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SOS /ART CRU MUSEUM on tue une institution Bordeaux le 11 Novembre 2007 Fondateur et directeur liquidé de l'Association Créateur de l'ART CRU MUSEUM fondé en 1984 Le 2 Octobre 2007, l'Association ART CRU a été "liquidée"…dans une variété foudroyante d'euthanasie sociale, respectueuse des procédures et des articles du code du commerce appliqués à coup de massue à une petite association pédagogique et culturelle ! Une sorte de meurtre rituel conduit selon les canons du droit. Sauf qu'aujourd'hui, l'objet du sacrifice économique est une Association bordelaise - l'ART CRU - qui s'est fait une réputation de singularité, de vigueur idéologique et de fantaisie irréductible. Cela suscite des pulsions envieuses féroces. Et dans l'interstice des grilles d'égout, les rats sont infiltrés en quête de chair vive. Économiquement bien trop fragile, l'Association s'est effacée discrètement, humblement, en silence. Et l'intérêt de l'administrateur judiciaire n'ayant pas grand chose à récupérer des biens de l'Association, à l'exception des chais de Chantecrit à vendre aux promoteurs immobiliers (ces chais sont un petit joyau de l'architecture portuaire bordelaise d'une valeur de 450.000 €), ce Monsieur a été tout de suite informé - de quelle manière ? - de l'existence de mon bien personnel - l'ART CRU MUSEUM - par un tiers malveillant non encore identifié. Et il a d'entrée de jeu décidé de se rétribuer en priorité sur mes biens personnels et rembourser les créanciers des conséquences du drame où nous avons été plongés de façon brutale. Sa deuxième communication avec moi, après l'envoi de ses honoraires, a été de m'informer qu'il me qualifierait de dirigeant au détriment de mon vrai statut de directeur salarié, puisqu'un dirigeant d'Association est responsable sur ses biens propres des avatars de son Association. Cet homme désigné par le Tribunal pour nous aider à mettre en place le redressement de notre petite entreprise s'est d'entrée de jeu placé dans la position de nous effacer de la carte et de m'en faire payer le prix, sur lequel il prélèvera ses honoraires (10% du montant de la vente de la collection et/ou de l'immeuble de l'Association.). Pour couvrir ce forfait culturel, l'administrateur judiciaire a sorti de son chapeau l'article 2279 du code civil - c'est comme ça que ce fonctionnaire a procédé - qui dit que tout ce qui est dans les murs de l'Association appartient à l'Association ! C'est à dire que les 2 ou 300 M3 de créations sublimes de mon Musée - l'ART CRU MUSEUM - que je ne peux pas bien évidemment pas caser dans mon appartement, tombent sous la coupe d'une abstraction du code du commerce numérotée 2279 (thank you Mister KAFKA) - œuvre personnelle d'un homme/moi-même - pris à revers par une malveillance procédurière délibérée. Cela m'arrive au seuil attendu de mes 65 ans échus depuis le 14 Juillet dernier, et de ma prise officielle de retraite, commencée dans la catastrophe. De la pure barbarie ! Sur dénonciation présumée d'une personne proche de l'Association - un rat - cet officier de justice représentant en principe le Tribunal, cet homme qui aurait pu tranquillement proposer de vendre aux enchères les locaux de l'Association, a commencé par cibler mon Musée personnel comme une aubaine pour rembourser nos dettes auprès de l'URSSAF et de nos autres créanciers. Il s'est mis en tête de me spolier de ma collection, et de la disperser aux enchères d'une salle des ventes pour couvrir la dette de 109.000€ qui nous jetait au tapis le 17 Juillet dernier. : impôt prélevé sur la Chair, que cette collection unique de créations que j'ai rassemblées depuis 25 ans sous le nom d'ART CRU MUSEUM, qui réunit sous le hangar inspiré des anciens entrepôts Brousse, rue Chantecrit, quelques centaines d'œuvres dont la plupart m'ont été confiées, quelques unes données, par leurs