est l’époque, et non l’auteur — cf. les Chroniques de saint Simon) ; ou encore les mémoires ; ou bien les romans autobiographiques (appelés aussi romans à la première personnes, comme le René de Chateaubriand) dans lesquels on ne sait pas ce qui est de la fiction et ce qui est réel. Ainsi, il faut faire attention : Proust a par exemple toujours refusé que l’on qualifie son œuvre d’autobiographie : le narrateur, en effet, n’a pas de nom, et Proust ne dit jamais l’être... LA GENÈSE DES RÊVERIES. Pour Jean-Jacques, les Rêveries sont un testament littéraire pour lui-même (ou peut-être pour les autres, afin de tenter une ultime fois de se justifier sans l’avouer aux autres). En juillet 1766, c’est la crise en Angleterre, chez Hume. Rousseau croit (à tort ou à raison) que Hume entretient des rapports avec ses détracteurs. Il est alors proche du délire de persécution. En 1770, il rentre à Paris, rue Plâtrière. C’est encore une période d’inquiétude pour Rousseau. On a voulu le présenter comme un fou isolé, ce qui est faux. Dans ses dernières années, Rousseau connaît la gloire. Il écrit les Considérations sur le gouvernement de Pologne (au XVIII° siècle, la Pologne est un état déchiré entre la Prusse et la Russie. Les Polonais espèrent retrouver leur indépendance et leur cohésion, et la diète (l’équivalent d’un parlement) polonaise recherche une constitution — elle va faire appel à Rousseau pour l’écrire). Il reprend son métier de copiste, et toute l’aristocratie lui donne des partitions à copier. Il travaille aussi pour l’opéra (il fera partiellement un deuxième opéra après le Devin de village, intitulé Daphnis et Chloé. Il compose énormément (170 romances, paroles et musiques à la fois, regroupées sous le nom de Les Consolations des misères de ma vie). Il a donc encore une grande activité (on le sait par l’intermédiaire du premier grand disciple de Rousseau, Bernardin de Saint-Pierre. En 1776-1778, c’est les Rêveries. Elles ne seront publiées qu’en 1782, après sa mort. Mais le complot y a encore sa place. Les Rêveries sont souvent présentées comme l’épilogue de l’œuvre autobiographique de Rousseau, et toutes les conditions semblent réunies pour assurer enfin le bonheur de Jean-Jacques, à l’exception d’une seule chose : à l’époque même des Rêveries, il continue à penser qu’il est entouré d’ennemis. Cela, c’est un aspect dramatique, et peut-être pathologique, des Rêveries. Les Confessions n’ont pas réussi à dissiper les forces maléfiques qui sont autour de Rousseau... * * * LE COMPLOT a) Le complot vu sous un angle historique. La question se pose : y a-t-il réellement eu un complot ? Ou tout cela était-il le fruit d’un esprit malade ? Il y a quand même des fondements et des faits concrets. Dans la première promenade, Rousseau nous parle de la « persécution des autorités », ce qui renvoie à des persécutions d’ordre politique et religieux. Cette persécution commence le 9 juin 1762 (lorsque Rousseau est décrété de prise de corps), et elle va continuer à Genève. À Môtiers, de juillet 1762 à septembre 1765, les autorités politiques vont persécuter Rousseau (notamment un pasteur de Genève, Jacob Vernes — que Rousseau va croire responsable du libelle de Genève), en demandant le retrait du livre IV de l’Émile, la profession de foi déiste de Rousseau. En juillet 1764, c’est le Sentiment des citoyens, où Voltaire va s’attaquer à Rousseau. En septembre 1765, le pasteur de Môtiers va exciter la population contre Rousseau. En pleine nuit, sa maison est lapidée (cf. la huitième Rêverie). Ensuite, Rousseau part pour l’île Saint-Pierre, où pendant six semaines il rencontrera le bonheur. Mais il en est chassé à cause du Contrat social et de l’Émile. En 1765, c’est la crise chez Hume, en Angleterre. En 1770, Rousseau va réussir à rentrer à Paris. Son ancienne protectrice, Mme d’Épinay, va réussir à faire pression pour que Rousseau ne soit pas autorisé à lire publiquement ses Confessions. C’est l’image des mouches, les espions (cf. la neuvième Promenade). Rousseau n’est plus inquiété, mais il se sent constamment épié, surveillé par la police (« je vis que j’avais été prévenu par un homme de mauvaise mine qui me parut être une de ces mouches qu’on