auteurs; quelques une achetées par moi-même. L'administrateur m'a ensuite prévenu qu'il allait engager une procédure dite de confusion de patrimoine pour constituer un lot unique de la copropriété de l'Association et de mon appartement personnel afin de vendre la totalité des locaux de Chantecrit aux enchères publiques. Il a tenu à préciser au président de l'Association que le solde de la vente ne reviendrait pas à l'Association désignée dans nos statuts comme héritière des biens restants mais qu'il ferait en sorte de le dévoluer à la Fondation de France, ce qui estr parfaitement illégal en regar-d de la loi de 1901. Pour pouvoir procéder à cette escroquerie morale, il m'a dit enfin qu'il allait engager contre moi une procédure de disqualification de mon statut de salarié et de requalification en dirigeant, ceci permettant de me dépouiller librement de ma propriété personnelle et de me sucrer mon droit à mes indemnités de retraite (quatre mois de salaire pour 25 ans de service associatif ! A la fin du mois d'Août, pour nourrir cette agression personnelle innommable, l'administrateur judiciaire a conduit une enquête sur moi auprès d'un tiers non encore identifié qui lui a fourni des informations calomnieuses et diffamatoires sur ma personne et sur mon fonctionnement de directeur. Ce fonctionnaire de justice s'est servi sans vergogne de ces ragots de poubelle pour me démolir auprès des membres du Tribunal. Dans son rapport officiel truffé de mensonges et d'interprétations abusives données aux juges il a bricolé une image de ma personne comme celle d'un homme Il m'y désigne comme le principal responsable de la crise de notre Association ! Il porte un jugement de profil psychiatrique sur ma personnalité et donne des informations mensongères sur mes liens économiques obligés avec l'Association. @ Liquidé Guy Lafargue ! (cela réjouit - il n'y a aucun doute - quelque rat sénile qui m'envoie des courriers anonymes) Liquidé… Même si le nom qui désigne cet acte social est assez infâmant, il est clair que notre Association ne pouvait plus faire face à ses charges, aux salaires de ses collaborateurs, à l'URSSAF, à ses créanciers. Une situation extrêmement banale, en somme, dont notre association a accepté le verdict. Nous avons tout de même conduit notre entreprise associative pendant 25 ans, sans subventions de la Culture ou de la Santé. Seulement par le fruit de notre travail de formateurs. Durant toute ce temps, nous avons fait vivre huit collaborateurs permanents et apporté des salaires réguliers à une quinzaine de formateurs ! Liquidation ! L'étrange chose a eu lieu le 2 Octobre 2007. Nous étions placés - est-il écrit quelque part - sous la protection du Tribunal. Au début, comme t'as jamais vécu le truc, tu prends le mot protection au premier degré. Tu es insensé. Tu ne le sais pas encore, mais pendant ce temps de béance qui s'ouvre sous tes pieds, tu ne recevras aucune considération pour ta personne, pour l'histoire sociale de l'institution que tu as engendrée au mois d'octobre 1983 et que tu as porté pendant 25 ans. Tu es considéré à priori comme un délinquant social. Tu es moralement menotté, sommé d'écouter le semonce de ta culpabilité et de te préparer à recevoir les charges qu'un fonctionnaire abstrait va retenir contre toi le jour du Jugement dernier, le 14 septembre 2007. Et tu reçois un jugement sans avoir eu le moindre début de procès, sans avoir pu prononcer la moindre parole. Cette procédure que j'abordais de façon naïve, dont j'imaginais qu'elle allait nous être expliquée et ses conséquences clairement déclinées; cette procédure dont j'attendais qu'une personne me donne le mode d'emploi…ce scénario redouté s'est instantanément transformé en un véritable cauchemar lorsque, le 1° Août, un Commissaire-priseur, propriétaire d'une salle des ventes d'art contemporain de la place bordelaise, se présente rue Chantecrit pour faire l'inventaire de l'ART CRU MUSEUM. Pas l'inventaire des biens corporels - comme ils disent dans leur langage - de l'Association, mais les miens perso ! Pour rembourser les dettes de mon employeur ! Là, j'ai vécu un truc trop violent. J'ai instantanément compris que j'allais être - que j'étais déjà - la victime expiatoire désignée d'un procès occulte mené en mon absence. J'étais signifié d'entrée de jeu comme présumé coupable dans la bouche et dans les actes écrits de ce personnage balzacien - l'administrateur judiciaire - qui s'est révélé immédiatement affairiste et sans scrupules : Je tiens aux mots sans scrupules. Je les soutiendrai devant le Tribunal. A partir de l'instant où, l'espace d'une demie heure, j'ai rencontré cet homme, j'ai vécu un véritable enfer (l'enfer, c'est un travail affectif intense qui remonte à la surface de tes vieilles histoires d'enfant avec le doute d'être, avec les failles dans la façon dont ton Père t'a appris la Loi, et avec la culpabilité). Dans la grande solitude du mois d'Août, sans avocat, sans l'aide de notre administrateur maison payé depuis deux ans par l'association pour conduire l'administration de l'Association , parti sans état d'âme en vacances aux States, juste après la prononciation de la mise en redressement judiciaire. Dès les premiers jours de la procédure de redressement, les télécommunications ont été coupées l'une après l'autre pendant près de dix jours (téléphone, courriel internet, machine à affranchir) à la suite d'une information erronée communiquée à nos fournisseurs par la mandataire judiciaire, comme quoi nous étions en liquidation judiciaire (et non en redressement)…aux prises avec des injonctions pour moi indéchiffrables, sans aucune initiation. Je ne suis pas un techno de l'administratif. Je ne suis pas un homme du chiffre, je suis un homme de l'être. Je suis un créateur, un poète. Je n'ai aucune maîtrise personnelle des données comptables, aucune connaissance de la langue juridique et des pièges brutaux du droit contre la justice et contre la morale. A l'encontre de cette magnifique histoire, on te met en batterie une sorte de karcher bureaucratique : la liquidation. Et je comprends très vite que l'on ne va pas seulement fermer l'entreprise associative, chose assez banale, mais que l'institution elle même va être attaquée frontalement dans le but de sa destruction. Et moi-même comme étant l'incarnation de cette institution - l'ART CRU - depuis 25 ans. On tue une institution, tranquillement, quasi naturellement. Tais toi ! Tu n'existes pas ! Vers la fin du mois de Juillet, totalement désemparé, en grande détresse, je commence à être spectateur impuissant, de l'écroulement programmé de trente ans d'histoire singulière dans ce monde familier qui est le mien, de l'expérience créatrice mise au service du soin donné à la personne en souffrance. L'administrateur judiciaire n'est préoccupé que de vendre l'ensemble immobilier aux promoteurs qui le raseront. Le montant de sa rémunération dépend du prix de vente. La procédure, c'est donc que je dois être spolié de mon bien, de ma propriété personnelle - mon appartement - pour recoller mon lot à celui de l'Association. Le but de la procédure est, semble-t'il de tirer un maximum d'argent de la vente de la totalité de l'immeuble ! Mon bien personnel diminue la valeur marchande de l'ensemble, il faut donc que je sois présenté au Tribunal comme un personnage peu scrupuleux et intéressé. C'est sur cette base d'un rapport diffamatoire de l'administrateur judiciaire présenté aux juges du Tribunal, nourri de délation, de calomnies, de diffamation, que commence la mise en pièces de cette histoire là : l'histoire de la création d'un modèle social du soin porté à la personne en souffrance qui se nomme ART CRU. @ On tue une institution : cet ensemble de valeurs qui constitue le modèle social du