tient sans cesse à mes trousses »). Dans le premier Dialogue, Rousseau soutient que ses lettres sont ouvertes par la police (ce qui –est possible). Cette persécution des autorités a véritablement eu lieu, même si parfois Rousseau amplifie les faits. Il y aurait aussi un complot ourdi par ses anciens amis philosophes. Ce qui semble grave à Rousseau, c’est que l’origine du complot porte non pas tant sur ses œuvres, mais sur sa personne elle-même. Ce seraient ses ex-amis qui dresseraient les autorités politiques contre lui. (Diderot, Grimm — un ami de Mme d’Épinay, chargé par toutes les grandes cours d’Europe de rédiger une correspondance dans laquelle il rend compte de la vie politique, culturelle et artistique à Paris. Il est un de ceux qui vont s’acharner sur Rousseau). Mais il faut dire que dans ses ouvrages, les idées sont dangereuses pour l’Ancien Régime, et il est normal que les autorités se soient intéressées à lui ! En 1755-1756, c’est les deux Discours. Rousseau affirme dans son deuxième Dialogue que c’est à partir de là que Diderot et tous les encyclopédistes se sont dressés contre lui en une « ligue universelle ». On peut néanmoins poser quelques repères sûrs. Ainsi, en 1757, lors de la deuxième année de séjour de Rousseau à Montmorency. C’est la période où il va se brouiller avec Grimm et Mme d’Épinay, car il remet en cause la sociabilité (ce qui le coupe brutalement des autres philosophes). Rousseau va vivre cela comme la constitution d’une « ligue universelle » contre lui. Il y a aussi la persécution par la « coterie (= clan) Holbachique », avec le baron d’Holbach. Le problème du siècle des Lumières, ce n’est pas la question de l’athéisme, mais le problème de l’anticléricalisme. Mais si les athées sont très rares, il existe un clan d’athées militants qui vont s’attaquer à Rousseau. Cf. la troisième Promenade, où Rousseau parle des « philosophes modernes partisans de l’athéisme ». C’est une lutte entre le clan des partisans de l’athéisme d’un côté, et Rousseau de l’autre, qui condamne l’athéisme (car sans morale fondée sur une religion, quelle qu’elle soit, la cité du Contrat social n’existe plus). En 1758, Rousseau écrit la Lettre à d’Alembert sur les spectacles. Cette lettre va totalement couper Rousseau des encyclopédistes (à Genève, les spectacles sont en effet interdits ; or, les philosophes des Lumières considèrent les théâtre comme l’art des arts). Dans le Fils naturel de Diderot, Rousseau se sent injustement accusé de misanthropie en lisant cette réplique : « Il n’y a que le méchant qui soit seul ». Voilà tout ce qui a amené Rousseau a penser à l’idée d’un complot destiné à le rendre haïssable à tous les autres. a) Le complot vu sous un angle littéraire. 1) Comment est présenté l’historique de la crise dans les Rêveries ? Rousseau revient à plusieurs reprises sur la découverte de la trahison de ses amis, et sur les différents états psychologiques que cela a provoqué chez lui. Dès la première Rêverie, où Rousseau essaie de se parler à lui-même sur le ton de la sérénité, il va s’essayer à une chronologie de cette crise. Celle-ci est souvent floue. Dans la première Rêverie, elle est entrecoupée de plaintes. « Depuis quinze ans et plus que je suis dans cette étrange position, elle me paraît encore un rêve » : selon Rousseau, cette crise daterait de quinze ans et plus : cela nous ramène à 1762, date où Rousseau a été décrété de prise de corps. Rousseau fait remonter sa crise à la persécution des autorités. Dans la phrase suivante, Rousseau revient au présent : « Je m’imagine toujours qu’une indigestion me tourmente, que je dors d’un mauvais sommeil, et que je vais me réveiller bien soulagé de ma peine en me retrouvant avec mes amis ». Les termes utilisés sont toujours importants : malgré la sérénité affichée dans les premières lignes (le fait d’affirmer qu’il ne peut plus être la proie de ces persécutions), le temps grammatical utilisé montre qu’il s’agit d’un passé proche, l’expression de cauchemars, d’insomnies. Inconsciemment, Rousseau semble nous dire la réalité d’un complot encore proche, qui est matérialisé par une réalité psychologique : l’angoisse. |
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