CRU - Condamnation sans appel d'un outil de travail exceptionnel. - Défaite de ce cadre construit au long des années pour développer un modèle d'éducation créatrice qui respecte la personne en formation, comme l'enfant a qui elle s'adresse, ou comme toutes ces personnes exclues du commerce des vivants. - Agression contre cette discipline sensible de la redynamisation des personnes en rupture de lien social par l'expérience créatrice. - Terme mis à la réalisation culturelle du cycle des "Brandades d'art vivant" redécouverte d'un art premier actuel, ouvert au monde. - Mon ART CRU MUSEUM pris en otage sans vergogne; directement menacé d'être éclaté dans une salle des ventes ! - Mise en chantier de la prochaine destruction de l'Espace/Création Chantecrit, de cet ensemble architectural du patrimoine portuaire bordelais (petit cousin des entrepôts Lainé) directement menacé d'être bradé aux promoteurs immobiliers et rasé pour y construire des appartements. Toute mon histoire, mon œuvre de trente années, est virtuellement néantisée depuis la première minute de ma rencontre avec ce personnage brutal qui a joué contre moi un rôle de procureur. Un fonctionnaire de justice qui a conduit en trois semaines une sorte de procès contre ma personne, aboutissant pour finir à la rédaction d'un rapport au Tribunal dans lequel je suis délibérément calomnié sur la base des infos de poubelle qui lui ont été communiqué par un Judas façon Stasi. Pendant tout ce temps, tu te débats contre les sables mouvants, tu t'enfonces et tu traverses des angoisses pas possibles. Sans transition, sans personne qui t'explique ce que va être la procédure engagée contre toi, tu dois te faire à l'idée que tu es désigné comme un délinquant économique, que le fait d'être une association à buts éducatifs et culturels ne t'accorde aucune attention particulière. Tu pressens que ton organisation professionnelle défaillante va être mise à plat et démantelée. Mais ce que tu ne sais pas encore, c'est qu'on va aussi tenter contre toi, le réalisateur de cette belle histoire qui finit mal, une opération bouc émissaire. Non seulement on va détruire méthodiquement l'institution que tu a construite, mais on va essayer de te détruire toi, le fondateur de cette magnifique histoire de l'Art CRU. Tu deviens brutalement le point focal d'une sorte de haine technique de la part d'un personnage mandaté par le Juge qui outrepasse ses attributions qui sont de donner les soins palliatifs à ton entreprise et d'accompagner la fin de ta gestion (c'est écrit dans les minutes du tribunal) . Avant que t'aies pu prononcer le premier mot, cet homme s'est déjà engagé comme chasseur de prime. Il t'a déjà jugé coupable, sans état d'âme, sans aucune communication normalement humaine, sans aucun dialogue avec toi ! Face à ce soi-disant représentant du droit, j'ai fait l'expérience nouvelle d'une totale négation de ma personne. J'ai été jusqu'en cet instant totalement nié : nié comme sujet, nié comme fondateur et directeur et de cette association, nié comme personne humaine. @ La fermeture administrative d'une entreprise associative obéit aux lois ordinaires applicables à toutes les entreprises, certes. J'accepte totalement cela. Mais cela n'oblige en aucune façon l'officier de justice à détruire aussi l'institution, comme on casse sadiquement une poupée de porcelaine parce qu'on a arbitrairement décidé qu'elle était pas normale, qu'elle a décidément un regard inquiétant, peut-être bien , même, qu'elle serait un petit peu envoûtée. A aucun moment un débat sur la bonne foi n'est ouvert. Rien n'oblige les représentants du Tribunal à appliquer une plus-value sadique sur l'histoire, ni de permettre de mettre en place une organisation transitoire qui achèvera de défoncer des liens engagés depuis des dizaines d'années avec nos partenaires institutionnels de France, d'Europe, et aujourd'hui de l'Argentine et de l'Uruguay où on enseigne la discipline pédagogique de l'Art CRU à l'Université. Je regarde, impuissant, le travail de casse de nos liens privilégiés avec les établissements de soin psychiatrique, de l'enfance inadaptée, de la réinsertion…La présomption d'innocence économique est objet d'une totale forclusion. Comme s'il n'était pas possible d'inhumer tranquillement l'entreprise qui est morte, et de respecter en même temps l'institution et l'ensemble des valeurs inaliénables massées autour du signifiant ART CRU. Au besoin de parole et de compréhension te sont opposés la procédure, et des articles juridiques abstraits dont tu ne connais pas la parade. Pour ce faire, on procède en premier à l'effacement de tes outils de communication : suppression sans préavis de la ligne téléphonique, refus de recourir à une association de tutelle qui nous permettrait d'expliquer aux utilisateurs notre faillite et notre travail de renaissance possible. Tu n'a même pas le droit de racheter l'ordinateur sur lequel tu travailles depuis 8 ans au nom de l'article N° L-642_3 du code du commerce, qui dit que ni le débiteur, ni les dirigeants de droit ou de fait de la personne morale en liquidation judiciaire, ni les parents ou alliés jusqu'au deuxième degré etc… ne sont admis ou par personne interposée à présenter une offre...Dans leur zèle d'effacement, les officiers de justice veulent semblent-il détruire le fondement même de l'institution. L'institution ne doit pas ressurgir, renaître. Cette violence-là est indiscutablement de nature totalitaire. Elle m'est une violence insoutenable. L'institution est un ensemble inaliénable, articulé et cohérent de valeurs et de dynamismes culturels et idéologiques. Les "punitions" administrées sous la forme de non paiement de ton dernier mois de salaire et de tes indemnités de départ à la retraite, d'interdit de communication par suppression sans préavis d'une ligne téléphonique constituent une étape redoutable du meurtre institutionnel etc… Quant au destin immédiat de l'ART CRU MUSEUM, je ne sais pas encore aujourd'hui de qui il dépend. Je suis délibérément maintenu dans une totale ignorance. Il faut que les artistes à qui appartiennent les œuvres envoient une lettre recommandée avec accusé cde réception. Le Commissaire priseur est venu procéder au recollement des biens corporels ! pour organiser leur vente aux enchères (1000 € d'ordinateurs et petites machines diverses constituant mes outils personnels de travail depuis quinze ans pour le bureau et la pédagogie + un Toyota de 10 ans d'âge + un ART CRU MUSEUM sous-estimé à 200.000 €. Dans ce prévisionnel surréaliste, j'inexiste en tant que sujet. Je ne suis rien. Rien ne m'est communiqué de la prochaine catastrophe dont je suis menacé. Help ! J'ai besoin d'aide ! @ Guy Lafargue "Poupée joue à l'homme" - Faïence 1987 L'ART CRU est un poupée de porcelaine de la dynastie ZWHÖNG, la plus ancienne des dynasties chinoises connues en matière de poupées, de celles dont la puissance destructrice se retourne contre les menteurs et les envieux. L'ART CRU est cette centaine de poupées que j'ai achetées à Émmaüs, que j'ai ligotées et suspendues par les pieds dans le séchoir à poupées de la rue Chantecrit, qu'un expert en art contemporain désigné par le Tribunal a estimées à 10.000€ ! Quel honneur ! Quelle dérision ! Un expert en art contemporain a accepté de se livrer à cette mascarade collabo De mettre des prix d'enchère sur des objets appartenant aux étudiants qui les ont installés là en attendant la fin de la formation ! Tout à l'heure, j'ai décroché les poupées et je les ai rapportées à Émmaüs. 10.000 € évanouis qui échappent à la barbarie, comme ça, du seul fait de mon désir. Un acte aussi dérisoire que celui de les avoir ficelées et suspendues par les pieds. Pour rien Pour l'amour de la beauté insensée. Guy Lafargue 16 Octobre 2007 |